Marie-Jeanne, épouse-moi (+ Jessie)

Marie-Jeanne, épouse-moi

Jessie & Aaron

Règle numéro une : trouver un endroit désert. Pas bien difficile en cette fin d’année. Les étudiants ont déserté les lieux afin de réviser les tout derniers examens. Il reste néanmoins les membres du personnel, dont une majorité de professeurs qui croulent déjà sous les copies à corriger. C’est mon cas. Ca m’énerve, ça me stresse et de ce fait, ça me donne envie de me détendre. J’ai tout de même travaillé sept bonnes heures à la suite avant de jeter l’éponge et m’accorder une pause « Marie-Jeanne ». Ana est contre. Qui serait pour, en même temps ? Si elle me voyait fumer un joint, elle me décapiterait. Si elle me voyait fumer un joint dans l’enceinte de l’université, là, elle me torturerait longuement avant de me décapiter. Autant donc être à l’abri des regards indiscrets. Heureusement, la journée touche à sa fin. De ce fait, peu à peu, l’université se vide. Je pars à la recherche de la salle de cours dont la fenêtre donne sur un cul de sac où une multitude de choses dont des bennes y sont stockées à l’extérieur.

Je referme donc la porte derrière moi, ouvre la fenêtre puis enjambe afin de m’asseoir sur le rebord. De là, personne ne peut me voir. Je fouille dans mes poches et commence à confectionner un joint avec une adresse qui me rappelle que j’en ai peut-être un peu trop l’habitude. Soit. Une fois prêt, je le porte à mes lèvres pour l’allumer. Je tire une première fois dessus en fermant les yeux, avant de souffler une forte quantité de fumée. Un soupir de bien être plus tard, et me voilà aux anges. Au point d’en oublier qu’à cette heure-là, les personnes de l’entretien font leur travail…

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Aaron & Jessie

Décidément ce n'est pas la grande joie ces jours-ci. Hier c'était mon anniversaire et mise à part William, personne ne me l'a souhaité, même pas ma petite sœur qui a certainement oublié ma date d'anniversaire après dix ans loin l'une de l'autre, mais soit, ça passera, sauf que mon métier me prenait davantage la tête. Surtout qu'à cette heure-ci, je devais nettoyer les salles de cours une à une. Je voulais me rendre dans celle de Kaleb histoire de l'embêter un peu, mais après notre partie de jambe en l'air au bal, je lui ai promis de ne plus l'emmerder, bon ça dura le temps que ça dura, mais aujourd'hui je comptais tenir parole. J'ouvrais donc la prochaine salle, au départ je ne voyais personne, j'attrapais mon balai avant d'y mettre la serpillière pour refaire pour la énième fois les mêmes gestes, mais soudainement mon regard se posa sur Aaron assis à la fenêtre, fumant tranquillement un joint. Un petit sourire s'afficha sur le coin de mes lèvres, laissant tomber mes outils de travail au sol pour le rejoindre, escaladant à mon tour le rebord de la fenêtre pour m'asseoir à côté de lui. Tu sais que c'est mal hein ? Lui demandais-je le visage totalement sérieux avant de sourire à pleine bouche. Depuis quand on fume un joint sans partager avec ses collègues ? Disais-je avec un large sourire avant de voler son joint pour l'amener à mes lèvres, tirant dessus à plein poumons avant d'en profiter, sentant tout le bien que cette petite chose peut me faire. Finalement je le rendais à Aaron avant de recracher la fumée, contre toute attente je ne regrettais pas d'être venue dans cette salle.

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Marie-Jeanne, épouse-moi

Jessie & Aaron

Je n’avais absolument pas entendu la porte s’ouvrir, plongé dans mes pensées et profitant de l’effet que m’offrait cette herbe. Ainsi, je fis un bond de surprise en sentant quelqu’un venir s’installer à côté de moi. Quelques centimètres en plus et je serais tombé du rebord de la fenêtre en direction de la grande benne vide juste en dessous. Donc non, ça n’aurait pas été bien glorieux. Machinalement, je pose une main contre mon cœur, comme si j’étais cardiaque.

- Ne refais plus jamais ça, Jessie.

Je l’observe avec des yeux écarquillés. Elle aura ma mort si elle continue. Finalement, quand elle m’expliqua que c’est mal de ne pas partager avec ses collègues, j’esquisse un sourire amusé avant de lui présenter le joint qu’elle ne tarde pas à prendre pour le coincer entre ses lèvres et ainsi tirer dessus.

