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La vie étant ce qu'elle est, rien n'est jamais gagné d'avance. Il ne faut pas tout tenir pour acquis et il faut encore moins s'asseoir sur ses lauriers en pensant qu'on est maintenant invincible. Depuis le Spring Break à Punta Cana, Valentina et toi vous étiez grandement rapprochés. Le départ de Denzel y était sûrement pour quelque chose, or il n’y avait pas que ça. À Hawaï, vous vous étiez confiés sur l’éveil de certains sentiments à l’égard de l’autre et ils étaient réciproques... Ce n’était plus qu’une question de temps avant que cela ne devienne officiel. Tu lui avais même demandé de t’accompagner au bal et... Tu avais fait la grande annonce à Jason. Enfin bref, la suite, tout le monde la connait. Il avait pété un câble - avec raison - et depuis, Valentina et toi ne vous étiez pas revus. Par respect pour Jason ou simplement par peur de devoir l’affronter en face, en fait. Ce soir, c’était donc vos retrouvailles après quelques semaines sans se voir. Les enchères s’étaient terminées et tu avais été vendu pour la modique somme de deux cent mille dollars. Lyson avait mené un combat plutôt dérangeant contre la jeune Dunster, sauf qu’il était clair pour toi que peu importe qui t’achèterait, tu passerais le reste de la soirée avec ta douce. Et tu le lui avais fait savoir tout de suite après avoir été vendu... Enfin bref, plus rien n’avait d’importance maintenant : tu étais enfin auprès d’elle.

Vous étiez donc sortis côtes à côtes de la salle où se déroulait les enchères. Après quelques pas dans le stationnement, tu déverrouillas à distance les portières de ta voiture et fit monter la jeune femme du côté passager. Tu pris place derrière le volant. Ce scénario te rappelait étrangement la nuit où tu l’avais retrouvée sous la pluie... À cette pensée, ton coeur se serra. Denzel était parti depuis quelques semaines maintenant et Valentina avait été claire à ce sujet : il ne faut plus en parler. Tu respectais ce choix. Tu mis le moteur en marche et silencieusement, tu te dirigeas vers le lieu où tu voulais amener Val depuis quelque temps déjà. Durant le trajet qui dura quelques minutes, tu fus tirailler entrer garder les deux mains autour du volant ou entremêler tes doigts aux siens... Tu préféras la première option. Pas que tu n’en aies pas eu envie, juste que tu étais un peu nerveux... C’était dangereux ce que vous faisiez là... Même si Jason était au courant et que ce n’était plus une question de lui jouer dans le dos, il n’en demeurait pas moins qu’il approuve encore moins maintenant qu’il sait que c’est vrai. Une fois à destination, tu arrêtas la voiture et te tourna vers Val pour lui faire un petit sourire. Elle ne devait pas du tout savoir où on était et... C’était parfait ainsi. « Come. I won’t hurt you. » dis-tu, le sourire sur tes lèvres s’agrandissant. C’était évidemment une blague puisqu’elle savait pertinemment déjà que tu ne ferais rien pour la blesser. Même involontairement. Une fois hors de la voiture, tout ce qui se trouvait autour de vous, c’était de l’herbe, quelques arbres, une vue imprenable sur la ville et un ciel rempli d’étoiles. Vous étiez seuls. Vraiment seuls. Et à l’abri de quiconque voudrait se mettre au travers vous. Tu marchas jusqu’à l’arrière de la voiture et ouvrit le coffre pour en sortir deux couvertures. Tu allas vers ton invitée et lui prit la main, commençant à marcher plus loin de la voiture. Après quelques pas, tu déposas une couverture par terre et t’y asseya. Valentina ne mit pas de temps à venir s’asseoir près de toi. Tu enroulas l’autre couverture autour de vous, passant un bras par-dessus les épaules de la jeune femme pour l’attirer plus près de toi. Après quelques secondes, tu pris une grande inspiration et la regarda dans les yeux. « I love you, Val. » Pause. « I just noticed that I had never told you this, face to face. » Un petit sourire s’installa sur ton visage, déterminé à y rester pour le reste de la soirée. Vous étiez bien, là. Rien que vous deux... Sans personne pour tout gâcher. Ça faisait du bien, parce que depuis que tu avais avoué à Jason, tu avais l'impression que ta relation avec Valentina était devenu un... champ de bataille... ~
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L'humiliation publique, voilà une chose que Valentina détestait. Ce n'était pas parce que sa fierté se faisait détruire devant tout le monde, au contraire, elle n'était pas super fière de miser 102 000$ pour Lawrence, mais c'était le fait que cela lui rappelait son adolescence. Cela lui rappelait quand elle était la reine de son lycée, la belle Valentina que tout le monde adorait et traitait comme une Princesse. Non pas parce qu'elle avait une grosse tête, mais parce que les gens la trouvaient tout simplement trop gentille, douce et.. parfaite quoi. Elle avait sa bande d'amis, ils étaient les populaires de son école, puis elle se sentait complètement aimée.. Mais un jour, une autre débarqua, une Valentina 2.0 genre. Blonde, belle, gentille, douce, intelligente... et riche à craquer, et le règne de Valentina fut totalement écrasé. Adieux les amis, adieux la popularité, et bonjour l'humiliation. Ceux qu'elle pensait qui tenaient à elle étaient les premiers à l'insulter, à dire qu'elle n'était qu'une petite paysanne idiote et naïve. C'était l'enfer. En quelques jours, la nouvelle devint la reine, avec son argent et ses multiples fêtes dans sa grande maison, et Valentina se trouva en bas de l'échelle. C'était fou comment l'argent pouvait avoir du contrôle sur les gens. Et donc durant l'enchère, Valentina a vécu la même chose. Se sentir importante, prête à avoir Lawrence, et on lui arrache tout cela en deux secondes, car l'autre était plus riche, plus.. mieux.

