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hye there, did u miss me buddy ? pv JAJA

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© Kaiji


Ca faisait longtemps, loin du stress permanent du bureau où j'avais passé les deux derniers mois, oui, je revenais à Harvard une énième fois, j'adorais faire des coming back à l'improviste, en fait je pensais qu'une partie de moi devait aimer manquer aux gens, oui j'étais du genre à m'en aller sans prendre garde et sans prévenir qui que ce soit.

Une habitude que j'avais acquis depuis tout petit, j'en avais assez des bancs de la fac, et mon retour en Australie m'avait bien sentir ça, cependant je devais avouer que j'aimais uniquement cet endroit à cause de mes amis, c'est-à-dire les personnes les plus importantes pour moi.
J'avais fini par entendre parler du nouveau bal qui allait avoir lieu, après le bruit interminable qui régnait à New-York j'étais de retour à Cambridge, je devais dire que j'avais l'impression d'être Heidi de retour dans sa montagne, bien que techniquement ma montagne devait être la savane Namibienne ou alors les plages Australiennes.

Trop dur d'être double national.

Ce qui était sûr c'est que je n'étais pas américain à ça non, je m'étais donné un an, j'avais fini par me rendre compte que je devais revenir à la fac, l'ONU n'avait pas voulu me renouveler ce contrat parce que je n'avais pas validé cette foutue année, l'an prochain c'était hasta la vista pour moi baby. Mais bien sûr je ne l'avais encore dit à personne, c'était vraiment ça mon problème j'aimais garder les choses secrètes.

Je fermais ça dans ma tête, pour me concentrer sur les gens, yep old hollywood, eh ben, si c'était pas la folie américaine.

Je me mis à marcher regardant quelques personnes, je baissais la tête vers quelques personnes au fond de la sale, avant de repérer des fesses que je connaissais trop bien.

Je me plaquais au mur en mode caméléon, tâchant de me faire le plus discret possible, sans que le jeune homme en question ne me remarque. Il me tournait le dos à présent.

Je pris un verre de champagne, très classe, trop chic, j'avais l'impression d'être à la maison quand on recevait cette bonne vieille Stéphanie de Monaco.

Je me lançais posant mon bras sur l'épaule haute et forte de mon meilleur ami et lui faisant un bisou sur la joue.

"Oulalala beau gosse, en costard, t'as encore piqué les fringues de ton père"

je lui mis une claque aux fesses avec un sourire démoniaque.

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Des minutes maintenant que je trouvais que le temps ne s'écoulait pas aussi rapidement qu'il devrait. D'ailleurs, plus ces maudites secondes passaient et plus mon envie de me barrer grandissait. J'avais converser avec des potes, dragué des filles, danser avec elles, bu des verres de Whisky et fait mon regard de prédateur. Mais rien n'avait su y faire, je me faisais toujours autant chier. Les bals n'étaient décidément pas fait pour ma personne. Je préférais amplement être tranquillement assis sur mon sofa à boire des bières en regardant un match à la télé qu'être là, à regarder les gens danser. Je soupirais en croisant les bras et m'appuyant nonchalamment contre un mur, dans l'ombre des autres, les observant. Soudain, un bras se faufila sur mes épaules et des lèvres humides se posèrent sur une de mes joues, laissant une trace gluante. « Oulalala beau gosse, en costard, t'as encore piqué les fringues de ton père. » Tournant ma tête avec un regard choqué, je reconnu mon autre meilleur pote : Aaron. OH PUTAIN ! Il était là, celui-là ? Me claquant les fesses, il me fit revenir à la réalité. « Mais qu'est-ce tu fous là, toi ? » Soudain ma soirée prenait un tout autre sens, un grand sourire prenait possession de mes lèvres. « Tu vas rester avec moi, hein ? Parce que je me fais royalement chier ! » Je lui rendais ensuite la claque qu'il m'avait collé.

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Je souris à celui que j'aimais appeler l'homme de ma vie, c'était dans un sens vrai, car à chaque fois qu'on se retrouvait ensemble, on finissait par faire des choses bizarres inoubliables, du genre, crier ou imiter une femme qui a un orgasme sur la terrasse d'un restaurant bonder, aller allumer des vieilles peaux liposucées uniquement pour le fun. Ou encore se retrouver dans une course poursuite dans un cinema à la recherche de ma chaussure.

