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morghan & alexia - need for help ?

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Même si les cours étaient finis depuis le début du bal, désormais terminé, Alexia utilisait toujours le parking du campus pour se garer puisqu'elle habitait la dunster house et ce pour son plus grand plaisir. Elle rentrait justement d'une petite course - un besoin de cornichon soudain, quoi, certains grignotent des cookies, et elle, elle grignotait des cornichons. Bref, elle sortit donc de son 4x4 noir audi qu'elle s'était offert pour son dernier anniversaire, une boite de cornichon dans une main et son sac à main couleur camel dans l'autre. Imaginez le tableau. Et pour une fois, elle n'avait pas oublié de serrer son frein à main, ô miracle. Il faisait beau, il faisait chaud - peut-être un peu trop chaud tout bien observé , mais elle n'y faisait pas attention pour l'instant - et elle se dirigeait tranquillement vers la sortie du parking bétonné pour retourner à la dunster house, quand elle fut témoin d'un événement inhabituel.
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Pv Alexia


Tu parles d'une journée! Il avait sauté dans un jean dès l'aube. Les cours étaient peut-être finis pour eux, mais pas pour Amory et Luna, et panne de courant, donc de chargeur de téléphone, donc pas d'alarme! Résultat, lever en catastrophe, avec un petit de cinq ans qui ne comprend plus rien à la vie, le visage fourré dans les dreadlocks de son grand frère aux bras qu'il trouve puissants et protecteurs. Morghan, lui, aujourd'hui, c'est corps = confiture. Des fourmis dans les jambes, il n'a même pas pris le temps de bouffer pendant qu'il préparait les deux gosses. Il choppe les deux gosses par la main sans trop de violence, jetant le plus petit sur ses épaules. Il sent qu'il va perdre des clavicules. Mais non mais non, c'est psychologique. Il sort en courant de la barraque, fermant comme il peut , et balance les clefs dans son sac besace qui tape sur sa cuisse à chaque enjambée, avant d'attraper le bus d'après à la volée. Merde, le petit frêre passe pas dans la porte s'il l'ote pas de ses épaules. Oui Morghan, Amory n'est pas intangible, quoi qu'il trouverait ça drôle le gamin et qu'il rigole à moitié, tout balloté. Et la soeur qui a encore la tartine de nutella dans la bouche, et qui lui parle d'un certain "Matthew" de l'école. Comment ça , c'est qui ce Mathhew? Woh woh , t'as que onze ans, c'est quoi? Non. Attends au moins d'être féconde pour embrasser les garçons! Mais Morghan n'a pas le temps de s'exprimer sur les tortures qu'il va faire endurer à ce Matthew pour avoir des vues sur sa petite sœur, peu importe s'il aie onze ou treize ans, que le bus s'arrêta devant la maternelle et qu'il sort en toute hâte pour éviter que la surveillante ne ferme la porte. Mais ce n'est pas fini! Un bisou! Et il repart avec la bavarde et lui dit que c'est non pour qu'elle aille chez ce Matthew. Alors, elle, elle se révolte, lui dit que c'est pas juste, que les autres le font et blabla. Et Morghan ne fait pas dans l'humanitaire ce matin. Il ne veut rien entendre, lui dit on verra. Mais pourquoi il a dit ?! Rah merde.

Et le voila reparti après l'école, parce qu'il a un rendez-vous avec sa banque, puis doit faire les courses, et ensuite, il doit venir aider un pote Dunster à l'université pour une histoire de devoir sur l'histoire ancienne des minoens, une dissertation. Il manque d'échapper les poches de courses en évitant un facteur remplaçant, qui en plus balance les journaux comme un manchot et l'envoie dans le rododindron de la voisine. Et voici donc Morghan qui enjambe la barrière et se retrouve à quatre pattes dans les buissons de la vieille, pour récupérer le journal et le magazine de la petite, un truc que toutes les gamines ont là... avec des astuces et des modes et ... enfin tout pour mettre de l'urticaire au dreadeux mais bon, elle aime. Il fait tout le ménage, la bouffe pour le soir, et quand c'est l'heure, il choppe un bout de bain, avale un verre de jus d'orange avec ses médocs et se barre en courant. Il est 14 h. Et il a le cerveau en purée de brocolis le Morghan. Il mettrait bien la tête dans la fontaine, mais qui sait qui a pissé dedans aussi. Les Mathers , c'est comme les belles-mères, Y'EN A PARTOUT!

