Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(+ludwick) Hiding is quite like fuc*ing [hot]
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(+ludwick) Hiding is quite like fuc*ing [hot]

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La soirée Mather remplissait toutes ses attentes ! Cela ne faisait pas deux heures qu'Eugene s'y était rendu et il était pleins comme un oeuf ! Après avoir eu une conversation avec Dixie, et surtout après avoir effectué une première séance de séduction avec un certain polonais, il avait fini par trouver refuge au bord du lac. Les rochers faisaient d'incroyable catalyseur de maux de tête, car le garçon, en caleçon, était assis sur l'un deux.  Ce sentiment de fraîcheur qui l'envahissait petit à petit était libérateur. Toujours accompagné de sa vodka, qu'il avait fini par dilué par du jus de pomme pour garder la bouteille toujours très pleine, il était donc assis là, entrain de reprendre ses esprits. Merde, il espérait ne pas avoir été trop doué pour esquiver Ludwick, car au final, il avait bien envie que ce dernier ne le rattrape, et surtout, ne l'attrape. Il se revigora en s'administrant un peu plus de vodka dans son système, en essayant de laisser loin de lui cette image de geek incroyablement hot qu'était le polonais. En vrai, il n'y avait rien à faire: ce Ludwick là, c'était un guilty pleasure, vous savez, ce genre d'actions que vous savez qu'il faut éviter mais vous persistez tout de même. La musique lui parvenait toujours aux oreilles, et un sentiment calme et bienfaisant le berçait. Un diable qui s’adoucit à cause de la musique et quelques verres ? Tous croyants avaient prié ce jour, et surtout les quelques centaines qui avaient toujours perçu le jeune allemand comme tel. Il avait beau être un brillant étudiant en neurosciences, cette image ne collait vraiment pas au petit diable qu'il était dans la vie quotidienne. Un garçon vindicatif, snob, qui ne s'interdisait en rien de juger son prochain. Heureusement, il gardait un physique plaisant et travaillé, sa principale arme avec les garçons. Entre deux pensées de la même sorte, il but une nouvelle fois de ce fabuleux nectar qui le rendait si paisible.
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Rageant, une bouteille de whisky à la main, Ludwick s'était perdu dans la foule, ne retrouvant pas la trace d'Eugene. La foule s'était considérablement agrandie avec l'arrivée de membres d'autres confréries avec l'exception Eliot ; interdit dans les lieux. Le beau blond s'était décidé de rebrousser chemin, de revenir au bar mais personne et c'est ainsi qu'il avait demandé qu'on lui donne carrément une bouteille ; les Mathers savaient faire à la perfection une fête et pour eux, l'alcool était un élément primordiale. Buvant quelques petites gorgées, il laissait l'alcool l'envahir, prendre peu à peu possession de lui, éteignant sa raison. Il était tenté d'appeler un taxi, de retourner à la Dunster House pour se coucher, plus habitué aux grosses soirées étudiantes. Pourtant, le polonais restait sûr qu'Eugene l'avait convié à un jeu, un défi pour le retrouver. Mais où diable était-il passé? Il avait beau eu traverser la foule, le résultat n'avait pas été concluant alors il avait justement voulu s'éloigner pour voir mieux. Il trempa ses lèvres de nouveau au goulot pour ressentir l'alcool. Approchant les abords du lac, il réfléchit aux derniers évènements ; à cause de l'hôpital, il n'avait pas pu assister à la dernière réunion du club de natation et bientôt se déroulerait la fête des Dunsters. Au fur et à mesure des évènement, la fin de l'année approchait dangereusement. Relevant la tête, il distingua un corps assis près des rochers ; sans doute était-ce li ? Le blond accéléra le pas avant de brandir un immense sourire, reconnaissant le jeune homme de loin. Eugène, malgré sa prétention affirmée, était une sacrée personne, ce genre d'homme qui séduisait Ludwick. Certes, il était dote d'un charme mais il avait cette chose qui le rendait unique ; il ne faiblissait pas, il gardait la tête haute. D'un pas discret, il se glissa derrière le Mather, décidé à lui faire peur. Il glissa ses bras le long de ses hanches, susurrant à son oreille « Alors, on essaie de m'échapper ? » Il sentit son odeur, ses yeux s'attardant sur les parcelles de son corps dénudé, seulement revêtu d'un caleçon. Se plaçant face à lui et vérifiant qu'ils étaient seuls, il se fit désirer, déclarant avec une voix aguicheuse ; « Mes mains ont du mal ; tu pourrais me déshabiller ? »
