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#Darnell ◘ if we ever meet again

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If we ever meet again
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Je m'étais éloignée de tout. J'avais décidé de déménager et de m'éloigner d'Harvard, mais finalement, j'étais allé bien plus loin que ça. En Angleterre, à Londres chez mon père. J'avais passé mon temps à penser, réviser et dormir et sincèrement, ça m'avait fait du bien. J'avais pu ainsi me remettre en question sur ces 4 dernières années et sur celle qui allait commencer dans 4 mois. Je devais m'éloigner de certaines personnes nocives pour moi et garder auprès de moi les personnes qui m'étaient chères et qui ne me rendaient pas mauvaise, triste, dépressive et déprimante.
C'est ainsi qu'un mois plus tard, voire un peu plus, je ne sais plus, je revins à Cambridge et même à la résidence des Cabot, dans ma chambre avec Camille, que je n'avais pas revue depuis... je ne sais même pas depuis quand. Depuis ma grossesse je crois et ça remonte à pas mal de temps déjà. Je m'étais éloignée de tout, de tout le monde, de mes meilleures amies. Même Jasmine et Swan étaient restées sans nouvelles de moi. Je devais y remédier, mais pas maintenant, là, je devais installer mes affaires dans ma chambre, chez les Cabot, à nouveau, même si je ne comptais pas me séparer de la maison que j'avais acheté sur Cambridge.
Arrivée sur le parking, je me garais non loin de la résidence afin de décharger mon coffre plus facilement. C'est donc ainsi que le coffre de ma voiture ouverte, je restais plantée devant, sans savoir par où commencer. Une flemme immense commençait à me gagner mais il fallait que je m'y mette maintenant parce que je savais parfaitement que plus tard, je ne le ferai pas.
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En pleine révision car oui, je m'y prenais tôt, j'avais décidé de faire une petite pause. Car ouais, y'a vraiment des moments où tu satures et là, c'était le moment M. Depuis Zara, j'avais prit la décision d'arrêter les drogues en tout genre, de boire seulement durant des occasions très particulières, comme le bal tiens et pas à n'importe quelle heure de la journée. Je me contentais à présent d'une cigarette banale. Les effets sont bien différents mais ça me fait du bien quand même.
J'étais sorti de la résidence. Je marchais de long en large, mon casque à fond vissé sur les oreilles et je chantonnais tout en tirant quelques lattes sur ma clope. Ça faisait tellement de bien. Je passais sur le parking. En fait, je crois que machinalement, je prenais le chemin de la bibliothèque universitaire. Je regardais un peu autour de moi car n'entendant absolument rien, c'était le seul moyen pour moi de m'assurer qu'aucune voiture ne se trouvait à proximité de ma petite personne.
Et c'est de cette façon que mon regard s'arrêta net sur elle. Une grande brune qui me disait quelque chose, bien qu'elle soit de dos. Il faut dire que des femmes faites comme elle, il n'y en a pas beaucoup à Harvard. Je retirai mon casque tout en m'approchant d'elle. Elle avait l'air hypnotisée par le contenu de son coffre. Du coup, je ne savais pas trop comment m"approcher d'elle sans l'effrayer. Mais je me lançais quand même. Posant une main sur sa taille, Aaliyah ! Ça fait longtemps, t'étais passée où ? On s'était revue quelques jours après ma rupture avec Zara et depuis, plus rien, ou du moins, pas grand chose. Je ne lui avait pas donné de nouvelles et elle ne m'en avait pas donné non plus.
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J'étais concentrée, mais tellement que j'étais complètement déconnectée. Je me demandais si je devais m'y mettre maintenant ou pas. Bon, dans ma tête, j'optais plus pour le "ou pas" mais me connaissant, je devais m'y mettre maintenant. Mais on me sortait très rapidement de mes rêveries, assez brusquement je dirai. Je ne m'y attendais pas du tout et je sursautais alors au contact de cette main sur ma taille. Je tournais ensuite la tête vers la personne en question pour voir de qui il s'agissait et je fus vraiment heureuse de le voir. Mon p'tit chéri ! J'étais chez moi, puis à Londres et me voilà de nouveau à Harvard ! Dire qu'il avait été très souvent là pour moi. J'avais continué à faire ma vie de mon côté, sans prendre de ses nouvelles ou alors sans même lui en donner. Je me retournais pour le prendre dans mes bras. Tu m'as manqué ! Tu m'aides à prendre mes valises ? Je ne pus m'empêcher de rire à la fin de ma question. Oui bah il était là, ça allait me faire des bras en plus pour tout porter. Puis ça allait sans doute éviter tout un tas de question sur ma longue absence.
