Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTu es mon seul espoir, fais moi grandir, je t'en supplie.
Le Deal du moment : -25%
PC Portable Gamer 16,1” HP Victus 16 – 16 ...
Voir le deal
749.99 €


Tu es mon seul espoir, fais moi grandir, je t'en supplie.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Soliman Ҩ Esfir
« Tôt ou tard, faut savoir sauter le pas. »

Il était 8h30 du matin, ça faisait à présent jours que je n’avais pas dormi. Je voyais des couples partout, tout le monde allait faire la fête. Tout le monde couchait avec tout le monde et moi… Et moi je restais là sans savoir quoi faire. Je n’ai jamais embrassé de garçons de ma vie, donc jamais eu de petit ami et encore moins un quelconque rapport sexuel. Je vais sur mes 20 ans et je suis encore vierge. Ok, pour une fille, ce n’est pas si choquant, mais j’ai l’impression que tout le monde me met la pression. J’ai l’impression d’être une vieille fille, d’être décalée du monde. A chaque fois que je dis que je suis vierge tout le monde me regarde d’une façon choquée, comme si c’était anormal. Après j’ai le droit à des « mais tu es si belle et gentille comment ça se fait ? » J’en sais rien moi, merde ! C’est comme ça… Pourquoi on me dit que je suis belle ? Si j’étais si belle que cela, je n’aurai pas déjà eu des petites amourettes ? Or là, c’est pas le cas, donc je ne pense pas que le mot « belle » me soit approprié. Je ne m’aime pas du tout, parfois quand je me regarde dans un miroir j’ai envie de me faire vomir tellement je me déteste. Autant physiquement que psychologiquement. Pourquoi j’ai cette putain de maladie ? J’ai rien demandé à personne et voilà comment la nature me remercie. En me faisant moche, et folle. Merci bien…

J’étais sur un banc au milieu du parc, sous un arbre. Il pleuvait légèrement, et j’étais habillée légèrement. Short en jeans, converse noire et un débardeur noir où il y a marqué « This is my story » en écriture ancienne. J’avais froid, vraiment. En plus à une heure si matinale, la chaleur était encore moins présente. Je crois que ça faisait déjà 4 bonnes heures que j’attendais ici. Si je restais dans ma chambre à la fac, j’allais péter un câble et je ne voulais que personne voit cela. J’étais partie sans prévenir personne et je comptais sécher toute la journée de cours. De toute façon, personne ne le remarquera. Après tout, qui connait la petite Esfir à Harvard ? Pas grand monde. Je suis tellement discrète que même certains profs viennent à oublier mon prénom et me demander si je suis nouvelle ou pas. C’est réellement vexant, mais je ne laisse rien paraître.

Pour m’occuper, je prends mon portable et je farfouille ma boîte de réception. Il y avait des messages de Soli, Keanu, Andy, Damen… C’est dans ce genre de moment que je n’ai que des amis garçons et aucunes filles. Suis-je garçon manquée ? Pourquoi j’ai tant d’amis garçons et que aucuns n’aient tenté quoique ce soit avec moi ? Ah si… Soli. Je m’en rappelle, c’était il y a 1 an, 1 an et demi, je ne me rappelle plus trop exactement. Il faisait son petit Don Juan auprès de ma personne, mais je suis si timide que je n’osais rien faire. Pourtant c’est un beau garçon, mais je trouvais si anormal que quelqu’un s’intéresse à moi, que j’ai préféré fuir et faire comme s’il ne m’intéressait pas. Puis à présent je le connais Soli… Je sais qu’il collectionne les conquêtes et qu’il n’est pas prêt de se caser. Soli… Mon petit Soli. Sans que je ne comprenne pourquoi, mes doigts étaient déjà entrain de lui écrire un message.