Ce serait mentir que de dire que je connais bien Jessie. Je sais uniquement qu’elle est femme de ménage et qu’elle possède un caractère bien trempé. Dans le fond, ça m’amuse beaucoup et comme je suis quelqu’un de très ouvert et aucunement mauvais, autant dire que je sympathise avec tout le monde. Je me souviens de la soirée passée au bal, avant que je m’éclipse, suivi de près par Analind. Ce n’est pas passé inaperçu : je suis amoureux d’elle. Comme tout le monde a pu voir que Jessie projetait sincèrement de passer la nuit avec Kaleb. Je récupère donc le joint afin de tirer une nouvelle fois dessus.

- Alors, raconte-moi. Ca a donné quoi avec Kaleb pendant – ou après, le bal ?

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Aaron & Jessie

Ça ne fait que quelques mois que je suis à Harvard et beaucoup de personnes me voient comme la garce, la connasse de service, hors quand on apprend à me connaître je ne suis absolument pas comme ça. Oui j'ai des défauts, mais j'adore parler aux gens, rire avec eux mais peu de monde ne me laisse cette chance, personne ne se donne du temps pour apprendre à me connaître. Mais je voyais bien qu'Aaron malgré le fait qu'on ne se connaisse pas réellement, ne me jugeait pas au premier regard et à sa première impression lors du bal. Je souriais quand il plaça sa main sur son cœur avant de reprendre son calme, je tirais sur son joint avant qu'il le récupère et autant dire que sa question à propos de Kaleb m'arracha un large sourire. Monsieur a résisté, mais il a terminé par craquer quand je lui ai promis de ne plus le faire chier s'il me fait passer la soirée de ma vie. Disais-je avec un petit sourire en coin avant de tourner ma tête vers Aaron. Autant te dire que je n'ai pas été déçue. Je lui laisse reprendre des forces et je reviendrais à l'attaque bientôt. Lui avouais-je en riant. Pauvre Kaleb, il pense s'être débarrassé de moi, mais c'est lui qui deviendra bien vite accroc à nos parties de jambe en l'air. Finalement je prenais un bon bol d'air avant de tourner mon regard vers lui, ses regards en direction d'Ana lors du bal ne m'ont pas échappé. Et toi, comment ça se passe avec Analind ? Demandais-je avec un sourire taquin.

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Marie-Jeanne, épouse-moi

Jessie & Aaron

Je n’ai jamais jugé quelqu’un sans le connaître. Ca paraît étrange dans le monde d’aujourd’hui, mais on m’a élevé en m’inculquant de nombreuses valeurs. Ainsi, mon père m’a souvent rappelé que l’on ne juge pas en fonction de l’avis des autres, qu’il faut se faire sa propre opinion et pour cela, parler en connaissance de cause. Ainsi, je ne me suis jamais arrêté sur les « on dit ». De ce fait, si je devais écouter les ragots, je serais persuadé que Jessie est une jeune femme piquante, qui fout la merde partout où elle passe. Seulement, les gens ne semblent pas comprendre que la couverture d’un livre ne délivre pas beaucoup d’informations sur l’histoire. Sinon, pourquoi nous embêterions-nous à lire des centaines de pages si la quatrième de couverture suffit ?

- C’était si sportif et sauvage que ça ?

J’esquissais un sourire amusé. En vue de la tension entre ces deux là, j’imaginais parfaitement leur partie de jambes en l’air, à tout détruire sur leur passage, et à transformer une chambre en véritable no man’s land, avec un lit cassé, des rideaux déchirés et des lampes de chevet éclatées sur le sol. Aucun doute, il y avait de la tension sexuelle entre eux, si bien que Jessie avait eu raison de persister dans la mesure où elle avait gagné gain de cause.

- Et bien, disons qu’Ana n’est plus seulement ma meilleure amie.

De nouveau, un sourire se dessina sur mes lèvres. Je tirais de nouveau sur le joint en repensant à cette soirée. J’avais pris le risque de lui dévoiler mes sentiments, conscient que je ne pourrais pas les cacher éternellement. Aujourd’hui, nous étions ensemble et je me plaisais à penser que ça marchera, même si notre histoire sera très certainement semées d’embûches en vue de nos passés respectifs. Je tendais de nouveau le joint à Jessie tout en posant mon regard sur elle.

- Donc tout s’est bien terminé pour nous deux.

