Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(williarlie) I was alone standing close to the edge, you are the reason I smile again.
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(williarlie) I was alone standing close to the edge, you are the reason I smile again.

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I was alone standing close to the
edge, you are the reason I

~ smile again ~


Mardi soir, vingt-deux avril. Tu étais devant la glace, à nerveusement nouer ta cravate. Tes doigts tremblaient-ils ? Oui, peut-être un peu. Était-ce un symptôme lié aux stimulants que tu prenais de plus en plus régulièrement ou alors n’était-ce que le stress, la nervosité, d’avoir un premier rancard officiel avec l’homme qui fait battre ton coeur depuis mars déjà ? Depuis votre rencontre lors du Spring Break, William et toi ne vous étiez pas perdus de vue. Le choc de le retrouver à Harvard était finalement passé et depuis, vous vous écriviez régulièrement des textos et il arrivait même que, quelques soirs par-ci par-là, tu allais le rejoindre chez lui. C’était une relation comme tu les aimes, en fait. Bien que le jeune médecin ait plus d’expérience que toi au niveau... conquêtes en tout genre, il n’en demeure pas moins que votre duo avait fini par tomber dans une relation qui semblait tendre vers de la longue durée. Vous aviez passé, autrement dit, le cap de l’histoire sans lendemain. S’il était prêt à t’inviter chez lui pour dîner, te présenter son fils et ses parents, c’était forcément parce qu’entre vous... C’était officiellement sérieux. Tu finis donc d’attacher ta cravate, la passant ensuite sous le col de ta chemise. Était-ce trop... chic ? Ou alors... devrais-tu opter pour quelque chose de moins... Tu défis alors ta cravate, déboutonna les trois premiers boutons de ta chemise et enfila un genre de veste. Tu étais donc « bien habillé » sans trop l’être. Tu rentras finalement ta chemise dans ton pantalon, réajusta ta ceinture et souffla un bon coup en jetant un dernier regard à ton reflet dans le miroir. Plus de doute, tu étais fin prêt.

Tu allas vers ton bureau de travail pour prendre ton portable et le foutre dans la poche avant de ton pantalon. Ton regard bifurqua rapidement vers le pot de pilule que tu avais malencontreusement oublié de ranger - encore aujourd’hui. Si ça continuait ainsi, Priape et Jasper finiraient par découvrir et ça, c’est chose que tu voulais éviter. Tu pris le flacon et le camoufla sous les draps de ton lit. Tu dus te concentrer comme il le faut pour ne pas en prendre un ou deux. À dire vrai, tu n’en avais pas pris depuis que tu avais reçu l’invitation de William... Tu n’avais pas envie qu’il remarque chez toi une quelconque... anormalité. Il est médecin, après tout... Or, il n’en demeure pas moins que tes mains tremblaient encore et que tu agissais un peu plus... différemment qu’ordinairement. Ça passerait sûrement pour de la nervosité et, il n’est pas faux d’affirmer que c’en est aussi... Tu finis par prendre ton portefeuille et tes clefs et quitta la Dunster House, direction le stationnement. Tu entras dans ta BMW, mit le contact et roula jusqu’au domaine de ton... amant... comme tu l’avais fait plusieurs fois depuis le retour de Punta Cana. Une fois arrivée devant les grillages, tu appuyas sur le petit bouton de l’interphone et attendit une réponse. « Yes ? »« It's Charlie... » dis-tu, nerveusement. Après quoi, les grilles s’ouvrirent et tu pus pénétrer dans l’immense allée en pavé uni. Tu immobilisas ta voiture et en sorti. Ça y est... C’était le grand moment. Va savoir pourquoi, monter les quelques marches qui te séparaient de la porte était plus difficile maintenant que les autres fois. Maudite nervosité ! Tu toquas trois coups à la massive porte et... Il était là. Devant toi. Si beau. Si parfait. Et voilà que toute forme d’angoisse disparaissait alors que tu entrais dans sa maison. « Waoh ! Smells good ! What are you up to ? » Un sourire fendu jusqu’aux oreilles se dessina sur ton visage, alors que tu t’avanças doucement vers lui pour l’embrasser dans le cou, passant tes bras atour de sa taille pour le serrer dans tes bras ensuite. La proximité... Sa proximité. Tout ce dont tu avais besoin pour sourire à nouveau et ne plus penser à tous tes soucis actuels.
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Un rencard. Un vrai de vrai rencard. Enfin, à tes yeux ça l'était.. Bien qu'il n'avait jamais eut de vrai de vrai rencard. Bref, c'était dur à expliquer. William n'a jamais donner un rencard à une personne dans sa maison. Il donnait des rencards en publique, genre le restaurant le plus chic et fancy de la ville pour les impressioner, puis il couchait chez sa victime. Boom, voilà, done. C'était facile et pas compliquer. Pourtant, récemment, il avait eut un rencard avec une de ses patientes, et ça avait finit différemment. Pour la première fois à vie, William s'était réveillé dans un lit autre que le sien. Pour la première fois, il s'était réveillé avec quelqu'un à côté de lui. Et étrangement, il avait apprécié l'expérience. C'était relaxant, nouveau et plaisant. Mais Feldt n'était pas Charlie, et bien qu'il appréciait énormément la jeune femme, il manquait quelque chose entre les deux. Le coeur ne William ne battait pas à une vitesse folle à la vue de son sourire, son coeur ne manquait pas un battement quand elle riait, et il n'avait pas cette folle libido quand elle parlait. Feldt était magnifique, certainement une des plus belles femmes qu'il ne connaisse à Cambridge, mais non, il n'y avait que Charlie qui avait cet effet sur le jeune médecin, et c'est donc pourquoi il avait invité Charlie pour un vrai rencard. Un vrai de vrai tête à tête, un souper aux chandelles chez lui, préparé par lui. Le truc cliché quoi. Après tout, William ne s'y connaissait pas vraiment en matière de romance, mais il pensait que cela ferait énormément plaisirs à Charlie. Et si cela plaisait à Charlie, William espérait que le Dunster accepte de passer la nuit chez lui pour la première fois. Rester là jusqu'au lendemain matin, et non repartir à la Dunster House. Oui, William voulait vivre une matinée avec Charlie, car si l'expérience avec Feldt était parfaite, il ne pouvait pas imaginer comment ce serait encore plus plaisant avec Charlie. Se réveiller et voir son visage..

