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(w/ Siobban) so that's what having a family looks like

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Time for some bonding
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Mes mains encadraient mon visage de part et d'autre de ma tête ; je n'arrivais pas à défaire mon regard de la partition qui semblait se moquer de moi depuis plus d'une heure. Dehors, la nuit était tombée, je pouvais le voir par les quelques fenêtres dans le fond. J'étais assise au piano depuis que le lieu avait été libéré en fin d'après-midi, essayant de concentrer toute mon attention sur la musique pour oublier la crise de manque que j'étais en train de faire. Ces derniers temps, j'essayais de réduire mes doses de drogue au fur et à mesure, sauf qu'aujourd'hui, mon corps n'était visiblement pas satisfait de ce que je lui offrais puisque j'avais régulièrement la respiration saccadée, des sueurs froides et l'intégralité de mon corps qui se mettait à trembler. J'allais craquer, bientôt. Les efforts que je faisais étaient en vain parce que je n'arrivais pas à comprendre ce qui n'allait pas dans l'harmonie de mes notes, tant mon cerveau refusait de se déconnecter du manque. Dans un geste colérique, je froissai la feuille et la lançai à plusieurs mètres en grondant. Sauf que face à une feuille blanche, je soupirai et me levai pour aller chercher la partition que j'avais envoyée valser. Je revins m'asseoir sur le tabouret en soupirant longuement, croisant mes jambes et décortiquant la feuille pour décider de quelles parties j'allais garder.
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J’avais depuis un petit temps retrouvé Willow une cousine du côté de ma mère, et Billie du côté de mon père. Deux cousines que je n’avais guère vues depuis des années. Je passais donc le plus clair de mon temps en ce moment à essayer de les voir le plus souvent possible. Je ne voyais pas trop comment arranger les choses, j’avais appelé mes parents, et j’avais tenté de les aider au mieux. Cela s’arranger sur la longueur, et je tenais aussi à parler à mes deux cousines. Un album en court était aussi dans mes soucis, je devais me laisser un peu plus aller, et pour ma part, mes parents ne m’aidaient pas trop….Dans les couloirs pour aller dans une salle de musique, je voyais de la lumière dans une salle, et je tenais à voir de qui il s’agissait. Je m’approchais de la salle, et je voyais Billie qui se tenait là au piano. Souriant doucement, je poussais la porte. Je souriais et je lui disais gentiment : «  Coucou cousine, tu vas bien ? »Je ne voyais pas trop quoi lui dire, alors je rajoutais : «  Tu as besoin d’aide ? Si je te dérange, je peux m’en aller….  » Je comprenais que parfois, on avait besoin de temps pour soi, et si elle voulait, je pouvais m’en aller.
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J'étais face à une partition qui refusait de se bâtir d'elle-même comme j'en avais l'habitude depuis que j'avais repris. C'était probablement dû au fait que je réfléchissais trop, les notes refusaient de me venir naturellement parce que mon cerveau était concentré sur mille choses à la fois. Ça me frustrait et me rendait encore plus incapable de dénouer le problème ; je raturai, effaçai, recommençai, déchirai, mais il n'y avait rien à faire. J'allais faire une énième rature quand j'entendis la porte de la salle grincer. Curieuse, je relevai la tête pour voir la silhouette désormais familière de Siobban passer dans l’entrebâillement, un sourire sur son visage. « Coucou cousine, tu vas bien ? » Je la regardai un moment sans rien dire, parce que je n'arrivais toujours pas à réaliser que l'on partageait le même sang. Je m'étais crue seule au monde si longtemps, que j'avais un mal de chien à me faire à l'idée d'une famille. « Tu as besoin d’aide ? Si je te dérange, je peux m’en aller… » Un coup d’œil vers ma partition toute gribouillée et je me redressai sur le tabouret, soupirant un grand coup. « Non, non, reste. » Je lui offris un sourire et lui fis signe d'entrer complètement. « Tu avais besoin de la salle de musique ? J'peux te la laisser si tu veux. » Après tout, c'était pas comme si j'avançais dans cette foutue partition.
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Regardant ma cousine attentivement, je tentais de lui répondre : « Non, je n’avais pas besoin de la salle, je passais juste dans le coin. » Etant devant elle, j’avais refermé la porte, et je l’observais sachant que pour l’instant, je n’allais pas non plus être dans une bonne position. Je venais d’arriver, et j’avais remarqué qu’elle avait du mal. Je n’allais pas non plus m’imposer, et je savais qu’on avait besoin de temps pour se ré-apprivoiser. Je m’arrêtais de parler, et j’espérais bien qu’elle me parle. J’appréciais alors sa présence, et j’espérais bien pouvoir lui donner un coup de main. Elle était là et j’avais comme le sentiment que cela serait bien pour pouvoir parler toutes les deux tranquillement. Je m’approchais de la partition, et je commençais à la lire. Je regardais les gribouillis, et tout en souriant, je commençais à corriger les fautes avec le crayon. Je faisais cela sans lui dire, mais je tenais absolument à ce qu’elle puisse y arriver.
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À notre dîner de famille en Irlande, je m'étais sentie tellement mal à l'aise, tellement pas à ma place, tout simplement parce que je ne connaissais pas ces gens. Je ne les avais jamais vus de ma vie, je n'avais même jamais entendu parler d'eux. Le père de Siobban m'avait expliqué que mon père et lui s'étaient embrouillés quand ils étaient plus jeunes, avant que je naisse. Ceci expliquait cela. Pas du tout en fait, j'en voulais à mon père de ne jamais m'avoir dit qu'on avait de la famille quelque part. Mais Siobban n'y était pour rien, donc même si c'était difficile à accepter, je n'allais pas me montrer froide avec elle. Enfin, j'allais essayer. « Non, je n’avais pas besoin de la salle, je passais juste dans le coin. » Je hochai la tête pour montrer ma compréhension, même si je pensais qu'elle me mentait. Elle devait avoir eu besoin de la salle de musique pour passer ici à cette heure-là. Elle attrapa mes partitions et commença à corriger les quelques erreurs qui me bloquaient. Toujours droite, je la regardai faire sans rien dire. Ça avait l'air tellement évident lorsqu'elle plaçait les notes qui n'allaient pas là où je les avais manquées. « Tu .. joues du piano ? » lui demandai-je, même si après ce qu'elle venait de faire, il était évident que oui.
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Continuant de lui corriger sa partition, je lui répondais : « Depuis que j’ai l’âge de cinq ans. » Mettant mon doigt sur le clavier sans bousculer ma cousine, je regardais ce qui n’allait pas du tout. Je souriais, et j’essayais de l’aider au mieux. Je me disais que je pouvais aussi essayer de me montrer plus cousine. Je tentais une douce approche : « Tiens j’espère que cela t’a aidé. » Lui redonnant sa partition, je souriais, et je me décalais pour lui laisser la place pour jouer sur le piano. Ensuite, je me contentais de lui dire : « Je suis certaine que tu vas réussir, tu peux y arriver. » De plus, je me disais qu’il était bien aussi que je puisse aider ma cousine. Je préférais aussi essayer de l’aider, et même si on ne se connaissait pas trop, j’espérais que l’on puisse se parler plus. Je lui demandais : « Pour mes vingt-cinq ans, cela te dit de venir à mon anniversaire ? Je sais que c’est le premier Aout, mais on est de la même famille, alors…. » J’espérais bien que Thaïs vienne aussi que l’on puisse passer un bon moment. Enfin, cela faisait un moment que je ne l’avais pas vu, et j’espérais qu’elle aille bien.
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