« Soli, je suis au parc, tu peux venir s’il te plaît ? J’ai besoin de toi… »

Message ridicule, nul, n’ayant aucun sens. Mais j’avais besoin de quelqu’un, quelqu’un à qui parler et qui saurait me rassurer. Pourtant il y a d’autres prétendants sur la liste pour ce rôle là, mais là, j’avais Soli en tête. Je ne sais pas pourquoi lui, mais il fallait qu’il vienne, il fallait que je lui parle. Fallait que j’entende sa voix près de moi et… Et qu’on parle. Oui qu’on parle tout simplement. J’espère juste qu’il est réveillé et en pleine forme. Après tout il est 9h du matin là, il peut être soit en cours, ou encore dans son lit seul entrain de se remettre d’une soirée, ou bien encore avec une de ces conquêtes d’un soir. Le message était envoyé et je regrettais déjà ce geste. Je ne voulais pas déranger Soli et encore moins lui faire perdre son temps. Je mis mon portable à côté de moi sur le banc, je me mis à souffler et je laissais ma tête tomber entre mes mains, laissant mes coudes se mettre sur mes cuisses. J’étais abattue, fatiguée. Je ne sais pas quoi faire, quoi lui dire. Je suis juste bête. Bête et encore vierge et je risque de finir seule pour le restant de mes jours avec 25 chats comme on peut voir à la télévision.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Etais-je atteint ? Je pense que oui puisqu’il était rare voire impossible que je me lève à une heure aussi matinale sans aucune raison… Bon j’avais une raison de me lever à huit heures mais ce motif était tombé à l’eau et je me retrouvais donc habillé, douché, parfaitement réveillé et préparé pour ce qui devait être la nouba du siècle à Las Vegas. Le problème c’est que mon meilleur ami avait un imprévu et je me retrouvais donc orphelin en quelque sorte, je n’allais pas partir là-bas tout seul, plusieurs heures de routes devaient être parcourues pour qu’on puisse rejoindre Las Vegas et puis je me voyais mal le laisser sur le bord de la route, je n’étais pas comme ça du coup je préférais me priver moi aussi et me trouver un plan B, ce soir j’allais faire la fête même si je devais m’incruster à n’importe quelle soirée… Oh et puis de toute manière ma popularité au meilleur de sa forme ces dernières semaines me permettrait de me taper l’incruste sans aucuns problèmes. Remontant lentement les marches pour rejoindre ma grande chambre à la Winthrop House je sentais mon portable vibrer dans ma poche de jean. Je saisissais mon iPhone un petit sourire se dessinant quasiment instantanément sur mon visage lorsque je remarquais que j’avais reçu un SMS de Esfir, entre elle et moi tout avait commencé comme beaucoup de mes relations, un plan drague douteux de ma part –oui parce qu’à l’époque j’étais pire qu’un chien et j’avais tendance à coucher avec tout ce que l’on pouvait pénétrer ce qui, je l’admets est encore comme ça aujourd’hui mais à une fréquence de répétition bien plus faible– Bref, je déverrouillais mon portable pour pouvoir lire ce fameux message, que pouvait-elle bien faire à cette heure-là ? « Soli, je suis au parc, tu peux venir s’il te plaît ? J’ai besoin de toi… » Entre nous l’ambiguïté était en quelque sorte passée, je savais qu’il était impossible qu’un garçon comme moi puisse avoir la chance de sortir avec une fille aussi belle et intelligente qu’Esfir, la vérité c’est que même dans le cas contraire j’aurais eu une hésitation, étais-je prêt à dépuceler une fille comme ça ? N’avais-je pas peur de comprendre que j’étais prêt à être le premier parce qu’elle me plaisait ? Je n’avais pas besoin de réfléchir à tout ça et c’était ce qui me plaisait pour le moment, elle ne voulait pas de moi sauf en ami et c’était en quelque sorte un bon équilibre. « J’arrive tout de suite. » Je tapais rapidement sur mon clavier envoyant le SMS ne prenant pas le temps de retourner à ma chambre, je montais dans ma voiture conduisant à une vitesse légèrement supérieure aux panneaux de signalisation jusqu’à avoir rejoint le parc, m’aventurant tranquillement dans l’une des allées je me retrouvais bien vite devant la jolie brune. « Je ne me suis pas trop fait attendre ? » Lui demandais-je avec un petit sourire qui illuminait mon visage.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Soliman Ҩ Esfir
« Tôt ou tard, faut savoir sauter le pas. »

