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Enorah S.Kennedy
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Tournant dans mon lit sous ma couette depuis plusieurs minutes réveillée par des maux de ventre je décidai de me lever. M’accroupissant dans mon lit je passai ma main dans mes cheveux blonds ouvrant les volets roulant avec la télécommande se trouvant sur ma table de nuit, je me levai passant la porte pour aller dans ma cuisine. Mon duplex à deux étages plutôt moderne, les murs étaient couverts de peintures beige, chocolat blanc, le sol de ma chambre était en carrelage comme le reste de l’habitation. J’avais disposé des tableaux avec des gravures qui donnaient un peu de peps et de chaleur. Mon salon était relié à la cuisine grâce à un bar américain, j’avais mis plusieurs dizaines de milliers d’euros dans la décoration. J’allai dans la cuisine me servant un verre de jus d’orange ainsi que brioche, me calant sur mon balcon regardant la ville perdre son sommeil pour laisser place à une ville éveillée. Une fois fait je filai dans ma salle de bain me dénudant pour entrer dans ma baignoire entourée de pavée de mosaïque, je fis coulée l’eau tiède, je pris la bouteille de savon et en fis couler quelques gouttes. Je me douchai puis sortie quelques minutes après, j’avais d’horrible nausée et apparemment le petit déjeuner que j’avais pris ne m’avait pas réussi. Sentant la vanille, j’ajoutai de la crème bio sur ma peau blanche puis enfila mes sous vêtement. Décidée à mettre un peu de couleur en ce jour de huit avril, j’enfilai un top blanc ainsi qu’un gilet jaune poussin virant au beige et un jean slim blanc. Oui j’aimais bien faire dans la simplicité, je saisis mon fer à lissé, le brancha la prise sur le secteur attendant qu’in chauffe. J’ouvris le produit Franck Provost plaçant le soin spécial lisseur sur mes cheveux blonds, une fois fait je commençai à me les lisser. Ma chevelure parfaitement lissée, je la laquai, qui n’aurait pas envie de plonger ces mains dedans à cause de la douceur ainsi que de la senteur ? L’éponge bleu se trouvant sur mon évier de salle de bain, j’y versai du produit nettoyant pour les surfaces, je la passai sur la baignoire ; j’aimais que tout soit propre et encore plus dans la salle de bain. Je ne savais pas comment des gens pouvaient vivre dans la saleté et dans la poussière, certains peuvent trouver cela absurde mais c’était un choix de vivre, le mien. J’enfilai mes chaussures, plaça mon smartphone dans mon sac prête à descendre pour aller au marché, j’avais prévue de faire un repas pour accueillir mon amie Enorah, elle avait perdu la mémoire à cause d’un accident, son passé m’avait vraiment touché et je me rendais bien compte que je n’étais pas la seule à avoir souffert du passé. Je descendis les marches sortant dans la petite ruelle prenant la direction du marché, j’avais prévue de faire un bon repas et en désert des chocolats, oui car les cloches ne passaient pas que pour les enfants. Me dirigeant vers le stand des œufs frais, je sélectionnai une palette qui en contenant dix, continuant de marché prenant une salade batavia que je plaçai dans un sac plastique. Je retournai vers la vendeuse lui tendant l’argent, continuant ainsi mes courses. Je m’arrêtai devant la boutique de chocolat frait prisé des habitants, je fis comme tout le monde la queue réfléchissant à ce que j’allais pouvoir acheter. Devant moi se trouvait un enfant plutôt impatient de mettre le chocolat blanc sur son palais, ces yeux étaient rivés vers l’étalage gouteux qui nous faisait tous bavés. Une fois mon tour, j’indiquai au vendeur que je souhaitais seize chocolats blanc et seize chocolats noir, le tout divisé dans deux petites boites. Plaçant mes articles dans