C'est le 10 mars 1995 que la jolie Sara-Aliza Grygorenko voit le jour, dans la capitale Ukrainienne qu'est Kiev. Fille unique, elle grandira entourée de ses parents de qui elle est très proche. Gâtée, elle ne manqua jamais de rien. Elle se souvient même que ses parents ne savaient absolument pas lui résisté. Une petite bouille blonde, comme beaucoup l'appelait. Rapidement, elle devient ce genre de petite fille qui aime tout contrôler sans pour autant en devenir méchante. Disons qu'elle aime seulement être au centre de l'attention et qu'on la remarque, dès son plus jeune âge. Et si il y en a bien un qui la remarque c'est son père, Kaleb. Si Sara-Aliza est très proche de ses deux parents, c'est néanmoins avec son père dont elle est très fusionnelle. Dès ses premiers mots, il était clair pour elle que son mariage ce serait avec son papa, parce que c'était le meilleur de tous. Dès qu'elle a su marcher, la jolie blonde à montrer ses talents en tant que petite danseuse étoile, et c'est naturellement que ses parents et surtout sa mère l'inscrivirent dans une école de danse pour qu'elle puisse s'épanouir et surtout, devenir meilleure. Sa professeur de danse avait été très direct avec eux : la jeune Sara était extrêmement douée pour la danse, et si elle continuait dans cette voix là, elle ferait des miracles.
A l'âge de 10 ans, Sara-Aliza commence ses premiers vrais et important gala à Kiev et dans d'autres villes d'Ukraine. Elle fait partie des meilleures de son petit club et rend ses parents plus que fier. La relation qu'entretien la jeune fille avec son père ne cesse d'augmenter de jour en jour, si bien qu'à l'adolescence il est difficile pour Kaleb de voir sa petite Sara grandir. A 14 ans, les filles commencent toujours à regarder les garçons, à en discuter avec les copines et à avoir des petits secrets pour les parents, et notamment les papas. Parce qu'il faut l'avouer, les papa ne sont jamais vraiment content de voir les petits amoureux de leur fille, et le père Grygorenko n'a pas dérobé à la règle. Pour autant, même si au départ elle préférait ne rien dire à son père, mais à sa mère oui, elle ne put pas tenir bien longtemps. En faite, elle ne pouvait pas avoir de secrets pour son père, elle n'y arrivait pas. Finalement, c'est à 16 ans que Sara vit sa première histoire d'amour. Elle s'en souvient encore très bien.
C'était un soir de septembre, après un de ces galas habituels dont elle ne pouvait décidément plus se passer. En faite, une soirée avait été organisée suite au gala pour féliciter toutes les danseuses avec un petit bar/cocktail. Il s'appelait Matteïs et c'était le frère d'une de ses collègues de danse. Il était venu la féliciter et la discussion avait continué, sans aucune retenue. Ils ont continué à se voir, un peu tous les jours et tous les soirs pour que finalement ils vivent une petite histoire d'amour, la toute première pour Sara-Aliza. Elle s'était empressé de le dire à son père, et le lui avait même présenté, ainsi qu'à sa mère. Contre toute attente, il avait fait très bonne impression et il donnait confiance, d'après leur mots. Leur histoire dura 7 mois, 7 mois que Sara n'oubliera pas. Certes parce que c'était sa première histoire, mais surtout pour la fin, qu'elle aurait bien aimé se passer. En réalité, le garçon était devenu bien moins attentionné qu'au départ et passait le plus clair de son temps dans des soirées alcoolisées avec ses amis, dont Sara-Aliza qui se faisait entrainé là-dedans sans rien dire. Malheureusement un soir, alors qu'elle allait justement pour le rejoindre elle se rendit compte qu'il y était déjà, avec d'autres filles. Pour simple test, elle lui envoya un message en lui disant qu'elle ne préférait finalement pas venir parce qu'elle était fatiguée. Il prit son téléphone, lit le message et se mit à rire, posant de nouveau son téléphone. La jeune femme en fut blessé, et c'est naturellement que le lendemain et les autres jours qui suivirent elle l'ignora. S'enfermant dans un silence ahurissant, inquiétant ses parents. Pourtant, elle passait le plus clair de son temps sur les réseaux sociaux pour surveiller les nouvelles, et surtout regarder les photos qui sortaient. Lui, avec des amis, et des filles. Partout, tout le temps, tous les soirs. Dans des endroits bizarres, avec des tenues spéciales, et ce qui devait arriver, arriva. Le jeune homme la fit cocu, plusieurs fois d’affilée pour revenir vers elle comme si de rien était. Mais voilà, décidé à ne pas se laisser faire, elle l'accueillit d'un pas dur et énervé pour lui dire ces quatre vérités qui ne manquera pas à son père.
