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jessie ▬ quelles malheureuses retrouvailles

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Jessie & William


Quelles malheureuses retrouvailles


Vendredi après-midi, les cours sont terminés & William n’avait pas très envie de rester à la Lowell House par un si beau temps. Non, il décida de partir en ville, flâner un moment avant de rentrer au bercail. Il passa devant plusieurs boutiques, croisa des Harvardiens. La rue commerçante était bondée, après plusieurs minutes à piétiner, le jeune homme décida de s’arrêter dans un café pour se poser & respirer. Peut-être était-ce le fruit du hasard ou bien le diable en personne qui lui tendait une perche, mais alors qu’il passait devant la Luna Caffe, il vit un visage familier. Enfin, familier est un bieeeen grand mot, il s’agissait plutôt d’un visage qu’il avait déjà aperçu & pour lequel il n’éprouvait aucune affection. Jessie. Un petit sourire malsain se dessina sur ses lèvres tandis qu’il rebroussait chemin, entrant dans l’établissement. Il s’éclaircit la voix, marchant vers le fond de la boutique. Il sourit, comme s’il retrouvait une amie. « Mademoiselle Olsson, ça alors, vous ici ! Quelle coïncidence ! » Si William jouait la comédie, c’est parce qu’il avait remarqué le –très- jeune homme assis en face d’elle. Une nouvelle proie ? Il lui sourit, il n’allait pas oublier leur rencontre de si tôt. Lui serrant la main, il entonna, l’air enchanté ; « Siley Arnold, médecin de mademoiselle Olsson. Vous devez être son petit-frère, non ? Elle m’a beaucoup parlé de vous ! » Secouant exagérément la main du pauvre garçon comme un prunier, William n’y alla pas de main morte & poursuivit ; « Je suis ravi que vous ayez pu venir voir votre sœur, à ce que j’ai compris, vous ne vous voyez pas souvent. » Il lâcha la main du jeune homme pour se tourner vers Jessie, l’interrogeant ; « La crème hémorroïdaire que je vous ai conseillée a-t-elle fait effet ? » Il se tourna de nouveau vers la proie de la Olsson, lui murmurant –enfin, suffisamment fort pour que Jessie entende- ; « Je suis désolé pour votre sœur, c’est un cas très intéressant, remarquez. Mais après un certain âge, les femmes sont plus sujettes aux… Enfin, vous voyez. » En  voyant le visage du type devenir laiteux, William sut qu’il avait marqué des points. Il se leva fébrilement avant de prendre les jambes à son cou, quittant le café. William ne cessa de sourire que lorsqu’il eu disparu de son champ de vision. Là, il s’assied en face de Jessie, soupirant avec satisfaction ; « C’était plutôt sympathique. Mais dit-moi, tu les choisis de plus en plus jeune, tu vas finir par les prendre au berceau. » Il jeta un coup d’œil dédaigneux au gobelet près de lui, le jeune homme avait commandé un cappuccino. « Et en plus, il a mauvais goût. » Il haussa naturellement les épaules, repoussant du bout de l’index le gobelet tiède.
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William & Jessie