Valentina a dut garder son sang froid et ravaler ses larmes. Elle a dut prétendre être correcte avec ce qui venait de se passer, laisser Lawrence croire qu'elle n'était pas trop blessée d'avoir perdu la vente. Mais elle l'était, elle ne savait pas pourquoi, mais Valentina rageait de s'être fait battre à nouveau par une fille qui avait de l'argent. Elle maudit tous les jeunes adultes qui avaient trop d'argent à gaspiller. Fuck la blonde d'italie qui a ruiné sa réputation au lycée, et fuck la blonde qui a acheté Lawrence. Et surtout, Fuck les filles que Lawrence connaissait. Il avait beau lui dire que la blonde qui l'a acheté est une vieille amie, Valentina n'allait pas laisser ça passer. Possessive? Oui, très.

« I know you won't.. » répondit-elle à Lawrence lorsqu'il lui dit qu'il ne lui fera pas de mal. Elle n'avait pas vraiment ouvert la bouche depuis l'enchère, depuis sa mise sur Avery. Elle ne voulait pas partir une dispute. Elle a tout simplement suivit l'homme qu'elle appréciait de plus en plus chaque jour, l'homme qui prétendait être amoureux d'elle. Elle l'a suivit aveuglement, sans se poser de questions, sans aucune crainte. Et maintenant la voilà dans sa voiture dans un lieu non-identifiable, et elle ne paniquait même pas. Elle débarqua hors de la voiture pour suivre Lawrence sans regarder autour d'elle. Elle garda son regard rivé sur le Winthrop. Valentina prit place près de lui, se laissant prendre dans ses bras. Elle adorait se sentir toute petite près de lui, elle se sentait protégée. Elle releva son regard vers lui, et son coeur s'arrêta. La Terre s'arrêta. Le Temps aussi s'arrêta. Il l'aimait. Valentina était perdue dans son regard, oubliant sa petite rage contre l'amie de Lawrence. Elle réalisa après un moment qu'elle devait répondre quelque chose. Sauf qu'elle n'était pas prête.. Enfin, si, elle l'était, mais cela sortit autrement. « I like it better when you call me Valentina.. » dit-elle dans un petit murmure. Bien qu'elle était honnête, elle préférait Valentina plutôt que Val car Lawrence avait cette magnifique manière de prononcer son nom, elle savait que ce n'était pas le genre de réponse appropriée après la déclaration du jeune homme. Elle continua à observer les beaux yeux bleus de Lawrence pendant quelques secondes. La petite Lorenzo prit son courage à deux mains. « ... I love you too. » confia-t-elle d'une voix douce. Et maintenant quoi?
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Lawrence Crosby. À une époque, cela voulait dire quelque chose pour tout le monde. Tout le monde - ou presque - te connaissait. De vue, de nom ou par l’intermédiaire de quelqu’un d’autre. Tu étais, à Philadelphie, une personne appréciée et appréciable. Les femmes tournaient toutes la tête lorsqu’elles te voyaient. Plusieurs s’adressaient à toi dans l’espoir d’obtenir un bonjour ou même une soirée de rêve en ta compagnie. Et si par hasard tu en saluais une qui n’attendait que ça, tu te retrouvais bien vite dans son top cinq... C’est comme ça que ça marchait, dans le temps. Et l’on peut facilement dire que tu y avais pris goût. Savoir qu’on plait, ça fait toujours plaisir à l’égo et même si tu as appris à tes dépens qu’il ne faut pas toujours se fier aux autres, c’est grâce aux bons commentaires à ton sujet que tu as su passer à travers de nombreuses épreuves. Les compliments, les femmes qui rougissent en ta présence, ça pesait gros dans la balance de ton estime personnelle. Or, tu pouvais peut-être avoir l’air d’être le bon garçon, celui avec qui on veut forcément passer une soirée, celui avec qui on aurait envie d’aller plus loin et même celui avec qui on se verrait avoir des enfants, tu n’as jamais été celui qui pense à ça. Savoir que tu plais et t’en servir à bon escient est une chose, mais tomber amoureux en est une autre. Tu aurais pu avoir tant d’opportunité tellement tu étais « en demande », mais... Jamais - sauf une fois - tu as trouvé chaussure à ton pied. Trop capricieux ? Trop pointilleux ? Non... Juste pas assez prêt à être officiellement engagé à quelqu’un. Cette facette de ta personnalité est peut-être vieux jeu, mais c’est comme ça. Pour t’engager avec quelqu’un, il faut d’abord et avant tout que ce soit réciproque, sincère et... vrai. Tu regardes tous ces gens qui sont en couple pendant deux semaines et qui, après une rupture dite douloureuse, se retrouvent à nouveau en couple... À ça, tu n’y crois pas. Toi, tu préfères t’investir pour que ça vaille la peine, d’où le fait que tu as mis tout ce temps avant de trouver ta perle rare. Valentina.

