EDEN CARTWRIGHT-FAWKES ► Gemma Arterton

C'est le 8 Septembre 1993 à Florence, que les membres de la famille Cartwright Fawkes m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommé)e Eden. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de biologie majeur et d'astronomie mineur depuis 1 ans et travaille en parallèle de mes études en tant que squatteuse (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mathers ou les Students.

Eden Cartwright Fawkes

Looks alot like Gemma Arterton

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle wickedwitch et j'ai 19 ans. Je suis canadienne et j'ai connu le forum grâce à top-site. Trop magnifique alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Gemma Arterton comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par shiya. Je fais environ 600 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

[b]Mot de la fin ? ▲ I been drinking :sifle: .
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
Cette chère Eden avait la mauvaise habitude de boire plus haut que sa limite, et ce, de façon répétitive. Disons le franchement, elle avait un léger penchant pour la bouteille ce qui a pour résultat de glorieuses gueules de bois. Cette fois-ci, le fait d'être cloué au lit après une nuit de déluge, lui a sauvé la mise. Si elle s'était pointée à son cours d'anthropologie à l'heure requise, je ne sais pas comment elle aurait fini. Le bâtiment ,où se déroulait son cours, a été frappée de plein fouet par les explosions. Les images télé-portées par les médias avaient montré les nombreux dégâts et elle avait pu constater avec effroi qu'elle aurait été sous les débris si elle n'était pas restée chez elle.

MATHERS HOUSE
Il faut toute de même savoir qu'elle est loin d’être un enfant cœur, avant son escapade, elle adorait boire, fumer des pétards et embrasser n'importe qui. Homme ou femme, elle s'en fichait éperdument, seulement s'amuser l'importait vraiment. Elle adorait se faire des copains de beuverie, mais ne compter pas sur elle pour vous ramener sain et sauf au bercail. Elle serait bien trop bourrée pour s'en préoccuper. Elle était autant de bonne compagnie sobre comme soule, mais la Eden qui abuse de la bouteille était plus marrante. Elle se relâche complètement et n'a pas peur du ridicule. Mais ne tenter pas de lui faire rappeler ce qu'elle a bien pu faire la nuit précédente, c'est à peine si elle se rappelle le pourquoi et le comment elle se retrouvait dans les bras d'un mec ou deux même. Non elle n'était pas une traînée qui sautait n'importe quoi, n'importe qui. Sa devise est, il faut simplement vivre le moment présent et ne pas avoir de regrets.
STUDENTS
C'est une chance qu'elle se décide d'aller dans une confrérie, sinon, elle ne serait pas de la partie. Ces trucs de rivalité et de guéguerre entre deux maisons, ne l'amuse pas vraiment. Elle préfère rester dans la tranquillité de l'esprit plutôt d'affronter. Eden est du genre un peu hippie sur les bords. Toujours à se le ramener avec l'amour et la paix entre être humain. Le fait que la Mathers House est une maison où de fortes amitiés se produit et que l'ambiance est toujours à son apogée qu'elle s'est décidée d'être flexible sur ces rivalités débiles et d'intégrer cette fraternité. Sinon elle préfère rester sans maison..

(Invité)

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▽ chapitre un ; florence , italie. Il marchait dans la rue, sans but précis. Pour une fois qu’il avait réussi à quitter cet infernal manoir, il avait bien l’intention de profiter de la ville. Située à plus de 250 kilomètre de Florence, Savoie était sa cage dorée personnelle, sa tour d’argent. Plus précisément, Milan était sa prison. Nathaniel shoota dans une canette de bière vide, qui rebondit quelques mètres plus loin, dans un cliquetis métallique. Il marcha jusqu'à elle, en réfléchissant à sa vie jusqu'à maintenant. Il vivait la plupart du temps enfermé à Milan, et bien qu’il aimât ce lieu, il lui devenait chaque jour plus insupportable. Il frappa à nouveau la canette, qui s’élança joyeusement sur vingt mètres. Elle buta contre le talon d’une jeune femme, qui baissa les yeux vers l’objet, l’air étonnée. Nathaniel passa derrière elle sans la regarder, plongé dans ses pensées. La demoiselle se baissa, récupéra la boîte de fer, et la lança adroitement sur le jeune homme, qui lâcha un cri de douleur contenue et de surprise. En se frottant l’arrière du crâne, il se retourna vers la coupable, qui lui sourit. Et le jeune italien regarda cette fille qui avait eu l’audace de lui lancer un projectile, à lui. Et puis, il su qu’il l’aimerait toute sa vie.Elle s’appelait Veronica, avait de profonds yeux bleus, une chevelure blonde, quasiment blanche, elle était maigre, elle était Française. La mère de Nathaniel cracha à la face de son fils qu’elle le renierait totalement si il osait se marier avec « La Chose », ce qu’il s’empressa de faire, a à peine 20 ans. Son père resta silencieux, mais le jeune homme pu lire qu’il approuvait cette union. Il aimait Veronica, et même si elle était d’un statut social inférieur au sien, il s’en fichait, comme il se fichait de l’avis de sa mère. Il ne cessait de lui répéter qu’il l’aimait, qu’il n’aimait qu’elle, juste elle, pour toujours. Il bondit de joie quand elle lui annonça qu’elle attendait un « événement heureux », et encore plus le jour où leur petite Eden vit le jour, un huit septembre 1993, dans un hôpital de Florence. Il avait 22 ans, et pensait avoir la vie devant lui, toute la vie, avec son épouse et sa fille chérie. Devenu professeur de littérature, il passait le plus clair de son temps libre avec Eden, et un peu moins qu’avant avec Veronica. Elle devint rapidement agressive envers sa fille, et fini même par l’ignorer. Nathaniel se décida à combler le manque affectif que ressentait Eden à cause de l’abandon de sa mère, et fini par démissionner de son poste pour être avec sa petite fille, qui avait alors 2 ans. On aurait pu croire qu’il était amoureux d’elle, et on n’aurait pas été loin de la vérité.