J'étais enfin en Week-end et ce soir j'avais l'appartement de ma soeur pour moi toute seule, je comptais bien en profiter pour ramener un homme avec moi. J'ai faim, j'ai besoin de chair fraîche. C'est d'ailleurs à la sortie de l'université qu'un étudiant de première année me proposa un café, chose que je n'ai aucunement refusée, d'autant plus qu'il n'était pas mal du tout. Une fois sur les lieux, il me commanda mon café et me racontait sa vie, ennuyant à mourir, heureusement qu'il était plutôt canon. Mais mon regard changea du tout au tout lorsqu'un type que j'ai déjà croisé à Harvard s'approcha de nous. Ce n'est pas la première fois que ce type s'amuse à me déranger. À Harvard il m'a souvent charrié sur mon nouveau job, comme si nos chemins se sont déjà croisés, bien que je n'ai absolument aucun souvenir de ce mec. Je chauffais de l'intérieur en l'écoutant raconter n'importe quoi à mon sujet, il se faisait passer pour un médecin, pathétique. Qu'est-ce que tu fous là toi ? Sérieusement arrête tout de suite, sinon tu risques de t'en mordre les doigts. Disais-je en serrant des dents. Finalement le temps que cet énergumène termine son petit jeu ridicule, je terminais de boire mon café et autant dire qu'il ressortit rapidement par où il est entré lorsqu'il fit référence à une fausse crème contre les hémorroïdes qu'il m'aurait conseillés. Mais non à quoi est-ce qu'il joue ? Je me levais en voyant le jeune homme partir, presque écœuré des propos de William. J'essayais de rattraper ma proie, mais impossible de me souvenir de son prénom. Attend Jimmy .. Euh Nicholas .. Merde comment il s'appelle déjà .. Rahh. Grognais-je avant de me retourner vers William et lui donner une bonne gifle. D'autant plus qu'il osait se moquer de moi. Je soupirais avant de retourner m'asseoir à ma place, si son plan c'était de pourrir mon coup de ce soir, bravo il a réussi haut la main. Non mais je peux savoir quelle mouche t'a piquée pour délirer comme ça ? Qu'est-ce que j'ai bien pu te faire ? Lui demandais-je en le regardant dans les yeux. Je n'arrive pas à comprendre son obstination contre moi. Autant son visage me dit quelque chose, autant je suis incapable de me souvenir où j'ai bien pu le voir. Je commandais un nouveau café, je n'allais tout de même pas re-boire dans l'autre alors que j'ai recrachée la bouche à l'intérieur à cause de ses mensonges de tout à l'heure.
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Jessie & William


Quelles malheureuses retrouvailles


C’était difficile de déterminer ce qui était le plus drôle à cet instant ; voir Jessie bouillonner intérieurement, s’emmêler les pinceaux pour tenter, vainement, de rattraper son Jules ou bien était-ce le fait de jouer les faux docteurs & d’être la source de cette rage, de cette perte de moyen ? Si parfois dans la vie il est cruciale de faire un choix, il existe des moments ou « les deux » conviennent tout à fait, c’était le cas aujourd’hui. Tranquillement installé sur le vieux canapé, William contemplait la scène qui se déroulait, une Jessie furibonde qui lui criait dessus. Ce qui s’en suit par contre dépassait les mots, elle venait de le gifler. C’était la première fois depuis des années qu’on le frappait, la dernière fois, c’était Sarah. Il chassa cette pensée de son esprit difficilement, le lien entre les deux était difficilement inéluctable. Le Kane effleura sa joue du bout des doigts, tournant son visage vers la brune. Il la fixa un moment avant de rire, cette gifle, il s’en fichait comme d’une guigne. Pourquoi ? Parce que malgré ça, malgré ce qu’il venait de faire, d’humilier publiquement la Olsson, de faire fuir son rencard, elle ne faisait toujours pas le lien. Non, pour elle, il n’était qu’un étudiant de trente-trois balais d’un niveau de casse-couillisme dépassant l’imagination humaine et point. Il n’était pas William Kane, petit frère de Mike Kane, PDG d’un empire britannique. Non, il était juste le casse-noix de service. Il ne savait pas s’il devait avoir pitié d’elle ou s’il devait admirer son ignorance, comment une mémoire si restreinte pouvait-elle subsister ? Ou alors, c’était sa mémoire sélective qui était défaillante, elle avait oublié cette soirée à plusieurs millions de dollars au profit d’un slogan débile venant d’une pub pour un dentifrice. William ôta sa main de sa joue, un léger sourire dessiné sur ses lèvres. « Je ne sais pas, on ne se connait pas après tout. » Il ne mentait pas, il ne connaissait rien de Jessie & inversement. Enfin si, il savait qu’elle était manipulatrice, séductrice, qu’elle n’en voulait qu’à l’argent des hommes. Mais ça, ça ne rentre pas dans la définition que le Kane avait de connaître, lorsqu’il parle des êtres humains. Il poursuivit ; « Tu sais ce qu’on dit sur les poissons rouges ? Qu’ils ont une mémoire de trois secondes. » Oui, il l’aiguillait. Et Oui, il savait que cette idée était une idée reçue, mais passons, là n’est pas l’essentiel. Faisant glisser son index sur le bord du gobelet de cappuccino, il le renversa accidentellement lorsqu’un serveur passa un peu trop près de leur table. Faussement navré il chuchota à la brune ; « Oops... » Auprès d’elle, il se surpassait en méchanceté chaque seconde. J’ai dit qu’il l’avait fait tomber accidentellement ? J’ai peut-être menti. Voilà maintenant que la boisson froide se déversait sur les cuisses de la Olsson, pour le plus grand plaisir du Kane.
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William & Jessie