Voilà quelques semaines - pour ne pas dire quelques mois - que les choses s’étaient clarifiées pour toi. Si au départ tu avais perçu la jeune italienne simplement comme la cousine de ton meilleur ami, ce n’est qu’au Spring Break que tes idées convergèrent dans une toute nouvelle direction. On dit que le coup de foudre arrive souvent sans crier garde. Tu ne croyais pas au coup de foudre, d’ordinaire. Mais avec Valentina, tu ne voyais que ça de plausible pour qu’aussi subitement, elle se mette à te faire perdre la tête. C’est donc par amour que tu lui avais ouvert la portière de ta voiture, le soir même où Denzel était parti. C’est par amour aussi que tu avais confronté Jason à ce sujet. C’est par amour que tu t’étais juré, malgré les dires et les reproches de ton meilleur ami, de rester fidèle à tes sentiments et de ne pas les détourner pour faire plaisir au jeune homme. C’est par amour que tu lui avais demandé de t’accompagner au bal, peu importe ce que son cousin pourrait en penser... C’est par amour aussi que tu te foutais de qui avait pu t’acheter ce soir. On dit que l’amour peut nous faire faire de drôles de choses. À tes yeux, ça n’a rien de drôle. C’est réel. Et ta vie ne t’a jamais semblé aussi réelle qu’elle l’est présentement, auprès de la brunette.

« I like it better when you call me Valentina.. » Tu souris comme un idiot, la trouvant tellement mignonne de se soucier d’un si petit détail. Tu venais de lui dire que tu l’aimais de vive voix et elle, elle accrochait seulement au diminutif de son prénom. Un garçon normal aurait peut-être fait la moue, mais toi, tu t’en moquais. Même si elle ne le formulait pas clairement, tu savais en vrai ses sentiments. Son regard soutenait toujours le tien et tu aurais bien pu rester ainsi pendant des jours, des ans même. Sa douce voix s’éleva à nouveau et ce qui s’en suivit sonna comme une mélodie à tes oreilles. « ... I love you too. » Un mince sourire étira le coin de tes lèvres. Bien que dans ta tête, les cris de joie fuyaient de tout côté, tu tâchais de rester bien calme. Tu n’étais quand même pas pour sauter et hurler à tue-tête que tu étais donc heureux que ta flamme t’ait, elle aussi, déclarée son amour ? Tu la serras un peu plus fort près de toi et embrassa doucement le haut de sa tête. Un garçon normal aurait peut-être vu en ce « je t’aime » une porte ouverte vers une nuit torride, mais toi tu ne voyais pas ça comme ça. Oui, ces mots marquaient peut-être le début de quelque chose, mais ce n’est pas ton genre de penser au sexe lorsque quelqu’un te dit un « je t’aime » aussi attendu que celui-ci. « I’m glad to hear that. » dis-tu d’une voix rauque, comme si l’émotion finissait par remonter. De tout les « je t’aime » qu’on pouvait t’avoir dit, celui-ci était de loin celui qui comptait le plus pour toi. Tout comme le 10,50$ de Valentina valait plus que le 200 000$ de Lyson. « Did you... choose your prom dress? » demandas-tu, un grand sourire prenant alors place sur les traits de ton visage. La savoir à ton bras pour le bal, peu importe l’avis de Jason, c’était bien. Et c’était un grand pas pour vous deux... ~
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Il y avait plusieurs sortes d'amour. Les amours roses par exemple, quand les deux membres du couple ne cessaient de se couvrir de Je t'aime à chaque deux secondes en gloussant comme des petits adolescents et en soupirant dramatiquement d'aise pour montrer à tous qu'ils étaient complètement et maladement en amour. Puis il y avait les amours noirs, quand une relation est assez explosive et toxique avec des disputes à chaque minute mais cela se terminait toujours avec des ébats enflammés remplis d'amours. Et Valentina pouvait se classer dans la première situation. Elle n'était pas très rose, mais ce n'était qu'une question de temps avant qu'elle ne devienne totalement gaga pour Lawrence. Ce n'était qu'une question de temps avant qu'elle ne le bombarde de Je t'aime à chaque minutes, qu'elle soupire d'aise en sa présence et qu'elle rigole comme une petite gamine à chaque mots qu'il lui dira juste parce qu'elle sera amoureuse de lui. Sauf que là, ce n'était que le début. Là, elle l'aimait, lentement mais sûrement. Enfin, lentement.. ça c'était avant qu'il lui dépose un baiser sur le haut de la tête. Là, elle fondait carrément dans ses bras. Elle n'était sûrement pas encore habituée à autant d'affections de la part d'un homme. Denzel ne le faisait que très rarement, lorsqu'ils étaient seuls et qu'il était de bonne humeur. La différence avec Lawrence était flagrante. Ce dernier semblait être prêt à la toucher et l'embrasser à chaque occasion qu'il avait, et même si Valentina adorait les rares affections de Denzel dans le passé, elle réalisait que c'était encore mieux quand les marques d'affections étaient fréquentes.