Les minutes me semblaient des jours. J’étais perdue dans mes pensées, seule sur ce banc. Je me sentais encore plus seule que d’habitude dans ce parc. On était que le matin, mais c’était mort. Il pleuvait légèrement, le soleil n’était pas au rendez vous, je devais avoir une tête de déterrée mais là j’étais trop faible pour essayer de m’arranger un minimum juste histoire de paraître bien. J’en avais marre de mentir. Tout le temps je souris, tout le temps je riais, tout le temps je faisais semblant, tout le temps j’étais comme les gens voulaient me voir. Là je crois qu’une partie de moi allait craquer. La partie la plus féminine de ma personnalité certainement, celle qui réclame de l’amour, de la tendresse, de la sensualité. Chose que je n’ai jamais eu auparavant. Enfin si, par des amis, mais ce n’est pas pareil que d’avoir un petit ami, quelqu’un qui nous aime, quelqu’un qui fait de notre personne une priorité dans sa vie.

En parlant du loup, Soli vient de me répondre. Je reprends mon portable en tremblant légèrement à cause du froid et lis son message. « J’arrive tout de suite. » Me répondit-il. Chance à moi il est levé. C’est vrai après tout, il est tôt le matin, j’avais une chance sur… Jenesaiscombien qu’il soit debout. Lorsque j’ai vu son message, je me mis à sourire. Oui, sourire parce que Soli allait faire le déplacement jusqu’ici pour moi et rien que pour moi. J’aimais me sentir unique et le fait qu’il fasse cela pour moi, je suppose que ça veut dire qu’il tient un minimum à moi. Mais en même temps ce sourire était aussi nerveux. Nerveux ? Oui… Je ne sais pas pourquoi je l’ai interpellé lui et pas un autre. Enfin si, au fond de moi je sais, mais est-ce-que c’était pour les bonnes raisons ? Comment allait-il réagir ? Ce n’est pas rien ce que j’allais lui demander. Et même, ce genre de chose ne se demande pas. Ca se fait naturellement à la base, et là il allait devoir se forcer. Aurais-je donc le cran franchir le pas ?

