Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility※ SO WAKE ME UP WHEN IT'S ALL OVER JOAN - Page 4
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※ SO WAKE ME UP WHEN IT'S ALL OVER JOAN

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Lorànt Deutsch avait écrit un livre d'histoire sur Paris en se basant sur les lignes de métro actuelles. Joan, partie comme elle était, aurait pu écrire la biographie des plus grands personnages de l'antiquité en évoquant leurs déboires amoureux et leur orientation sexuelle. C'était ce genre d'histoire que l'on devait enseigner au collège, sisi. Parce que Jeanne D'Arc qui boute les Anglais hors de France c'est cool, mais on devrait plutôt s'intéresser au pourquoi du comment qu'on la surnommait 'la pucelle'. Vous ne croyez pas ? En même temps, j'ai envie de te dire qu'avec une coupe pareille, on ne peut pas faire des miracles. Quoique c'était peut-être stylé la coupe au bol au Moyen Age, mais aujourd'hui ça n'aurait aucun swag. Ça y est, je crois qu'on mon prof d'histoire vient de se retourner dans sa tombe en lisant ça (s'il est mort). « J'préfère dire qu'il l'aimait trop. C'est plus romantique. J'ai pas envie de croire que Cléopâtre était une casse-couille. » Même si dans Asterix et Obelix : Mission Cléopâtre Monica Bellucci n'a pas l'air super sympathique. Ça n'empêche pas Alain Chabat de la pécho dans l'ascenseur, ceci dit. Du coup, ils parlaient de Jess. Ah, enfin un sujet joyeux, intéressant, qui ravivait la flamme dans le cœur de Bleeker. Il était tellement heureux et fier que Maggie ait enfin cédé – même s'il ne comprenait pas pourquoi elle avait cédé aussi vite, elle qui avait tenu d'une main de fer Jess près d'elle pendant plusieurs moi. Evidemment, chaque fois que Joan et lui se sont reparlés, Jess n'avait pas été le sujet de conversation. Il manquait donc des informations au poney pour comprendre totalement la situation actuelle. « Elle s'est sentie mal après le Spring Break. En panique Maggie l'a envoyé aux urgences et m'a appelé. On a su après plusieurs tests qu'elle avait une maladie génétique qui freine sa respiration et depuis elle suit un traitement. Ça ne la guérira peut-être pas, mais ça permet de faciliter son quotidien. » ça, c'était la mauvaise partie de l'épisode, le moment où l'intrigue se mettait en place. Mais à toute intrigue une solution, il renchérit ; « On a installé une chambre chez ma mère. » avoua-t-il fièrement, même si en soit, la perspective de retourner vivre chez sa mère n'était pas super alléchante. Bon, pour Cody si, il adorait sa mamounette. Mais c'est clair que ça n'allait pas lui faciliter la tâche avec les filles.
