Noa-Jul avait eu une super longue nuit enchainé à une journée toute aussi rempli, mais il savait que c’était ça la vie estudiantine à Harvard. Le jeune homme décida de passer à l’infirmerie draguer l’infirmière pour avoir un peu de répit loin du bruit de l’université, il entra doucement dans le local médical…personne n’était la…enfin personne du personnel, mais il y avait quelqu’un qui dormait dans le lit. Noa décida de s’approcher du lit avant de s’assoir sur le fauteuil juste à côté…Mais il reconnu ce visage ne lui était pas inconnu…mais comment çela pouvait être possible, c’était un souvenir de jeune adolescent, il devait savoir si c’était elle « ISALINE!!!! » Le jeune australien ne se souvenait plus du tout de son nom de famille…l’avait-il su déjà, il ne savait plus, il voulait juste que la jeune femme lui dise, c’est moi ou ce n’est pas moi, il attendit une réponse de la belle.
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Un sérieux mal de crâne. Je sais pas comment mais il m'avait soudainement frappé en plein cours. J'avais essayé de me concentrer, mais vraiment pas moyen. J'avais l'impression que quelqu'un utilisait un marteau pour essayer de me fracasser la tête. Bref, très joyeux tout ça. Et je n'avais pas même un peu d'aspirine sur moi. J'avais rien fait pourtant. Je veux dire, je ne suis pas sortie la veille, donc je n'avais pas bu. Et je n'avais pas spécialement une santé fragile. Peut-être était-ce parce que je n'avais pas énormément dormi ces derniers jours? Bref, dans tous les cas, j'étais sur le point de mourir quand enfin, la cloche sonna. Fini le cours, mais j'en avais d'autres encore. Mais tant pis. Prenant mes affaires, je me dépêchais de retourner à mon casier pour tous les balancer dedans. J'envoyais un message à Camille pour lui prévenir que je ne mangerais peut-être pas avec elle à midi et direction l'infirmerie. Et comme il était vide, je ne me gênais pas pour fouiller un médicament dans ses armoires. J'en avalais un rapidement avant de me coucher sur un lit. Mes paupières se dirent lourdes et je tentais tant bien que mal de faire abstraction à ce foutu marteau qui était en train de me bousiller le crâne. Dors... Dors...