I’m glad to hear that. Valentina releva son regard curieusement vers Lawrence. Son ton de voix avait piqué sa curiosité. Elle fut surprise de voir les émotions affichés dans les yeux de Lawrence. Valentina se mordit la lèvre inférieur. Il était vraiment parfait. Parfois elle se demandait si c'était le destin qui unissait les gens. Non pas qu'elle parlait d'elle-même comme étant parfaite, au contraire. Elle se demandait si c'était le Destin que Lawrence et Jason se soient rencontrés. Elle se demandait parfois s'ils étaient fait pour être meilleurs amis. Parce que de son point de vue, les deux jeunes hommes étaient identiques. Et Arizona approuvait aussi. Grands, charmeurs, intelligents, sportifs et apparament, très romantiques. Enfin, Arizona ne cessait de dire que Jason était un romantique, Val ne voyait que le Jason qui vouait un culte à Harry Potter. Puis pour Lawrence, elle pouvait définitivement dire qu'il était romantique. Après tout, à en juger où ils étaient en ce moment, Valentina se croierait dans un film américain. Did you... choose your prom dress? Valentina secoua doucement de la tête. Les temps étaient durs, et elle n'avait pas eut le temps de penser au bal depuis la demande. Une fille normale aurait littéralement dévaliser les boutiques pour commencer à trouver la robe parfaite avant toutes les autres, mais Valentina n'était tout simplement pas normale. Sa vie n'était pas normale. Elle vivait sur le budget de son cousin qui venait de perdre ses parents adoptifs. Elle ne pouvait tout simplement pas lui demander de lui passer de l'argent pour s'acheter une robe pour aller au bal avec son meilleur ami. « Not yet... I'm still trying to figure out where I'll find the money. I cut my grocery list a bit so I could save a bit of money, and I'll be selling some of my old school textbooks that I don't need anymore.. that should be enough for like a cheap simple dress I guess.. » dit-elle timidement. Elle avait honte un peu de le dire comme ça parce qu'elle lui avouait ne pas pouvoir être magnifique pour le bal. Elle n'allait pas pouvoir s'habiller au max comme 99% des étudiantes d'Harvard. « I'm sorry.. » dit-elle en baissant le regard. Elle s'excusait. Typiquement Valentina. Elle s'excusait d'avance de ne pas pouvoir être belle pour lui, de ne pas pouvoir le rendre fier d'avoir une jolie cavalière. Il allait certainement être déçu. Valentina se colla contre Lawrence, ferma les yeux et soupira. « I don't want to make you look bad. You should've asked someone else, like that friend of yours that bought you earlier. She wasn't ugly kinda, and she could probably dress up fancy enough to be with you for prom. I just can't... Like I really really want to be all pretty for you that night Lawrence, but I don't think that's going to be possible and I will feel so guilty if I look really bad next to you. And I just want to make you proud, you went through so much problems, with Jason, just to ask me out for prom and I won't even be able to pay a dress that would make you, us, look good or something.... » Plus elle parlait, plus elle stressait. Et plus elle stressait, plus la panique montait en elle et elle ne savait plus vraiment ce qu'elle disait. Valentina continua à parler de plus en plus rapidement sans réfléchir, le regard baissé, la tête appuyée contre le torse de Lawrence, les yeux fermés.
