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(gwillow) i wanna hear your beating heart one last time

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(gwillow) i wanna hear your beating heart one last time EWJr16i
La soirée c’était super bien déroulée, t’avais pu t’amuser, bien que la table cela avait été un peu une aventure. Tu n’avais pas osé trop parler de toute façon, tu te sentais pas complétement à ta place avec de un Elysia qui te lançait des regards noirs au début de soirée et Andy qui avait une certaine froideur pour toi. On ne change pas après tout. La soirée commençait à se terminer et tu avais un peu mal à la tête. Surement à cause de toutes les coupes de champagnes qui tu avais ingurgité au cours de la soirée. Tu avais bien dû t’occuper d’une manière ou d’une autre vu que tu ne savais pas trop quoi faire. T’avais vu des amis, passée du temps avec Matthéo, mais tu voulais aller te rafraîchir un peu avant que la cérémonie de remises de prix ne débute vraiment. Tu avais mal à la tête. Argh, tu n’étais pas habituée à boire autant. C’était à cause de la maladie et maintenant que tu n’avais plus aucun signe de cancer en toi et c’était le plus important. Il n’y avait personne dans les toilettes. Tout le monde était dans la salle à entendre le Doyen faire ses speechs. Tu déposais ton petit sac sur le bord du lavabo, remettant une mèche qui venait de tomber de ton chignon. Tu passais de l’eau sur ton visage avant de t’appuyer sur le marbre blanc pour reprendre ton souffle. Malgré ta guérison il y avait encore des choses qui te fatiguaient. Comme quoi, ça prenait beaucoup de temps pour s’en remettre. Tu pouvais entendre des goutes tomber dessus, comme de l’eau qui résonnait contre la pierre. Sauf que tu avais éteint le lavabo. Tu ouvris les yeux et vis le blanc doucement s’immaculé d’une couleur rouge. Du sang ? Tu viens monter ta main sur ton nez et c’est à ce moment-là que la porte s’ouvrit. Non, mais c’était pas possible.
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La soirée était sympa, j'étais en bonne compagnie avec Isadora en cavalière, même si j'évitais de croiser certaines personnes, comme Andy et Willow, par exemple. J'avais pas envie de me prendre la tête, juste de passer une bonne soirée, habillée en tailleur, et j'peux assurer que j'me fringuerai pas comme ca souvent. J'ai bu quelques coupes de champagne et quelques cocktails, après tout, j'ai repris mes vieilles habitudes depuis que Willow m'avait plaquée comme une merde, j'suis même retournée avec Lou, pour combler la solitude qui m'incombait. J'sais bien que j'suis pas une bonne personne sur le paln relationnel, j'étais quelqu'un de bien qu'avec la jeune et jolie Eliot qui m'a transpercé le corps et le coeur. Mais j'ai bien bu, et j'commence à avoir envie de pisser. Pour remédier à cela, je me faufile vers les toilettes et, en ouvrant la porte, je vis Willow. Et merde. Je lâchais un soupir, la regardant rapidement quelques secondes, avant de rebrousser chemin. C'est trop dur d'affronter sa présence, putain. J'peux pas la regarder, ca brûle au fond de moi. J'ouvrais alors la porte pour retourner dans le gouffre de la foule, à qui s'adressait le Doyen avant la remise des prix.
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Tu ne savais pas trop ce qui se passait avec toi pour le coup. Ce n’était pas normal que cela arrive, peut-etre que c’était juste l’alcool. Mais tu devais avouer que tu sentais un peu nauséeuse depuis le début de la soirée et que peut-être il y avait quelque chose. Tu ne voulais pas y penser, et pourtant le lavabo se remplissait d’eau. La porte s’ouvrit, tu ne tournais pas le visage pour regarder, mais tu pouvais reconnaître le soupire entre millier. Gwen. Qu’est-ce qu’elle faisait là ? Malgré la rupture brutale que tu lui avais imposé, tes sentiments pour la jeune mather n’était jamais partie et ne partiront surement jamais. T’avais été conne de la laisser partir, mais peut-être que c’était cela qu’il t’avait fallu. La laisser partir pour te rendre compte à quel point, tu l’aimais et qu’elle était importante. T’avais envie de lui courir après, mais tu n’y arrivais pas. Tu étais paralysée sur place, le sang coulant presque à flot sur le marbre sol, dégoulinant même sur le sol. Tu avais mal à la tête, comme si on t’enfonçait un marteau piquer sans arrêt. C’était quoi cette blague ? Tu laissais échapper un cri aigue avec son prénom, laissant échapper tout l’air dans les poumons en espérant que la mather ne soit pas encore trop loin pour t’entendre.