Après cette histoire, elle se jura à nouveau de se marier qu'avec son père pour être tranquille, ce qui fit rire ce dernier.
A 18 ans et deux mois, elle obtient son diplôme haut la main afin de toujours rendre ses parents fier d'elle, ce qui ne rata pas. N'ayant pas arrêter la danse pour autant, elle quitte son club ou elle a évolué depuis toute petite pour reprendre dans quelque chose de plus gros. Durant l'été, elle ne cesse de chercher des écoles et décide finalement de postuler pour l'université d'Harvard, là même ou son propre père est professeur. Grâce à ses notes, la jeune blonde s'y fait accepté rapidement, avec pour option le droit mais aussi la danse pour son plus grand plaisir. Malheureusement, durant sa première année elle apprends la maladie de sa mère, grave et très mal en point. Sans même réfléchir, c'est naturellement que Sara passe le plus de temps possible auprès de sa mère, ratant énormément de cours mais autant dire qu'elle s'en fiche pas mal. Mais contre toute entente, elle réussit à passer en deuxième année.
Seulement voilà, comme si la maladie de sa mère ne suffisait pas, Sara-Aliza apprend également l'existence de la première femme de son père. En faite, en soit rien n'était totalement grave, mais le simple fait de savoir qu'il lui ai menti durant tout ce temps l'avait énormément vexé et blessé. Son propre père, pour qui elle n'avait aucun secret en avait eu un pour elle, et un très gros. Elle lui en a voulut, durement et elle lui en veut même encore. Elle lui parle, mais elle reste méfiante. Pourtant, c'est son père, elle l'aime très fort mais au fond d'elle il lui reste cette rancœur dont elle adorerait se passer. Avec le temps, elle sait. Surtout en apprenant qu'elle à un demi frère, et que son père a eu un autre enfant avant elle. Comment a-t-il fait pour cacher ça ? Cacher un enfant ? Non, c'est très difficile de faire comme si de rien était.
Et il y a seulement un mois, la petite Sara-Aliza perdit sa mère. Sa maladie fut bien plus forte, et malheureusement elle n'eut pu se battre plus. Dévastée, Sara ne sait plus ou donner de la tête, quoi penser et ni que faire. Alors, c'est naturellement qu'elle se retourne vers son père, qu'elle ne lâche plus. Elle a du mal à réalisé qu'elle ne verrait plus jamais sa mère, et son père l'aide à rester debout. Elle se concentre davantage sur ses cours et obtient encore de meilleures notes qu'en temps normal.
La rancœur qu'elle a envers son père et toujours quelque peu présente, mais elle l'oublie "peu à peu", il ne lui reste que son père et elle ne peux pas se permettre de le perdre lui aussi.
Sara à toujours été ce genre de fille un peu niaise, ou en tout cas qui le paraît. Parce que quand on l'a connait bien, elle a un cœur immense et serait prête à n'importe quoi pour les gens qu'elle aime. Elle aime être le centre d'attention et pourtant en même temps, elle apprécie se faire oublier de temps en temps. Elle a du mal à dire ce qu'elle ressent, elle n'est pas trop expressive et ne se dévoile jamais trop aux autres et encore moins aux hommes suite à sa première relation. D'ailleurs, elle n'en a jamais eu d'autres aussi sérieuse, quelques amourettes de un mois voir moins mais c'est tout. Elle n'est pas du genre à pratiquer les coups d'un soir puisqu'elle se respecte énormément, et toute façon son père ne la laisserait certainement pas faire. Pourtant franche et très directe, elle aime avoir le contrôle de certaines situations mais garde ce petit côté mystérieux. Il faut qu'on la regarde, qu'on la remarque sans pour autant la connaître réellement, sans connaître son histoire dans les détails. Parce qu'elle n'aime pas dévoilé sa vie aux autres, pas comme ça, pas à n'importe qui. Elle reste cependant qualifié de "peste" par certaines personnes de l'université, parce qu'elle a prit l'habitude de prendre certaines personne de haut. Pourquoi ? C'est Sara, et son côté "regardez-moi". Rien de plus, parce qu'elle est bien loin d'être méchante, égocentrique et autres. Elle est marrante, souriante et très sociable. C'est juste une petite facette qu'elle se colle elle-même à la peau et finalement, elle ne fait pas grand chose pour l'enlever. De ce fait, les gens gardent en tête son petit côté narquois et n'ont aucune envie de la connaître, ce qui arrange la blonde parfois puisqu'elle n'aime pas se dévoilé. C'est plus facile d'avoir des connaissances plutôt que des amis ; les amis on se doit de tout leur dire. Les connaissances restent seulement des gens à qui on parle de temps en temps, mais à qui on ne doit rien. Mais il est dit que lorsqu'on apprend à vraiment connaître Sara-Aliza, c'est une drogue dont nous avons du mal à nous passer. Alors, verdict ?