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Eros Orion Hadès Vasilis fiche; en cours C'est le 24 décembre 1986 à Los Angeles, que la famille Vasilis m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Eros. Je suis en couple et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale moyenne. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en art, je suis maintenant en 7e année. OU Depuis maintenant 7 ans je travaille comme dealer. Et pour terminer, je fais partie des Mather House. |
Études Entrer à Harvard c'était quelque chose que je n'avais jamais imaginé. Je pensais travailler tout de suite après le collège que je ne pensais même pas finir d'ailleurs. C'est grâce à l'art et au sport, deux disciplines dans lesquels je suis plutôt doué que je suis arrivé ici. Avec un petit joint, une piqûre d'héro ou un cachet d'exta je suis capable de vous sortir des toiles que vous n'auriez jamais imaginé. L'inspiration me prend durant des heures. C'est pour ça que je peux raté des cours, où être complètement défoncé sur le campus. J'ai aussi la réputation de pouvoir obtenir à chacun tout ce qu'il veut tant qu'il met le prix ... Drogue, objet illégaux ect ... ça c'est ma bonne réputation, ma mauvaise réputation est que je me bat assez souvent. Il est pas rare de me croiser au milieu de la foule pris dans une bagarre. Enfin je compte vraiment profiter de ma nouvelle vie d'étudiant et de ne pas gâcher ne serait qu'une seconde de cette opportunité. | Caractère On dit souvent que c'est nos parents, notre éducation qui nous forge un caractère, pour ma part je pense que c'est vrai. Il n'y a qu'à voir ce que je suis devenu, parce que malgré toute ma fierté et mon égo je suis bien conscient que j'ai un vrai caractère de merde! Je suis manipulateur, bagarreur, susceptible, j'aime me moquer des autres mais je ne supporte pas qu'on se moque de moi ... Je suis méchant et je n'aime pas vraiment la compagnie des autres, sauf si je peux y voir un intérêt. Je n'ai pas vraiment d'amis parce que je finis par les éloigner ou par les entraîner dans mes comportements à risque. J'ai une véritable attraction pour le risque, j'aime jouer avec le feu et y entraîner les gens que j'aime. Toutes mes relations sont ambivalente, entre haine et amour parce que tout simplement je ne suis pas capable de faire confiance. |
Everyone Has Their Own Story
La cité des Anges …
Quelque part dans la pièce on pouvait entendre le bruit significatif d’un crayon noir gras qui crissait sur une feuille de papier blanche avec vigueur. Quelqu’un dessinait avec inspiration dans la pièce seulement il n’y avait personne. Sophie se dirigea alors vers l’armoire et ouvrit la porte aveuglant par le flot de lumière le petit garçon assis dedans. « Tu peux sortir il est parti. » Elle s’approcha pour l’embrasser chose qui apparemment ne plaisait pas à celui-ci qui faisait le grimace. Pour une fois elle ne sentait pas l’alcool pas d’odeur d’anis ou de whisky, alors malgré la grimace il se laissa faire. Sophie ramassa ensuite le dessin du petit garçon qu’elle contempla quelques secondes sans dire un mot, elle était un peu nerveuse, ces mains tremblaient. Cela ne faisait pas longtemps qu’elle était sobre à vrai dire le manque commençait sûrement à se faire ressentir. Puis sans raison elle éclata en sanglot devant le petit garçon qui sans chercher à comprendre se dirigea vers elle pour la prendre dans ces bras, lui caressant les cheveux. « Je suis désolé Eros … » Elle se releva, essuya ces larmes avec sa manche, lui rendit son dessin sur lequel un garçon était représenté d’un coup de crayon sûr et doué pour son âge, puis quitta la pièce. Ce fut la dernière fois qu’il voyait sa mère, Eros avait cinq ans.
