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Padmavati Chandra Devika Khanna fiche; C'est le 10 juin 1989 à New Delhi, que la famille Khanna m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Padmavati Chandra Devika. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée pour mon pays d'origine. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en archéologie (majeure) et histoire (mineure), je suis maintenant en 5ème année. Et pour terminer, je fais partie des Dunster. |
Études Très attachée à la culture et à l'histoire de mon pays mais aussi du monde en général, c'est spontanément que je me suis tournée vers des études d'archéologie pour essayer de résoudre encore les nombreux mystères historiques de notre belle planète. De plus je suis quelqu'un qui adore passer du temps à l'extérieur, voyager et s'ouvrir au monde extérieur, ce que le métier d'archéologue peut m'offrir. Concernant ma vie étudiante au sein du campus, je ne vais pas vous mentir, et je vais donc dire que je ne suis pas très impliquée dans celle-ci, juste parce que je n'y suis tout simplement pas interesser. Je préfère vivre dans mon petit monde en fait. | Caractère On m'a toujours décrit comme une personne attachante, gentille, toujours là pour mes proches en cas de besoin. Mais ce qui me caractérise le mieux je pense c'est mon côté rêveuse, en effet j'ai souvent la tête dans les nuages, je suis dans mon petit monde à vrai dire et puis être loin de son pays n'aide pas vraiment. Indépendante, autonome et responsable depuis des années, il est facile de me faire confiance, de me confier une mission à vrai dire. Sous moes air de filles coincés, je suis en réalité enjouée, j'aime tout simplemeny profiter de la vie, découvrir le monde qui s'ouvre à moi. Je suis sociable aussi même si je dois avouer que je suis en général plus fourrée avec mes amis proches car à vrai dire je suis déjà bien entourée. A l'écoute de tous et de nature très diplomate, je sais reconnaitre mes erreurs lorsque j'en fais mais je déteste l'injustice. Je ne suis pas timide mais je suis plutôt discrète à vrai dire, je n'aime pas trop que l'attention soit porté sur moi, je n'ai jamais rêve d'être sous les projecteurs, je veux juste vivre ma vie comme je l'entends. Côté relations, vu que je suis romantique et sensible, il faut savoir que ce n'est même pas la peine de tenter les histoires d'un soir avec moi et puis je suis très difficile en matière d'hommes en plus, je cherche la perle rare en fait! |
Everyone Has Their Own Story
Tous les enfants n’ont pas la joie de naitre dans un environnement adéquate pour eux, qui leur permettent ainsi de se développer en toute innocence. Et ce fut mon cas, non je ne suis pas née car mes parents ne voulaient pas de moi. Je suis tout simplement née dans le plus grand bidonville de New Delhi, au milieu de la misère et de la poussière et non dans un hôpital comme tout le monde. Mes parents qui avaient déjà 5 enfants, 5 fils en réalité accueillirent pour la première fois une petite fille. Ma mère était à la fois heureuse et triste d’avoir enfin une fille mais elle savait dès le début de sa grossesse qu’elle ne pourrait pas garder l’enfant qu’elle portait en elle pour la simple et bonne raison que ma famille ne pouvait nourrir une bouche de plus. Mais ce fut hélas une grande perte pour elle d’abandonner sa première fille mais elle savait pertinemment que c’était pour le bien du nouveau née qu’elle faisait cela. Alors quelques heures à peine après ma naissance, mon père me déposa sur les marches du plus grand orphelinat de la capitale. Celui-ci était déjà bondé d’enfant qui attendait d’être adopter par une famille qui prendrait soin d’eux. Je fus bien évidemment recueilli, nourri, habillé. Et j’avais un toit au dessus de ma tête. Il me fallut attendre 6 mois pour être adopter par une riche famille de la capitale. Enfin riche, elle n’était pas pleine aux as mais ici en Inde, c’était déjà bien d’avoir de l’argent pour s’occuper d’un enfant, l’élever. Alors cet abandon par ma famille était après tout un mal pour un bien même si je n’en étais pas encore consciente à vrai dire.