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Aaron & Jessie

J'apprécie lorsqu'on ne me juge pas au premier regard, qu'on apprend à me connaître un tant soit peu. On me voit comme la garce qui couche à droite et à gauche, anciennement mariée à un vieux juste pour son argent. Mais en dehors de ça très peu de personnes n'arrivent à voir cette petite Jessie qui ne demande qu'à être aimé ou du moins apprécié. Alors ça me faisait plaisir de discuter un peu avec Aaron autour d'un joint. Disons qu'on a eu de la chance que le bureau de sa salle de cours soit solide. Confirmais-je toute sourire. Ce soir-là, c'était simplement impossible d'attendre de rentrer chez nous pour faire notre affaire, on n'avait le choix entre les toilettes du bal ou sa salle de cours, autant dire que ça me convenait parfaitement. Je ne cherche pas l'amour, je l'ai jamais cherché, alors m'amuser de cette manière avec le professeur de russe de l'université me convenait parfaitement, même si en dehors de ça, le pauvre ne peut pas me supporter. J'eus un large sourire en entendant Aaron m'expliquer pour lui et Ana. En voyant ton regard sur elle au bal, j'étais prête à parier que c'était plus qu'une simple attirance physique entre vous deux. Non franchement je suis contente pour vous deux, j'espère que vous serez heureux. J'étais sincère dans mes propos, ces deux-là allaient bien ensemble, j'espère que ça marchera entre eux. Je confirmais de la tête lorsqu'il me fit savoir que le bal s'est bien terminé pour nous deux avant de me tendre son joint. Je tirais dessus à plein poumon pour profiter de chaque effet. Je recrachais la fumée dans les airs avant de pointer mon doigt sur Aaron. Je comprends mieux alors ta question au jeu à propos de Kaleb .. Monsieur était jaloux ! Oh ne t'inquiète pas, ta petite Ana n'ira certainement pas voir Kaleb, je compte bien le fatiguer et l'exténuer jusqu'à ce que mort s'en suive, il n'aura le courage de toucher aucune autre femme avant un bon bout de temps. Expliquais-je en rigolant. À peine deux taffes et me voilà déjà en train de raconter n'importe quoi, la suite promet d'être bien drôle, sachant qu'en plus de ça je vais devoir terminer mon boulot juste après.

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Marie-Jeanne, épouse-moi

Jessie & Aaron

Je me mettais à rire en l’entendant dire que le bureau de la salle de cours de Kaleb avait été assez solide pour supporter leurs ébats. Ils n’avaient donc même pas pris le temps de rentrer dans l’appartement de l’un ou l’autre. Je n’allais pas les blâmer pour cela, mais l’homme cachait bien son jeu, finalement. Il repoussait Jessie devant tout le monde et finalement s’envoyait en l’air avec elle. Au final, Jessie avait eu le dernier mot et j’étais fier d’elle pour cela.

- Tu me diras quelle est la salle de cours, que je sache si j’enseigne à l’intérieur ou pas et donc savoir si je peux poser mes affaires en toute sérénité ou pas.

Je levais les yeux au ciel, amusé. Chaque professeur a une salle principale en plus des amphithéâtres. Cependant, il arrive de changer pour quelques heures par semaine. C’était d’ailleurs le cas pour la majorité des professeurs. Qui sait, j’allais peut-être faire cours dans la salle où Jessie et Kaleb se sont envoyés en l’air. Autant dire que je ferais décaper le bureau avant de m’y installer.

Si j’avais eu peur qu’Ana soit intéressée par Kaleb, c’est parce que j’avais pris bien trop de temps à lui dévoiler mes sentiments. J’avais donc craint qu’elle n’aille voir ailleurs en comprenant que je n’étais pas prêt à faire ce qu’il faut pour la garder uniquement pour moi. J’ai d’ailleurs toujours été jaloux de sa relation amicale avec d’autres hommes. Avant même que nous soyons ensemble, je restais très observateur et à l’affût du moindre rival potentiel, quitte à tout gâcher entre eux avant même que ça ne devienne sérieux. Il fallait cependant que j’arrête d’être égoïste. J’aimais Ana et elle se devait de le savoir.

- Oui je suis jaloux, mais je ne suis pas du genre à me laisser faire. Quand bien même Kaleb aurait été intéressé par Ana, je lui aurais barré la route sans aucun scrupule.

Je récupérais le joint afin de tirer dessus. Oui, j’aurais pu barrer la route à Kaleb car je suis prêt à tout par amour. Bien évidemment, si Ana n’avait jamais été intéressée par moi, je me serais éloigné sans demander mon reste. Mais je savais que quelque chose de plus fort que l’amitié nous liait. Il était donc hors de question que je laisse passer cette chance.

- Mais de toute évidence, Kaleb est attiré par toi, même si il doit se maudire à chaque fois qu’il a une pensée peu catholique à ton égard. Ca expliquerait son éternelle expression d’homme torturé.

Je me mordillais la lèvre inférieure, amusé.