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On dit que pour aimer quelqu’un, il faut d’abord s’aimer soi-même. Sans quoi l’amour que l’on offre n’est pas à cent pour cent véritable. On sait tous que tu as un certain problème avec ton amour propre, avec ta confiance en toi et ton estime personnelle. Ce n’est pas nouveau et ce n’est sûrement pas demain la veille que ça se réglera pour toi. Ce genre de chose, c’est l’histoire d’un combat d’une vie. On doit sans cesse se battre pour essayer de gravir les échelons d’une meilleure confiance en soi. On doit se battre, même si ça semble idiot, pour s’aimer soi-même un peu plus chaque jour. Les gens ont tendance à sous-estimer ce qu’une piètre confiance en soi peut faire. Et pourtant, toi tu le vois chaque jour. Tu es moins confiant que d'autres, tu te remets constamment en question, tu dois sans cesse faire valider tes pensées, tes gestes auprès des autres... Somme toute, on peut dire que tu ne t’aimes peut-être pas suffisamment et pourtant, pourtant, tu es capable d’aimer Valentina adéquatement, comme elle mérite de l’être. Peut-être est-ce parce qu’elle te donne plus confiance en toi ? Peut-être parce qu’elle te donne cette motivation de poursuivre ce combat éternel qu’est l’acceptation de soi ? Elle te pousse, inconsciemment, à te battre, à affronter tes peurs et à la rendre fière, peu importe le prix. Tu ne t’aimes peut-être pas plus qu’hier, mais une chose est sûre... En sa compagnie, tu deviens celui que tu rêvais d’être. Tu oublies tes problèmes, ta vie d’avant et toutes ces filles qui prieraient pour être à la place de Valentina. Et même si l’on dit que pour aimer quelqu’un, il faut d’abord s’aimer soi-même, ça n’a aucune importance pour toi. Parce que c’est grâce à cette femme, ce petit bout de paradis sur terre, que tu es capable de t’aimer plus. Et ainsi l’aimer mille fois mieux que quiconque. Tu n’es pas en train de t’enfler la tête à ce sujet, non... Mais contrairement à d’autres qui prétendent aimer quelqu’un passionnément, tu sais que l’amour que tu lui donnes en ce moment est pur et dépourvu de mauvaise intention. Quand on conserve tout cet amour en attendant la bonne personne avec qui le partager, on est sûr et certain qu’il est sincère. Si on voulait illustrer ton amour, on dirait sûrement qu’il s’agit d’un trésor. Un trésor bien caché qui n’attendait qu’une seule chose : la bonne personne. Aussi kitch que cela puisse paraître. Enfin bref. Il n’y avait plus de doute maintenant : Valentina était celle pour qui tu ouvrirais ton coffre au trésor. Elle serait celle pour qui tu te battrais pour gravir les échelons d’une meilleure confiance en soi. Parce qu’elle mérite que tu te donnes à cent pour cent.

Vous étiez donc tous les deux sur votre petit nuage, loin de toute forme de civilisation. Ça faisait du bien d’être égoïste pour une fois. D’avoir enfreint certaines règles pour pouvoir jouir de ton propre bonheur. Qu’aurais-tu eu l’air de laisser passer cette chance d’être avec une femme extraordinaire simplement pour ne pas déplaire à Jason ? C’est beau l’amitié, mais ravaler ses propres sentiments pour ne pas contrarier qui que ce soit, c’est bien autre chose. Tu serais toujours aussi fort la belle Dunster, comme si tu avais peur qu’elle s’évapore, qu’elle ne disparaisse dans la nature. Quelques fois, tu aurais envie de te pincer pour savoir si tout cela était bien réel; qu’elle soit là près de toi ce soir, qu’elle ait voulu t’acheter aux enchères, qu’elle ait déjà dormi avec toi, à la Winthrop House, dans ton sweater... Ça semblait si irréel par moment et pourtant, ce l’était bien. Rien qu’à y penser, une bouffée de chaleur et d’émotions montait en toi. Après ta question, la jeune femme secoua doucement la tête. « Not yet... I'm still trying to figure out where I'll find the money. I cut my grocery list a bit so I could save a bit of money, and I'll be selling some of my old school textbooks that I don't need anymore.. that should be enough for like a cheap simple dress I guess.. » Tu pouvais clairement entendre dans le fond de son timbre sonore une certaine tristesse, une pointe d’honte. Ta main - celle du bras entourant ses épaules - se posa sur son bras et le caressa doucement du bout des doigts. Tu n’osais rien dire pour le moment, sentant bien qu’elle n’avait pas tout à fait terminé avec sa tirade. « I'm sorry.. » Tu soupiras doucement et secoua doucement la tête à ton tour. Elle baissa néanmoins le regard. Tu n’aimais pas la voir ainsi. Elle semblait, à ce moment présent, si malheureuse, si dépitée. Tu n’avais pas pensé qu’une telle question pourrait susciter autant d’inquiétudes chez elle. Et d’un sens, peut-être que tu aurais dû y penser d’abord ? Tu t’efforças de la serrer un peu plus près de toi, mais c’était pratiquement impossible maintenant. Si tu la serrais plus fort, tu lui ferais mal. Et ce n’est pas vraiment le résultat souhaité. « I don't want to make you look bad. You should've asked someone else, like that friend of yours that bought you earlier. She