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Dans chaque histoire, il y a de bons côtés, malgré la souffrance, le manque, les blessures que cela provoque. Mais dans ma relation avec Willow, je garde surtout le meilleur, cette faculté inouïe qu'elle a eu de capturer mon coeur, chose que personne avant elle n'avait aussi bien fait. Et ce n'était pas par dégout ou haine que je me forçais à l'éviter, c'était pour me protéger de toute la souffrance que sa présence m'insuffle quand elle est trop près, mais trop loin de moi. La voir me provoque ces effets là, parce que j'me dis qu'elle ne m'aimait pas assez, ou que je n'étais définitivement pas quelqu'un pour elle et que c'est uniquement pour cette raison qu'elle était partie, mais aussi peut-être parce que j'étais l'élément qui avait accéléré le processus de sa maladie. Pourtant, quand je quittais les toilettes, je l'entendais hurler mon prénom, comme si quelque chose n'allait vraiment pas. Je me suis paralysée un instant de l'autre côté de la porte, me demandant que faire, avant que ma raison et mon coeur ne prennent la décision à ma place. Je m'engouffrais à nouveau dans les toilettes, pour remarquer qu'elle saignait du nez en abondance. Elle m'avait déjà fait ca une fois, c'était vraiment pas bon signe. Je m'approchais d'elle pour la prendre dans mes bras avant qu'elle ne faiblisse et se blesse. Putain, qu'est-ce qui s'passe, Willow ? Rien qu'à ce contact, je sentais mon coeur se déchirer à nouveau, mais j'pouvais pas l'abandonner, j'peux pas la laisser comme ca. Je l'aime, bordel.
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Malgré tout ce qu'il y avait pu avoir, tu l'aimais, tu l'aimais comme pas possible et ton cœur battait encore la chamade à chaque fois que tu posais les eux sur elle. C'était pour cela que tu l'évitais sans cesse, que tu faisais tout pour ne pas la voir, par peur que tu frôles la syncope, que ton cœur s'arrête de battre en la voyant. Est-ce que des sentiments comme cela pouvaient vraiment exister? Des sentiments aussi fort? Tu n'en savais rien. Mais alors que la douleur dans ta tête prenait le dessus, le seul prénom que tu arrivais à dire était le sien. Il n'y avait plus qu'elle qui comptait. Tout devenait flou. Tu n'entendais que vaguement la porte s'ouvrit et tu ne sentais que vaguement les bras de Gwen autour de toi. T'avais froid, tu tremblais. Le sang continuait à couler de ton nez, inondant presque ta robe. En fait, t'en savais rien, tu ne savais pas ce qui se passe. "Fais-moi sortir dehors." T'avais pas envie à ce que l'ambulance arrive à l'intérieur our tout déranger. T'avais pas envie d'être un spectacle. Oui, tu faisais une crise de tu ne sais pas quoi. Ta tête explosait. C'est comme si on te frappait constamment avec un marteau à l'intérieur et que la résonnance frappe contre les parois de ton crane sans arrête. Est-ce que cette douleur allait s'arrêter un jour? Tu n'en savais rien. Est-ce que tu allais mourir ce soir? Tu n'en savais rien. Tout était bien trop flou à présent. "Gwen...j'suis désolée..." Murmurais-tu alors que tu essayais de garder les yeux ouvertes.