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chapitre deux ; milan , italie. Finalement, Eden se retrouva en tête à tête avec sa mère le lendemain de ses 3 ans. Nathaniel décéda d’une mauvaise grippe mal soignée à l’âge de 25 ans, lors d’un déplacement en Écosse. A partir de là, la vie d’Eden devint un enfer terrible. La folie de sa mère se révéla au grand jour, et il leur devint rapidement impossible de continuer de vivre à Florence. Les grands-parents d’Eden les firent venir chez eux, dans leur manoir de Milan, où Veronica fut enfermée dans une aile reculée du château. Annabella et Richard élevèrent eux-mêmes la petite fille, mais ne cessaient de lui reprocher de ne pas ressembler suffisamment à son père, d’être plus proche de cette « folle de Veronica », cette « chose » qui avait ensorcelé leur fils. L’avis de Richard avait visiblement changé, et cela n’annonçait rien de bon pour Eden. Souvent réprimandée par ses grands-parents, la petite fille devint rapidement quelqu’un de renfermé, de silencieux, qui ne jouait jamais avec les autres enfants à l’école. Une des institutrices prit un jour pitié de l’enfant, et elle réussit à se lier avec Eden, qui ne tardait pas à l’appeler son « amie ». Richard et Annabella grondèrent Eden, lui interdirent de voir cette femme qui osait s’immiscer dans leur vie, mais la petite n’en fit qu’a sa tête, et l’institutrice fut bientôt renvoyée de son poste, et mutée plus au Nord du pays. Les Cartwright-Fawkes avaient fait pression sur le directeur de l’école où était scolarisée leur petite-fille, le convaincant que la jeune femme avait de mauvaises pensées vis-à-vis d’Eden. C’est ainsi que la seule amie d’ Eden Cartwright-Fawkes quitta sa vie. Plusieurs années passèrent. Eden grandit, Richard et Annabella vieillirent, et Veronica devint de plus en plus folle, ne cessait d’appeler son défunt mari, hurlant qu’il n’aimait qu’elle, que c’était elle qu’il fallait regarder, et pas cette petite chose répugnante que tous ne cessaient d’entourer de leurs attentions. Elle criait que c’était grâce à elle si Eden était là, qu’il fallait la remercier, s’incliner devant elle, devant sa magnificence, la vénérer toujours. Une fois par mois, Eden était envoyé dans les appartements de sa mère durant une semaine, et en revenait toujours couverte de bleus, d’égratignures. Personne ne savait vraiment ce qui se passait durant cette semaine, et on avait beau demander à Eden ce que lui faisait sa mère, la jeune fille, qui venait de fêter ses 13 ans, gardait le silence. Deux clans se distinguaient maintenant dans Milan, le clan de « Madame Veronica », il ne s’agissait que de domestiques attachés à son service depuis son arrivée dans le manoir.

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▽ chapitre trois ; cambridge , massachusetts. Le reste de la domesticité devait servir fidèlement le reste de la famille. Et entre les servantes, la haine entre les clans se faisait cruellement sentir. Ainsi, quand une domestique de Mme Annabella demandait à une domestique de « Madame Veronica » ce qui se passait quand Eden passait quelques jours chez sa mère, celle-ci répondait que sa maîtresse ne faisait rien à sa fille, que c’était elle qui se mutilait pour ensuite faire croire que sa propre mère était une créature immonde. Mais personne n’y croyait. Eden était même rentré une fois le bras cassé, et souffrant le martyr, sa mère n’ayant pas jugé bon de la conduire chez un médecin. L’adolescence succéda à l’enfance, et Eden ne cessait d’imiter son père dans son comportement. Elle essayait d’être irréprochable, polie mais jamais trop expansive, sympathique sans jamais s’attacher vraiment trop. Elle devint distance, comme en marge de la société, sans vraiment s’apercevoir de ce qui se passait autour d’elle. Elle grandit sans qu’on s’en aperçoive vraiment, et puis un jour, elle décida de partir, elle voulait faire quelque chose de sa vie, de ses dix doigt, tiré un trait sur son passé de folie et de tristesse, oublié les 18 dernières années, balayé et recommencer sur des bases propres, s’inventer une nouvelle identité, un nouveau passé, des parents vivants et aimants, pas ces deux vieilles personnes qui finiraient un jour par mourir et la laisser aux mains meurtrières de sa folle de mère, dont l’obsession était de lui faire le plus de mal possible. Elle quitta donc Milan, où elle avait vécu 15 années, sa valise à bout de bras, et se retrouva sans trop s’en apercevoir à Florence, puis à l’appartement que ses grands-parents avaient conservés et où ses parents avaient vécus avant la mort de Nathaniel. Mais elle ne resta que trois ans avant de prendre l’envol pour le Massachusetts, Cambridge précisément, ce changement de continent n’était la cause de sa mère mais belle et bien que la jeune femme avait trouvé sa voie et voulais poursuivre dans ce chemin. Elle s’y installa, et écrivit à ses grands-parents qu’elle désirait s’inscrire à l’université d’Harvard, étudié dans le domaine de la biologie, qu’elle avait besoin qu’ils financent les études. La réponse lui parvint, positif, et elle se haïe d’avoir pu leurs demander. Mais elle n’avait pas eu trop le choix.

The End

(Invité)