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Les histoires de cœur des gens qui sont morts c'est toujours le plus intéressant. Les cours d'histoire seraient beaucoup plus intéressants si on s'intéressait plus au divorce de Joséphine et Napoléon et moins aux conquêtes de l'empereur. C'est pour ça qu'il est conseillé – à l'instar de moi-même – de faire son premier exposé en CM1 sur Louis XIV. Mais attention, pas ce qu'il a pu apporter à la France, ou plutôt désapporter, du style les fortifications des villes et l'agrandissement du territoire. Sérieux ça on s'en fout, de toute façon ça c'est juste pour ramener plus de frics aux Parisiens. Louis XIV avait pas le temps pour venir dans le Sud c'est trop loin. Si, j'suis con, il est venu pour tous nous défoncer la tête parce qu'on était protestants et pas catholiques. Bref, l'exposé, on le fait sur les maîtresses du Roi-Soleil et ses gosses nés hors-mariage. C'est cent fois plus intéressant. Puis si ce n'était pas important, faudra m'expliquer pourquoi Dove Attia et Kamel Ouali ne parlent que de ça dans leur comédie musicale. C'était des busy men à l'époque entre la Nouvelle Star et la Star Ac. Après ils étaient tellement busy qu'ils ont pas pris le temps de choisir une Marie Mancini brune et une Montespan blonde. Voilà ce qu'on apprend quand on fait un exposé sur les meufs des rois. Je pourrais en parler pendant des heures tellement c'est cool comme sujet. Mais Cody n'était pas un roi, enfin pas totalement, il avait été élu meilleur Lowell mais il n'était pas rois des Lowells. Joan essaya de s'imaginer Bleeker avec une couronne. Il était mignon. « Puis César est pas obligé d'être gay tout le temps. » Mais trêve de plaisanteries, Jessica Bleeker était malade. Ça, ça craint. En fait, ce que le vieux papa ignorait, c'était que sa fille était un trésor scientifique. C'était une mutante, un stade plus développé de l'espèce humaine. Il ne fallait pas la rendre normale, c'était une X-Men, merde ! Mais pas sur que ce soit le genre de choses que Cody aimerait entendre. Vous voyez elle n'était la mère de personne, elle en était encore au stade où elle considérait les enfants comme des esprits pleins de potentiels qu'il faut stimuler pour créer des scientifiques de génies qui pourront l'aider dans sa quête de l'espace. « Wahou. J'espère qu'elle va bien se remettre. Je suis contente que tu l'aies récupérée. Puis dans quelques temps tu arriveras bien à te payer ton propre appartement. Ta mère est géniale hein, je dis pas le contraire, mais c'est ta mère. J'veux dire, non en fait rien. »
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Quelle culture des maîtresses des Rois de France, j'applaudis. Peut-être qu'un jour ça me servira de savoir qui est né hors mariage, qui est brune ou blonde, etc … On ne sait jamais, ça pourrait être la question à un million d'euros à la télé ! Maintenant, Cody découvrait une nouvelle orientation sexuelle. Décidément, Joan était un puits de connaissance dans lequel il s'y plongeait tête la première. Il arqua un sourcil et demanda donc, intéressé par cette mi-homosexualité qui pourrait lui donner des idées pour plus tard, puisqu'apparemment la gente féminine ne voulait guère de lui ; « Il est gay à mi-temps tu dis ? C'est intéressant ? Concrètement, quels sont les avantages que je... Jules César aurait pu en tirer ? » QUOI ? Il n'est jamais trop tard pour se renseigner, et Jess aimerait certainement avoir un deuxième papa à la maison, ou un demi-papa, puisqu'il ne serait là qu'à temps partiel. Vous arrivez à suivre, ça va ? En parlant de Jess, c'était avec une certaine joie et émotion que Bleeker parlait d'elle, de sa sortie imminente de l'hosto, de son emménagement chez lui, tout ça quoi. Il attendait depuis des mois que ce moment arrive et, enfin, Maggie avait cédé. Il ne comprenait pas encore pourquoi, ni comment, peut-être avait-elle remis en cause ses capacités de mère mais en tout cas, le résultat était là et il était plaisant. « Mon appartement ? » répéta-t-il après elle avec une grimace. Ah, sa mère. Comme si sa mère était le nœud du problème. Là, il prit une expression un peu plus dure ; we don't touch to the maman. « Qu'est-ce que tu as contre elle ? T'en fais pas, c'est réciproque, elle a arrêté de t'aimer quand tu m'as quitté. » Oui, quelque chose s'est brisé chez elle. Il savait que Joan ne pensait pas à mal mais il n'aimait guère qu'on critique son mode de vie, ça le froissait légèrement, surtout quand on savait pourquoi il était revenu vivre chez elle. À mi-temps heiiiin, le reste du temps il pionçait à la Lowell House.