Oui, c'était mon meilleur ami. Je pris un verre de whisky, et je lui lançais sur un ton innocent.

"J'aime quand tu me supplies comme ça, pas vrai ma petite salope."

Oui, j'aimais l'énerver parce que ça signifiait que nous allions faire des choses encore plus folle.

première étape chercher une cible.

" La rousse là-bas, aux grosses dents; je te donne deux minutes pour lui faire croire que t'es son prince charmant, avant que j'intervienne..."

Oulala j'avais un plan machiavélique derrière la tête, je devais tenir ça de mon ex et cousine Blue. Ouais, on avait peut-être le gène des coups de folies dans la famille, je pensais immédiatement à mon petit frère Matthéo, lui et ses relations féminines en pratique j'étais pire que lui.

Ce n'était pas pour me déplaire mais je sentais que jamie avait envie de se détendre, alors autant profiter de l'occasion, c'était rare qu'on ait un publique aussi nombreux pendant notre numéro.

"Tu m'as manqué ya pas à dire;" lui lançais-je en guise d'encouragement, bien qu'il n'en ait pas besoin.

"en piste ma bitch."

Ca allait être drôle.


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Comment dire qu'il me sauvait un peu beaucoup la mise alors que j'étais complètement enfouie jusqu'au coude dans la galère de l'ennuie. Pouvait-il être considéré comme un cadeau du ciel en cet instant même ou devais-je le considérer comme un cadeau empoissonné, un enquiquineur carrément venu me faire chier ? « J'aime quand tu me supplies comme ça, pas vrai ma petite salope. » Génial. Levant les yeux au ciel suite au surnom complètement peu flatteur qu'il venait de me sortir, je lui jetais un regard en biais alors que monsieur sirotait ou venait du moins, de commencer un whisky. « J'aime quand tu es bien poli, pas vrai ma couille ? » Riant, parce que j'aimais faire autant de conneries de que lui, il continua : « La rousse là-bas, aux grosses dents; je te donne deux minutes pour lui faire croire que t'es son prince charmant, avant que j'intervienne... » Pardon ? Ouvrant cette fois-ci de gros yeux, je ne pus m'empêcher de lui donner une tape dans le dos. « Un conseil, arrête de boire mon gars. » J'étais un connard mais pas au point de me foutre de la gueule d'une rouquine le soir de son bal tant espéré. « Tu m'as manqué ya pas à dire » Et voici qu'il était sentimental. Y'avait pas à dire, celui-ci avait `plus d'hormones changeantes qu'une femme. « En piste ma bitch. »  Réalisant un ttt bien placé, je lui lançais un regard en coin. « Les femmes d'abord. Va la voir et obtient son numéro et à ce qu'elle soit prête à te suivre chez toi. Si c'est le cas, j'me mettrais à genoux devant toi devant tout le monde en criant qu't'es un Dieu et j'te roule une pelle. » Riant face à mes conneries, j’espérais bien qu'il accepte pour voir comment il se débrouillait.

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Aamie
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Han lala qu'est-ce que Jamie pouvait être chiant il avait la manie de tout remettre à son avantage. Bon d'accord, j'aimais bien faire le connard et je n'allais pas éprouver la moindre once de culpabilité, on va dire que c'est l'effet "j'ai plus de boulot bande de connards!". Je lui renvoyais le même ttt qu'il m'avait fait d'une façon encore plus snob.

"Bon d'accord je le fais, pour te montrer qui porte les couilles entre nous, bitchy! Ah et va pour le dieu, mais je vais pas de ta langue qui a trainé je ne sais pas dans quel vagin pleins de mycose ou autre."

Je lui fis un sourire d'ange avant de finir mon verre, il me fallait du courage vu la " beauté " renversante que j'allais aborder, croyez moi, même tati Janine a côté c'était un canon.

J'étais étonné qu'à peine le cap de la vingtaine franchie, cette fille ait déjà une ptôse mammaire. C'était un signe de l'apocalypse d'après moi. Tant de méchanceté dans cet endroit, enfin dans moi.

Je m'approchais d'elle tête baisser, technique d'approche, surtout ne pas regarder ses dents, ni ses seins, si ses bourrelets, ni encore ses deux, ni sans chignon à la mode vieille peau.