Plus les minutes, passaient, plus le temps s’aggravait, c’était ma chance. Je frissonnais de froid et je commençais à m’impatienter. Allait-il vraiment venir ou m’avait-il dit cela juste pour me faire plaisir ? J’eu tout juste le temps de me poser ces questions dans ma tête qu’une voix familière vint raisonner aux creux de mes oreilles. « Je ne me suis pas trop fait attendre ? » Me dit-il. Je levais ma tête automatiquement vers lui et je lui fis un large sourire assez maladroit. Je devais lui sembler un peu crisper mais j’essayais de cacher ce stresse, angoisse en me levant et en allant le serrer dans mes bras pour le saluer. Je m’approchais de lui et l’entourais de mes bras en posant ma tête contre son torse. J’étais un peu trempe à cause de la pluie mais je n’y pensais pas réellement sur le moment. « Merci. » Réussissais-je à prononcer comme un murmure. A présent le grand moment était arrivé mais la question était : que lui dire ? Comment lui dire ? Il faut pas commencer ici, il faut aller ailleurs. « Ca te dérangerait qu’on aille chez toi ? J’ai assez froid. » Je me défais de lui, en haussant les épaules. Je regardais par-dessus son épaule pour apercevoir sa voiture garée au loin sur le parking. « Sauf si tu préfères rester sous la pluie sur ce banc avec moi dans ce parc morbide vu qu’il n’y a quasiment personne. » J’essayais de détendre l’atmosphère comme je le pouvais, mais en réalité je me stressais davantage.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Esfir était vraiment chanceuse en ce début de matinée, oui parce que même si j’étais réveillé il aurait été fort probable que je passe mon tour, que je me fasse porté pâle juste pour rester allongé dans mon lit bien chaud quitte à ne rien faire pendant deux heures jusqu’à ce que je juge qu’il était suffisamment tard pour me lever définitivement. Aujourd’hui je ne pouvais tout simplement pas penser comme ça, la petite brune était tout de même importante à mes yeux, pas autant que Roxanna ou Kol mais elle me faisait son petit effet, elle était sympathique, marrante et légèrement paumée ce qui me donnait envie de la protéger. Elle représentait tout ce que je n’étais pas, l’innocence, la naïveté et même si chacun des traits que je citais pouvait paraitre négatif pour moi ça ne l’était pas. Dès qu’elle m’avait demandé de la rejoindre pour quelque chose qui semblait vraiment être important j’avais tourné les talons histoire de débarquer le plus tôt possible à ses côtés, le fait qu’elle me prévienne qu’elle avait un truc vraiment urgent à me dire me faisait légèrement peur, oui parce qu’il m’en fallait peu pour réfléchir et trop de réflexion tuait la réflexion. Je débarquais en voiture affrontant la pluie qui s’abattait sur ma chevelure humide à présent, en quelques secondes ou peut-être une minute je me retrouvais la petite brune sur le banc contre lequel elle était installée. Je lui demandais si elle ne m’avait pas trop attendu et j’avais le droit en guise de réponse à un câlin qui mine de rien faisait un bien fou, je venais l’entourer de mes bras musclés lui déposant un petit bisou sur la joue. « Ca te dérangerait qu’on aille chez toi ? J’ai assez froid. » Je la regardais avec un petit sourire amusé, elle aurait dû venir chez moi directement mais soit, aller chez moi ne me dérangeait pas du tout. « Sauf si tu préfères rester sous la pluie sur ce banc avec moi dans ce parc morbide vu qu’il n’y a quasiment personne. » Je ne pouvais m’empêcher de sourire à sa remarque regardant autour de moi pour constater que personne n’était dans les environs. « Allons-y… » Je me séparais rapidement de ses bras pour enlever ma veste que je lui déposais sur les épaules tout en reprenant la direction de ma voiture. En quelques minutes nous nous retrouvions tous les deux dans le couloir de la maison Winthrop, j’entrais dans ma chambre après Esfir. « Tu veux quelque chose à boire ? » J’attendais à présent qu’elle me parle, elle avait quelque chose à me dire je pouvais sentir qu’elle était stressée.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Soliman Ҩ Esfir
« Tôt ou tard, faut savoir sauter le pas. »

J’étais contente d’être dans ces bras mais à la fois très stressée. Après tout, ce que j’allais lui demander ce n’était pas quelque chose de facile à dire. Enfin si techniquement c’est facile à dire, on a juste à ouvrir sa bouche et à dire ce qu’il fallait. Mais là, niveau psychologique c’était dur. Demander à quelqu’un de nous enlever notre virginité… Après tout ça ne se fait pas comme ça, là ce n’était même pas fait naturellement. Je ne dis pas, que j’allais le forcer, s’il ne voudrait pas, j’accepterai son choix même si je me prenais un refus, j’allais le vivre très mal. Je crois même que le mot « mal » n’était pas assez fort pour décrire dans quel état je serais. Je crois que je serais bien anéantie, pas anéantie car il aurait refusé, mais anéantie parce que j’aurai osé lui demander cela en plus de m’être pris un vent. Soli je l’adore, je ne le connais pas énormément, mais en quelque sorte, il a son importance pour ma personne… Sinon, je ne me permettrais pas de lui demander cela.