J'ai tous les défauts du monde, je suis menteuse, hypocrite, profiteuse, chieuse, feignante, une croqueuse de diamants, mais en aucun cas je ne suis violente en règle générale. Sauf que ce type, ce William me met de plus en plus à bout. Entendre ses moqueries à longueur de journée dans les couloirs et maintenant le voir mettre mon plan cul en l'air, ça me tue de l'intérieur et la gifle est partie toute seule. Est-ce que je m'en voulais ? Absolument pas. D'autant plus qu'il s'amusa à insinuer des choses de plus en plus étranges, c'est quoi le message qu'il veut me faire passer ? Nous serions nous connus avant mon arrivée à Harvard ? Aucune idée, sa tête me dit brièvement quelque chose, mais je ne saurais dire où et quand. Dans tous les cas je soupirais totalement blasée lorsqu'il me fit son petit speech sur les poissons rouges et leurs mémoires. Et tu m'expliques ce que ça peut me faire ? Si tu es tant passionné par les poissons rouges, va regarder un documentaire sur internet à la place d'emmerder ton monde. Lui lançais-je totalement agacé par ce jeune homme, enfin jeune homme est un euphémisme étant donné qu'il est plus âgé que moi. Mais passons, je tenais fermement mon café dans les mains jusqu'à ce que cet énergumène fasse tomber son café sur mes genoux. Il veut ma mort ? Que je pète un câble et que je fasse un scandale devant tout le monde ? Si ça c'est le but de sa vie, il a gagné. Je me levais d'un seul coup, me cognant le genou par la même occasion contre la table ce qui me procura une petite douleur qui me fit grimacer alors que j'hurlais de nouveau sur William. Putain mais t'es con ou tu le fais exprès ? J'ai beau réfléchir, me demander ce que j'ai bien pu lui faire pour subir un tel acharnement, je n'arrivais pas à m'en souvenir. Finalement je me penchais vers lui, murmurant un creux de son oreille avec colère et rage, serrant presque les dents pour éviter de le gifler une nouvelle fois. Enfaîte le problème, c'est que t'as irrésistiblement envie de moi, mais tu ne sais pas comment faire pour attirer mon attention alors tu me fais chier, mais pour ta gouverne, j'aime les hommes, les vrais. Pas les puceaux de 30 piges. Alors arrête de me prendre la tête et fous moi la paix. Sans plus attendre je quittais notre table pour me diriger vers les toilettes pour femme, néanmoins j'eus le temps de jeter une dernière injure au lowell. Connard !! J'entrais donc dans les toilettes, j'attrapais du papier toilette avant de l'humidifier pour essuyer mes jambes mais aussi pour tenter de laver l'horrible tâche laissée par le cappuccino sur ma mini-jupe, mais quel enfoiré ce type.
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Jessie & William