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« Je sais pas moi. Ça l'occupe le temps qu'il trouve une Cléopâtre qui en vaille la peine. » déclara-t-elle avant de hausser les épaules. Elle voyait mal l'intêret des mi-temps de toute façon. On peut rien faire de spécial avec un mi-temps, certes c'est mieux que rien. Mais quoi ? Bleeker homosexuel à mi-temps, Bleeker qui vit chez sa môman à mi-temps, Bleeker qui a sa fille à lui tout seul jusqu'au jour où Maggie demandera qu'ils s'arrangent pour un mi-temps. Le jeune homme arrivait même à être meilleur Lowell de l'année à mi-temps. D'ailleurs il travaillait même comme comptable à mi-temps. La prochaine étape c'était la petite copine à mi-temps. Merde il fallait qu'il s'impose le p'tit. De nos jours, avec la montée du chômage, faut pas laisser sa place, faut se battre pour obtenir le temps plein avant qu'il ne soit chaparder par un jeune ambitieux à la Bel-Ami. Elle avait envie de lui dire de se bouger le derrière, qu'il ne fallait pas attendre que le patron donne le poste à un nouvel arrivant. Après c'était son choix de vie, pas de soucis. Et ben oui un appartement, genre un truc avec des pièces dedans, une porte d'entrée avec une clé dont il serait l'unique propriétaire – jusqu'à élection de son mi-coeur. « Je dis ça comme ça, mais sérieux, un appart' à toi ça te dirait pas ? Après faut savoir s'en occuper. » Avant de se lancer dans un discours sur le fait qu'il devait élever sa fille dans un environnement sain et tout le blabla. Elle ne voulait pas s'enliser dans le sujet de la belle-mère. Ex-belle-mère, c'est bon merci. « Ravie d'apprendre que ta mère me déteste. Perso j'ai rien contre elle, je disais juste que pour ta vie personnelle à toi, c'était plus simple s'il n'y avait pas ta mère. T'sais ça m'étonne pas que ta mère m'aime pas. J'étais même étonnée qu'elle me déteste pas à l'époque. C'est la seule personne de ton entourage proche qui ne me détestait pas à l'époque. » Si ça se trouve la matriarche canadienne n'aimait déjà pas Joan du temps où ils étaient ensemble mais n'avait rien dit parce qu'elle était persuadée que la Quincy lâcherait son fils et qu'il ne suffirait que de laisser le temps passer pour la voir partir.
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« J'pense qu'il avait tellement de pouvoir que ça faisait peur à toutes les Cléopâtre du monde. » Les hommes de pouvoir, ça attire. DSK l'avait bien compris, un peu trop d'ailleurs. Le mec, il avait cru que toutes les nanas étaient à ses pieds et ce fut le naufrage. Peut-être que Jules César était le DSK de l'antiquité. Il suffisait qu'on remplace le Sofitel par le Colisée et ça donnait presque la même histoire. Ou pas du tout en fait. Je me perds mais je compte bien étudier la question. Le Lowell ignorait complètement comment Joan et lui avaient pu dériver sur … Sa mère. Pourquoi parlait-on d'elle ? OK, elle était une femme géniale, brave, bien conservée pour son âge et elle avait donné naissance à la huitième merveille du monde. Mais ça s'arrête là, non ? Pour unique défense, il avoua que sa mère ne pouvait pas saquer la Lindley. C'était vrai, mais uniquement car elle avait brisé le cœur de Cody et qu'à cause de ça il était revenu vivre chez elle. Concernant l'appartement, il ne comptait pas fléchir, oh non ; « Non, ça ne me dit pas de rentrer le soir dans un appart vide et sans vie. » Le musicos aimait la vie, l'ambiance, rire, être entouré … Bref, l'ambiance de la Lowell House lui convenait à merveille. Et quand il n'y dormait pas, il adorait retrouver la chaleur familiale et ça, Joan ne semblait pas comprendre. En même temps, elle, elle avait la chaleur de son mec donc forcément, partout elle se sentirait chez elle tant qu'elle serait avec lui. Il le supposait, puisque quand il aimait, c'était ce qu'il ressentait. Dormir dans un carton ? Non. Dormir dans un carton avec Joan ? OUI. De manière puérile, il se boucha les oreilles pour faire comprendre à son ex de se taire, inutile de déblatérer sur le sujet, c'était aussi stérile qu'une fraise chez un dentiste. « En quoi ma vie personnelle te passionne tant que ça ? Merci, je vais bien, ma mère va bien, on va bien. C'est pas à cause d'elle que je ne m'épanouis pas personnellement. Enfin si, je m'épanouis très bien personnellement, qu'est-ce que je raconte. Je suis à Harvard, j'élève ma fille et c'est très bien comme ça. Merci de t'inquiéter mais ça va. »  GRRRRR. Elle tirait sur la mauvaise corde, elle aurait fait une très mauvaise Lowell. « Arrête, plein de gens nous aimaient quand on était ensemble. » Du moins, il le pensait.