Joyeux Noël Patrick ! Joyeux Noël Stella ! A la télé le petit garçon âgé d’aujourd’hui dix ans regardait les programmes de Noël. C’était son jour préféré parce que c’était aussi le jour de son anniversaire. Eros s’était enfermé dans sa chambre, ce soir-là, même si son père lui avait strictement interdit de mettre un verrou à sa porte. C’était en quelque sorte pour se sentir en sécurité dans cette fichue maison qui ne serait pour lui à l’avenir qu’un souvenir traumatisant et angoissant. De toute façon il n’était pas là … Il était parti boire dans un bar miteux du coin de la rue, là où il avait ces habitudes. Depuis le départ de Sophie il buvait encore plus, devenait de plus en plus violent et dépendant de son fils. Eros profitait de cette soirée, sa soirée où il pouvait faire ce qu’il voulait, seul chez lui. Enfin seul … Un bruit grave se fit entendre du rez de chaussé, quelqu’un venait d’entrer. « EROS ! DESCENDS ! » C’était son père, il était rentré et marmonnait des choses du bas de l’escalier. Le petit garçon ne bougea pas d’un centimètre déterminé à l’idée de tenir tête à son père aujourd’hui et de ne pas lui obéir. « Bar pourri … Fête de famille tu parles ! EROS putain t’es où ? » Des pas dans les escaliers, il n’avait pas assez bu pour pouvoir les monter ? Eros se leva et augmenta le son de la télé avant de courir dans son dressing pour s’y mettre en boule les mains sur les oreilles. Ce soir-là la porte céda, la télé fut cassée et Eros se retrouva hospitalisé deux semaines pour différentes fractures. Eros avait l’habitude d’encaisser les coups mais ce soir-là fut le pire de sa vie.
Life is a mess …
Le bureau du proviseur était un lieu que connaissait bien Eros à la fin de son année de lycée. Il avait eu l’habitude d’y passer de longs moments. Malgré ces bons résultats dans chaque matières, Eros avait une conduite qui lui value de se faire renvoyer plusieurs fois et aujourd’hui Mr Rigley le principal semblait ne plus savoir ce contenir vis-à-vis de lui. « Vous vous battez, vous fumer, vous vous droguer, vous droguer les fils de donateur du lycée et vous abusez de leur filles ! Malgré tout ce que j’ai essayé vous continuez en vous foutant de moi ! Et bien je ne joue plus maintenant Mr Vasilis ! Les appréciations compte pour entrer en faculté vous savez ! Et bien assurez-vous que je vais faire de mon mieux pour que vous ne sortiez pas de votre banlieue de bandits ! » Eros ne répondit pas, Mr Rigley avait été bon avec lui, il savait que ce n’était pas un homme bête et méchant mais son arrogance lui ordonna de ne pas répondre, de l’ignorer comme si rien de ce qu’il disait ne le touchait. Eros n’avait pas spécialement envie d’aller à Harvard, tout ce dont il avait envie c’était de quitter son père et de prendre son indépendance. Pour le moment Harvard restait la seule solution, il avait trouvé les bourses et pouvait se payer une chambre sur le campus grâce à son deal. Seulement Rigley pouvait compliquer les choses pour lui. « Mr le principal, je ne prends pas la défense de Mr Vasilis mais je pense qu’il serait un très bon élément pour la section d’art d’Harvard, il a été repéré par plusieurs chasseur de tête et ce serait vraiment bénéfique pour notre école d’envoyer un artiste tel que lui à Harvard … Imaginez la publicité que cela pourrait nous faire ! » Ça c’était Mme Jenkins, la professeur d’art plastique d’Eros, la seule qui l’a toujours soutenue malgré ces frasques et ses attitudes violente et dominatrice. Elle avait sûrement pitié de lui, mais au fond elle avait surtout foi en lui. Elle était persuadé qu’Eros pouvait avoir un grand avenir … Elle était bien la seule. « La publicité qu’il pourrait nous faire ?? C’est bien ça qui m’inquiète Mme Jenkins ! C’est un délinquant en puissance ! » Le principal marmonna ensuite d’autres mots dans sa barbe regardant tour à tour Eros et Jenkins. « Bon ! Qu’il y aille mais je ne le soutiendrais pas. Tout repose sur vous Jenkins vous prenez également la responsabilité du chaos qu’il va causer. » Un petit sourire s’afficha sur les lèvres d’Eros, un chaos, l’idée l’excitait il fallait l’avouer, Harvard ne serait finalement pas si mal. Il y entra d’ailleurs l’année suivante en art appliqué option histoire de la littérature et sport pour conserver sa bourse.