Les années passèrent, j’eu une enfance plutôt heureuse au sein de ma famille adoptive, j’étais leur unique fille et donc j’avais toute leur attention mais je ne faisais pas partie de ces filles pourries et gâtées. A mes 10 ans, mes parents m’expliquèrent que je n’étais pas réellement leur fille, car il pensait que j’étais assez mature pour comprendre et ils ne voulaient en aucun cas me cacher ce secret par peur que je le découvre moi-même, ce qui aurait pu envenimer la relation fusionnelle que j’avais avec mes parents. Cette révélation n’eu en réalité aucun effet sur moi, et comment je voyais mes parents adoptifs que je considérais comme mes réels parents. Car après tout je leur dois peut être la vie, je n’aurais peut être pas survécu dans ce bidonville que je connais en plus de nom. Et grâce à eux, j’avais aussi le droit à l’une des meilleures éducations qu’il soit car je fréquentais des écoles privées et payantes que mes parents payaient avec leurs revenus issus des bénéfices des multiples restaurants qu’ils possédaient en ville. D’ailleurs j’ai passé une partie de mon enfance fourrée dans le restaurant situé en dessous de notre maison au cœur de New Delhi, et c’est comme ça que je pris goût à la cuisine, une de mes passions à vrai dire. Et aujourd’hui encore j’aime concocter de bons petits plats Indiens dont les recettes se transmettent de génération en génération.
Malgré le fait que je sois une enfant adopté, je n’ai jamais souhaité rencontrer ma famille biologique. Suis-je égoïste non pas du tout ! C’est juste que je ne voulais pas infliger cela à mes deux familles et puis j’avais peur, peur de voir mes vrais parents vivant dans la misère alors que moi je vivais normalement entourée d’affection, d’amour, des dernières technologies et tout le confort que la plupart des gens de mon pays ne peuvent profiter. Je refuse donc de faire face à mes vraies origines pour me protéger moi ainsi que les êtres auxquels je tiens. Je continue donc de vivre dans le monde auquel je suis habituée mais sans réelle honte d’être adoptée, fréquentant les amis de mon lycée privée seulement accessible par la population aisée. Et comme les jeunes de mon âge, j’ai de nombreux amis mais des amis sur qui je peux compter. Je sors de temps en temps mais je parle de sortie en boites ou dans les bars (chose que font les jeunes américains), non je sors, me balade, découvre des endroits de la capitale accompagnées de mes amies à faire les boutiques. Une fille parfaite aux yeux de tous parents à vrai dire. Mais voilà je suis beaucoup trop curieuse, et moi je rêve de visiter d’autres pays, de découvrir d’autres cultures aux antipodes de la mienne.
Seize ans, c’est jeune pour mourir non. Hélas c’est bien ce qui a failli m’y arriver et ce jour là j’ai vu toute ma vie défilée devant moi. C’était un jour normal en fait, un jour de cours, il était 11h30 passé, la plupart des élèves venaient de sortir de cours, moi y compris au bras de ma meilleure amie que je connais depuis des dizaines d’années vu que nos deux familles étaient proches et en fait nous étions même des cousines éloignées mais bon ce n’est qu’accessoire. Nous marchions toutes les deux dans le couloir, sac en bandoulière sur l’épaule prête à sortir du bâtiment pour aller manger un morceau dans le parc situé juste à côté comme nous en avions l’habitude. Mais la routine fut rompue lorsque je sentis la chaleur envahir mon corps alors que mon amie me tirait sur le bras pour me faire rentrer dans une pièce. Et alors que je tombais à terre, celle-ci fermer la porte, la barricadant même avec des meubles. J’avais posé ma main sur le bas de mon ventre, sentant un liquide chaud et regardant ma même je m’aperçu que c’était min sang qui s’y trouvait. C’est la dernière chose dont je me souviens à vrai dire avant que je me réveille dans un lit d’hôpital, deux jours plus tard, mes parents ainsi que ma meilleure amie à mes côtés. Je n’appris que quelques jours plus tard qu’il y avait eu une fusillade dans mon lycée perpétré par un jeune qui voulait se révolter contre la société, ses attentions avaient été de toucher la haute société de New Delhi car il était horrifié de voir que des Indiens vivaient dans le luxe alors que d’autres vivaient dans la boue. Résultat de cette folie meurtrière : quatorze morts (incluant l’auteur de cette tuerie) et trente deux blessés graves. Sans l’intervention de mon amie j’aurais pu faire partie de la liste des décédés mais non elle avait eu le réflexe de presser ma blessure pour éviter que je me vide de mon sang et cela jusqu’à l’arrivée des secours. Il me fallut quelques mois pour me remettre pleinement de ma blessure et de mes émotions forcément mais quelques séances chez le psychologue suffirent après tout les raisons de ce jeune de se rebeller était tout à fait valable mais j’avais du mal à surmonter le fait qu’il se soit attaqué ainsi à d’autres personnes qui parfois n’ont pas choisi de vivre dans ce milieu comme moi car après tout je ne suis pas un cas isolée dans mon pays. Beaucoup de familles riches adoptent des orphelins venant des rues pour leur permettre de vivre. Cet épisode de ma vie n’a rien changé en moi mis à part le fait que dorénavant je porte toujours une arme sur moi (enfin cachée dans mon sac à main).