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Joan secoua la tête négativement. Il se trompait complètement, pourtant c'est comme dans les dms de maths, tous les outils pour réussir sont dans le cours, suffit de savoir les réutiliser. Apparement, Cody ne savait pas ça, alors comment pouvait-il savoir sa leçon ? « Nan, j'pense paaaas. Sinon il est clair qu'il serait toujours en vie, en tout cas il serait pas mort poignardé. J'pense que justement toutes les meufs le voulaient du coup les autres mecs en ont eu marre et ils l'ont tué. » Ça me paraît logique. Julio avait peut-être compris que sa vie serait divinement plus cool s'il prenait les meufs des copains et qu'il matait les garçons tous nus dans les vestiaires du palestre – c'est le gymnase, je précise au cas où il y aie des incultes dans le coin, genre toi. Mais enfin, bien suuuuur qu'elle se préoccupait de son épanouissement, elle était en train de le lâcher, elle allait partir son petit copain sur les épaules, merde, elle voulait pas être la garce de l'histoire. À l'époque où j'avais un chat, avant de partir de la maison, on remplissait toujours sa gamelle d'eau et de croquettes, on vérifiait que la litière était convenable et on mettait une serpillière propre en bas des escaliers si jamais Galipette avait une urgence. Là c'est pareil, sauf que Bleeker relève plus du gros matou que du chaton. La jeune femme lui donnait plein d'idées de trucs à faire pour qu'il soit heureux dans sa life. Rappelez-vous qu'une page plus tôt elle était en train de l'embrasser. Limite ça faisait partie du truc, genre si jamais il s'ennuyait il pourrait toujours y repenser. Enfin il faisait ce qu'il voulait de toute façon. Agacée, elle tira sur ses poignets pour lui faire déboucher ses grandes oreilles. En fait, tout était grand chez lui, même son cœur. Mouuuuah c'est meugnon. « Oh désolée de m'inquiéter de l'évolution de l'espèce Bleekérienne. Si tu restes chez ta môman, oh tu vas être choyé, heureux, avec ta fifille, soit. Mais t'as vingt-cinq ans, tu commences à être vieux, faut que tu penses à toi. T'imagine si tu te satisfais de ce que tu as et dans dix ans Jess te réclame un petit frère ou une petite sœur, si tu te contentes de rester chez ta mère ce qui réduis tes chances de pécho de moitié, tu vas oublier comment on fait. » Elle haussa de nouveau les épaules en libérant les poignets du Lowell. Faut pas sous-estimé la force de l'orange, vachement plus violente que ce qu'on pourrait croire. « Vraiment ? On fait une liste ? »
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Voilà, c'est bon. Cody ne comprenait plus rien à la vie de Jules César ; un jour il était gay, le jour d'après toutes les meufs le voulaient puis le lendemain, des mecs le poignardaient. Ça ne devait pas être facile tous les jours d'être Jules César. Avé lui, Cody pensera longtemps à ce brave homme qui avait juste été incompris de sa naissance à sa mort. « Ce n'est pas très clair dans ma tête. Tu aurais moyen de me fournir un historique de sa vie ? » Mais en un seul volume, synthétisé au max pour pas qu'il n'ait à se prendre la tête. C'était bien connu que Cody n'aimait pas se prendre la tête. Là, Joan entrait carrément dans son intimité en critiquant sa manière de vivre. Mais merde, s'il était heureux comme ça ? Si, pour une fois, dans sa putain d'existence, il était bien ? Ce qu'elle ne comprenait pas, c'est qu'aucune fille ne voudrait plus de lui s'il avait son propre appartement. Ça