ELIOS I-A DI FABIO ► noah mills

C'est le 21/07 à Italie, que les membres de la famille Di Fabio m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Elios Isaac Apollon. Je suis célibataire au coeur prit et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétéro forever et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale très aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de droit international option business depuis 4 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliots ou les Winthrops.

Elios Isaac Apollon Di Fabio

Looks alot like Célébrité choisie

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle MARILYNE et j'ai votre âge. Je suis nationalité et j'ai connu le forum grâce à sa popularité je crois . Il me manquait trop alors je suis revenue alors j'ai décidé de m'inscrire . J'utilise Noah Mills comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ j'ai hésité entre Mayra et Elios hein :TT:mais on m'a donné plus d'arguments pour Elios donc voilà :sifle:inshallah may elle reviendra mdrrr .
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
Comment vous dire ça, j’ai pas eu grand-chose malheureusement. Faut le dire et le savoir, je suis le prince héritier d’Italie et j’ai souvent pas mal de garde du corps près de moi, j’aime pas qu’on m’étouffe ou quoi que ce soit alors ils restent aux alentours. J’ai tout de suite sentis que quelque chose de louche se passait, surtout que les bodyguard commençaient à regarder un peu dans les alentours avec insistance, chose qui se passait rarement sauf dans des cas urgents. Mais là c’était plus que grave en fait. Comment un acte aussi meurtrier peut-il provenir d’un humain ? J’ai tout de suite été mis en sécurité, éloigné au maximum du campus, laissant comme un lâche mes amis, mes proches qui ont été blessé ou autre. Mais comment vous dire que j’avais pas le choix, j’ai été entrainé de force dans la voiture qui m’a mené en « sureté », pourtant je me serais sentis mieux si j’avais été avec eux tous, à rassurer les filles en détresse et à taper dans la main de mes potes, histoire qu’on se soutienne. Mais non, je suis toujours sous cette foutue autorité royale qui ne me fais que pourrir la vie chaque jours un peu plus. Quelques heures plus tard, après deux trois clopes que j’ai fumé en secret dans les toilettes, j’ai enfin eus des nouvelles de mes amis, tous allaient très bien, quelques-uns étaient blessés mais surtout effondrés. Je m’en veux encore.

ELIOT HOUSE.
Bercé depuis ma plus tendre enfance dans le luxe, la richesse et l'excès de l'argent, je ne connais plus la valeur de celle-ci. Toute ma vie a été et est dictée par l'autorité royale, et si seulement je pouvais y échapper. Dès ma naissance j'ai été promis à l'un des avenirs les plus prometteurs qui existent, dès ma naissance et que j'ai pu être sur pattes on m'a apprit que plus tard, dans le futur, je serais détenteur d'un devoir non négligeable. Même si la royauté a été exilé d'Italie et que maintenant c'est la place à la République, il ne faut pas oublier que l'on est de sang royal tout de même. Alors plus sérieusement, je pense que la Eliot House est plus que faites pour moi. Par obligation peut-être je dois m'y retrouver, c'est une maison qui me corresponds assez dans certains points. Alors ouais, la Eliot House, sous toute sa couture, restera la maison par excellence que je devrais intégrer. Je peux aussi bien prétendre être un mec pété de tunes, arrogant, hautain, egoïste qui pense qu'à sa gueule, c'est un peu vrai d'un côté, mais je me trahis pas et je trahis pas le fait que je suis un homme au grand coeur dans le fond. Attention, l'image à la EH c'est important.

WINTRHOP HOUSE.
J'aime la présence féminine, j'aime être bien accompagné. Mais je peux très bien être le mec qui raccompagne la fille chez elle sans coucher avec elle. Je suis pas un baiseur, je sais être courtois et gentleman. J'ai déjà eus le coeur brisé deux fois, je veux pas que quelqu'un connaisse ce que j'ai ressenti.. M'enfin, depuis ce jour je suis un serial loveur, et pas serial baiseur. J'aime draguer, j'aime dire ce que les filles veulent entendre et que ça fasse de moi un mec parfait, j'ai les bons mots pour les faire craquer, j'ai le corps pour et la belle gueule d'ange pour couronner le tout. Quoi de mieux mesdemoiselles qu'un beau mâle frôlant, non que dis-je, étant la perfection. Non je rigole.

(Invité)

Les rêves d'enfants sont toujours les plus beaux, puis brisés par la réalité.
who are you.
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chapitre premier. ► Les mains dans les poches, je m'avançais vers la baie vitrée donnant une superbe vue sur la ville de Cambridge. Dans quelques minutes, je serais de retour dans cette ville. J'avais délaissée beaucoup de choses ici car j'avais dû, d'urgence, subvenir aux besoins de mon pays. Mon père était souffrant, il était tombé dans le coma pendant 4 ou 5 mois et ça avait été la panique. Il fallait donc que son fils, l'héritier, vienne apaiser toutes les tentions dans le pays déjà en fusion. Les mains dans les poches, le regard dans le vide, je me remémorais tout ce qui m'avait poussé à revenir, tout ce que j'avais vécu pour en arriver à là maintenant.