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L'atmosphère se rafraîchissait, la pierre froide sur les fesses du jeune homme n'aidait pas non plus. Autant à l'extérieur il commençait à geler, à l'intérieur, c'état un feu ardent qui chauffait tout son être. Ces soirées ci, à la Mather, changeaient radicalement des soirées mondaines auxquelles il était si souvent convié. Ici, il ne fallait pas se prendre la tête, et boire, sinon on vous voyait comme le paria de la soirée. A l'aise dans cet environnement festif, le garçon ne pouvait s'arrêter de porter le goulot de la bouteille à ses lèvres pour s'enivrer un peu plus. La pomme venait vraiment adoucir le goût, et c'était tant mieux, car boire de la vodka pure aussi longtemps, il n'aurait jamais pu. Sans en subir les conséquences du moins. Sur son perchoir, il commençait à désespérer: et si son beau geek ne le retrouvait pas ? Ce serait dingue quand même, de passer de peu d'un moment charnel. C'était drôle, il suffisait qu'il pense de cette façon pour finalement sentir des mains venir entourer ses hanches. Certes, ça pourrait être n'importe qui, mais là il le reconnaissait ce toucher. Un toucher joueur, coquin, ardent. Eugene ne pouvait que glousser. « Je ne t'attendais même plus » mentit l'allemand, avec un sourire non dissimulé sur son visage. La petite confidence de Ludwick le fit marrer. « Tu as raison, laisse faire les connaisseurs » lâcha-t-il, en portant ses mains sur le pantalon de l'adorable blond. Très vite, il le baissa, observant le caleçon du jeune homme, à la recherche d'une quelconque preuve que le blond le désirait. Il se redressa, passa ses mains sous son haut, et l'enleva délicatement. Sa bouche se positionna instinctivement près de celle du jeune homme. « Et maintenant ? » chuchota-t-il, en lui prenant sa bouteille et lui subtilisant quelques gorgées, afin de le provoquer encore davantage.  
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Un rictus se dessina sur les lèvres de Ludwick, devinant l'ironie du Mather. Il ne l'attendait plus ; en même temps, à s'être perdu dans la foule durant une trentaine de minutes. Le blond s'était alors posté devant lui, attendant que ses mains viennent le caresser comme il le voulait. Le polonais s'était convaincu de redevenir sérieux, d'oublier le sexe durant des semaines après le voyage au Kenya mais la présence d'Eugene lui avait embrumé son esprit, chassant sa raison. Il avait cédé et il céderait, il savait qu'il le ferait si Eugene le voulait tel un marionnettiste. Ses mains se glissèrent sur le pantalon du blond, lui retirant d'un coup. Le froid, mêlé au vent, caressait ses cuisses, révélant ainsi son boxer déformé par une légère bosse, sa virilité se préparant doucement au plaisir qui allait suivre. Il fut après débarrassé de son haut, et sentit là aussi le vent caresser son torse. Les lèvres du Mather vinrent se glisser près de celles du polonais qui, instinctivement, donna une brève impulsion pour les sceller. Cependant, lebref contact fut rompu par Eugene, décidé à lui voler sa bouteille afin d'y tremper ses lèvres. Et maintenant ? Lui reprenant fermement la bouteille, il but quelques légères gorgées avant de balancer la bouteille au loin.Point d'alcool, ils en avaient assez bu comme ça. D'un regard pervers, Ludwick plaqua de nouveau ses lèvres contre celles d'Eugene. « Et maintenant, on fait ce qu'on sait faire de mieux lorsqu'on est ensemble. » Rien qu'à l'idée de la future étreinte, sa virilité se dressa naturellement. Et le polonais, voulant sentir son corps près d'Eugène, le plaqua contre lui, une de ses mains caressant sa hanche pour descendre jusqu'à son caleçon. Malicieusement, il caressa l'intimité du Mather, voulant provoquer son désir, le tenter dans un nouveau jeu. « Souffle moi ce que tu veux » murmura t-il en approchant les lèvres de son oreille.
