i'm gonna save you and everything will be ok ≈ maël.

Leevy & Maël ;; i'm gonna save you and everything will be ok

Une belle journée venait de se passer et Leevy se sentait plutôt bien. Pendant toute la journée la blondie avait profitée de l'été qui arrivait et donc du soleil, à force de se délasser au soleil, elle commençait même à prendre des couleurs et elle n'allait pas se mentir sur le fait que ça lui allait parfaitement bien. C'est après cette longue journée qu'elle décida de rentrer dans son appartement pour se reposer un peu et passer une soirée tranquillement devant sa télé à regarder des émissions stupide de télé-réalité, mais bon ça l'amusait et c'est ce qui comptait. Alors qu'elle était tranquillement sur son canapé elle finit par recevoir un message et fronça alors ses sourcils en le lisant. "Tu te souviens quand on t'avais demandé de nous ramener ton père mort ? Et bien nous venons de découvrir que ce n'était pas ton père, alors nous venons de te prendre à nouveau quelque chose que tu aimes. Trouves le et essayes de rester vivante." Elle entre ouvrit légèrement ses lèvres, il n'y a pas plus tard qu'un mois Leevy était à Paris pour aller sauver sa meilleure amie qui avait été kidnappé et en échange de sa meilleure amie elle devait ramener son père et évidemment la blonde n'avait pas pu faire ça vu que c'était quand même sa famille elle avait donc emmené un inconnu qu'elle avait fait passer pour son père, elle se doutait qu'un jour ils se rendraient compte de la supercherie mais elle ne s'attendait pas à ce qu'on s'attaque à l'un de ses proches. Mais qui ? Elle n'en savait rien. Elle inspire doucement se levant et se préparant rapidement, merde c'était une femme enceinte et elle devait encore travailler pour se genre de chose. Jamais elle n'aurait du accepter de travailler à la mafia, elle le regrettait vraiment. Elle s'habilla alors de noir et pris évidemment son arme avec elle pour ensuite se rendre à l'adresse que l'homme lui avait envoyé par message. Une fois arrivée elle découvrit un ancien hôpital psychiatrique abandonné, c'était totalement désertique ici et ça n'avait d'ailleurs rien d'étonnant vu qu'elle était en se moment à plusieurs kilomètres de Cambridge. Elle finit par prendre une longue inspiration de courage pour rentrer à l'intérieur du bâtiment qui donnait carrément la frousse. Une fois à l'intérieur elle avança son arme à la main cherchant n'importe quoi qui pouvait l’emmener jusqu'à son proche.

Je ne comptais plus les jours où j'étais dans ce sous-sol. Alors que je partais pour l'université des personnes étaient venus m'attraper. Je n'avais pas réellement compris pourquoi, mais j'avais cru entendre le prénom de Leevy ainsi que celui de Poppy. Du moins je le pense, car j'étais dans un état second, complètement assommé. Maintenant j'étais sur cette chaise, je ne dormais quasiment pas en me demandant ce qui allait m'arriver. J'entendis alors du bruit au dessus, ici d'habitude tout était calme, tout était trop calme. Mais là je savais qu'une personne venait de rentrer. Je devais signaler ma présence, ce n'était pas l'heure habituel où venait les ravisseurs. Et puis il devaient être en haut, mais ils ne faisaient jamais de bruit. Criant comme le faisait Tarzan je voulais qu'on m'entende et je criais encore comme le personnage Disney. « JE SUIS EN BAS » hurlais-je. Je voyais l'espoir de sortir d’ici. J'étais sale, je n'avais quasiment pas manger ni bu. Quand au confort on pouvait dire qu'il était totalement nul. J'avais juste une envie me tirer d'ici pour porter plainte contre ces fous furieux. Je me posais sans cesse la même question. Qu'est-ce que j'avais fais pour me foutre dans une merde pareille ? Je n'en savais rien, mais je voulais avoir des réponses à mes questions, d'ailleurs j'étais un journaliste, un vrai donc je n'abandonnerais pas. Curieux dans l'âme, je trouverais ceux qui m'ont fait ça et je révélerais qui sont les ravisseurs. Je n'ai pas peur, de toute façon si je meurs maintenant et bien je mourrais heureux si on peut dire ça comme ça.