Quelles malheureuses retrouvailles


Qu’est-ce qui était le plus décevant ? Le manque de jugeote de Jessie ou le fait que les poissons rouges aient une mémoire si limitée ? Sans hésitation, la première option. Chaque fois que les deux se retrouvaient –c’était rare & explosif, mais passons, William essayait de rappeler à Jessie la soirée où ils s’étaient rencontrés en l’aiguillant avec des paroles bien placées. Il aurait surement été plus rapide qu’il lui dise directement qui il était, où ils s’étaient vus, mais il ne le ferait pas. Pourquoi ? Parce que s’il le faisait, il ne pourrait plus faire ce qu’il faisait présentement ; l’emmerder. Et toute la haine qu’il éprouvait pour elle, grandissante au fur & à mesure des jours qui passaient sans qu’elle ne le reconnaisse, il fallait qu’il la déverse, il ne pouvait la contenir en lui. Non, pas pour une personne telle que Jessie. La boisson maintenant froide qui gouttait de la table sur le sol attira l’attention du serveur qui les avait frôlés quelques instants plus tôt, il regarda les deux jeunes d’un air surpris, les yeux passant de la Olsson au Kane. Sans doute pensait-il être responsable de ces dégâts. Furibonde, la jeune femme se leva, balançant sèchement à William ses quatre vérités. Cela n’eut aucun effet sur lui, du moins surement pas celui escompté par la Olsson puisque dès lors qu’elle eut tournée les talons, William rit. Pas longtemps, seulement trois secondes. Lui, attiré par cette vipère manipulatrice ? Surement pas. Le pauvre serveur, quant à lui, dépassé par les évènements suivit Jessie du regard lorsqu’elle s’éloigna vers les toilettes pour nettoyer le tissus qui était sensé être une mini-jupe, vraiment mini. Enfin c’est la crise, que voulez-vous. Il se tourna fébrilement vers William qui l’informa ; « Elle est un peu tendue en ce moment, c’est l’âge, vous voyez. Les hormones, tout ça. » Timidement, l’homme hocha la tête & s’éloigna vers un petit local, surement pour nettoyer les dégâts. William en profita pour filer vers les toilettes, il n’allait pas s’attarder ici, comme d’habitude. Il entendait Jessie ronchonner derrière la porte, elle devait peiner à nettoyer le cappuccino sur sa jupe. Victoire. William lança, appuyé contre le mur ; « Dis-toi que tu n’attires pas ceux de moins de soixante ans, Jessie. » Elle pouvait bien lui lancer toutes les remarques qu’elle voulait sur sa sexualité inexistante, il s’en fichait, elle perdait son temps en attaques inutiles. William devait être l’un des seuls Harvardien vierge mais qui s’en fichait puisqu’il ne s’intéressait pas à ça. Il ne croyait ni aux histoires d’un soir, ni à l’amour au premier regard, ni à rien de tout ça. Peut-être aurait il pu devenir moine s’il ne pensait pas que ça aussi, c’était des foutaises.
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William & Jessie

Ça m'énervait car généralement celle qui tape sur les nerfs des autres, c'est moi et non le contraire. Ça m'agaçait de plus en plus, finalement je quittais les lieux pour me réfugier dans les toilettes pour tenter de sauver cette robe que j'affectionnais particulièrement, mais impossible, la tache l'avait tellement abîmé que je ne pourrais plus jamais la récupérer. Et mon agacement s'accentua en entendant la voix de William derrière moi en train de me faire une nouvelle réflexion. Qu'est-ce que t'en sais d'abord ? Crois-moi ma vie sexuelle est de loin plus mouvementé que la tienne et par ta gouverne je ne couche avec pas les vieux, je préfère les petits jeunes pleins de vies et en pleine forme physique. Disais-je en râlant toujours à cause de ma robe certainement détruite à cause du café tombé dessus. Bon concernant mes propos j'évitais tout de même de parler de mon ex-mari qui était bien plus âgé que moi, mais il ne connaissait pas cette période de ma vie, alors autant ne pas en faire référence. Finalement j'arrêtais de frotter voyant que cela ne servait finalement à rien. Je me tournais vers William, totalement agacé par son geste ridicule à mon égard qui me coûte une robe hors de prix, heureusement c'est une robe que mon ex-mari m'avait payé, mais autant m'en prendre une nouvelle aux frais de William. Putain mais tu sais combien m'a coûté cette robe ? Je te jure que si je n'arrive pas à la récupérer c'est toi qui va me la repayer. Je m'approchais de lui avant de croiser mes bras sur ma poitrine en dévisageant le lowell qui me tapait de plus en plus sur les nerfs. Tu comptes m'expliquer ton arrachement à mon égard ou toujours pas ? Je ne lâchais pas mon regard du sien, n'arrivant toujours pas à savoir où est-ce que j'ai bien pu le croiser et surtout qu'est-ce que j'ai pu faire pour le mettre tant en rogne.
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Jessie & William