Mon dieu, qu'est-ce que je ne faisais pas pour divertir mon petit Jamie, oui, j'aimais l'embêter, oui j'aimais avoir des souvenirs mémorables mais à cet instant j'allais réaliser le plus grand coup du siècle, mon visage mériterait d'être affiché dans la cours des plus gros salopards de tout l'univers au côté de Crowley, de Lex Luthor et de la fée carabosse, quoi qu'on pouvait oublier la dernière.

"Salut ma... jolie..." dis-je hésitant.

Jolie, même un peintre abstrait ne pouvait pas trouver un truc de jolie dans tant d'horreur, dieu tout puissant si tu m'écoutes, protège-moi.
Je lui tendis un verre, faisant la cosette avec elle, apprenant que son prénom c'était Ginger, non sans rire Ginger et être rousse ? Plus ringard tu crèves.

Qu'elle venait du Wisconsin, qu'elle avait un petit frère Jimmy, et qu'elle aimait les vaches, oui ne riez pas, elle aimait vraiment les vaches.

Je lui tendis un troisième verre. Lui proposant ensuite de danser elle faillit trébucher, je m'en doutais elle ne tenait pas l'alcool, je lui demandais son numéro qu'elle nota sur mon téléphone, je fis bien sûr mine de l'enregistrer pendant que j'appuyais sur effacer, mon dieu quel horreur.

Je la fis bouger à gauche et à droite lui battant des paupières, faisant mine de lui chuchoter qu'elle était attirante dans sa robe pervenche, qui donnait l'impression qu'un parachute de secours lui avait servi de patron.

Je finis par m'éloigner avec la musique, faisant semblant de devoir partir, je lui tendis un rêve.

"C'est dommage qu'on ne finisse pas la soirée ensemble ma chère."

Elle eut un regard triste, limite c'était la fin du monde, en rentrant je me désinfecterait au javel. Bingo elle se mit à me suivre, voulant que j'aille chez elle, heureusement je lui avais donné un faux prénom, Wyatt, allez savoir pourquoi.

"Wyatt, Wyatt attend !" couina-t-elle.

jamie se trouvait en face de mes yeux, je le chopais par le bras.

"Bien maintenant suis ton dieu, et on s'en va de cette salle !" lui ordonnais-je.

Je fis un détour par un couloir, un peu moins de monde dans cette nouvelle sale, j'eus un fou rire.

"Bon d'accord; je suis un salaud."



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Abusé. Franchement, ce type avait toujours les idées tordues, il kiffait vraisemblablement faire du mal aux autres et prendre son pied à faire n'importe quoi. Pauvre petite rouquine et son petit écureuil. « Bon d'accord je le fais, pour te montrer qui porte les couilles entre nous, bitchy! Ah et va pour le dieu, mais je vais pas de ta langue qui a trainé je ne sais pas dans quel vagin pleins de mycose ou autre. » Pardon ? Levant les yeux au ciel, je ne pus m'empêcher de répliquer. « Dans tous cas, je t'assure qu'elle aura traîné dans de meilleurs endroits que la tienne. » Ou pas, Mais qu'en savais-je ? Ou lui d'ailleurs...Se dirigeant alors vers la rouquine, je l'observais aller l'aborder d'un regard sceptique. Il n'allait quand même pas lui briser son petit cœur, si ? Parlant avec elle, il l'invita à danser et un sourire se forma sur mon visage quand il lui tendis son téléphone pour qu'elle y inscrive son numéro de téléphone dedans. Néanmoins, à un certain moment, celui-ci décida de faire marche arrière et revenir dans ma direction, s'attirant les foudres de sa nouvelle partenaire. « Bien maintenant suis ton dieu, et on s'en va de cette salle ! » Ben alors ? Je ne pus que me mettre à rire en décroisant les bras de ma poitrine et en me dirigeant à ses arrières, hors de la salle de bal, dans un couloir presque vide. « Wyatt, tu lui as dit que tu t'appelais Wyatt ? » Je riais tellement c'était comique. Il lui vouait un culte ou quoi ? « Bon d'accord; je suis un salaud. » Dans tous les cas, salaud ou pas, il en riait ce con. « Tu lui as dis quoi ? » Quel abruti. M'appuyant contre un mur, je le fixais en plissant des yeux. « Elle était sûrement très gentille cette fille, tu as du lui briser le cœur. Dors bien ce soir. » Sifflotant, je cherchais juste à le faire chier.

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