mon sac je sortie ma carte bleu de mon sac la faisant ensuite pénétré dans le lecteur tapant mon code discrètement. Saluant le chocolatier, je m’en allai pour rentrer chez moi, je devais vite me mettre au travail pour ne pas prendre de retard sur la cuisson des aliments ; j’avais fait plusieurs achats ce matin et m’en tirant pour une dépense raisonnable. Bien que je sois enceinte d’un enfant, je ne l’avais dit à personne sauf au père qui n’était autre que mon cousin. Je trébuchai plusieurs fois avant d’arriver devant la porte ainsi que le digicode ou je tapai mon code, gravissant les escaliers. Il y avait un ascenseur mais je n’aimais les ascenseurs, j’avais toujours eux cette phobie. J’avais un duplex au deuxième et troisième étage avec une superficie supérieur à cinquante-cinq mètre carrés, j’avais deux chambres dont une utilisée en tant que dressing, une salle de bain plutôt luxueuse, un balcon, un grand salon jumelé avec la cuisine. J’avais tout pour être heureuse, mais le matériel n’était pas le plus important à mes yeux, c’était les sentiments. Je m’attelai à ma cuisine en enfilant premièrement mon tablier, je sortie les carottes, tomates du sac plastiques, je pris les cubes de lardon que j’avais acheté ainsi que la crème-fraiche –non industrielle au passage-, du fromage ainsi que quatre œufs. Je sortie deux ramequins de mon placard que je posai sur le petit bar, oui j’avais une cuisine à l’américaine ce que je trouvais plus pratique et plus esthétique à mon gout. Je beurra tout d’abord mes deux ramequins en les plaçant ensuite au micro-onde, après que le beurre ai fondu je pris du sopalin et dispersa ce dernier. Je saisis mes cubes de lardon et les plaça dans mes deux ramequins sur le bar, oui j’avais une cuisine américaine que je trouvais très fonctionnelle. Je dispersai le beurre à l’aide du sopalin, je plaçai mes cubes dans ces derniers, je sortie une assiette et y déposa mes carottes et tomates les découpant en rondelles. Je les plaçai ensuite dans les deux ramequins, j’ajoutai par-dessus ça ma crème-fraiche. Je saisis mes œufs, les cassants les uns après les autres sur une surface dure, j’en mis deux dans chacun des ramequins ; j’aimais bien cuisiner et surtout quand c’était rapide et bon. J’ouvris ma boite à épice que j’avais acheté dans une boutique artisanale, je pris une pincée de sel, de poivre et deux de piment doux. Je fis chauffer mon four à deux-cent-dix degrés, en attendant qu’il soit chaud je mis le couvert. Je mis ma jolie nappe anti-tâche couleur chocolat, j’apportai mes assiettes carrées transparentes que je plaçai l’une en face de l’autre. J’y disposai mes couverts en argent ainsi que deux verres eux aussi transparents. Le four sonna, je me pressai et y plongea mes ramequins, j’avais appris cette recette dans un livre de cuisine. Je fis une sauce composée de : d’huile d’olive, de vinaigre de vin, de ciboulette du marché, d’ail et de moutarde moyennement forte que je plaçai dans une petite tasse ; je ne sortis pas encore ma salade achetée le matin même car je n’avais pas envie qu’elle prenne un coup de chaud. Je passa mes mains sous l'eau pour enlever le sale, je me dirigea ensuite vers ma table basse assise sur le sofa je plaça mon ordinateur portable sur mes genoux. L'allumant j'avais envie d'aller sur des sites d'élevage canin, j'avais toujours rêver d'un chien, mes parents ne voulaient pas car ils étaient déjà très occupés par ma maladie. Mes doigts glissaient rapidement sur la surface totalement lisse de l'ordinateur Pomme. Je cherchais sur la toile des élevages de Jack-Russel et de Saint-Bernard, j'avais envie d’avoir le coup de coeur. Je passais le temps attendant qu'Enorah arrive.
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