wasn't ugly kinda, and she could probably dress up fancy enough to be with you for prom. I just can't... Like I really really want to be all pretty for you that night Lawrence, but I don't think that's going to be possible and I will feel so guilty if I look really bad next to you. And I just want to make you proud, you went through so much problems, with Jason, just to ask me out for prom and I won't even be able to pay a dress that would make you, us, look good or something.... » Elle parlait, parlait, parlait. À un moment, tu cessas d’écouter. Elle s’en faisait trop. Beaucoup trop. Et étrangement, c’était toujours la même rengaine. Elle avait peur de ne pas être à la hauteur; à ta hauteur. Si elle savait comment parfois, toi-même tu as l’impression de ne pas être à sa hauteur... La jeune femme avait la tête appuyée sur ton torse et continuait de parler. Encore et encore. Et tu ne savais quoi dire pour la retenir de penser toutes ces choses si absurdes. Ta main gauche alla chercher son menton et doucement, tu relevas sa tête pour pouvoir plonger ton regard bleuté au creux de ses yeux. Tu soupiras doucement, tout en secouant lentement la tête. Ton pouce caressa, puis sa joue. « You. are. perfect. to. me. » Tu avais prononcé ces mots lentement, si lentement. Comme si tu voulais qu’ils se fraient un chemin bien net jusqu’aux oreilles de Valentina. Comme si tu voulais qu’elle les assimile comme l’air qu’elle respire en ce moment. « No matter what you’ll wear that night. » Et ton visage se rapprocha dangereusement du sien. Quoiqu’à ce stade, ce geste-là était bien permis. Tes lèvres se posèrent sur les siennes comme elles l’avaient fait quelques fois déjà. Pourtant, cette fois, c’était loin d’être comme les autres. C’était plus réel, beaucoup moins confus qu’auparavant. Ta main droite glissa dans ses cheveux tandis que ta main gauche se posa dans le creux de son dos. Tes yeux se fermèrent et tu laissas tes lèvres se charger du reste... ~
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Il y avait 3 choix devant Valentina. Le premier, renoncer à cet amour avec Lawrence, et donc choisir Jason. Elle a toujours grandit dans la mentalité très italienne que la famille était très importante. La famille avant tout. Cette mentalité l'a suivit jusqu'ici à Cambridge, et ce n'était pas parce qu'aucun 'adulte' n'était avec eux à présent que Jason et Valentina allaient oublier cette mentalité. Son cousin avait déjà commencer à prendre la responsabilité même avant la mort de ses parents. Il s'était trouvé un emploi à l'hôpital comme biologiste afin d'avoir un surplus d'argent de poche qu'il pouvait donner à Valentina. Parce qu'il comprenait qu'elle était sa seule parenté biologique, et qu'il devait prendre soin d'elle. Et maintenant que ses parents n'étaient plus là, c'était pire. Jason avait prit la responsabilité complète de Valentina, qui dans tout ça se sentait un peu comme une enfant. Sauf qu'il faisait son possible. Dans tous les drames de ces derniers jours, Jason faisait son possible afin d'assurer le rôle de responsable, et Valentina se sentait impuissante face à cela. Elle était reconnaissante de l'amour que lui portait son cousin, mais elle était très mal à l'aise d'être un poids de plus sur ses épaules. Alors il y avait un deuxième choix: s'enfuir dans une aventure amoureuse avec Lawrence, quite à faire peter les plombs à Jason jusqu'à ce qu'il l'ignore et la renie à tout jamais... mais ce n'était pas un choix possible. Jamais elle ne ferait ça à son cousin... Alors le troisième choix? Balancer les deux. Être là pour Jason, et secrètement voir Lawrence. Quoi que, ce n'était pas aussi secret que ça. Lawrence avait déclarer être amoureux d'elle à son cousin, donc ce dernier était déjà au courant, puis tout le monde les a vu quitter les enchères ensemble après le combat enragé entre Valentina et Lyson. Demain, Jason sera au courant de cela, et Valentina devra en subir les conséquences. Sauf que ce soir, elle profitera au max de Lawrence.

You. are. perfect. to. me. Valentina ravala difficilement sa salive. Mentalement, elle se disait que c'était lui qui était parfait, pas elle. Elle mesurait trois pommes, avait le corps d'une enfant et elle parlait trop. Tandis qu'il semblait si calme, si confiant, si.. homme. Oui voilà, Lawrence était un homme. Un vrai de vrai, pas dans le sens viril et macho, mais dans le sens gentleman et mature. Le contraire d'elle quoi. Elle n'était qu'une fille, une toute petite mini fille qui n'était pas encore très mature. « But.. » mais Lawrence lui coupa la parole. No matter what you’ll wear that night. Comment pouvait-il parler ainsi? Ça ne devait pas être normal, elle devait sûrement être en train de rêver. Aucun mecs sur cette Terre ne pouvait aussi bien parler que ça dans la vraie vie. Ce n'était que dans les films qu'un bel homme pouvait parler avec autant de tact et de charme. Pourtant, Lawrence en était capable. Il trouvait toujours les bons mots pour la rassurer. Comme s'il la connaissait par coeur déjà...

