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C'est par une belle matinée...

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Pour un mercredi, c'était un jour banal, étonnamment soporifique et d'un intérêt plus que limité. Une impression de ne rien avoir à faire et de s'ennuyer fermement tenaillait le jeune Danny. Il avait tout essayé : tenté de mettre un épisode de House M.D, mais ça l'a blasé ; puis il s'était mit un film qui l'a ennuyé, ainsi qu'un second, puis qu'un troisième, toujours sans succès ; la console ne resta allumée que quelques minutes, le temps d'envoyer son Aston Martin dans un mur sur le fameux Grand Theft Auto ; le temps médiocre ne l'attirait pas, il n'avait aucune envie de discuter sur les réseaux sociaux et encore moins de se faire à bouffer, sans parler du ménage qui traînait depuis un long moment dans son appartement. Il commença même à taper le début de l'adresse d'un site de pornographie libre bien connu, et ferma la fenêtre avant même que soit clos le chargement. Il n'avait même pas envie de ça. Enfin, le beau mec posa les yeux sur la pile de cours à réviser et de devoirs à faire, et un long soupir s'échappa de ses lèvres entrouverts. Étrangement, il n'était pas spécialement emballé. Dépité, il prit les clés de sa Syline, son zippo, ses Philip', replaça ses couilles dans son boxer et sortit de l'appart'.

Il erra une bonne demie heure sans trop savoir ce qu'il faisait, hormis cramer un plein sur une bagnole qui consommait de trop, tout en écoutant d'une oreille distraite une musique tunning des plus barbantes, semblant être copiée sur le nanardesque Beowulf, avec Christophe Lambert. Blasé par à peu près tout ce qui l'entourait, d'autant plus qu'il faisait un temps couvert puant la pluie qui mouille et qui fait bien chier, H.S chercha une place de parking pas trop loin du stade où il comptait se poser dans les gradins, histoire de reluquer les cheerleaders ou les crétins qui s'agitaient dans le froid en short, caricatures méritées du football national. Il descendit de sa caisse, qui bippa quand il la verrouilla à distance, et s'alluma une clope d'un air nonchalant, toujours avec cette impression bien affichée de s'emmerder royalement. Qu'est-ce qui aurait pu le sauver de l'ennui ? Une bonne course, peut-être. Un examen surprise. Un câlin inattendu de Blondie. Un coma... Ou pas, d'ailleurs. Il recracha la fumée qui intoxiquait ses poumons et se gratta la fesse gauche à travers son jean, ce qui n'eut bien sûr aucun effet. Il ne manquait plus qu'il ait une diarrhée aiguë et il pouvait commencer le nœud de sa corde.

Il finit par trouver une place et s'y installa. En fait de trouver un squat, il s'était simplement affalé sur le premier siège pas trop dégueulasse ni trop trempé qui lui tombait sous la main, puisque tout était vide : personne n'est assez con - à part lui - pour venir regarder une équipe de bouffons en jupette faire son show sous un crachin aux caractéristiques bien normandes. Encore qu'au Canada, ça passerait, mais il n'était pas non plus un chasseur de caribous. Il y a des limites à tout. Ah, si seulement la belle Blondie pouvait débarquer, comme ça, à l'improviste...
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Spoiler:

Le réveil fut dur. Je m'étais endormie comme un chat paresseux la tête dans mes feuilles de cours. J'étais très fatiguée en ce moment. Je subissais un lourd traitement pour mon coeur et ce dernier ce fatiguait très vite. J'avais en effet appris que j'étais atteinte d'un cancer qui s'était logé dans le ventricule gauche de mon coeur. Je ne levais cependant pas le pied, au contraire. Je n'en avais parlé à personne et cela me pesait lourd.
Je poussa ma chaise et mon chat vint se frotter à mes jambes. Je me le levai en le prenant dans mes bras et traina des pieds ,jusqu'au frigo. Je sortis du lait et lui servit dans un petit bol. Il descendit illico de mes bras pour aller manger. Ce chat est un estomac ambulant, n'ayant que pour seul passions le lait et les câlins. Je me glissa sous une douche bien chaude et laissa l'eau couler sur ma peau. Je sortis de la cabine et m'enroula de toutes mes forces dans une serviette qui sortait tout juste de mon sèche linge. Je gardais la chaleur entre ma peau et ce bout de tissu encore doux et chaud. Je m'avança vers mon armoire à pharmacie et pris mes cachets. Je sortie ensuite une seringue que je planta dans un tube en verre et y prit 5ml que je m'injecta dans la cuisse. Les marques de piqures se voyaient mais personne ne le remarquait encore.
Je me passa une crème sur le visage un peu de fond de teint, un coup de mascara, je me fis une queue de cheval et me dirigea vers ma penderie pour prendre mes affaires. Je pris une brassière noire et un pantacourt de la même couleur qui serrait ma taille. J'enfila des chaussettes et des baskets. Au vol je pris mes médicaments dans une mallette pourvue à cet effet et la mit dans un sac. J'y in-serra une bouteille d'eau et sortie de ma chambre.
Le sport et notamment la course seule ne m'était vraiment pas conseillé. Sous un temps pareil j'étais la seule sur les pistes cyclables à courir, les voitures m'aspergeait d'eau le temps n'était pas au rendez vous. Mais il faisait lourd et je respirait vite, l'humidité n'était donc pas vraiment mon amie. Je m'arrêta devant l'hopital et pris mon enveloppe concernant mes dernières analyses. Une fois dehors je déchira l'enveloppe pour sortir la feuille et fit face à une courbe descendante. Mon coeur allait très mal. Je fourra ça dans mon sac avant de suivre des yeux la voiture de Danny.
Danny était un ami très cher à mes yeux, notre lien était unique, inexplicable et j'en étais dépendante. Par un temps pareil le blondinet ne pouvait qu'aller mater les pompons des cherleaders ou les poils hérissés par le froid des footballeurs soit disant prometteur. Je me mis alors en course vers le stade et ma réflexion fut confirmée quand je monta les marches. Au milieu des gradins une petite tête blonde allait de gauche à droite. Je ne savais pas ce qu'il suivait : La brune entrain de courir comme une oie affolée ou le ballon qui allait de pieds en pieds. Je descendis silencieusement et passa mes bras autour de son cou avant de loger ma tête sur son épaule et d'y déposé un bisou.

