DENNA LAURA ROSEWOOD► Valerie Poxleitner

C'est le 24 février 1991 à Sydney en Australie, que les membres de la famille Rosewood m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Denna Laura. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de domaine d'arts (majeur) et de travailleur social (mineur) depuis deux ans et travaille en parallèle de mes études en tant que pâtissiaire avec ma belle-mère. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell House ou les Quincy House.

Denna Laura Rosewood

Looks alot like Valerie Poxleitner

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Vans ou simplement July qui est mon surnom et j'ai 20 ans (YOUHOU!). Je suis canadienne et j'ai connu le forum grâce à top-site. Lorsque j'ai vue qu'il était extrêmement actif, je n'ai simplement pas pu résister et surtout que je peux jouer avec une de mes actrices préféré, alors j'ai décidé de m'inscrire[/b]. J'utilise Valerie Poxleitner comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Coolie. Je fais environ 650 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ everyone is someone, somewhere to share something incredible with this world.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
Après la bombe, j'ai essayé d'oublier mes mauvais souvenirs qui revenaient comme un éclair à plein fouet. S'était débile et aussi, je m'étais sentie comme si quelqu'un me torturait en revoyant mon père se faire tirée au beau milieu de la rue lorsqu'il était venu me chercher avant une compétition de danse. La plupart de mes nuits, je dois prendre de la médication pour dormir. Les nuits blanches sont très populaires chez moi depuis l'attentat terroriste. Ma belle-mère fait son possible pour me rendre heureuse comme elle le faisait avant. Jouer le rôle de ma mère, elle le fait parfaitement. Par contre, je suis très nerveuse. Il ne faut pas me faire peur, car je peux facilement tombé dans les pommes ou même traumatisé. Je le cache beaucoup pour ne pas que personne ne me voie comme une folle. J'ai mes propres trucs pour éviter que les gens le sachent, mais parfois, je ne peux pas le cacher lorsqu'il y a des situations qui me font vraiment peur.

LOWELL HOUSE
Les arts. Je ne peux pas me passé de créer des choses qui me donnent envie de me changer les idées ou encore de me mettre un sourire au visage. Je chante parce que j'aime m'exprimer de cette manière. Je danse parce que j'adore bouger et aussi parce que je m'exprime beaucoup avec beaucoup de mouvement gesticulaire, mais aussi parce que ma mère biologique avait cette passion dans le corps et était une chorégraphe très douée. J'écris parce que c'est une manière pour moi de sortir tout ce qui me passe par la tête et aussi parfois pour évité des disputes. Parfois s'expliquer, c'est beaucoup mieux pour ne pas recevoir un chapitre de merde. Je suis très créative aussi lorsque je commence à faire la cuisine. Moi qui adore le sucrer, je fais des cupcakes, des beignes et d'autres desserts qui ne sont pas comme les autres. J'adore peinturer aussi. J'ai déjà travaillé pendant longtemps dans une fête foraine et je peinturais le visage des enfants avec toutes les idées qui me sortait par la tête ou il me demandait ce qu'il désirait. J'adore les arts, car c'est un domaine qui me passionne énormément.

QUINCY HOUSE
J'ai un grand coeur. J'ai toujours eu cette qualité parce que dans ma famille, nous sommes très généreux. Il n'y a rien qui nous arrête et surtout que notre patience n'a pas de limite, mais bon... il faut quand même y penser deux fois parce qu'il y a des choses qui me tape quand même sur les nerfs. C'est normal de penser aux autres ? Je pense que oui parce que beaucoup de personnes ne font que pensez à eu et beaucoup se prenne aussi pour d'autres personnes. Je n'aime pas ça des gens comme ça. J'aime vivre dans la nature et de voyager. J'adore découvrir le monde, découvrir des entourages que je n'ai jamais eu la chance de voir et aussi de me familiarisé avec leurs modes de vie. Voilà aussi d'où vient mon inspiration pour écrire. Il m'arrive de devenir une écrivaine pendant des mois et des mois et de raconter ce que je voie et de dire ce que j'ai fait pour changer la vie de quelqu'un, c'est assez intéressant lorsque tu veux inspiré et aussi toucher les gens.

(Invité)