ne changeait rien. Ce n'était pas inscrit en lettres d'or sur son front ; je vis encore chez ma mère et j'élève seul ma fille de trois ans. Ça ne changerait rien, il était comme ça, condamné à jouer le rôle du bon copain jusqu'à la fin de ses jours et cela n'avait strictement rien à voir avec son style de vie. Il la fusillait du regard mais n'opposa aucune résistance quand elle attrapa ses poignets. Il ne s'avouait pas vaincu pour autant. « Tu sais quoi Lindley ? On a peut-être fait le bon choix, peut-être qu'il vaut mieux que tu sois avec Mr Houppette plutôt qu'avec moi. Je n'ai pas envie de changer, je n'ai pas envie qu'on me change. Tu juges sans savoir comment ça se passe pour moi.  Tu as peut-être besoin de quelqu'un que tu pourras faire rentrer dans un moule, dont tu peux contrôler la vie, et je ne te laisserais pas faire de moi ce quelqu'un. » Quand ils sortaient ensemble, Cody n'avait jamais eu l'impression qu'elle le manipulait pour qu'il prenne la direction qu'elle voulait. Cependant, les gens changent. « Si ça peut t'amuser. » fit-il en roulant des yeux. Selon lui, il n'y avait qu'un nom à mettre ; Maggie.
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« Oui tu notes ? Trois double-v point wikipedia w i k i p e d i a point com. Ou tu tapes juste wikipedia dans la barre de recherche google. Gougueule. » Petit moment de légèreté avant de replonger dans une conversation décisive. Elle n'était pas d'accord, pas euké du touut. Peut-être qu'ils allaient pas se reparler pendant … jusque dans longtemps. La jeune femme pensait vraiment que tout avait été dit, mais apparemment non. Elle ne comprenait pas trop leur besoin permanent de se crier dessus. Por qué ? En même temps, elle se disait que plus ils trouveraient de choses à se reprocher, plus ils passeraient du temps ensemble à se crier dessus. Et encore une fois, la Quincy préférait ne voir Cody que pour lui aboyer dessus que ne pas le voir du tout. C'est dire le niveau de désespoir de la brune. Il n'empêche qu'elle en prenait pour son grade à chaque fois. Une fois c'était sa myriade d'amis spéciaux comme les appelait si élégamment Bleeker et cette fois-ci elle était une espèce de control freak à la Kim Kardashian. D'ailleurs j'ai lu dans public qu'elle allait se marier avec Kanye West mais qu'en fait c'était peut-être même pas vrai. Genre elle dit à tout le monde qu'elle va se marier, mais ça ne serait qu'un coup de pub pour son émission de téléréalité, comme la dernière fois qu'elle s'est mariée. En écoutant le Grand Nez déblatérer que visiblement Joan était une amoureuse de la pâtisserie qui aimait mettre des gens dans les moules, elle fut horrifiée de constater que selon les dires du jeune homme, elle avait plus que sa petite taille en commun avec la Kardash. Horreur, malheur. Ça ne pouvait pas être vrai. Et puis question cuisine, il avait de trop grands pieds pour rentrer dans un moule. « Me fais pas passer pour la méchante manipulatrice. Tu crois vraiment que c'est un truc qui m'intéresse de te changer ? Si t'as envie de passer ta vie à jouer à GTA, à boire de la bière, à oublier de trier le papier et le verre dans les poubelles, à faire passer les autres avant toi-même et à vivre chez ta mère parce que c'est la seule personne qui t'a jamais laissé tombé, soit, je sais, c'est toi, c'est comme ça, c'était comme ça quand je t'ai rencontré, c'était comme ça quand on était ensemble et ce sera toujours comme ça, et je m'en fous royalement, mais j'espère pour toi que tu es sur d'être heureux comme ça, c'est tout. »