Lorsqu’il déposa un bref baiser sur ma joue, ça me fit sourire. Je crois que les seules fois où il allait oser me frôler ou toucher pour X raisons aujourd’hui, ça allait me mettre dans tous mes états. Certes d’habitude je ne suis pas tactile, mais les rares fois qu’on osait me toucher, je ne me mettais pas dans tous mes états, mais aujourd’hui n’était pas un jour comme les autres. J’allais peut être le graver d’une pierre blanche sur un calendrier. J’essayais toutefois de me contrôler ne voulant pas paraître plus stressée que je l’étais. « Allons-y… » Me dit-il après ma demande. Pourquoi cette phrase me semblait bizarre soudainement ? Je ne sais pas… Je serais une conquête parmi tant d’autres après cela pour lui. Peut être qu’il ne comprendrait pas pourquoi je lui demanderais cela. Après tout, il a déjà essayé de me draguer si je puis dire, et il s’est prit plein de vents de ma part, et là un an après, c’est moi, Esfir Glazkov qui vient lui réclamer cela. Où va le monde ? Je vous le demande… J’eu à peine le temps de faire 3 pas, qu’il me mit sa veste sur mes épaules, je n’eu pas le temps de trop réagir, à peine lui faire un bref sourire avant de me diriger vers sa voiture. S’il savait depuis combien de temps j’étais dans ce parc, il me dirait d’aller me coucher immédiatement, donc je préférais me taire en espérant que ma mine fatiguée ne se voit pas trop sur mon visage.

Les minutes passèrent et on arrivait enfin dans sa chambre. Mon cœur battait à 100 à l’heure. Les gens qui nous ont vu passé, devaient se dire que j’étais une fille de plus dans son répertoire. Cette idée me dégoûtait, car je détestais les tombeurs de ces dames, et être considéré comme un trophée de chasse, ce n’était pas vraiment mon délire. Mais là, pour ma 1ère fois, je voulais quelqu’un de proche et qui sache s’y prendre, mais en même temps quelqu’un de distant. Je ne me verrais pas, aller demander ça à Damen, ou à Keanu ou encore à X personnes. Soli était le mec parfait pour ça, mais je ne savais pas comment il pourrait réagir face à cela. Je m’installai au bout de son lit en gardant sa veste sur mes épaules. Juste le temps que mon corps se réchauffe et s’habitude à la température de sa chambre. « Tu veux quelque chose à boire ? » A boire ? Non, j’étais trop stressée pour boire ou manger un truc là, de suite. Sinon je serais capable de tout déglutir et je ne voulais en aucun cas lui pourrir sa chambre ou passer pour la malade de service. " Je…" Je m’arrêtais quelques secondes et le regardais fixement dans les yeux en me forçant à sourire légèrement pour essayer de lui montrer que j’allais bien et que je n’étais pas stressée, même si là, il devait sentir que le stresse régnait dans sa chambre. « Un verre d’eau me suffira… » Dis-je d’une voix basse en me mordant ma lèvre inférieure, me sentant toute gênée alors que rien avait commencé.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Me retrouver dans les bras d’Esfir était quelque chose de très agréable, j’appréciais énormément son parfum et dès que je pouvais le respirer même si ce n’était qu’une question de secondes et bah je saisissais l’occasion. Non ne me prenez pas pour un pervers juste parce que j’appréciais une odeur. Bref, je me rappelais tout à coup des quelques jours pendant lesquels j’avais eu envie d’être plus qu’un ami, qu’un confident aux yeux d’Esfir, appelons un chat un chat elle avait été ma proie pendant quelques temps, je nourrissais une envie et une satisfaction naissante à finir dans un lit ou ailleurs à partir du moment où je lui enlevais sa petite culotte. Cette envie de juste l’ajouter à mon tableau de chasse qui n’était pas si important que ça en y repensant bien était très vite passée, j’avais découvert une personne qui ne me laissait pas insensible et je voulais surtout la protéger de tous les abrutis qu’il y avait dans le coin. Je commençais à me poser des questions sur la nature de ma venue ici, elle semblait être stressée il me suffisait de plonger mes yeux droit dans les siens pour qu’elle détourne le regard comme si elle avait peur que je comprenne quelque chose. Elle me proposait de partir chez moi parce qu’il pleuvait ce que je n’allais bien sûr pas refuser n’étant pas un monstre et puis, peut-être qu’avec un peu de chance elle allait être plus à l’aise pour mettre des mots sur ses pensées. Une fois dans ma chambre je sentais qu’Esfir n’était pas plus rassurée du coup je craignais ce qu’elle allait me dire, voulait-t-elle m’annoncer quelque chose qui aurait une incidence dramatique sur moi ? Quelque chose de marrant ? Un cas de conscience ? Je n’en savais rien et en attendant qu’elle se décide à me dire ce qu’elle avait sur le cœur je lui proposais de boire quelque chose. « Un verre d’eau me suffira… » Je me baissais pour prendre une bouteille d’eau dans le frigo, autant boire une eau de qualité. Lui tendant la bouteille je me décidais à mettre les pieds dans le plat. « Esfir… Et si tu me disais ce qui te tracasse, je vois bien que tu tournes autour du pot depuis tout à l’heure. » Je ne l’agressais pas en lui demandant d’être franche avec moi, non j’étais plutôt sympathique en vérité dans ma manière de parler.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Soliman Ҩ Esfir
« Tôt ou tard, faut savoir sauter le pas. »