Dans mes plus grands rêves de jeune fille, j'ai toujours voulu devenir une princesse, mais avec tout ce qui se passe dans la société aujourd'hui, je suis contente que toute mon imagination soit irréelle. Je suis originaire de Sydney en Australie. Le pays des kangourous et mon père m'appelaient toujours son petit kangourou. Mon père est originaire de Boston et ma mère biologique, de Sydney. Malheureusement, je n'ai jamais eu la chance de la connaître. Ma mère est décédée lorsque j'avais trois mois. Elle s'est suicidée et personne n’en a connu la raison. Mon père s'est remarié lorsque j'avais un an et j'ai toujours connu ma belle mère comme étant ma vraie maman. Mon père avait eu une crainte de me voir rejeter sa nouvelle femme, mais comme je n'ai jamais connu celle qui m'a mise au monde, ceci ne changeait pas grand-chose pour moi. Mon père est professeur en archéologie et ma belle-mère est une grande cuisinière spécialisée en pâtisserie. Je n'ai jamais manqué de rien chez moi et mes parents étaient toujours là pour moi. À l'âge de 7 ans, j'ai été touchée par la leucémie. Un cancer qui s'attaque au globule rouge lorsqu'il y a une formation expansive des globules blancs. Je n'avais jamais vu mon père pleurer avant même de savoir que j'étais malade. J'étais une forte combattante et même que j'ai presque vu la mort devant moi, car mes chances de vivre étaient minimes à cause de mon groupe sanguin. Mes chances étaient comptées jusqu'à tant que l'espoir vienne me chercher. Un jeune homme de mon école avait le même groupe sanguin que moi et il m'a aidée à me sauver la vie. Je le remercie toujours aujourd'hui. J'étais la jeune fille la plus heureuse du monde avant que d'autres complications surviennent. Je tombais en dépression lors de ma rémission. Simplement en voyant mes cheveux tombés avec la chimiothérapie, je pleurais toujours et j'étais en colère contre moi. J'étais en colère parce que je croyais que c’était moi le problème. Mes parents m'encourageaient beaucoup à passer au travers et mon père avait trouvé la meilleure solution et c’était mes cours de danse. En découvrant une nouvelle passion, j'ai eu la chance de découvrir une nouvelle personne en moi.

Mon père avait signé un nouveau contrat d'enseignement dans son domaine. Nous sommes déménagés chez mon père à Boston et ma mère ouvrit une pâtisserie qui est devenue très populaire dans la ville de Boston et aussi un peu partout aux États-Unis, car elle voyageait beaucoup pour faire découvrir sa passion aux autres. Pour ma part, j'ai découvert une autre passion. Le chant était devenu une raison de plus pour m'exprimer. La composition ses développés avec le temps et lorsque mon père m'a donné ma première guitare et mon premier piano, je suis devenue complètement amoureuse de mes deux instruments. Qui dit adolescence, qui dit aussi erreur de jeunesse. Avant d'être atteinte encore une fois du même cancer lorsque j'avais 7 ans, je me suis fait faire des tatouages, je faisais la fête et même si je travaillais avec ma mère, j'avais ce petit côté rebelle avec moi, mais je n'ai jamais touché à de la drogue, car j'avais toujours des arrières goût de la chimiothérapie. Lorsque j'ai su que j'étais atteinte une deuxième fois du cancer, je retombais dans le même trou noir lorsque j'étais jeune fille et il était encore plus creux qu'avant. J'avais perdu mes tatouages et surtout mes cheveux, mais même si j'étais en dépression, c’était complètement différent. Je composais beaucoup et je m'exprimais beaucoup dans mes dessins et aussi à la pâtisserie. Ma mère avait complètement changé le concept de son commerce. Le transformant en un bar musical tout en vendant des sucreries et des desserts délicieux, elle m'avait prise par les sentiments, car je pouvais enfin avoir cette chance de pratiquer ce qui me passionne le plus. Cette deuxième rémission était une que j'aurai imaginé avoir parce que j'oubliais tous mes problèmes avec mes passions. Je n'avais perdu mon temps pour refaire mes tatouages et je suis devenue blogueuse en un temps de le dire parce que même si je n'étais pas connue, il me manquait un blogue pour que les gens puissent découvrir mon talent.

Je n'avais pas oublié la danse. J'étais très énergique et encore aujourd'hui, j'expérience de nouveau style et j'adore. Mon père était mon plus grand supportai lorsque ma mère ne pouvait pas m'accompagner pour des compétitions qui me tenait vraiment à coeur. Par contre, il y a des journées que je peux endurer lorsque je ne vais pas bien, mais après une rémission, c'est quelque chose de très difficile. Mon père est décédé devant mes yeux et je ne me suis jamais sentie aussi détruite dans ma vie avec deux cancers que j'ai du passé au travers. Ma mère était aussi en dessus, dessous lorsqu'elle a su cette nouvelle et elle était encore plus touché à cause de moi avec tout ce que j'ai dû endurer. Mon deuil, je les passé tout comme ma deuxième rémission et je composais beaucoup et même encore plus lors de mon deuil. Moi et ma mère, nous nous sommes des encouragements très extrêmes parce qu'être heureuse, s'était un point très important et mon père aurais voulu tout ça avant. Je continuais à travailler avec ma mère. Passé notre deuil et d'être heureuse et joyeuse pour mon père. Lorsque Facebook, Twitter et Instagram ont fait leur entrer dans les réseaux sociaux, je me suis fait connaître encore plus de cette manière. Je partage beaucoup de choses et je vante beaucoup le commerce de ma mère pour que les gens puissent venir tester et connaître son talent de bonne cuisinière. Ma mère voulait me voir continuer mes études. L'université d'Harvard était une nouvelle chance pour moi. Les arts ont toujours été ma première priorité et la réhabilitation sociale m'a donné une chance de chercher la jeune fille mature en moi. Je suis à Harvard depuis deux ans maintenant et j'adore cet endroit. Plusieurs n'aiment pas les gens tatouer, mais pour moi, mes tatouages représentent beaucoup de choses. Je continue à être forte et à garder mon grand sourire.

The End

(Invité)