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Des frissons. Depuis que Ludwick était arrivé, c'était tout un tas de frissons qui parcouraient le corps du beau brun, signaux forts de ce qui allait les unir tous les deux. Pour le moment, le simple baiser qu'ils avaient réussi à s'échanger avait su donner le ton de leur aparté. Et maintenant, ils allaient faire ce qu'ils savaient faire de mieux lorsqu'ils étaient ensemble. « Ça me va » s'accorda à dire le garçon, fier d'avoir su susciter autant de passion chez le bel homme qui lui faisait face. Une passion dévorante qui s'amplifiait toujours plus à chaque regard qu'il se lançait. L'impulsion avec laquelle le polonais se débarrassa de la bouteille rendait dingue Eugene, qui ne refusa en rien les baisers langoureux qui suivirent cette expédition en règles. Ils étaient doués pour ça oui, s'embrasser de manière vigoureuse, avec envie, mêlant leur langue avec brio. Son corps ainsi plaqué sur celui parfaitement sculpté de son amant, l'allemand sentit avec un sourire amusé le réveil qui se produisit sous la ceinture du blond. Et de la sienne. Un souffle rude s'échappa des lèvres du garçon, témoignant de toute son excitation à ce moment même. Encore quelques baisers, et le grand gaillard aux cheveux dorés vint lui chuchoter quelques mots dans son oreille. Il lui suffit de les entendre pour se sentir envahir d'une nouvelle vague de frissons. « Tu aurais dû y réfléchir à deux fois avant de me dire ça » confia-t-il, sur un même ton intime. Le jeune Mather s'agrippa fermement au garçon, sentit son sceptre se frotter lentement sur le sien et profita encore de ces quelques frissons qui l'animaient avant de prendre le contrôle de la barque. Il avait su lui transmettre un sentiment de bien-être, un sentiment qu'il était désireux à faire partager. Il embrassa une ultime fois le Dunster, et descendit sa bouche le long de son cou, de ses pectoraux, mordillant au passage le téton qui se présenta à lui. Il continua sa descente, le plus vigoureusement et sensuellement possible, lécha ses abdominaux, la moindre parcelle de peau qui figurait sur son itinéraire, jusqu'à ce qu'il atteigne finalement la bosse qui lui faisant tant envie. Il ôta doucement le boxer du jeune homme, avant de prendre en bouche la virilité de ce dernier et démarrer un mouvement ample de va et viens. Il devait reprendre ses repères, avant de pouvoir réellement en profiter.  
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L'excitation de Ludwick s'était glissée sur toutes les parcelles de son corps ; elle durcissait ses tétons, elle durcissait sa virilité, elle durcissait son corps tout entier tout en lui faisant bouillir son sang. Son corps se réchauffait grâce à ses pulsions ; cette chaleur commençait à prendre le dessus sur le froid ambiant de l'extérieur. Le polonais appréciait cette proximité avec Eugène, le toucher, le caresser, doucement, avec une pointe de sensualité, juste ce qu'il fallait pour provoquer le désir. Caressant le boxer du Mather, il lui avait susurré par politesse une demande ; ce qu'il souhaitait. Car le sexe, pour Ludwick, était un moyen de faire plaisir ; de donner du plaisir en assouvissant les besoins de chacun. Son corps s'entrechoquait avec celui d'Eugene, sentant sa virilité caresser la sienne. Après un bref baiser, il sentit le Mather dévier, descendant dans son cou, puis sur son torse, s'attardant sur un de ses tétons pour le mordiller. A ces doux contacts érotiques, Ludwick en perdait l'esprit, son corps tanguait à cause de multiples frissons qui lui provoquaient du bien-être. Il appréciait cette sensation, cette chaleur grandissante au fur et à mesure qu'Eugene descendait, lentement pour flamboyer son désir. Doucement, il sentit son boxer tomber au bas de ses jambes, libérant son entrejambe gorgé de sang. Brusquement, il se mit à gémir lorsqu'il sentit les lèvres de son amant sur son membre, le caressant avec grandeur. Aux premiers vas-et-viens, Ludwick posta sa tête instinctivement en arrière tout en plongeant une de ses mains dans la chevelure brune de l'allemand. Il caressait son crâne, fermement, l'incitant à continuer sur une même allure, nuançant sur la vitesse. Il savait s'y prendre, en tout cas. Relâchant un soupir, il murmura ; « Aaaah, Eugeeene. » C'était lent, long, ses yeux clos, sentant uniquement l'air caresser son corps tout entier, en harmonie avec les douceurs que lui procurait le Mather. Au bout d'un moment, il se sentit mal, étouffé, renfermant son emprise sur la chevelure d'Eugene pour lui demander de s'estomper. Ce n'était que le début et il voulait en garder pour jusqu'à la fin.
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