Quelles malheureuses retrouvailles


Certaines personnes carburent aux vitamines pour affronter une longue journée, une fiancée pénible ou leurs démons. Pour William, rien n’était meilleur qu’une dose de méchanceté soigneusement mesurée et surtout, pas appliquée à n’importe qui. Oui je sais, William est sensé changer, ne plus agir comme ça, blablabla. Mais avec Jessie c’était différent, il fallait qu’il agisse comme ça, comme si cela pouvait lui servir d’électrochoc. On se réveille, madame Olssen. Jusqu’à présent, ça n’était pas vraiment glorieux, même pas du tout. Voilà maintenant que, pensant surement chambrer le Kane, elle vantait sa vie sexuelle au dépend de la sienne. Il leva les yeux au ciel, se disant qu’il était en train de perdre son temps. Il lui siffla ; « Quand tu auras finit de te répéter, fais-moi signe, ça devient lassant. Si j’ai envie d’entendre toujours les mêmes phrases, j’ai un vieux tourne-disque chez mes parents. » Il fallait que Jessie passe la seconde, elle roulait en première depuis bien trop longtemps & elle finirait par caler. Maintenant, elle chouinait au sujet de sa robe complètement fichue. On ne voyait presque rien, elle avait réussi à presque totalement éliminer la tâche. Bon, excepter une énorme auréole marron. William sourit intérieurement, ravi de son petit tour. Elle le menaça de lui faire payer la robe si ladite tâche ne partait pas. Et puis quoi encore, elle pouvait toujours rêver, et ça, il le lui fit bien remarquer ; « Moi, te racheter une robe ? Mais bien sûr. » Le gentleman anglais n’existait plus en la présence de Jessie, elle pouvait courir pour qu’il lui offre ne serait-ce qu’un café. Alors que le jeune homme se dirigeait vers la sortie, la brune lui demanda ce qu’elle avait bien pu faire pour s’attirer les foudres du Kane. William la fixa quelques secondes sans ciller, il ne dirait rien. Il secoua négativement la tête, répondant ; « Pas question. » Ca avait le mérite d’être clair, au moins.
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William & Jessie

