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Lacey Carolyn Ivy Peterson fiche; terminée C'est le 17/07/1991 à Miami, que la famille Peterson m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Lacey Carolyn Ivy Perterson. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale Aisée. J'ai décidée de poursuive des études à Harvard en Journalisme (majeure) - portugais (mineure) depuis maintenant troisième année je travail comme . Et pour terminer, je fais partie des Cabot House. |
Études Journalisme ► On dit toujours qu'une journaliste si on la met devant la caméra c'est juste parce qu'elle est belle, et qu'elle a rien dans le cerveau. En plus de cela, quand on est blonde c'est pire. Et pourtant, je me suis lancée dans cette orientation, avec ces clichés et ces préjugés. Mais je ne m'y attarde pas, comme vous pouvez le voir. Pour moi, le journalisme est une passion, depuis toute petite. Déjà, à l'âge de trois-quatre ans, je prenais une brosse à cheveux et je le mettais sous ma bouche, comme un micro. Et je parlais, je parlais, encore et encore, sans jamais m'arrêter. Enfin si, quand la fatigue m'atteignait. Mais ces jours sont bien loin maintenant, et maintenant j'ai vingt-et-un an - et toutes mes dents - et je suis en troisième année. Le temps a passé depuis, a fait son chemin, j'ai changé, mon entourage a changé, et je ne vois plus "les informations" comme je le voyais étant petite. Non la vie n'est pas rose, les infos telle "aujourd'hui une jeune femme a eu des triplés et ils sont tous en bonne santé" n'existe plus. Aujourd'hui c'est tragédie sur tragédie, mais moi, je ne m'arrête pas sur ça, et je continue ma route, en pensant au fond de moi qu'un jour cela changera peut-être. Mais d'ici là, en avance les études. n'est-ce pas? | Caractère J'me présente, je m'appelle Henri ► Plus sérieusement, avant j'étais une gentille petite fille qui faisait tout ce qu'on lui demandait. En revanche, comme dit, le temps fait des ravages, et j'en ai fais les frais. Avec la mort de ma mère, j'ai été élevé un long moment par mon père et mes grands-parents. Et ça, ça laisse une trace, même beaucoup de trace. Un jour, j'ai décidé de ne plus me faire avoir, et c'est ce jour là que tout a basculé. Depuis je suis gentille avec les personnes qui en sont dignes, en revanche les fils et filles à papas qui se trimballent avec leurs sacs de haute couture, perchés sur leurs hauts talons, et qui passent à côté de vous se croyant supérieur, ça, non. Il est hors de question pour moi de leur adresser un seul sourire, de discuter avec eux, uniquement par politesse pour un devoir ou autre, sinon, j'évite le plus possible. Rester avec ce genre de personne nous changent, et nous passons de l'ancien nous au nouveau nous, c'est-à-dire une copie conforme de ces personnes là. J'ai toujours été fidèle à mes convictions et ce n'est pas maintenant que ça allait changer. En revanche, me jouer d'eux, j'adore. Il y en a des intelligents, mais pas mal sont crétins, tout autant que leurs pieds. En gros c'est moi. Je t'aime t'es sauvé, je t'aime pas, ne m'approche pas, sinon, gare à tes fesses. |
Everyone Has Their Own Story
Lacey Carolyn Ivy Peterson, c’est mon nom. Mais l’on me surnomme pour la plupart du temps par Cécé, ou tout simplement Lacey, c'est beau non ? Passons sur le blabla habituel sur la vie, sur les parents et surtout, sur ma naissance. Elle n’a rien d’extraordinaire, juste que je suis née dans ce vaste monde le 17 juillet 1991 et que comme à peu près toutes les mères, la mienne a pleuré. Mais elle n’a pas pleuré parce que je suis née, non. Mais ça, c’est une longue histoire, que je vous raconterai plus tard, si vous êtes sages. Ma mère s’appelle Léana et mon père Gauthier. Aristocrates ? Oui, mais je ne me suis jamais attaché à ce genre de détails. Pour moi, l’argent ne fait pas le bonheur comme beaucoup de gens le pense. Certes cela à des avances, mais ce n’est pas pour autant que j’ai été une enfant pourrie gâtée lors de ma tendre enfance. Les préjugés et les apparences mentent des fois, ne l’oubliez pas. J’ai juste envie de dire que cet argent, il m’a servi à un moment de ma vie, même si j’aurai voulu éviter ceci.