Between Love and Hate ...
Un joint, une piqure d’héro ou un cachet d’exta c’était ça qui le rendait inspiré, il pouvait peindre jusqu’à l’aube, ou écrire. C’était ça, c’était son truc, sa passion. Eros était vraiment doué pour tout ça, il avait déjà exposé, vendu des toiles et des écrits ce qui lui permettait de ne pas prendre de job. Il vivait comme ça, dans ces pots de peintures, quelques marques de peintures entremêlées dans ces cicatrices souvenirs de son père l’attestaient. Mais mis à part ça, Eros avait une autre passion … Les femmes. A Harvard il fallait l’avoué le jeune homme a du succès sa serait bête d’en profiter. Alors chaque soir une nouvelle fille passait dans son lit, sans jamais être présente pour le petit déjeuner, Eros détestait ça. Il ne voulait pas être proche de quelqu’un, il voulait simplement profiter d’elles. Son attitude de badboy, artiste lui permettait d’ailleurs de tomber sur ce genre de filles, qui acceptaient ce genre de relation, les autres tant pis il leurs brisaient le cœur. Jusqu’au jour où Eros remarqua une fille, ce n’était pas son genre de « remarquer » une fille, habituellement il les choisissait au hasard dans un bar ou dans une boîte mais elle, il la voulait vraiment.
« Eros ralenti je t’en prie ! » Les bras de la jolie brune se serraient autour de la taille du jeune homme qui accélérait encore. Ils bordaient la côte, du haut de falaises en moto par un temps de pluie. Des éléments qui auraient persuadé n’importe qui de normalement constitué de ralentir, d’être prudent, mais ce n’était pas le cas d’Eros. Il accélérait encore, pris d’adrénaline, une autre de ces drogues, lorsqu’ils arrivèrent enfin sur le bout de la falaise Eros s’arrêta. La jolie brune qui n’était autre que Luhànn descendit de la moto et jeta son casque au sol avant de s’éloigner visiblement en colère. « Bébé revient ! Aller c’était fun je suis sûr que quelques part tu as adoré cette adrénaline … » Eros l’avait attrapé par derrière se collant contre elle et la compressant en mettant ces bras autour d’elle. Etait-il amoureux d’elle ? Sans aucun doute, c’était d’ailleurs bien la première fois qu’il ressentait ce sentiment pour qui que ce soit, mais son passé l’empêchait d’avoir une relation saine avec Luhànn. C’était impossible, toute leur relation était fondée sur un sentiment ambivalent de haine et d’amour … Ce qui leur valu le titre du couple le plus sulfureux d’Harvard … Les bras toujours autour de la jeune femme Eros compris qu’il avait fait une erreur appréciation quand la jeune femme se tourna pour lui mettre une claque à laquelle Eros ne s’attendait pas. Sa réaction aussi fut imprévisible car à son tour il gifla Luhànn. C’était la première fois qu’il levait la main sur elle et ce geste marqua un tournant dans leur relation toxique.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM Colbi. ↬ ÂGE 17 ans. ↬ PAYS/RÉGIONS France - Paris :) ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUMSur le topsite d'obsession. ↬ TES IMPRESSIONS Superbe graphisme! C'est sa qui m'a convaincu après j'espère que je vais réussir à m'intégrer y'a pas mal de monde :). ↬ CRÉDIT(S) Avatar : Shiya création et Gif : un membre d'un rpg. ↬ AVATAR Milo Ventimiglia. ↬ SCÉNARIO OU PI? Scénario. ↬ LE MOT DE LA FIN Faut que je file me mettre à l'histoire! A ta l'heure ;). |
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