Passons l'enfance, elle n'est que blabla pour rien si ce n'est que dès ma naissance, j'ai été plongé dans la richesse et la luxure. Je n'ai qu'à claquer des doigts et voilà qu'apparaît ce que je désire. Dès que j'ai été apte à marcher, soit à mes deux ans, on m'enseignait déjà les bonnes manières. Elios tiens-toi bien, tiens toi droit, lève la tête, sois digne. Une phrase et des ordres qui résonnent sans cesse dans ma tête, je ne dois pas être faible, je dois rester digne du juste titre que je détiens. J'ai pas demandé à être prince héritier, j'ai pas demandé à vouloir succéder à quelqu'un, bordel cette vie me tue. Toujours faire la même chose, répéter les mêmes gestes, dire les mêmes paroles aux mêmes gens sans les penser. J'ai pas cherché à mettre la cuiller d'or dans ma bouche, on me l'a foutu de force. Si je pouvais je déclarerais forfait mais j'ai des devoirs envers ceux que je dois considérer comme mon peuple. L'argent, c'est devenu une habitude chez moi, c'est une partie de moi et je peux pas m'en détacher, t'es né avec tu pars avec. Mon père, ma mère, mes grands-parents, ils sont tous derrière moi. Et depuis mes seize ans j'ai fais qu'alimenter les journaux peoples du monde entier, en mal évidement. Parce que se retrouver dans les magazines peoples c'est pas une fierté je peux vous le dire. J'suis censée être un exemple pour les Italiens, et malgré tout ça, je suis respecté, ILS me respectent. J'ai beau tout faire pour les dégouter, je reste leur prince. Ces derniers temps les scandales ont fusé : entre la découverte de l'adultère qu'avait eut mon père en donnant naissance à une demi-soeur Di Fabio qu'il avait prit soin de cacher durant toutes ses années, puis le prince héritier, moi, qui avait mit enceinte de deux jumeaux une ex strip-teaseuse, avec qui j'ai eu une très forte liaison, et enfin la crise cardiaque de mon père qui l'avait poussé dans le coma. Ces derniers événements me laissaient perplexe et je peux vous dire que ça fait réfléchir. La famille royale a beau avoir été exilé puis ré-inséré c'est la République qui gouverne pourtant. Et même après tout ça, ma famille nous apprends encore, à moi, mes cousins et mes cousines, les valeurs de la maison royale même si j'ai dépassé ce stade bien plus qu'eux.