Et les premières joies arrivent. Les premiers amis, les premiers amours – oui je faisais déjà ravage lorsque j’étais petite, il suffit de me regarder -, mais aussi les premières disputes entre les parents, la maladie, la santé qui se détériore et le moral qui flanche un peu plus chaque jour. Allez savoir pourquoi, mais grâce à mes parents, aujourd’hui plus rien ne m’atteint, mais je ne sais pas si c’est une bonne chose. Être sensible peut des fois être un fardeau mais exprimer ses émotions ne fait de mal à personne à ce que l’on m’a dit. C’est dommage, moi, je n’y arrive plus. J’ai beau afficher un grand sourire tout mignon sur ma bouille si jolie, à l’intérieur je bouillonne, je suis triste, j’ai un manque permanent, un trou béant que je n’arrive pas à remplir, même avec les années. Et ce manque est dû à mes parents. Je n’ai pas eu une tendre enfance comme dit. Et ma mère n’a pas pleuré lors de ma venue au monde parce que j’étais née, et qu’elle allait pouvoir m’éduquer pendant des années, être là lors des moments importants dans ma vie, et tout ce qui va avec. Non, ma mère a pleuré car j’étais née, et que c’était un exploit. Que dans quelques années au maximum, elle allait mourir d’un cancer. Et quand vous apprenez ça, c’est tout votre monde qui s’écroule. Perdre votre mère, c’est perdre la personne la plus importante sur cette terre. C’est perdre un bout de votre âme. Mais mon père n’avait pas l’air aussi compatissant que moi, bien au contraire, c’était un soulagement pour lui, après toutes ces années de souffrance, c’est compréhensible mais bon.. non. Je ne lui ai jamais pardonné le fait qu’il est été froid avec moi après la mort de ma mère, je n’avais pas de réconfort à proprement dit, et c’est qui m’a le plus manqué, je crois.
Mais la vie continue comme on dit. J’ai été élevé le reste du temps par.. moi-même. Si l’on peut dire ça comme ça. Mais je ne pense pas qu’avoir un parent mort, et l’autre comme si c’était le cas, peut avoir un si bon impact sur nous, n’est-ce pas ? De ce fait, j’ai demandé à mon père de me verser des sous chaque mois, et que je partais autre part, loin d’ici car je ne pouvais plus vivre dans une maison avec tant de souvenirs. Il n’a pas pipé mot, juste levé la tête en signe de oui, et c’est le dernier jour que j’ai vu mon père, du moins, je crois. J’ai donc vécu mes années collège et lycée dans un pensionnat, et ce fut les plus belles années de ma vie. Je ne pensais pas qu’être enfermée avec des gens pouvaient avoir des effets positifs. J’étais entourée par des gens qui m’appréciaient, qui m’aimaient même, et c’était tout ce qui comptait, tout ce que je n’avais pas pu avoir dans ma tendre enfance. J’étais heureuse, j’ai vécu ma première vraie histoire d’amour, j’étais heureuse. J’avais tout pour moi, mais les années sont passés plus vite que ce que je ne l’imaginais. Mais au final j’ai une histoire bien banale non ? En tout cas, je suis sortie major de ma promo, et je n’en suis pas peu fière, croyez-moi.
Aujourd’hui, je suis à Harvard pour ma troisième année, et je m’y plais tout autant. Je n’ai pas une vie très excitante, mais j’aime ma vie. Je ne crache pas dessus, je ne crache pas sur les gens – tant qu’ils ne le font pas sur moi – et puis c’est tout. Carpe diem guys !
the face behind
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