Et les Morghan, c'est comme les soufflés, ça retombe toujours. Il arriva dans l'enceinte de l'université, contourna plusieurs bagnoles, préoccupé, regardant un courrier qu'il avait tiré de la boite aux lettres depuis peu. Tout alla très vite. Il sortit de l'espace bétonné pour contourner un arbre, les premiers espaces verts apparaissant sous des allées propres. Il commença à couper à travers l'herbe , quand ses sens s'ébranlèrent. Le sol tourna. Sa vue se fit floue. Il cligna des yeux, ralentissant le pas, se les frotta d'un main , et fronça les sourcils, le souffle court. Merde. Ses jambes vacillèrent, pourtant habituées aux efforts constants et il finit le jean à genoux dans l'herbe, une main poing serré sur le sol et l'autre, qui avait lâché le papier, finissant sur sa tête, puis son ventre... Nom de dieu... Il n'avait plus de force. Il restait conscient, mais tout semblait bancal , vertigineux. Sa respiration était perturbé mais pas rauque... Une jolie crise d'hypotension, marié à de l'hypoglycémie. La chaleur et l'excédent de lumière sur ses yeux clairs, ne devaient pas aidés non plus. En somme, un joli combo qui le séchait net sur place. Il s'assit dans l'herbe, posant un bras sur son genou et se colla le revers de la main sur la bouche... allez... reprends du poil de la bête... respire...C'est la faute à Matthews ça , c'est certain ! Tout sera de la faute à ce Matthew pour la journée, il l'avait décidé!
 

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Alexia était déjà pratiquement sortie du parking quand quelque chose attira son attention dans son champ de vision. A une trentaine de mètres sur sa gauche, dans la partie gazonnée/espace vert bordant les rangées de voitures, un type inconnu au bataillon venait de tomber, ou plutôt de faire un malaise, à première vue. Il se trouvait maintenant assis mais visiblement toujours mal en point, et comme Alex avait un peu de savoir vivre, au lieu de s'enfuir comme si de rien n'était et d'ignorer la scène, elle se dirigea droit vers le jeune homme. Il avait un physique particulier, avec ses dreadlocks, on n'en voyait pas beaucoup ici à Harvard, même si c'était déjà plus que chez elle en Angleterre. Ce dont elle était sure, c'est qu'elle ne l'avait encore jamais vu. Et qu'il avait besoin d'un coup de main. Il n'avait pas perdu connaissance, et c'était bon signe, mais il avait l'air bien affaibli malgré tout. Alex avait son diplôme de premiers secours - en double exemplaire même pour être exact - mais ça ne lui servirait pas à grand chose. Etant donné la chaleur, le pauvre avait sans doute dû faire un malaise vagal, très classique mais assez spectaculaire pour les non initiés qui avaient tendance à paniquer et appeler une ambulance. Pas besoin. "Hé, laissez moi vous aider !" dit-elle une fois à cinq mètres de lui. Dans l'idéal il aurait fallu qu'il prenne un ou deux sucres et un grand verre d'eau pour récupérer tout de suite de son malaise, mais elle n'avait pas ça sur elle. Elle n'avait ... qu'un bocal de cornichon. Bien Alexia, tu vas aller loin avec tes cucurbitacées! Et dans sa voiture elle avait juste une couverture de survie, pas franchement utile non plus. Tant pis on allait faire avec les moyens du bord. "Tu devrais t'allonger jusqu'à ce que tu reprennes complètement tes esprits ! Tu as mal quelque part ?" demanda-t-elle gentiment. Elle n'osa pas lui dire si tu veux j'ai des cornichons pour te remettre d'aplomb, ce n'était pas trop le moment de rire. Puis au niveau calorique ça n'allait pas lui filer un grand coup de main. Elle s'agenouilla à côté de lui, prête à l'aider pour s'allonger. Par chance elle avait mis un pantalon noir moulant ce jour là et pas une jupe, il valait mieux pour se mettre peut-être à quatre pattes par terre. Elle-même avait déjà fait une bonne dizaine de malaises vagaux, très sensible à la chaleur, surtout depuis qu'elle était en Amérique - enfin à Cambridge, où il faisait bien plus chaud l'été qu'en Angleterre, elle n'était donc pas très habituée. Et la casquette pour se protéger, même pas en rêve. C'était lunettes de soleil ou rien. Mais bref.
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