Elle lui a appris à vivre, elle lui a appris à aimer et elle s'est envolée.
natalya.
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chapitre second. ► Ramène-toi cousin, les Russes nous attendent hein . Je me mis à rire et finissais de bien mettre mon noeud papillon, je descendais dans la salle commune et me plaçais près de mon cousin, mains croisées dans le dos. J'étais le dernier ? Tant pis. Puis mes yeux se posèrent sur la belle jeune fille aux cheveux bruns. Durant toute la réception mes yeux ne pouvaient pas se détacher d'elle, elle devait sentir mon regard sur elle si bien qu'elle me prit à part plus tard dans la soirée. Pourquoi tu me regardes comme ça ? Ca me trouble beaucoup. Je souriais. Je m'avançais un peu plus vers elle pour qu'elle se retrouve dos au mur, face à moi. Posant mes mains sur le mur pour bloquer toute sortie, je fis mon sourire charmeur qui faisait tomber toutes les filles. Tu es.. époustouflante. Un jeu de séduction s'installa entre nous, je la cherchais, je la voulais plus que tout. Rien qu'à sentir son parfum de fraise, ça me rendait fou, et puis finalement j'ai fini par l'avoir. Quand mes lèvres ont rejointes les siennes, qu'elles se sont posés, j'y ai cru. J'ai cru comme un con qu'elle serait LA bonne. Une jeune fille qui deviendrait ma femme plus tard. Elle m'a redonné envie de croire que je serais un bon mec, un bon héritier. J'ai remonté la barre, je suis devenu plus préventif et je me suis repris. J'ai commencé à prendre plus au sérieux mon titre de prince rital. Dès que j'échangeais avec elle un baiser, je devenais un peu plus fort. Ouais je commençais enfin à croire en moi, et j'avais que 17 ans pourtant. Mais, elle.. elle. Natalya Praskoviya. Elle m'a changé, c'est grâce à elle et entièrement elle que je suis devenue quelqu'un de meilleur malgré tout, et pour ça, je lui en suis reconnaissant. C'est plus les Elios Isaac Appolon Di Fabio rappelle toi qui tu es, qui tu dois être ! mais Elios Isaac Appolon Di fabio je suis fier de toi. C'est trop beau pour être vrai cousin. Je te jure j'ai l'impression de naviguer dans les nuages avec elle. Natalya est si bonne, elle a si bon coeur. Bordel je crois que je suis réellement amoureux d'elle. J'avais dis ça avec un sourire fendu jusqu'aux oreilles. L'amour rend aveugle. En réalité, Natalya n'était qu'un mensonge. Je dois dire que je me suis pris une bonne baffe en pleine gueule quand elle m'a... brisé. Oui cette fille m'a détruit et m'a enlevé toute croyance en l'amour.
Elle a lâché ma main alors que j'allais lui offrir le collier hors de prix que j'avais choisi pour elle. Je la gâtais, oh oui tellement je l'aimais ! Je l'écoutais attentivement, jugeant chaque mots, le pincement au coeur commençant à arriver. C'est quand elle a prononcé le mot terminé. Je me suis retenue de pas creuser un trou et de m'enterrer six pieds sous terre. J'ai lâché son visage d'ange qui se trouvait entre mes mains et je l'ai écouté tout en fixant le collier. C'était pas une bague mais presque. En même temps, elle avait 15 ans, j'en avais 17, on était que des gamins quand j'y repense. Elle me disait qu'elle avait recontré Ivanovitch, l'héritier Ruskoff. Décidement elle les aimes les princes héritiers. Ce qu'elle a pas comprit c'est qu'elle m'a brisé et que depuis j'ai été incapable d'aimer comme je l'aimais. J'ai brisé tellement d'autres filles par la suite, incapable de vouloir revivre ce que j'ai vécu avec elle. Je restais plongée dans mes souvenirs, je me consolais que de ça. « J'ai tout oublié quand tu m'as oublié.»

Je lutte pour ne pas me noyer dans le vide que ton absence m'a laissé.
les retrouvailles avec natalya.
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chapitre trois. ► Je n'aurais jamais cru guérir de cet amour, elle m'avait tellement marqué. Mais j'ai continué à avoir la foi. J'ai pris plus qu'au sérieux mon statut dans la famille royale, je me suis concentré dedans à cent pour cent et maintenant j'assume de mieux en mieux mon titre de prince. Après le départ de Natalya j'avais que 17 ans, c'est à mes 19 ans qu'on m'a annoncé un mariage arrangé avec une duchesse. Une jolie demoiselle de mon âge, mais qui ne dépassait pas celle que j'avais aimé. Pourtant sous certain points, elle me faisait penser à Natalya. C'est une femme qui n'était pas snob, vraiment douce et calme mais avec un fort caractère. On se prenait beaucoup la tête, après tout c'était "ma promise", nous étions fiancés. Cependant je ne l'aimais pas, elle n'était que pour moi une sorte de petite soeur. Et ce qui me faisait mal c'était qu'elle, elle m'aimait, elle était amoureuse de moi pour de vrai. Je pense à toi tous les soirs, je t'aime Elios. Elle m'embrassa avec tout son amour et je ne pouvais pas l'en empêcher. J'avais l'impression..qu'elle était moi quand j'étais avec Natalya. Et j'avais l'impression d'être Nat quand elle était avec moi, et je comprenais que c'était insoutenable de rester avec une personne qui t'aime plus que tout au monde alors que toi.. tu ne peux pas lui donner ce qu'elle désire. Parce que ma duchesse, elle était tout le temps là pour moi, elle prenait soin de moi et essayait de faire de moi une personne clean etc. Sauf que sur moi, y avait que Natalya qui arrivait à le faire. On ne peut pas continuer comme ça.. Je dois te le dire. Je.. je ne t'aime pas. Enfin si je t'aime, mais pas comme toi tu voudrais, je t'aime pas en amour mais en amitié, pour moi t'es une petite soeur que j'ai jamais pu avoir. Excuse-moi mais je ne peux plus continuer ainsi. Si je m'engage, ce sera par amour. Et je ne veux pas rester avec toi par pitié ou quoi que ce soit. Peut-être un jour je t'aimerais comme tu le voudras mais sache que ce sera moins fort que ce que j'ai pu ressentir avec Natalya. Je l'ai embrassé sur le front et je pensais ne plus jamais la revoir. Sauf qu'elle est plutôt coriace et qu'elle est restée près de moi malgré tout. On a annulé les fiançailles d'un commun accord et on est en bon terme.
Puis j'ai décidé de faire mes valises pour Harvard, quitter un peu l'Italie ça allait me faire que du bien. A peine j'ai posé le pieds dans l'université que je l'ai revu, elle. Natalya. Dès que je l'ai revu, je suis retombé amoureux comme la première fois. Sa voix, son corps, sa beauté, tout m'époustouflait chez elle. Elle me rendait fou. J'ai essayé de la reconquérir, je suis resté près d'elle quand elle en avait besoin et j'ai cru une seconde fois que ce serait possible entre elle et moi. Mais inutile de se voiler la face. Elle était devenue quelqu'un de bien meilleure, mais nous ne partagions pas les mêmes sentiments. Lors du bal 2013, je lui ai fais la plus belle des déclarations qui puissent exister. Je l'ai emmené sous un kiosque lumineux, avec une musique de fond je lui ai ouvert mon coeur, je lui ai avoué que je l'aimais encore. C'est un peu too much je sais, mais par amour, que pourrions-nous faire ? Evidement, je me suis pris un râteau monumental, et depuis je n'ai plus vraiment reparlé à la demoiselle. J'ai vraiment perdu toute foi en l'amour, le vrai, l'unique, jusqu'à ce que Feldt entre dans ma vie sans que je le veuille.