En temps normal j'ai une patience à toutes épreuves, je ne craque que très peu, mais William avait ce don pour me faire sortir de mes gonds, je n'arrivais pas à comprendre le pourquoi du comment, et pour dire la vérité, pour l'heure je m'en fichais. D'autant plus qu'il osa me faire comprendre qu'il perdait son temps avec moi, cependant je ne lui ai jamais demandé de rester à mes côtés. Et bah cassez-toi dans ce cas ! C'est toi qui me suis, alors si je te fais autant chier, dégage de ma vue une bonne fois pour toutes. Râlais-je totalement agacée par son comportement. Il ne cessait de vouloir jouer au plus malin avec moi, mais à côté de ça il répétait sans cesse le mal qu'il pensait de moi. Alors pourquoi rester avec moi ? Pourquoi s'acharner autant à me taper sur les nerfs alors qu'il n'a qu'à me laisser tranquille une bonne fois pour toutes ? Non ce mec je dois le connaître, je l'ai certainement rencontré auparavant, mais je suis incapable de m'en souvenir pour le moment. Je n'arrivais pas à laver cette horrible tache de ma robe, robe que William refusa de me payer, il est sérieux ? J'ouvrais grand les yeux, énervée comme jamais à cause de lui. Tu sais que je suis capable de te pourrir la vie jusqu'à ce que tu me rachètes une robe Oh oui j'en suis capable, je suis capable de faire de sa vie un enfer, de le pourrir jusqu'à ce qu'il m'achète une nouvelle robe, mais avant cela, avant qu'il m'offre un nouveau vêtement, je voulais savoir d'où est-ce que nous nous connaissions, ce que j'ai bien pu faire à ce type pour qu'il me déteste autant. Mais tout en partant des toilettes, il se retourna pour me faire comprendre qu'il ne comptait en aucun cas me dire le pourquoi du comment, chose qui m'agaça d'autant plus. Je soupirais, sans même le lâcher du regard, le foudroyant comme pas possible. Ça date d'avant Harvard ? Lui demandais-je méchamment, si ça se trouve, il connaît mon ex-mari, supposition qui me fit grimacer.
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Jessie & William


Quelles malheureuses retrouvailles


On l’avait déjà insulté pas mal de fois William, il en avait entendu des belles, du « connard » au « petit con » en passant par l’incontournable « erreur de la nature ». Cependant, c’est surement l’une de ses vieilles connaissance, avec laquelle il n’est plus en contact, qui détient la palme de la meilleure description péjorative, sans vulgarité bas de gamme comme décrit plus haut, s’il vous plait. En effet, elle ne l’avait insulté qu’une seule et unique fois, mais avec une telle force, une telle énergie que cela avait laissé en William une trace indélébile, une cicatrice que lui seul connaissait, invisible de tous. Selon cette jeune femme, le Kane était un « sociopathe, c’est ce que tu es. Une personne qui s'amuse à détruire les autres uniquement pour satisfaire ses besoins personnels. C'est ton carburant, ta drogue. Tu sais comment tu en es arrivé là ? Au départ, ce n’était pas de ta faute. Ton éducation a voulue que tu te surpasses sans cesse, grandissant plus vite qu’un enfant ordinaire n’aurait du le faire. T’as loupé des étapes et c’est maintenant, à vingt-neuf ans, que tu te conduis comme un gamin. Mais ton éducation n’est pas responsable à cent pour cent de ce que tu es. Tu es intelligent, et je ne te dis pas ça pour te complimenter, mais pour que tu réalises la stupidité de la chose. Tu devrais te rendre compte que quelque chose cloche chez toi. Tu n’es pas humain. » Ces mots étaient gravés à vie en lui, il parvenait même à entendre la voix brisée de Sarah lorsqu’elle lui a balancé tout ça avant qu’elle ne quitte leur appartement. La voix tendue de Jessie le fit sortir de ses pensées. C’est fou, il en oubliait presque, en divagant, qu’il était en train de parler avec elle. Il la corrigea ; « Je n’ai pas dit que je voulais partir, tu devrais être plus attentive. » Il haussa les sourcils, pour lui ses paroles coulaient de source & le fait qu’elles soient tranchantes étaient un bonus. Bref, leur conversation tournait en rond & le jeune homme commençait à se lasser. Dès l'entente de ses menaces, il s’arrêta brusquement, se retourna & se rapprocha d’un pas vers Jessie, comblant l’espace qui les séparaient pour souligner, la fixant dans les yeux ; « Je n’ai pas peur de toi, Jessie Olsson. Et tu sais que je suis capable moi aussi de te pourrir la vie, comme tu dis si bien. Si tu étais vraiment capable de mener la danse, c’est toi qui aurait pourrit mon rendez-vous & c’est moi qui bouillonnerait de rage. » Il pouvait voir la lueur dans ses yeux, celle de la colère. Comme si ça ne suffisait pas, il en rajouta une couche, murmurant à son oreille ; « Et pour ta robe, ma grand-mère a des torchons bien plus jolis. » Un petit sourire victorieux étira ses lèvres. Ce n’était pas utile de le préciser, mais il tenait à lui montrer que si quelqu’un tenait les cartes ici, c’était lui. Enfin, la discussion prenait une tournure intéressante, enfin, plus ou moins. Si leur rencontre datait d’avant Harvard ? C’était trop direct, elle devrait la jouer plus fine. Restant silencieux un moment, il se décida à lui répondre par un signe de tête négatif, désappointé. Il lui répondit donc ; « Il n’y a pas que ton ouïe que tu dois améliorer. Tu devrais faire fonctionner tes méninges de temps en temps. » Sur ces charmantes paroles, il la fixa encore quelques secondes, juste pour voir la lueur d’espoir dans les yeux de Jessie s’éteindre. Après ça, il tourna les talons, poussant la porte de l’établissement.
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William & Jessie

