this is not a dream ~ olympe/dimitri

A thousand silhouettes dancing on my chest

Les étoiles était magnifique ce soir. Je me souviens des nombreuses soirée organisé en Russie et même ici à Boston au manoir de mon père avec tous les gens qu'il invite pour célébré divers événements qui est important à nos yeux. Ce soir, s'était quelque chose de très important. Un bal de fin d'année, je prend ça vraiment à coeur. Nous avions eu la chance d'être tous les membres de la royauté ici et de prendre une photo de groupe. Être avec ma famille, c'est des moments comme ceux-ci qu'on remet les morceaux en places. Mon verre de Vodka à la main, je terminais ma cigarette en la jetant dans les endroits approprié et je retournais en dedans pour passé une belle soirée. Rien de plus simple et les gens me connaissais tous. Je fais partie aussi des Eliots, donc ceci est une autre raison assez spécial pour une soirée comme ce soir.

A thousand silhouettes dancing on my chest

Vêtue d'une robe dans la thème, Old Hollywood, faite de paillettes brodés, et d'un tissu fin, après avoir accordé une danse à mon cavalier, Zakhar, j'avais fini par ressentir un besoin de prendre l'air, dehors. En effet, la musique, les gens, tout cela commençait à me donner mal à la tête, et j'avais besoin de m'éloigner quelques instants avant de revenir pour continuer à faire la fête. Une coupe de champagne à la main, je me dirigeais vers l'une des grandes terrasses à notre disposition, pour inspirer une grande bouffée d'air frais. Sauf que dès que je pivotais pour passer entre les porte vitrée ouverte, je percutais quelqu'un : je failli renverser mon verre, et finir par terre. Je n'avais pas fait attention aux autres, perdue dans mes pensées, j'avais manqué de peu de renversé ma boisson sur le costume du jeune homme que j'avais bousculé. " Excusez-moi... je ne vous avait pas vu. "  

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Le fait d'être un prince, c'est d'être dans un monde complètement différent que les autres. On ne choisi pas cette décision. C'est difficile parfois parce que les gens désire tellement voir la perfection en nous, mais en ce moment, c'est moi et non les autres. Je veux être moi-même et mes parents m'encourage beaucoup à le faire parce qu'il désire simplement me voir heureux. Je fume... et puis ? Je bois de l'alcool comme tout le monde... et puis ? Je joue au hockey. Je fais des études et j'ai même eu la chance de prendre ma décision ce soir pour devenir un joueur de hockey dans la ligue national. Comme j'avais promis d'appeler monsieur Betman dans les dix prochaines journées, demain, je fais mon appel. Retournant à l'intérieur, je fis un face à face avec une belle demoiselle. Mon dieu, tellement belle qu'ellea presque renversé son alcool sur moi, mais bon. Il y a tellement de monde ici qu'un simple sourire pouvais changer les choses. « Ne t'inquiète pas... les gens me pile sur les pieds dans le réalisé donc et j'ai une chemise de rechange dans ma voiture, donc... ne te sent pas mal pour ça. » Dis-je en souriant et en prenant une gorger de ma vodka. « Belle comme tu es, tu dois être une Cabot si je ne me trompe pas ? »

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Légèrement gênée d'avoir faillit renverser l'intégralité de ma coupe de champagne sur la chemise d'un homme, j'avais tenté de m'excuser, mais j’étais encore un petit peu secouée, et j'avais déjà bu quelques verres : trop pour moi qui fini saoule en deux secondes. Après m'être excusée, j'avais prit le temps de regarder l'homme en face de moi, histoire de savoir qui j'avais failli repeindre ce soir : c'était un Eliot. Je crois que son prénom est Dimitri, c'est un Romanov, famille fortement présente à Harvard. Il n'avait pas l'air vraiment perturbé, et n'avais pas l'air de m'en vouloir, alors je risquais un léger sourire après sa phrase m'expliquant qu'il avait une chemise de rechange déjà prévue. Hochant la tête, je lui tendis la main : " Exactement. Olympe, je suis même la vice-présidente. Et toi, il me semble que tu es un Eliot..? " C'était plus une question de politesse, parce que vu son physique, ses habits, et sa posture, il n'y avait pas de doutes à mes yeux.

