i helped africans, now let me hold your heart ♥ camella

Il se passait un truc entre Camus et moi, un truc pas possible à expliquer. Je sentais qu'il y avait quelque chose qui faisait qu'on ne pouvait se passer l'un de l'autre. Je sentais au fond de moi cette petite flamme qui commencer à s'allumer et qu'elle ne pouvait prendre de l’ampleur que quand j'étais en compagnie. Tous les moments que j'ai pu passé avec Camus depuis qu'on s'est revu je sais pas ils sont différents de tout. Avec lui je me sentais libre, en sécurité, heureuse. Mais ce que je ressens quand je suis avec Camus j'ai l'impression que parfois c'est bien plus que de l'amitié. Que je voudrais que ces moments ne s'arrêtent jamais, qu'on continue à se découvrir l'un et l'autre, à parler pendant des heures, à rire. Et puis ces petits qu'il me lance par moment ne me laisse pas indifférente alors parlons même pas de ces yeux qui sont à tomber par terre. Bref je venais de le prendre dans mes bras et je vais l'avouer que j'aurais bien aimé que ça dure plus longtemps ou bien que cela se reproduise. Surtout qu'il a l'air de vite comprendre ce que j'aime lorsqu'il me demanda si j'aimais les animaux, ce qui me fit bien rire d'ailleurs, il a vite compris que les animaux c'étaient toute ma vie. "Ouh là les animaux et moi c'est une grande histoire d'amour; J'ai toujours aimé les animaux surtout depuis que j'ai perdue mes parents. J'avais l'impression que c'était les seuls qu'ils ne voulaient pas me faire du mal." lui dis-je en faisant l'un de mes plus beau sourire. Fin je crois que l'a il risque de me prendre pour une folle vu comment je viens de lui parler de ce que je pensais des animaux. Quelques secondes plus tard je le vis prendre ma valise et mettre son sac sur son dos. Je me demandais ce qu'il faisait, j'avais complètement oublié qu'on était encore à l'aéroport et qu'il devait me ramener chez moi. C'est en le voyant se diriger vers la sortie que je me souvenu de ce qu'on venait de se dire. "Et bien ? Tu viens ?" me lança-t-il en me jetant un clin d'oeil. Je me mis donc à marcher dans sa direction pour le rejoindre. "J'arrive beau blond. Oh au fait je peux te faire un compliment !? Tu sens bon !" lui dis-je en rigolant histoire de mettre une bonne ambiance. C'est 30 secondes plus tard que je compris ce que je venais dire. Non j'avais pas dit ça, je l'avais pas appelé "beau blond" et je lui avais pas dit "tu sens bon" comme ça direct, cash quand même; Faut vraiment que je me reprenne en main là.