Rare sont les personnes qui arrivent à me tenir tête, la plupart abandonne en voyant que j'ai horreur de ne pas avoir le dernier mot, mais cette andouille semblait décider à pourrir ma journée. Moi qui voulais simplement m'envoyer en l'air avec un petit jeune, je me retrouvais dans les toilettes avec cette énergumène. Il s'avança vers moi, me fixant dans les yeux pour me menacer à son tour. Il veut me pourrir la vie ? Très bien il ne sera pas le premier, mais hors de question que je me laisse faire sans réagir. Et pourquoi aurais-je pourris le rendez-vous d'un type dont je me fous totalement ? J'ai l'habitude de m'en prendre aux personnes qui ont un minimum d'intérêt à mes yeux, qui on de quoi riposter. Mais toi .. Je m'en fiche. Tu ne représentes rien à mes yeux, alors fous-moi la paix avant que je m'énerve vraiment. Disais-je l'air menaçant. Il ne me faisait absolument pas peur, à vrai dire le seul homme qui arriverait à me faire peur, c'est mon père. L'homme qui m'a mis à la porte alors que je n'avais que 18 ans, mais qu'importe. Ce type est à des années lumières d'être mon paternel, simplement un idiot qui veut se rendre intéressant. D'ailleurs il tenta une nouvelle fois de se moquer de moi, me faisant comprendre que je devrais aussi apprendre à faire travailler mes méninges. Mais qu'il change de disque un peu, j'ai compris ça. Blablabla, tu sais quoi ? Je m'en contre-fou de qui tu es au final. T'es certainement l'un de ces fous qui essaient de gagner un minimum d'importance auprès de la gente féminine et comme tu es trop con et trop moche pour draguer comme n'importe quel type, tu préfères te la jouer gros casse-couille. Tu sais quoi ? Ça ne marche plus sur moi, à partir de maintenant je t'ignore. Et je vais tenter de tenir parole. Je me replongeais sur ma tache que je n'arrivais pas à faire partir alors que cet idiot se décida enfin à partir. Finalement cette tache n'allait pas s'effacer si facilement. J'abandonnais donc avant de sortir à mon tour de l'établissement, rattrapant sans le vouloir William qui marchait dans la rue. Pauvre con. Marmonnais-je assez fort pour qu'il puisse m'entendre derrière lui, même si je ne comptais pas lui adresser la parole. Cependant il a réussi à titiller ma curiosité, donc à contre cœur je me suis mise à lui parler, toujours en marchant derrière lui. Bon d'accord ça m'intrigue. Tu vas cracher le morceau oui ? Qu'est-ce que j'ai bien pu te faire ? Et si tu veux jouer ok .. Donne-moi un indice ou n'importe quoi d'autre qui pourrait me mettre sur la bonne voie. Ouais un indice .. Même si je craignais le pire à présent, il serait capable de me demander n'importe quoi pour que j'ai ce foutu indice et pour que ma curiosité soit nourrie.
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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