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Pour Willow, j'aurai pu tout faire. Donner ma vie pour la sienne, bouffer les pires immondices du monde juste pour la faire rire, me teindre les cheveux de toutes les couleurs, foutre mes pieds dans du béton frais et rester bloquée une fois qu'il est sec et toutes les autres conneries qu'on peut faire pour les beaux yeux de la personne qu'on aime. J'avais peur d'aimer, à cause de cette peur je fuyais, je fuyais dans un mensonge que moi seule croyais. Mais pas avec elle, parce que je n'ai pas eu peur de l'aimer, j'avais même peur de partir, c'était trop dur de partir quand je voyais ses grands yeux noirs se poser dans les miens. J'avais peur de marcher quand je la voyais, depuis le Spring Break, tellement peur que je courais me cacher dans un coin pour éviter de me sentir mourir de tristesse. Mais là, j'en ai rien à foutre de souffrir. La souffrance sera bienvenue plus tard, mais je ne peux l'abandonner dans cet état. Je la sentais alors faiblir dans mes bras, tremblante et frigorifiée. Sans chercher à comprendre, la gardant toujours dans mes bras, je retirais ma veste pour la couvrir. Tiens toi à moi, j'suis là... Je la prenais alors pour la porter comme une princesse afin de la sortir de là, attrapant par la même occasion mon téléphone pour prévenir les secours et leur dire que nous seront dehors quand ils arriveront. Willow s'excusait alors, sans que je sache réellement pourquoi, essayant de garder ses yeux ouverts. Pourquoi tu es désolée ? Je posais mes lèvres sur son front alors qu'on arrivait enfin à l'extérieur. Je posais un genou à terre pour la mettre en position semi assise et la serrais dans mes bras pour pas qu'elle ait froid. Je l'aime et j'peux même pas lui dire, ca m'bouffe, ca m'brûle.
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Quand on t'avait annoncé en Janvier qu'on avait trouvé un parfait donneur, tu avais cru que ce genre d'incident n'arriverait plus. Seulement, maintenant, tu étais là dans ces toilettes du bal à saigner du nez et à doucement perdre ton énergie. Tu te sentais mal, vraiment mal et tu détestais ce sentiment parce que cela ne te rappelait que les mauvaises années ou les rechutes étaient fréquentes. Tu essayais clairement de rester éveiller, mais c'était dure. Gwen t'avait attrapé, freinant ainsi ta chute contre le sol. Tu passais tes bras autour d'elle pour qu'elle te fasse sortir. Heureusement que tout le monde était occupée avec la remise des prix que personne ne vous vit. T'avais pas envie d'avoir des regards indiscrets se poser sur vous. Une fois dehors, tu te sentais déjà un peu mieux, bien que le mouchoir que tu tenais a ton nez étaient rouges écarlates. Tu avais du mal a respirer, même avec la bouche ouverte, alors tu pris du temps pour répondre à sa question. "J'suis désolée pour tout. De t'avoir fait du mal, j'voulais pas, j'avais trop peur de l'attachement." Arrivais-tu à marmonner entre tes lèvres.
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Revoir Willow sombrer dans la maladie me faisait autant mal que de la serrer tout contre moi, sans pouvoir lui dire à quel point je l'aime. Je m'interdit de lui dire, de lui montrer que j'suis folle d'elle et que j'en crève au fond de moi. C'est comme une lame qui s'enfonce on fond de mon âme, comme donner de l'eau à celui qui crève de faim. Mais j'peux pas la laisser là, le nez qui saigne en abondance à cause de sa migraine. Elle m'a fait ce genre de chose une fois, la première nuit que nous avons passée ensemble, dans ma chambre de la Mather House. Je savais très bien ce que cela voulait dire. La rechute, surement. Non, impossible, pas elle, pas la femme de ma vie, putain. Elle me dit alors difficilement les raisons pour lesquelles elle s'excuse, enfonçant un peu plus cette lame au fond de mon coeur. J'peux pas t'en vouloir, Willow... J'peux pas t'en vouloir parce que ca m'fait trop de mal d'essayer, et d'essayer de t'oublier. Alors j'vis avec toi dans ma tête et dans mon coeur. Je marquais une légère pause pour éviter que ma voix ne tremble, au bord des larmes. Mais j'comprends que t'ai pu partir...moi aussi j'flippais. J'voyais qu'elle avait du mal à respirer, et j'espérais que les secours arrivent assez rapidement. J'attrapais sa main doucement, avant de lui murmurer Mais je t'aime toujours autant... Je fermais les yeux un instant, comme si j'avais laissé échapper cet aveux que je voulais garder.
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