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« Non, je voulais que ce soit toi qui rédige la synthèse. Comme ça, j'aurais l'impression que tu as écrit quelque chose pour moi, même si ça ressemblera plus à fifty shades of César plutôt qu'une lettre d'amour. » Il s'en contentera, il vivra les histoires d'amour de Julius par procuration quoi. Paye la tristesse de Cody n'empêche. Mais il ne changerait pas. Ouais, il était peut-être condamné à s'appeler Tanguy Bleeker, à rester un éternel soumis aux caprices de son ex Maggiléfique, peut-être même à courir toute sa vie après Joan et la repousser quand elle voudra de lui … Mais s'il était bien ? Parfois, le changement fait tellement peur qu'on préfère de loin ce qu'on a présentement, même si c'est merdique. Telle était la philosophie de la vie de Cody et si elle ne lui plaisait pas, who cares ? Pas Joan. Comme si elle se préoccupait réellement du bonheur de Bleeker. Depuis qu'elle l'avait quitté du jour au lendemain, il peinait à croire qu'elle se soit un jour questionnée au sujet de ce qui le rendrait heureux. Elle prétendait ne pas vouloir le changer … Que nenni. Elles disaient toutes ça. Sur la défensive, il rétorqua ; « Je ne suis plus un gamin. Si pour le moment ma vie me convient comme ça, je ne vois pas pourquoi des changements devraient y être apportés. Mais merci, je te ferais signe quand j'aurais besoin d'un nouveau look pour une nouvelle vie. » Ou alors il appellerait Cristina ou bien William qui semblaient au moins aussi bien qualifiés. « Il va sûrement se demander où tu es passée ... » soupira-t-il, sans préciser de qui il parlait. Inutile de gaspiller de la salive alors que ça paraissait évident.
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« Un jour je t'en écrirais une. De lettre. Je ne la signerai pas, tu sauras qu'elle est de moi au moins. » Attendez, elle en était tout à fait capable, suffisait qu'elle trouve le bon moment. Puis c'est pas comme si ça pouvait lui retomber dessus. De toute façon, on est d'accord que les lettres c'est ce qu'il y a de mieux dans la vie. Joan ricana avant de se reprendre. Elle avait envie de lui dire que si elle devait attendre un signe de lui, elle pouvait bien mourir quatre fois. « Même si un jour tu décides de faire tes courses tout seul, n'hésite pas à demander de l'aide, je suis pratiquement sure que tu serais capable de renverser une gondole de bouteilles en verre. » On ne prend pas assez au sérieux l'art de manier le chariot. Genre dans Divergente il devrait y avoir une faction des Chariots. Genre les mecs ils ne font que ça. Voilà voilà … « J'ai … je crois pas. Mais je devrais y aller. C'était bien. Ce soir. » Bon, bon. Maintenant, elle devait lui dire ciao bye bye. Techniquement pour une loooooooongue durée. Elle ne savait pas trop comment lui dire aurevoir et si elle devait. Par instinct, la jeune femme se disait qu'un kiss c'était trop romantique, trop mignon. Puis après elle se ravisa. Lindley n'était pas sure que ça faciliterait les choses. Et un câlin c'était pareil, puis ça allait finir en papouilles ça. Ensuite, elle ne se voyait pas lui faire la bise ou lui serrer la main. Finalement elle se contenta d'effleurer ses lèvres du bout du doigt avant de se lever en soupirant. Elle ramassa sa veste et son sac. « Bon j'y vais. Je vais partir là. J'y vais. »
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