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A Londres, carrément, donc pendant tout ce temps, elle n'était même plus sur notre continent. Je la regardais un instant, me demandant les raisons de son départ. Je lui poserai la question un peu plus tard. On venait de se retrouver, c'était certainement pas le bon moment. Mais si elle s'était senti obligée de nous quitter quelques temps, pour aller aussi loin, c'est qu'elle était très mal en point. Je ne pus m'empêcher de soutenir son regard, histoire de voir si je trouverai un petit truc dans son regard qui trahirait son sourire. Mais rien. Elle cachait vraiment bien ses émotions. Chez toi ? Tu vis pas à la résidence des Cabot ? Bah oui, logiquement, pour moi, c'était ici chez elle, à moins qu'elle se soit trouver un autre foyer, un peu plus loin d'Harvard.
M'enfin, elle me prit dans ses bras, me disant que je lui avais manqué et je n'eus même pas le temps de lui répondre qu'elle me demanda de l'aider à décharger sa voiture. Tu passes du coq à l'âne à une vitesse toi ! Riant faiblement, je m'avançais vers sa voiture, prenant une valise dans chaque main. On y va, je te suis feignasse ! Je n'avais jamais mis les pieds chez les Cabot, je ne savais donc pas tellement où se trouvait sa chambre ou autre. Si elle passait devant, ça m'arrangerait. Alors, pourquoi tu nous as quitté ? Ça y est, c'était pour moi le bon moment pour lui poser cette question. Puis j'étais tellement curieux et elle était partie si longtemps que je voulais connaître les raisons de son départ.
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Aucune personne dans cette putain d'université n'était au courant de ce qui pouvait se passer dans ma vie. J'essayais de le cacher certes, mais pas à ce point. Pas au point de n'avoir aucun appel, personne qui se soucis de voir que je ne suis pas là depuis plusieurs semaines, ni chez les Cabot, ni à Harvard. A cet instant, je regarde mon bras droit, celui où est tatouée ma Marilyne Monroe. Elle me rappelle tant de souvenirs de mon séjour à Londres. A présent, ce n'est pas juste un modèle pour moi, elle me rappelle énormément de souvenirs. Quand ta mère t'emmène voir un psy et que ce con te prescrit des médicaments à la con qui te mettent encore plus mal que tu ne l'es déjà, tu sombres, tu deviens plus dépressive que tu ne l'es déjà, au point de penser au suicide, toi qui d'ordinaire est contre ça. Tu penses à tout ce qu'il y a autour de toi, à tout ce monde qui t'entourait avant que tout aille mal pour toi. Je me suis retrouvée seule pendant plusieurs semaines, plusieurs mois même. J'avais beau hurler intérieurement, comme extérieurement, personne ne m'entendait, personne ne voyait à quel point j'étais mal en point. Qu'il me pose cette question me fit un drôle d'effet, bien que je ne puisse pas lui en vouloir car même avant ça, on ne se parlait pas tellement lui et moi. Je vis dans mon propre domicile à Cambridge mais il m'arrive de venir dormir ici, chez les Cabot. Allez suis-moi ! Je pris la dernière valise qui se trouvait dans le coffre de ma voiture avant de refermer le tout et de le guider jusqu'à la CH et ensuite, jusqu'à ma chambre. Camille n'était pas là. Tant mieux, j'allai pouvoir étaler mes affaires avant qu'elle ne revienne. Puis à peine arrivée que Darnell me posa LA question. J'eus des frissons dans tout le corps. Je ne sais pas si à cet instant, c'était de la colère que je ressentais, de la tristesse, de la joie, du dégoût. J'en avais aucune idée. Mais je n'avais pas le droit de m'en prendre à lui, pauvre innocent qu'il est dans toute cette histoire. Je fermais la porte derrière nous avant de m'asseoir sur le lit et de commencer mon histoire par un long soupire. Je me suis toujours dit, quand on veut on peut. En gros, quand on veut se sortir la tête de l'eau, généralement, on y arrive et ça, tout seul. Mais c'est faux. J'ai lutter comme une dingue pour y arriver seule, mais au lieu de ça, j'ai bu, fumé, je me suis droguée. Pourquoi ? A cause de certains mecs qui m'ont prise pour la reine des connes. Parce que je suis tombée enceinte et que j'ai fait une fausse couche. Parce que pour la première fois en quelques semaines, j'ai côtoyé la mort deux fois de suite, avec mon pseudo bébé et mon oncle. Je retirai mon manteau tout en continuant de raconter ma vie, car j'avais une chose à lui montrer sur mon bras, là où se trouvait mon tatouage de Marilyne. Si je suis allée à Londres, ce n'est pas tellement pour prendre l'air et voir du pays mais être entourée de personnes qui allaient m'aider à coup sûr. Mes parents. Là, sur mon beau tatouage, c'est le souvenir que je garde de mon séjour à Londres ! Il y avait plusieurs cicatrices encore fraîches que je m'étais faite. La douleur physique était tellement forte quand je me faisais cette putain de connerie au bras que j'en oubliais la douleur mentale ! Je regardais mon bras et une larme coula le long de ma joue. Mais c'est tout. A vrai dire, j'en avais marre de pleurer alors je me retenais. Je ne voulais pas me laisser submerger par mes émotions, par mon histoire.