Valentina remarqua à quel point leurs visages étaient proches à présent. Voilà un moment qu'elle attendait très impatiemment. Ils s'étaient déjà embrassés dans le passé. Deux fois à Punta Cana, mais ce fut bref. Tout à l'heure aux enchères, mais encore, ce fut bref. Mais là, ils venaient tous les deux d'avouer leurs sentiments, et elle savait que ce baiser allait être différent. La petite italienne ferma les yeux au contact des lèvres du Winthrop contre les siennes. C'était comme si un vieux souvenir lui revenait. Elle se rappela de la sensation des lèvres de Lawrence contre les siennes à Punta Cana. C'était identique, mais cette fois-ci, Valentina eut le temps de réagir. Sa main gauche se glissa dans le bas du dos de Lawrence tandis que sa main droite alla s'aggripper sur le devant du shirt du jeune homme. Elle répondit à son baiser premièrement avec douceur, puis plus ils prolongeaient le baiser, plus cela s'enflammait. Elle se laissa complètement guider par ses sens, ne pensant pas au fait qu'elle était en train d'embrasser Lawrence sous la belle étoile comme dans un rêve. Elle ne pensait plus à rien, sauf au fait que leurs langues semblaient danser parfaitement ensemble sans aucun malaise. Puis elle se rappela qu'elle devait respirer. Valentina sépara ses lèvres des siennes, remarquant de sa prise sur le chandail de Lawrence était un peu plus forte, elle le tirait carrément vers elle. Elle le relâcha, gênée, mais elle avait un petit sourire aux lèvres tandis qu'elle reprenait son souffle. « Oops, sorry, my bad. » dit-elle en tapotant le chandail de Lawrence comme pour le défroisser. Elle releva son regard vers lui un moment, avant d'éclater de rire. C'était peut-être romantique, mais elle trouva cela assez comique comment ils s'étaient laissé emporté dans leur vrai premier baiser. Valentina calma son rire après un moment, puis passa ses bras autour de la taille de Lawrence pour le serrer contre elle. Elle regarda la vue devant elle. « Tell me what's on your mind.. »
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Est-ce que l’amour t’avait fait devenir quelqu’un d’égocentrique ? Est-ce que ce nouveau besoin vital - celui de passer du temps avec celle que tu aimes - t’avait rendu égoïste ? Est-ce que l’on peut dire d’une personne qu’elle est égoïste et qu’elle pense trop à elle-même lorsqu’elle veut simplement être heureuse auprès d’une autre personne, de sa moitié ? Est-ce qu’exprimer ton amour pour Valentina aux dépens de ton amitié pour Jason était un geste égoïste ? Est-ce que cet amour, sentiment nouveau pour toi, avait eu raison de toi ? Peut-être. Peut-être bien... Mais est-ce que l’on peut réellement reprocher à quelqu’un d’agir dans son propre intérêt lorsqu’il est question d’un sentiment aussi puissant que l’amour ? L’homme a été conçu pour ne pas vivre seul. C’est scientifiquement prouvé. Personne, pas même le plus dérangé du monde, ne souhaiterait rester seul à tout jamais. Ce n’est donc pas d’être égoïste que de vouloir tout faire pour être en couple avec la personne que l’on aime. Tu sais que l’amour n’a pas fait de toi quelqu’un d’égoïste. Or, tu ne peux pas t’empêcher de culpabiliser quand tu prends le temps d’y penser. Avec Jason, tu as su avoir l’air égoïste. Tu as su passer outre ce qu’il a pu te dire. Tu as été capable de mettre ton point sur la table et faire entendre ton point de vue. Mais au fond de toi, est-ce que tout ça n’était qu’une façade ? Comment ne pas prêter attention aux remarques de ton meilleur ami ? Comment laisser croire qu’on se foute qu’il soit d’accord ou non avec nos choix alors que depuis des mois, c’est un allié de choix ? Ça te rongeait de l’intérieur. Depuis quelque temps déjà, mais... encore une fois, tu ne voulais rien laisser paraître. Tu préférais avoir l’air égoïste, mais fort plutôt que d’admettre que toute cette situation te rend malade. Tu préférais oublier ton mal, tes inquiétudes, pour t’occuper de la seule chose qui compte réellement pour toi en ce jour. Valentina. Est-ce que l’amour t’avait fait devenir quelqu’un d’égocentrique ? Est-ce que ce nouveau besoin vital - celui de passer du temps avec celle que tu aimes - t’avait rendu égoïste ? Peut-être. Oui, peut-être. Mais tu ne regrettes rien.

