Mais, il me drague là? [PV: n. mace jackson]

La journée avait commencé tendrement, il faisait beau et les rayons du soleil réchauffait la peau des bras. Cette journée là j'avais mis une petite robe blanche, légère qui ne me gênerais pas dans mes déplacements et mes gestes. J'avais pris un petit sac et une veste par précaution, hors de question que je tombe malade ou qu'une pluie torrentiel, qui n'était pas prévue me tombe dessus sans prévenir. Ainsi armé j'étais partie me balader dans Cambridge sans faire attention ni à l'heure, ni à se que j'avais à faire en devoirs. Pour une fois que je ni faisais pas attention, personne n'allait se plaindre. C'est donc dans l'esprit de faire quelque chose de ma journée que j'étais sortie. J'étais vite arrivé dans le centre ville, réfléchissant à ce que je pouvais faire. Je regardais ma montre, il était presque 13 heure et je n'avais toujours pas manger.

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On ne vous la jamais dit ? J'étais quelqu'un qui était souvent en retard. Au lieu d'arriver à sept heures tapante comme l'avait demandé mon patron du restaura, j'étais arrivé à huit heures, prétextant une panne de réveil. Malheureusement, j'étais vraiment maladroit aujourd'hui, à croire qu'on m'avait porté l'oeil. Et puis, j'étais un peu défoncé aussi, j'avais enquillé deux joint en l'espace de trente minutes. Pas de quoi être hors service, mais de bien planer. Voyant que je n'étais pas à l'aise et pas à fond, le patron avait décidé de me donner mon après midi en me mettant en garde pour les prochaines fois. Il était treize heures et je marchais dans le centre ville avec un joint dans la main et des tas de papiers dans une pochette. J'étais dans les nuages, ne regardant pas du tout devant moi et ce qui devait arriver arriva. Je foncais dans une personne, ce qui fit tomber tout mes papiers au sol et par la même occasion mon joint. « Désolé », avais-je dit sans vraiment prêter attention à la personne que j'avais bousculé. « Putain, c'est pas ma journée... », disais-je dans ma barbe, en m'abaissant pour commencer à ramasser les papiers par terre.

(Invité)

J'allais donc chercher un endroit pour prendre un petit truc à manger. Regardant toutes les façades pour choisir. Je marchais et je m’arrêtais devant justement un petit restaurant qui ne me semblais pas mal. Je regardais le ciel, ni sombre ni clair en me demandant si je le prenait dehors ce repas. Brusquement je me retrouvait au sol assise les mains me retenant. J'entendis vaguement une excuse, puis je relevé la tête pour voir un jeune homme se pencher pour prendre les feuilles éparpillaient au sol. Je me relever et me pencher pour l'aider à ramasser ses feuilles. Quand plus aucune ne se trouver sur le sol, je lui tendis les feuilles en m'excusant:

"- Ce n'est pas vraiment que de ta faute j"étais en plein milieu du chemin."

(Invité)

La jeune femme me disait que ce n'était pas vraiment que de ma faute, et qu'elle était également en plein milieu de chemin. Bon, c'était pas faux mais c'était de ma faute, vu que je regardais pas trop devant. Je lâcha un soupir, après qu'elle m'ait rendu les feuilles que j'avais fait tombé et qu'elle m'avait aidé à ramasser. « Encore désolé ! », disais-je en la regardant dans les yeux, et pour cette fois, j'étais sincère. « Je peux vous inviter au restaurant ? Pour me faire pardonner, bien sur. », lui avais-je demandé. Je tenais à me faire pardonner, et j'étais comme ça. Si elle n'acceptait pas, ce n'était pas grave. Je n'allais pas mourir. Et, je vous cache pas qu'elle était vraiment charmante et puis il y avait un restaurant juste à côté.

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Il s'excuse de nouveau, pour ne pas rester là je ne dissais rien, ce petit jeu pouvait durer des heures, donc le mieu était de se taire. Pour simple réponse je lui offri un grand sourire. Mon ventre commençais à se tordre, j'avais faim, je n'espèré qu'une chose qu'il ne se mette pas à crier famine devant cette personne. Je n'aimais pas me faire remarquer.

« Je peux vous inviter au restaurant ? Pour me faire pardonner, bien sur. »

Je réfléchisais quelques instants à sa proposition n'y voyant aucun inconvénient, je lui fis signe que j'étais d'accord. Je truverais de toute manière bien une manière pour le dédomager de ma maladresse.

(Invité)

Elle avait accepté mon invitation, et ça m'avait fait sourire. Il y avait un restaurant juste à côté de nous et je l'invita à pénétrer à l'intérieur. C'était assez spacieux mais les prix étaient abordables. Souriant, un serveur nous installa à une table. Je n'avais jamais été au restaurant avec une inconnue, déjà que je n'y allais pas souvent. « Au fait... moi c'est Mace », lui disais-je avec mon éternel sourire de dragueur.

(Invité)

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