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Aaron & Jessie

Autant dire qu'en voyant Kaleb succomber à mes avances le soir du bal, j'étais agréablement surprise, aucune femme n'aime se faire résister, une fois dans sa salle de cours j'en fus totalement comblée. Néanmoins Aaron espérait que cette salle n'était pas une dans laquelle il enseignait, chose qui m'arracha un petit rire amusé. C'est celle juste en face de celle-ci, entre les toilettes et les casiers. Tu penseras à nous si tu enseignes dans cette salle, dis-toi que Kaleb y était très peu vêtu, je suis certaine que ça t’exciterait .. Ah moins que ça soit moi que ça excite de l'imaginer de nouveau comme ça. Disais-je en riant. La solution la plus plausible reste la dernière, je ne saurais dire pourquoi le professeur de russe m'attire autant physiquement, car tout cela reste purement physique, lui ne peut pas supporter mon comportement et autant dire que son côté homme des cavernes a souvent tendance à m'exaspérer, même si ça lui donne un côté grave sexy. Bref qu'importe, je rigolais au simple fait d'imaginer Aaron totalement bloqué dans sa salle de cours en pensant à ce que j'ai fait à l'intérieur avec son collègue. Puis en reprenant son joint, il m'expliqua être un homme jaloux, ce qui est totalement normal selon moi. Un homme qui n'est pas jaloux, n'est pas un homme amoureux. Sauf qu'à présent il semblait rassuré vis-à-vis de la relation de sa nouvelle petite-amie et Kaleb, me faisant comprendre que le pauvre était attiré par moi, mais qu'il devait s'en vouloir à mort. Je rigolais à cette remarque avant de regarder Aaron toute sourire. T'imagines si maintenant à chaque fois qu'il donne un cours, il a une érection d'enfer ? Le pauvre il ne pourra plus se lever de son bureau tellement ce sera flagrant. Rien qu'imaginer cette scène me faisait jubiler, même si en réalité ça n'arrivera certainement jamais. Je jetais un rapide coup d’œil derrière nous pour voir si personne ne nous observe dans la salle de cours, heureusement personne à l'horizon, j'aurais eu bien des ennuis de fumer un joint durant mes heures de travail. J'attrapais d'ailleurs doucement la main d'Aaron pour l'attirer vers moi et tirer sur son joint sans le prendre. En tout cas maintenant le professeur canon d'histoire n'est plus sur le marché, tu sais que tu vas faire déprimer plus d'une de tes élèves qui fantasment sur toi ? Avouais-je en ricanant, lâchant ma fumée dans les airs.

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Marie-Jeanne, épouse-moi

Jessie & Aaron

La salle de Kaleb ? Celle entre les casiers et les toilettes ? Mon cœur loupe un battement. C’est dans cette même pièce que je me suis envoyé en l’air avec Elsy. Ca craint. A croire qu’il y a une aura à l’intérieur. Quoi qu’il en soit, je m’abstiens d’en parler à Jessie car je ne compte pas crier sur les toits que j’ai couché avec l’une de mes étudiantes. Oui, autant éviter que ça s’ébruite. Ce n’est pas le genre de choses que l’on souhaite voir divulgué dans la mesure où c’est interdit. Heureusement, mon visage ne montre pas mon malaise. Ainsi, elle ne se doutera de rien. Je décide donc de chasser ces idées de ma tête afin de me concentrer à nouveau sur les paroles de Jessie dont j’en ai ainsi loupé quelques unes.

- Il me semble avoir déjà dit au bal de fin d’année qu’il n’était pas mon genre.

J’esquissais un sourire amusé. Oui, l’idée que ce soit Jessie qui soit excitée à cette idée me paraissait plus plausible. Le fait est qu’ils ont tous les deux un fort caractère donc j’imagine que la jeune femme peut vite apprécier de voir un homme lui tenir tête, ce qui se comprend d’ailleurs tout à fait.

- Heureusement que toi, tu n’as pas d’érection ma belle. Ca deviendrait gênant puisqu’à chaque fois que tu penserais à lui, et ben…

Je me mordillais la lèvre inférieure avant de lui donner une tape sur l’épaule, amicale et sans aucune violence. J’aime taquiner, c’est ainsi. Ma main fut portée jusqu’au visage de Jessie afin qu’elle puisse de nouveau tirer sur le joint. Amusé par sa réplique, je haussais les épaules. Je ne me trouvais pas spécialement beau, mais j’étais conscient que je possédais un certain charme et une assurance qui plaisait aux femmes.

- Tu sais ce que je pense ? Que toi et moi, on n’est pas si différents. On aime plaire et profiter de la vie quitte à faire les imbéciles. Aujourd’hui, je vais devoir être sérieux, notamment par rapport aux relations que j’avais avec les autres femmes. Alors profites-en pour moi !

Oui, désormais, j’allais devoir être fidèle.

BY .TITANIUMWAY

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