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J'avais quelques valises en mains et elle prit la dernière. Me conduisant par la suite jusqu'à sa chambre. Toute rose. Rien d'étonnant là-dedans. Il n'y avait personne d'autre, sa colocataire était absente. Sur place, elle répondait enfin à ma question. Celle dont je voulais vraiment la réponse, à savoir pourquoi elle était partie à Londres. Elle ferma la porte de sa chambre et je m'asseyais sur l'un des lits, la regardant parler, buvant ses paroles. Alors comme ça elle était enceinte ? J'en avais aucune idée. Mais pauvre d'elle qui a perdu l'enfant. En si peu de mois, elle a vécue tout ça. Je comprenais qu'elle soit aussi mal. Je ne savais pas quoi lui dire. Et quand elle me montra son bras, pleine de cicatrices, de plaies. Elle s'était mutilée, son tatouage ne ressemblait plus à rien. Je me levais, marchant en sa direction et je ne trouvais rien d'autre à faire que la prendre dans mes bras. Oh Aaliyah, j'suis tellement désolé pour toi ! Je comprenais assez à présent son départ, son retour, sa tristesse, sa colère. Tout quoi. Je savais aussi qu'elle était pas si bien entourée ici à Harvard. Rien que celle qu'elle considérait comme sa meilleure amie l'a trahit alors je n'ose pas imaginer le reste. Je reculai, rompant notre étreinte. Je posais ma main sur sa joue, essuyant de mon pouce cette larme qui voulait tout dire. T'sais, à présent, si t'as besoin de parler ou autre, tu peux compter sur moi ! On se connaît via Zara et au départ, c'était pas le grand amour entre la Cabot et moi mais je ne suis pas rancunier. Malgré ce qu'elle a pu penser ou dire à mon sujet, je serai dorénavant présent pour elle. Mais ne refais plus jamais ça ! Ne te fais plus souffrir volontairement comme tu l'as fait ! Je passais mes mains dans ses cheveux tout en la regardant droit dans les yeux. Elle avait l'air si fragile. Une poupée de porcelaine. Elle en avait l'apparence habituellement, mais là, c'était évident, comme le nez au milieu de la figure.
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Cette soudaine gentillesse dont il faisait preuve, je ne comprenais pas trop et ça me gênait dans un sens. Après tout ce que je lui avait de mal, tout ce que je lui avait fait, j'avais du mal à comprendre pourquoi il était si gentil avec moi. Soit il n'était pas rancunier du tout, soit il prenait sur lui parce que je lui faisais pitié. Et sincèrement, je voulais réponse à ma question car faire pitié à quelqu'un ne me plaisait pas tellement, comme pour n'importe qui d'ailleurs. Je pris sa main dans la mienne, celle qui caressait mes cheveux, ce qui me donnait des frissons dans tout le corps d'ailleurs. Pourquoi... Pourquoi t'es si gentil avec moi après la façon dont je me suis conduite avec toi ? C'est pas comme si j'avais réellement besoin de la réponse pour avancer, mais j'avais besoin de comprendre. Bien qu'il m'ait prouvé mainte et mainte fois qu'il n'était pas le gros con que je pensais qu'il était quand je l'ai rencontré. Je pensais qu'après l'affaire Zara, il ferait sa vie de son côté, sans se soucier d'elle, ni de moi, ni de qui que se soit qui pourrait lui rappeler sa très chère blondasse d'ex. Je ne veux pas... j'aime pas qu'on me prenne en pitié ! J'arrivais à peine à terminer mes phrase. Déjà que j'étais pas très nette ces derniers jours, mais là, devant lui, je devais vraiment avoir l'air d'une cinglée qui ne sait pas tellement ce qu'elle veut. En effet, je veux qu'on s'occupe de moi, qu'on me voit un peu, car j'en ai réellement marre d'être transparente. Et bizarrement, quand on me vient en aide, quand on est présent pour moi, bein je recule, je rejette la personne. J'espérai sincèrement qu'il ne prendrait pas mal ma question. Qu'il ne me dirait pas, "Putain quelle relou celle là ! Je l'écoute et elle me prends la tête avec ses questions à la con !".
