ILEANA R. WILSON ► julia saner

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle lolota et j'ai 16 ans. Je suis française pure souche    et j'ai connu le forum grâce à des pubs.  Il était trop beau et j'ai craqué sur un scnéario alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Julia Saner comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Jeno Carpenter.

Mot de la fin ? ▲ feel the magic in the air allez allez allez lever les mains en l'aaaaair  :judanna: 
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

Hum, ce que vous me demandez, en clair, c'est de parler de moi là ? Bon, c'est pas dans mes habitudes de m'étaler sur ma vie de cette manière mais bon, il faut croire que je n'ai pas le choix. Pour commencer, je suis née en Louisiane à Baton Rouge, précisément, un an après l'union de mes parents. D'ailleurs, ces derniers se sont rencontrés à La Nouvelle Orléans, alors que mon père était en voyage aux Etats Unis. Oui, parce que mon père est français. Jolie petite histoire d'amour cliché me direz vous, le touriste qui flashe sur une jeune étudiante américaine. Et bien oui, c'est aussi simple que ça. Un an seulement après leur mariage, je vis le jour. Je suis née prématurée, un mois d'avance pour être exacte ; ce qui a quelque peu engendré quelques problèmes de santé durant les premières semaines de mon existence. Rien de vraiment grave, mais suffisamment pour ne pas arranger la situation financière de mes parents, qui à l'époque, ne possédait vraiment que le strict minimum pour vivre. Ma mère était serveuse dans un bar de Baton Rouge à côté de ses études d'infirmière et mon père tentait sa chance en Amérique, souhaitant réaliser son rêve de devenir un écrivain reconnu. J'ai habité à Kentwood pendant 6 ans, le temps que mes parents trouvent une situation financière et professionnelle stable. Malgré la situation assez compliqué dans laquelle nous nous trouvions à l'époque, je n'ai jamais manqué de rien. J'ai toujours eu ce dont j'avais besoin pour être heureuse et mes parents m'ont élevés de la meilleure manière possible. Lorsque ma mère décrocha son diplôme d'infirmière, elle obtenu un poste à la Nouvelle Orléans. C'est ainsi que nous déménagions tous les trois dans le quartier français de la ville, au plus grand bonheur de mon père, grâce à qui je parle aujourd'hui couramment le français.

Enfin voilà, nous voilà installés à la Nouvelle Orléans, ma mère avait son poste d'infirmière, mon père travaillait sur un nouveau roman dont il espérait qu'il soit son prochain succès. Tout allait pour le mieux. Moi je grandissais à travers tout ça. J'ai évolué en gardant en moi les valeurs et principes que mes parents m'avaient inculqués depuis toujours : l'altruisme, la solidarité, le respect et la serviabilité.. bref, oui j'étais un petit ange. Mais parfois être trop gentille avec les autres s'est avéré s'être retourné contre moi. Vous savez, quand les gens voit que vous pardonnez tout, que vous voyez le bon chez n'importe qui, ils en profitent, et vous font croire tout et n'importe quoi. J'étais peu être sympathique, mais un peu trop naïve. Ainsi, pour m'empêcher d'avoir des ennuis, mes parents m'obligeaient à prendre des cours de musique tous les soirs après les cours. Au début, cela ne m'emballait vraiment pas, je n'avais pas que ça à faire tous les soirs. Puis un jour, j'ai découvert le piano. Et là, ce fut un déclic. J'ai fais du piano ma passion et mon échappatoire. Au lycée je n'étais pas tellement appréciée, du moins, j'avais quelques amis mais pas tellement. En même temps, je ne sortais pas, je ne faisais pas la fête.. Mes parents étaient très strictes quand il s'agissait de boire, fumer, ou s'amuser tout simplement. J'étais leur fille unique, ils ne souhaitaient pas me voir me transformer en dévergondée. Je le comprenais, jusqu'à un jour ou j'ai arrêté de penser comme eux. Tout ce que j'ai voulu, c'est découvrir ce que je ratais depuis tout ce temps ou l'on m’empêchait de profiter de tout ça. Alors j'ai commencé à sortir en cachette, à faire le mur. Les premiers verres d'alcools, les premiers flirts.. je n'avais jamais eu de petit copain, jusqu'à cette période. J'ai rencontré ce garçon, Thomas. J'ai été amoureuse de lui oui, il était amoureux de moi aussi. C'était mon premier amour et je n'avais que 15 ans. J'étais jeune certes, mais je persiste à prouver qu'il n'y a pas d'âge pour aimer. Lorsque mes parents ont découverts mes petites sorties en cachette, je dois avouer que j'ai passé les pires moments de toute ma vie. Ce qu'ils me reprochaient ? De les avoir trahi, de ne pas les avoir respectés, d'avoir menti.. Et le pire dans tout ça, c'est que je ne me sentais pas coupable. J'avais vécu des moments géniaux et je ne regrettais pas. Les tensions ont finit par s'apaiser. Malgré tout, j'ai tout fais pour me racheter et regagner leur confiance. Nous avons du faire des compromis des deux côtés, mais nous avons trouvé un terrain d'entente. Au cours de mes années lycées, j'ai voyagé un peu partout. Afrique du Sud, Inde, Mexique.. J'ai beaucoup voyagé avec des associations humanitaires. C'est quelque chose dont je suis fière et qu'il me tarde de renouveler.

J'ai quitté la Louisiane il y a deux ans, après que je fus accepté à Harvard, pour le plus grand bonheur de mes parents. Je dois dire que mon arrivée ici a changé ma vie, ma personnalité. J'ai d'abord intégrer Harvard sans pour autant appartenir à une maison, ce concept me semblait trop conflictuel mais j'ai cette année finit par céder. J'étudie le français et la psychologie depuis donc deux ans, et je me plais dans cette immense école qui abrite des étudiants tous différents, et venants du monde entier, où même l'impossible semble pouvoir se réaliser. La preuve. Jamais je n'aurais pensé, que moi, simple petite habitante de la Nouvelle Orléans, puisse intégrer cette célèbre et prestigieuse école qui promet à tous ses élèves un bel avenir.