Alors que j’avais 18 ans, j’appris que j’étais acceptée à Harvard comme élève boursière en cursus d’archéologie et d’histoire comme je l’avais espérée. Je faisais la fierté de ma famille et moi j’étais impatiente de m’envoler pour les Etats-Unis même si ça me brisait le cœur de devoir quitter ma famille, mes amis et mon pays aussi mais j’étais avide de savoir que je ne pouvais refuser cette université de renommée internationale. Je ne peux pas dire qu’il fut aisé de se faire à cette nouvelle culture où l’argent et le sexe sont roi (faut dire les choses comme elles sont après tout !). D’ailleurs mes parents avaient peur au départ que je me laisse envahir par tout ça, que je tourne mal. Je comprenais leur inquiétude mais n’étant pas du genre influençable, je m’habituais à ma façon. Forcément cette nouvelle vie m’a un peu changé car je connaissais dorénavant les joies que d’avoir un petit ami mais sinon pas grand-chose de plus. Et cinq ans après mon arrivée, je suis toujours la même, cette fille rêveuse qui croit encore au prince charmant.
Les années passèrent, j’eu une enfance plutôt heureuse au sein de ma famille adoptive, j’étais leur unique fille et donc j’avais toute leur attention mais je ne faisais pas partie de ces filles pourries et gâtées. A mes 10 ans, mes parents m’expliquèrent que je n’étais pas réellement leur fille, car il pensait que j’étais assez mature pour comprendre et ils ne voulaient en aucun cas me cacher ce secret par peur que je le découvre moi-même, ce qui aurait pu envenimer la relation fusionnelle que j’avais avec mes parents. Cette révélation n’eu en réalité aucun effet sur moi, et comment je voyais mes parents adoptifs que je considérais comme mes réels parents. Car après tout je leur dois peut être la vie, je n’aurais peut être pas survécu dans ce bidonville que je connais en plus de nom. Et grâce à eux, j’avais aussi le droit à l’une des meilleures éducations qu’il soit car je fréquentais des écoles privées et payantes que mes parents payaient avec leurs revenus issus des bénéfices des multiples restaurants qu’ils possédaient en ville. D’ailleurs j’ai passé une partie de mon enfance fourrée dans le restaurant situé en dessous de notre maison au cœur de New Delhi, et c’est comme ça que je pris goût à la cuisine, une de mes passions à vrai dire. Et aujourd’hui encore j’aime concocter de bons petits plats Indiens dont les recettes se transmettent de génération en génération.
Malgré le fait que je sois une enfant adopté, je n’ai jamais souhaité rencontrer ma famille biologique. Suis-je égoïste non pas du tout ! C’est juste que je ne voulais pas infliger cela à mes deux familles et puis j’avais peur, peur de voir mes vrais parents vivant dans la misère alors que moi je vivais normalement entourée d’affection, d’amour, des dernières technologies et tout le confort que la plupart des gens de mon pays ne peuvent profiter. Je refuse donc de faire face à mes vraies origines pour me protéger moi ainsi que les êtres auxquels je tiens. Je continue donc de vivre dans le monde auquel je suis habituée mais sans réelle honte d’être adoptée, fréquentant les amis de mon lycée privée seulement accessible par la population aisée. Et comme les jeunes de mon âge, j’ai de nombreux amis mais des amis sur qui je peux compter. Je sors de temps en temps mais je parle de sortie en boites ou dans les bars (chose que font les jeunes américains), non je sors, me balade, découvre des endroits de la capitale accompagnées de mes amies à faire les boutiques. Une fille parfaite aux yeux de tous parents à vrai dire. Mais voilà je suis beaucoup trop curieuse, et moi je rêve de visiter d’autres pays, de découvrir d’autres cultures aux antipodes de la mienne.