Ouais disons que ces derniers temps, enfin, depuis pas mal de temps maintenant, je psychotais pour un oui ou non. J'avais peur de la façon dont les personnes pourraient se comporter avec moi. Faut dire que je n'ai pas eu que des personnes qui me voulaient du bien dans mon entourage, alors, faut me comprendre.
Je baissais la tête, regardant ses mains, ses tatouages, le long de ses bras, mais je faisais tout pour éviter son regard en attendant la réponse à ma question.
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Alors qu'elle était triste et au bord des larmes, elle changea d'humeur. Elle recula, comme pour se protéger, je ne sais pas. Mais elle prit quand même ma main dans la sienne, comme pour garder un certain contact physique avec moi. Sa question me faisait rire mais intérieurement. Je n'voulais rien laisser paraître. Elle pourrait croire que j'me foutais d'elle alors que pas du tout. Je suis pas rancunier. Tu protégeais ta meilleure amie d'un mec pas tout à fait stable. Je comprends et je t'en veux pas du tout. Puis c'est pas comme si tu continuais à me traiter comme un moins que rien ! Ouais, même après tout ça, elle était restée amie avec moi. Elle ne m'avait pas laissé tomber alors que franchement, j'étais mal, j'en avais marre. L'autre blondasse s'était un peu trop servit de moi, elle avait un peu trop jouer avec mes nerfs et pourtant, au final, elle m'avait soutenue. Ecoute j'suis pas comme ça ! Je te prends pas en pitié. T'as été là pour moi alors que t'aurais pu te casser vu que j'étais plus avec Zara et qu'on avait donc plus rien en commun toi et moi, mais t'es resté. T'étais là pour moi. Alors tais toi et laisse moi être là pour toi ! Tu te plaignais pas tout à l'heure que personne n'était là pour toi avant que tu te casses à Londres hun ?! Je haussais les épaules, mettant un terme à ma longue réponse. Ouais, j'voulais qu'elle comprenne, qu'elle ouvre les yeux. Puis qu'elle soit un peu cohérente dans ses propos. Elle m'avait dit que personne n'avait été présent pour elle alors qu'elle était au plus mal. Maintenant que je voulais lui apporter mon soutien, elle me disait qu'elle n'aimait pas que les gens aillent vers elle seulement par pitié. Si elle me faisait pitié, sincèrement, je ne lui aurai même pas parler. Mais bon, je pouvais comprendre qu'elle pense ça. Elle était tellement mal. Le moral dans les chaussettes, une très mauvaise estime de soi, une solitude permanente. Mais je ne voulais plus qu'elle se retrouve seule. Pas maintenant que je savais tout ça. Je m'en voudrais trop s'il lui arrivait quelques choses parce que personne, même pas moi, n'aurait été présent pour elle, pour la soutenir.
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Je l'écoutai me répondre, sans à peine sa respiration. Ce qu'il disait était vrai. Je me sentais un peu stupide d'avoir douté de ces intentions. Je lui souriais de toutes mes dents tout en hochant la tête. Désolée, j'aurai pas due douter de toi, je sais pas je... Je ne terminai pas ma phrase. Ou Alors c'était peut-être comme ça qu'elle devait se terminer tout simplement.
Sa main dans la mienne, je l'embrassai à la naissance de ses doigts tout en le regardant dans les yeux, puis mon regard se posa sur ses tatouages. Il en avait tellement, dans le cou, sur la poitrine, le long de ses bras, sur la main, les doigts... T'imagine de quoi j'aurai l'air si j'avais autant de tatouages que toi ? J'en avais déjà pas mal mais je ne pourrai jamais être au même niveau que lui. Rien qu'imaginer mon corps avec autant de tatouages que lui, aux mêmes endroits que lui... ça me faisait rire. On est d'accord que ça ne m'irait pas du tout ! Puis si je m'en faisais autant sur la poitrine, ça cacherait une partie si belle de mon corps. Alors merci mais nan. Je fis une petite grimace, chassant cette idée de mon esprit. On va boire un verre au bar au bout de la rue ? Ou alors chez moi ? Je ne dors pas ici ce soir ! J'avais emmené la plupart de mes affaires dans ma chambre d'étudiante mais pour ce soir, j'allai me contenter de ça. Je n'étais pas tout à fait prête à dormir ici.
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