La sonnette de la cloture retentit. William s'essuya les mains et alla répondre. C'était Charlie. Il ouvrit les barrières et retourna dans la cuisine. Il baissa le feu de cuisson des aliments qu'il cuisinait, s'assurant que tout était bien, avant d'aller ouvrir la porte en entandant les coups de Charlie. William portait des pantalons gris avec une chemise mauve dont les manches étaient roulés et les boutons du haut étaient ouvertes. Ce n'était pas son habit pour la soirée. Il s'était habillé comme ça pour faire l'épicerie en journée, puis il ne s'est pas changé car il ne voulait pas que ses vêtements se salissent ou sentent le steak en cuisinant. Bref, William ouvrit la porte, et fut accueillit par l'énorme sourire de Charlie. Il était trop occupé à relooker le jeune homme de haut en bas pour réellement écouter ce qu'il disait. Il complimentait sûrement l'odeur délicieux qui pouvait se faire sentir jusqu'à l'entrée. William lui offrit un sourire à son tour. Un vrai sourire, honnête, sincère, et heureux. Il s'approcha pour l'embrasser mais celui-ci décida autrement et déposa un baiser dans le cou de William avant d'encercler sa taille. William serra Charlie contre lui et déposa un baiser sur son front. Après un bref instant, il le relâcha. « Steak, creamy mashed potatoes and some stir fried vegetables. Classic easy but fancy meal, I hope you're hungry. » dit-il en prenant la main de Charlie dans la sienne afin de l'emmener vers la cuisine. Sa maison était gigantesque, c'était plutôt un manoir si on voulait utiliser les bons termes, mais il préfèrait dire maison pour ne pas attirer l'attention. William arriva finalement dans la cuisine où la nourriture était encore en train de cuire. « Yeah hmm.. You should go sit down, everything's ready. I'll just go upstairs and change, and I'll be right back. » dit-il en emmenant Charlie vers la salle à manger. Il avait raccourcit sa grande table en bois pour la mettre plus petite. Une petite nappe blanche la recouvrait et il y avait déjà naperons et les ustencils de prêts. Une petite chandelle ornait le milieux de la table. Toujours en bon gentleman, William tira la chaise pour Charlie, volant un baiser une fois installé, puis s'en alla rapidement en haut pour se changer dans quelque chose de plus propre. Des pantalons noirs et... une chemise blanche ou noire? William hésita un moment, puis choisit la noire. Il la rentra dans son pantalon, mit une ceinture puis après une touche de son parfum préféré, il redescendit en bas. Tout cela en moins de 5 minutes. Il se dirigea premièrement vers la cuisine pour préparer les deux assiettes, puis il les emmena vers la salle à manger. Son coeur se mit à battre un peu plus rapidement. Voilà, le rencard commençait officiellement. « Here you go.. » dit-il en déposant les assiettes. Il se retourna vers le coin de la salle où il y avait un petit bar-réfrigirateur. Il ouvrit la porte et sortit une bouteille de vin, puis une autre. « Are you more of a red wine guy, or a white wine guy? » demanda-t-il en montrant les deux bouteilles.
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C’est fou comment cette seule et unique soirée pouvait prendre toute une ampleur à tes yeux. Ce n’était pas qu’un simple dîner, ce n’était pas qu’une simple soirée passée en compagnie d’un homme qui nous charme depuis sa rencontre. C’était... bien plus que ça. Au fil des semaines, au fil des mois - et malgré tout - c’est un amour véritable qui a découlé de cette rencontre anodine lors du Spring Break à Punta Cana. Dès le jour où tu as su que ce rencard aurait lieu, tu n’avais pas pu t’empêcher de te faire de multiples scénarios. Tu voulais être parfait pour ce soir-là. Tu voulais être impeccable, irréprochable. Tu voulais par-dessus tout qu’il voie à quel point tu peux l’aimer, à quel point tu serais prêt à tout faire, à ce stade, pour lui. Alors durant les derniers jours, tu te faisais des films, essayant de trouver des répliques parfaites, les mots justes lorsque viendrait le temps... Tu stressais tellement que tu aurais pu en faire des ulcères. Et pourtant, les jours avaient passé et la date fatidique était enfin arrivée. Parce que oui, malgré tout le stress que cela pouvait occasionner, il n’en demeure pas moins que tu avais hâte. Tu avais hâte de le revoir, de l’avoir près de toi. De pouvoir le serrer dans tes bras, de pouvoir l’embrasser... Tout ça sans avoir peur qu’un jour il ne s’envole. Parce que oui, cette date, c’était en d’autres mots le moment où votre couple officiel allait naître.

