Noémie Devauchelles ►Anna Arendshorst

C'est le douze novembre mille neuf cent quatre-vingt douze à minuit trente à Paris, dans le sixième arrondissement, que les membres de la famille Devauchelles m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Noémie, Alessandra. Je suis mariée à mon compte en banque (a) et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale bien plus qu'aisée et je ne m'en cache pas. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Médecine (majeur) et Biologie (mineur) depuis trois ans et travaille en parallèle de mes études en tant que - (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les eliots house ou les students.

Noémie Devauchelles

Looks alot like Anna Arendshorst

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Melodia mais je m'appelle Audrey. et j'ai 16 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à je sais même plus m'voyez?. ILH est le meilleur forum que j'ai connu alors j'ai décidé de revenir[/b]. J'utilise Anna Arendshorst comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par kaiji (avatar). Je fais environ ça dépend, je m'adapte à l'autre joueur avec qui je rp en général mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
Je n'aime pas trop me remémorer cette effroyable période. Oui effroyable, il n'y a pas d'autre mot. J'étais en train de discuter sur le parking avec l'une de mes amies. L'atmosphère était chaleureuse, conviviale et rassurant, jusqu'au moment où un bruit sourd retentit. Des étudiants criaient et courraient dans tous les sens, ils étaient affolés. Nous ne comprenions pas pourquoi. Jusqu'au moment où une autre explosion éclata sous nos iris apeurés. La peur nous gagnâmes et mon amie s'empressa de me propulser contre le bitume. Je tentais de rester immobile et fermais les yeux. Ce fut un démineur qui me réveilla. Lorsque je retrouvai mes esprits et je demandais après Lisa, tout ce que l'on me dit était un minable "désolé", mot sans doute répété des dizaines de fois au fil de la journée. Je venais de perdre une personne chère à mes yeux et pourtant je ne pleurai pas, j'en demeurais incapable, bien trop choquée.

ELIOT HOUSE
Etant une fille de bonne famille, Noémie, native de France a les moyens d'être admise à Harvard et d'adhérer la maison la plus prestigieuse, l'élite sociale. En effet, son père, Adrien Devauchelles est celui qui a réalisé la première greffe de visage mais également un des trois plasticiens les plus respecté et réputé au monde. Elle a donc vécu depuis sa naissance dans le confort et le luxe, s'étant accommodée à ce mode de vie. Elle donnerait tout ce qu'elle a pour être éternellement riche et dénigre tout ce qui attrait à la pauvreté même si elle n'est néanmoins pas exécrable envers les personnes ne faisant pas parties de son monde. Son géniteur, ayant lui aussi été à Harvard mais malheureusement adhérant de la Dunster en ce temps, souhaite qu'elle, se rallie à sa trempe et ne fréquentent que des "personnes qui en valent la peine" afin de se faire une place au sein de la société.

STUDENT
Elle croise les doigts pour que sa candidature à la Eliot soit acceptée mais si il s’avérait que ce ne soit pas le cas, elle souhaiterait être simple étudiante, n'ayant pas les qualités requises pour postuler dans une autre maison. Puis, de toute manière, son père voulant qu'elle soit Eliot et Noémie étant obéissante, elle n'a pas réfléchi à un plan de secours.

(Invité)

Qu'est-ce qui ne va pas? La jeune femme regardait tour à tour les deux hommes se tenant face à elle tout en maintenant son bébé dans ses bras. Un nouveau né qui lui ressemblait déjà tellement. Un tout petit bambin aux yeux bleus et aux airs angéliques. Marie, on doit l'amener d'urgence en néonat. avait sinistrement dit son mari, un imminent chirurgien, adulé. La mère ne comprenait pas et regardait ses interlocuteurs, perdue. Le meilleur ami de son conjoint, pédiatre, répondit alors : Elle éprouve de grandes difficultés à respirer, nous devons confirmer le diagnostique à l'aide d'examens complémentaires mais il semblerait qu'elle soit atteinte d'un asthme sévère. Marie eut les larmes aux yeux suite à cette annonce. Un père chirurgien et un bébé malade, ironique non? Elle regardait alors sa fille et peinait à la lâcher. Avez-vous choisi un prénom? Il faut en choisir un avant de l'admettre? continua le pédiatre. Les mariés se regardèrent tour et à tour lorsque le père lui demanda ce qu'elle pensait de Noémie. Elle hocha la tête, tremblante avant de confier son bébé à l'ami de la famille.

C'est ainsi que Noémie Alessandra Devauchelles pénétra dans le monde des vivants. Heureusement, elle avait un traitement en sa possession mais elle n'eut pas une enfance ordinaire. Partagée entre l'école à domicile et la garderie de l'hôpital afin qu'elle puisse plus souvent voir son paternel qui avait un emploi du temps de ministre. Elle se baladait dans les couloirs de l'hôpital, attendant parfois près du bloc. Mais personne ne lui disait rien, elle était l'unique enfant d'Adrien Devauchelles, l'un des scientifiques les plus respectés dans le monde entier. Elle ne se gênait pas pour en jouer, déjà jeune. Elle comprenait que sa famille possédait beaucoup d'argent et qu'ils étaient ainsi supérieurs aux autres. Du moins, elle l'interprétait comme cela. C'était une gamine puritaine et pourrie gâtée mais elle en était fière.

Elle a grandit en pensant que tout lui était acquis, ne serais-ce qu'au collège et au lycée où chaque personne était à ses pieds. Ca aide l'argent pour se faire une réputation. Puis vint le temps des responsabilités et la période achevant l'innocence. Plusieurs dossiers empilés souscrivant une candidature dans différentes universités et Adrien annonça ses souhaits: Princesse, j'admire ton acharnement mais sache que dans la famille, de génération en génération; nous sommes tous allés à Harvard. Il regardait Noémie tendrement. Jamais elle ne l'avait déçu, jamais. Une personne irréprochable, au tant au niveau scolaire que relationnel ou familial. Mais fais-moi plaisir, ne fais pas comme moi, rend-toi chez les Eliots, là où est ta place. C'est la seule confrérie qui pourrait te correspondre. La jeune femme souriait alors. Il était évident qu'elle allait faire ce que lui dictait son père. Elle ne se sentait même pas obligée, c'était un plaisir pour elle que d'honorer le blason familial. Et puis, elle était bien trop jeune pour décider de sa vie, seule.

C'est ainsi qu'elle se rendit aux Etats-Unis, afin d'étudier dans le meilleur programme.

The End

(Invité)