« Esfir… Et si tu me disais ce qui te tracasse, je vois bien que tu tournes autour du pot depuis tout à l’heure. » Et mince, il avait remarqué. Je ne savais plus où me mettre. Pourtant j’avais essayé de cacher ma gêne, à croire que j’étais très mauvaise comédienne. En même temps, ça ne m’étonne pas, lorsque j’étais au lycée et qu’il y avait des pièces de théâtre à jouer, j’avais toujours des rôles merdiques, secondaires, où on me voyait à peine. Rien que là ça devait être un signe, pourtant avec Soli, j’avais essayé de sourire et de ne pas montrer ma gêne. Je lui ai même demandé un verre d’eau alors que je n’en voulais pas, vu que je risquais de tout vomir après tellement je stressais. Ca n’allait pas être très classe.

J’étais encore sur son lit, assise, un peu trempe, sa veste sur mes épaules encore, j’en frissonnais d’avance rien que de savoir ce que je voulais lui demander. D’un réflexe, j’enfilai carrément sa veste, croisait mes bras sur ma poitrine et les frottait avec mes mains pour me réchauffer. « Il fait froid ici… » Dis-je d’une voix assez tremblante. Moi et mon don d’éviter les questions qui me gênent. Mais le truc dans tout ça, c’est que tôt ou tard il allait falloir que je me lance, mais comment on fait pour ce genre de chose ? Je ne sais pas moi. Je n’ai jamais embrassé d’homme de ma vie et je ne sais pas comment on doit s’y prendre pour aguicher un homme. Je n’ai jamais dragué, alors mon niveau de séduction est bien bas. Puis j’en suis sûre que si je tente un truc il va… En fait non je ne sais pas s’il va me repousser un non. Après tout c’est Soli… Il a eu je ne sais combien de filles dans son lit et je ne sais pas quelles sont ces valeurs morales exactes. Soit il va me repousser en me disant que je suis la petite Esfir qu’on doit protéger et qu’il ne peut me faire ça, ou soit il se laissera faire et m’aidera. Je n’en sais rien, je suis perdue mais en même temps, j’ai peur de testé, j’ai peur de sa réaction. S’il me met un vent, je serais offensée, détruite, je me dégoûterais d’avoir eu cette idée là et je n’oserais plus le regarder en face après cela. J’étais tellement dans mes pensées, que je baissais ma tête et regardais mes pieds fixement sans même cligner des yeux. J’étais dans mon monde à présent, pourtant je sentais les larmes me montaient aux yeux. J’étais décidément trop débile. Des filles qui se disent vierges ici sont pourtant très provocatrices envers mes amis, je pense surtout Teo avec Keanu, moi je n’ose pas être ainsi. Pourtant je ne me dis pas du tout coincée ou… Mais je ne sais pas, dés qu’il s’agit des garçons, d’embrasser ou encore du sexe, je fais un total blocage. Je n’ai jamais connu ça et là je vais sur mes 20 ans… Je crois que plus on s’y prend tard, plus la chose en devient effrayante.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)