La pression était retombée aussitôt qu’il t’avait ouvert la porte. C’est comme si tout le reste n’avait plus d’importances. Les scénarios seraient tous faux, parce que l’histoire serait plus belle. Et les bons mots, tu les trouveras en temps et lieu. Après l’avoir embrassé dans le cou, il te serra un instant contre lui. Tu profitas un maximum de cette étreinte, puis il s’éloigna, répondant finalement à ta question. « Steak, creamy mashed potatoes and some stir fried vegetables. Classic easy but fancy meal, I hope you're hungry. » Tu souris, hochant doucement la tête. Peu importe ce qu’il t’aurait préparé ce soir, tu savais que ça aurait été délicieux. En fait, tout t’importait peu, pourvu que tu sois près de lui. « Sounds great ! » dis-tu, un petit sourire en coin prenant place sur les traits de ton visage. William te prit par la main et te guida vers la cuisine. Ce n’est pas comme si tu n’y étais jamais venu, or cette fois c’était bien différent. C’était une date. « Yeah hmm.. You should go sit down, everything's ready. I'll just go upstairs and change, and I'll be right back. » Tu souris une nouvelle fois, obéissant à ses ordres. Arrivé à la salle à manger, tu fus étonnamment surpris de voir la table dressée ainsi. Une belle nappe, de beaux napperons... Une chandelle au milieu. C’était parfait. Il tira ta chaise et tu pris place. Le baiser qu’il te vola laissa un goût délicieux sur tes lèvres. Tu avais déjà hâte qu’il revienne. Les secondes te semblèrent comme des heures. Tu posas tes coudes sur la table - même si c’était impoli - et croisa les doigts. Ta jambe tremblait légèrement, signe de nervosité. Si en entrant elle s’était estompée, elle était revenue au galop maintenant. C’est étrange puisqu’en théorie, tu sais comment ce genre de chose fonctionne. Tu as même une certaine expérience... Seulement, tu aurais bien envie qu’avec William ce soit comme la première fois. La première fois que tu as un rencard officiel. Parce que contrairement à tous ceux que tu puisses avoir eu dans ta vie, celui-ci était sans doute le plus significatif. « Here you go.. » dit-il en arrivant par derrière pour déposer vos assiettes sur la table, alors que tu enlevais tes salles coudes de là. Wow. Ça sentait tellement bon et ça avait l’air tellement délicieux ! Tu lui souris - sourire plein de sous-entendus, évidemment - et humecta tes lèvres doucement. « Thank you. » dis-tu d’une petite voix en flattant doucement son avant-bras avant qu’il ne reparte aussitôt vers ce qui semblait être un mini-fridge. « Are you more of a red wine guy, or a white wine guy? » Tu tournas la tête pour voir les choix. « Red. » dis-tu doucement, un nouveau sourire ornant ton visage. Red... Ça te fit alors penser à Red Red Wine de Bob Marley... Pourquoi diantre pensais-tu à Bob Marley ? Charlie, voyons ! Enfin bref, tu regardas le jeune homme s’approcher avec la bouteille fraichement ouverte. Il t’en versa puis s’en servit. Il finit par prendre place devant toi et... Voilà. C’était officiellement commencer. Et comme dans les films, il posa sa main sur la table et innocemment, tu allas la chercher pour la prendre dans la tienne. « So... What about your day ? » demandas-tu en penchant un peu ta tête sur le côté, plongeant immanquablement ton regard au creux du sien. Tu finis par doucement lâcher sa main pour prendre ta fourchette. Tu coupas un bout de steak et y goûta. Wow. Excellent. Tu hochas la tête pour lui montrer ta satisfaction. ~
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