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Je suis cette personne qui demande toujours une question avant de faire valider mes réponses. Je ne suis pas du genre à toujours avoir raison parce que ce n'est pas mon genre d'être comme ça. Même si je suis un prince, je me dois d'être poli face aux gens qui m'entour. C'est une valeur très importante pour moi. Olympe n'est pas la seule ce soir à avoir essayer d'esciver son verre devant ma chemise blanche. Une chance que j'en est toujours une de surplus si quelque chose arrive, mais c'est plus mes souliers qui en manger un coup. Ce n'étais pas intention non plus d'être frustrer parce que ça arrive des accidents bête. Un sourire s'affichais sur mon visage. La vise-présidente ? Pas trop mal et très magnifique aussi. Je n'ai pas enlever mes yeux de sur elle depuis l'instant présent. Elle avait aussi fait ses devoirs à ce que je peux constater. « J'adore les femmes qui sont renseigner. Et oui, je suis un Eliot. » Je pris sa main pour y déposer un baisé sur le dessus. « Prince Dimitri Romanov de Russie. Je crois que tu connais aussi la plupart de ma famille si je ne me trompe pas ? » Rajoutais-je avec un clin d'oeil. « Je crois que moi aussi je vais opté pour un verre de champagne... »

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Heureusement pour moi, l'homme à mes côtés n'avait pas l'air de chercher des histoires, et n'a pas commencé à me hurler dessus parce que j'avais mal tenu mon verre et que je n'avais pas fait attention, et que par conséquent il avait failli prendre mon verre sur le torse. Je lui tendis la main après m'être présenté, lui demandant si il était Eliot : en effet, j'étais presque sûre de l'avoir déjà vu là-bas, et il me semble aussi l'avoir déjà vu avec Anya, une bonne amie à moi. En entendant son nom, je souris : mon instinct ne m'avait pas trompé, je savais que je l'avais déjà vu quelque part, et que je l'avais déjà croisé. " Je savais bien que je t'avais déjà vu quelque part.. en effet, ça me revient, si tu es un Romanov. " Lorsqu'il dit qu'il allait opter pour un verre de champagne, je reculais légèrement pour le laisser passer, puisque j'étais toujours plantée devant lui. " Excellent choix, il est plutôt bon, ce champagne. " Et niveau champagne, j'en connaissais un rayon, pour avoir visité de caves en France, toute jeune, avec mon père, amateur de bon vin et de bon champagne, et donc admiratif du savoir faire français, qu'il voulait reproduire dans nos terres en Australie.

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« Mon père est un des plus grands princes de la Russie. Je suis un des héritier et tu ne serais pas aussi une amie de ma cousine Anya ? » Demandais-je poliment sans retirer mon regard du siens. Je le savais qu'elle se tenait avec Anya, mais simplement l'entendre parler, elle me donnait le goût de l'embrasser. Oui, j'ai le drois d'avoir des fantasmes et puis après ? Un homme à le droit de rêver. Un verre de champagne pour mieux connaître la charmante demoiselle devant moi, s'était une très bonne idée. Je souriais à son commentaire et tout en marchant vers la fontaine de champagne, je me pris un verre et je me versais un verre sans en renverser sur moi bien sûr. « Il faut bien expérimenté une t'elle idée parce que je dois avouer et ceci est bien pensé. Ça fais changement que de boire de la vodka. »

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Visiblement l'homme face à moi savait à qui il avait à faire, puisqu'il me relia à sa cousine, Anya. J'hochais la tête pour confirmer ses mots, avant de lui répondre, d'une voix légère : " Oui, je la connais bien, c'est la meilleure amie de mon cousin. " Et du coup, on s'était souvent croisées, et ça avait fini par une bonne amitié. Elle était vraiment sympathique, et j'espérais que ce soit de famille. Rentrant dans le bâtiment où se déroulait le bar, je conseillais le champagne à Dimitri, puisque la coupe que j'avais dans les mains était réellement délicieuse, et il eut l'air assez content. Je lui souris alors, plaçant une mèche derrière mon oreille tout en continuant : " C'est sûr que ce n'est pas pareil un verre de vodka et un verre de champagne.. si je bois un verre de vodka déjà, je ne tiendrais pas toute la soirée sur mes jambes pour ma part. " L'alcool a le don de me faire perdre pleinement conscience de mes actes, et surtout j'ai ensuite beaucoup de mal à déambuler en hauts talons.

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