Seize ans, c’est jeune pour mourir non. Hélas c’est bien ce qui a failli m’y arriver et ce jour là j’ai vu toute ma vie défilée devant moi. C’était un jour normal en fait, un jour de cours, il était 11h30 passé, la plupart des élèves venaient de sortir de cours, moi y compris au bras de ma meilleure amie que je connais depuis des dizaines d’années vu que nos deux familles étaient proches et en fait nous étions même des cousines éloignées mais bon ce n’est qu’accessoire. Nous marchions toutes les deux dans le couloir, sac en bandoulière sur l’épaule prête à sortir du bâtiment pour aller manger un morceau dans le parc situé juste à côté comme nous en avions l’habitude. Mais la routine fut rompue lorsque je sentis la chaleur envahir mon corps alors que mon amie me tirait sur le bras pour me faire rentrer dans une pièce. Et alors que je tombais à terre, celle-ci fermer la porte, la barricadant même avec des meubles. J’avais posé ma main sur le bas de mon ventre, sentant un liquide chaud et regardant ma même je m’aperçu que c’était min sang qui s’y trouvait. C’est la dernière chose dont je me souviens à vrai dire avant que je me réveille dans un lit d’hôpital, deux jours plus tard, mes parents ainsi que ma meilleure amie à mes côtés. Je n’appris que quelques jours plus tard qu’il y avait eu une fusillade dans mon lycée perpétré par un jeune qui voulait se révolter contre la société, ses attentions avaient été de toucher la haute société de New Delhi car il était horrifié de voir que des Indiens vivaient dans le luxe alors que d’autres vivaient dans la boue. Résultat de cette folie meurtrière : quatorze morts (incluant l’auteur de cette tuerie) et trente deux blessés graves. Sans l’intervention de mon amie j’aurais pu faire partie de la liste des décédés mais non elle avait eu le réflexe de presser ma blessure pour éviter que je me vide de mon sang et cela jusqu’à l’arrivée des secours. Il me fallut quelques mois pour me remettre pleinement de ma blessure et de mes émotions forcément mais quelques séances chez le psychologue suffirent après tout les raisons de ce jeune de se rebeller était tout à fait valable mais j’avais du mal à surmonter le fait qu’il se soit attaqué ainsi à d’autres personnes qui parfois n’ont pas choisi de vivre dans ce milieu comme moi car après tout je ne suis pas un cas isolée dans mon pays. Beaucoup de familles riches adoptent des orphelins venant des rues pour leur permettre de vivre. Cet épisode de ma vie n’a rien changé en moi mis à part le fait que dorénavant je porte toujours une arme sur moi (enfin cachée dans mon sac à main).
Alors que j’avais 18 ans, j’appris que j’étais acceptée à Harvard comme élève boursière en cursus d’archéologie et d’histoire comme je l’avais espérée. Je faisais la fierté de ma famille et moi j’étais impatiente de m’envoler pour les Etats-Unis même si ça me brisait le cœur de devoir quitter ma famille, mes amis et mon pays aussi mais j’étais avide de savoir que je ne pouvais refuser cette université de renommée internationale. Je ne peux pas dire qu’il fut aisé de se faire à cette nouvelle culture où l’argent et le sexe sont roi (faut dire les choses comme elles sont après tout !). D’ailleurs mes parents avaient peur au départ que je me laisse envahir par tout ça, que je tourne mal. Je comprenais leur inquiétude mais n’étant pas du genre influençable, je m’habituais à ma façon. Forcément cette nouvelle vie m’a un peu changé car je connaissais dorénavant les joies que d’avoir un petit ami mais sinon pas grand-chose de plus. Et cinq ans après mon arrivée, je suis toujours la même, cette fille rêveuse qui croit encore au prince charmant.
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