Même si tu avais la tête pleine en tout temps, à ses côtés, tu devenais plus fort, plus confiant. Tu avais fait des choix. Tu avais choisi d’être sincère envers toi-même et envers elle. Tu avais choisi de vivre cet amour, de l’exposer « au grand jour ». C’était peut-être de l’égoïsme, certes, mais quand tu te retrouvais près d’elle, tout ça n’avait plus d’importance. Ou alors... Tout prenait son sens. Tu l’aimais. Et tu voulais lui offrir le meilleur de toi-même. Pour l’instant, il était hors de question de lui montrer que pour toi aussi, cette histoire n’avait rien de simple. Même si tu t’étais dit « ce soir, je lui parlerai de mes tourments », en sa compagnie, tout ça s’estompe. Pourquoi perdre votre précieux temps ensemble a parler de ces choses qui vous font tant de mal ? Tu préférais davantage être là pour elle, la serrer contre toi et profiter d’un petit moment calme, sur votre nuage nouvellement aménagé. Aussi simple que cela puisse paraître, tu avais besoin de ça. De ce calme. Du moins ce soir, en tout cas. Demain est un autre jour. Peut-être vous feriez vous tuer par Jason ? Peut-être devrais-tu te battre une énième fois pour prouver à Valentina que tu seras toujours là et que tu n’as pas honte d’elle, comme elle le croit si tristement. Quoi qu'il en soit, on ne peut empêcher la terre de tourner, mais on peut surtout arrêter d’être trop préoccupé par l’avenir. Ce soir, vous étiez bien. C’est tout ce qui compte pour l’instant.

Tes lèvres se posèrent sur les siennes. C’est tout ce que tu trouvais à faire pour la rassurer davantage. Elle craignait que tu te lasses d’elle, que tu finisses par la trouver moche. Elle semblait aussi penser ne pas être à la hauteur. À ta hauteur... C’était triste. Parce que c’était tout sauf ça. Depuis que tu connais cette jeune femme, tu n’as jamais ressenti ça pour quiconque auparavant. Au départ, tu la voyais comme une petite chose fragile, une soeur. Et de fils en aiguilles, ta vision avait changé. Tu la trouvais bien plus belle qu’avant, tu l’as trouvait plus femme... C’est comme si, au fil du temps, tu la voyais d’un autre oeil. Lui laissant la chance d’être de se faire voir de la façon dont elle veut vraiment être vue : une femme à part entière. Sa main gauche se glissa doucement au creux de ton dos tandis que la droite s’agrippa à ton chandail, t’attirant ainsi un peu plus près. Ta langue se fraya timidement un chemin jusqu’à la sienne. Au départ, tu n’aurais jamais envisagé ce geste. Si tu repenses au Spring Break, là où tu l’as embrassé pour la première fois, tu ne te serais jamais vu l’embrasser ainsi. C’est comme si avec elle, tu ne voulais brûler aucun feu rouge; y aller étape par étape. Vos lèvres se lâchèrent finalement et Valentina t’attira vers elle, un sourire fendu jusqu'aux oreilles. Elle lâcha finalement sa prise. « Oops, sorry, my bad. » Tu souris à ton tour, amusé. Elle tapota le vêtement comme pour le replacer. Si elle savait comment c’est la moindre de tes préoccupations, en ce moment ! Elle se mit doucement à rire, chose que tu trouvais très mignonne. Tu ne pus t’empêcher de rire aussi. Était-ce de la gêne ? De la honte ? Non... C’est plutôt l’effet que ça fait de se rendre compte qu’on s’abandonne à un premier baiser enflammé avec la personne que nous aimons. Elle passa ses bras autour de ta taille et te serra doucement. Son regard fixait désormais le vide devant vous. « Tell me what's on your mind.. » Tu souriais toujours aussi bêtement, repensant à ce baiser qui t’avait transporté à milles lieux d’où vous étiez réellement. Tu soupiras doucement, haussant finalement les épaules. « i'm just thinking about how lucky I am to have you in my life. » Tu pris une pause, laissant un petit rire s’échapper. « I may sound cheesy, but that's the truth. » Tu pris une nouvelle pause, posant finalement ton regard sur le haut de sa tête. Rien qu’à penser à ce que tu venais de dire, tu rougissais presque. Tant mieux si elle trouvait ça romantique, mais toi tu te trouvais presque pathétique. « When I was in college, everyone thinks I'm a charmer... But basically, I've always been the one with a tender heart. Waiting for the right girl to share with.  » Nouvelle pause, raclement de gorge. « And now, I found her. ». Petit sourire et tu refermas à ton tour tes bras autour de la petite silhouette de Valentina. Tu es définitivement l’homme le plus pathétique, mais le plus amoureux de la Terre entière.  ~
(Invité)

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