Qu'on soit fait ou pas l'un pour l'autre. Quand l'amour est là, on se donne l'un à l'autre. Et ça nous dépasse, une histoire de peau, un frisson que personne n'efface. L'amour est un don, jamais une question. Qu'importe où ça nous mènes, on s'aimera quand même.
feldt.
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chapitre quatre. ► Venons en au fait. La raison de mon retour ici c'était en partie pour Feldt. J'avais dû partir d'urgence et j'avais à peine pu lui dire au revoir. Nous étions en couple à ce moment-là et j'ai bien compris qu'avec cette distance et cette "trahison" telle qu'elle le dit, il était trop tard pour lui expliquer à quel point je tenais à elle. Pourtant il restait un espoir en moi, je voulais croire qu'elle et moi, ce n'était pas fini. Non ça pouvait pas se finir comme ça sinon ce serait vraiment trop con.
Feldt, un phénomène cette femme. J'avais réussi à la mettre enceinte après une seule nuit partagée avec elle. C'était l'une des rares fois où je m'envoyais en l'air avec des filles à cette époque, et regardez ce qui m'est arrivé : je l'ai mise enceinte de deux jumeaux. J'ai réussi à la convaincre de les garder, car j'assumais entièrement ce que j'avais fais et je ne voulais pas qu'elle ait des regrets. J'ai été là pour elle durant chaque peines, chaque épreuves difficiles à passer pour la jeune femme, j'ai été son épaule sur laquelle elle pouvait pleurer. J'ai vu tellement de larmes venant de cette jeune femme que je ne les comptais même plus. Et je ne comptais même plus le nombre de fois que mon coeur s'était serré lorsque je la voyais dans ces états. Puis il m'a fallu du temps pour réaliser que je l'aimais plus que tout. Pour rien au monde j'aurais voulu la perdre, elle était mon souffle, mon oxygène. Nous étions certes différents, mais outre tout cela, je la voulais partout avec moi. Quand j'ai failli la perdre lors de l'accouchement, mon monde s'est écroulé. Vous imaginez ? Croire perdre la femme que vous aimez et les jumeaux qui vont avec, j'aurais voulu mourir aussi s'ils n'avaient pas survécu. Je m'en suis voulu et je m'en veux encore d'avoir fait enduré tout ça à Feldt. Elle ne méritait pas et tout ce que je voulais c'était son bonheur. Alors je revenais à Harvard dans l'espoir qu'elle me reprenne et si elle me montrait vraiment que c'était terminé.. et bien je ne la forcerais pas. Ces derniers mois ont aussi été très éprouvants moi, j'ai dû faire face à la réalité qui m'attendait d'ici quelques années. Entre les politiciens, les diplomates et le gouvernement à gérer, tout cela, c'était énormément de pression et je me demandais parfois, si je me remettais avec Feldt, elle ne pourrait pas supporter autant de distance entre nous. Même pour moi ce serait difficile, entre elle et les jumeaux, ce serait dur. J'ai beaucoup appris ces dernières années et j'ai encore plus pris en maturité depuis que j'ai remplacé mon père sur le trône.

Mes majordomes se chargeaient de descendre mes bagages, j'attendais que tout le monde soit descendu pour être le dernier. Soupirant, la lumière aveuglante qui marquait le soleil tapant de Cambridge me rappela à quel point cette ville m'avait manqué. J'avais hâte de retrouver tous mes proches car je n'avais dis à personne que je revenais. C'était la fin de l'année en plus. Une main dans la poche et un sourire au coin des lèvres, je posais les pieds une seconde fois sur le sol de Cambridge. Je suis de retour. soufflais-je.