- Alors affamé par ces petits culs bombés ?
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Danny tourna la tête et observa la belle blonde russe de haut en bas, comme on détaille un présentoir dans une vitrine, le sourcil gauche haussé d'un cran sur son front barré par la suspicion. Il venait de faire le vœu qu'elle se pointe, et elle était là. Deux possibilités s'offraient donc à lui : soit il rêvait (ou hallucinait), soit le Bon Dieu l'avait réellement à la bonne. L'effet Kisskool de Blondie ("quand tu crois qu'il n'y en a plus, y'en a encore"), c'était sa tenue, légère, fine, humidifiée par la pluie. Excitante. Elle avait le corps de ces mannequins qui ressemblaient à ces sculptures grecques de l'antiquité, parfaitement proportionnées, au visage sculptural et aux courbes si joliment définies. Archétype de la beauté sibérienne, Blondie toisait un Dan' qui s'était basculé en arrière, les coudes sur le dossier de son siège, jambes à moitié écartées, d'un air un peu "bad guy" qui se la joue avec rien dans le slip.

- C'est pas pour les culs... Tu sais ce que j'fais quand j'viens ici ?

Il reporta son attention sur l'équipe de bras cassés aux allures d'anus en chou-fleur en contrebas, plantés comme des branquignoles sur un terrain trempé, boueux et glissant. Un sourire d'un sadisme commun au jeune homme s'afficha sur son visage, tordant ses lèvres en un rictus allant d'une oreille à une autre pendant que ses yeux se plissaient d'un air mesquin. Il ne pensait pas réellement ce qu'il disait, et son attitude était plutôt factice, mais c'était plus drôle à dire que la vérité. Il n'attendit pas la réponse de la belle russe et murmura :

- Je m'assois... Je matte... Et j'imagine des trucs. J'imagine qu'il y en a un qui trébuche sur le ballon et se viande de façon monumentale pendant qu'un autre lui arrive dessus et lui marche sur la gueule avec les crampons. J'imagine qu'il y en a un qui se prend un poteau pendant qu'il matte les pétasses sur les bords du terrain. J'imagine d'ailleurs que l'une d'entre elle vomit sur ses potes parce qu'elle a confondu sa pilule avec l'un des émétiques que les deuxième années ont foutu dans le café ce matin...

Danny ne buvait jamais de café, trop mauvais pour sa santé. Par contre, être une pute à plein temps était un boulot qui l'enchantait plus que tout au monde, hormis le regard inquisiteur qu'elle allait bientôt lui lancer, la connaissant. Si une personne au monde pouvait se permettre de lui faire des reproches, c'était elle... Mais il s'autokiffait quand même.
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Danny était unique en son genre. Pas seulement pour son physique de dieu grecque ou par ses yeux bleus azure qui sont un véritable voyage pour moi quand je m'y plonge. Mais bien pour ce caractère spécial. Je le regardait presque agacée par ses mensonges dérisoire. Je passa par dessus la chaise alors que des pointes au coeur survenait. Je mis ma main sur sa bouche alors qu'il parlait de café empoisonné. Je m'approcha de lui, nos lèvres séparée par ma main.

- Tais toi, tu sais pas me mentir. Tu es là pour mater si j'étais arrivé plus tard tu aurais courus te frotter au filles et tu aurais eu une bosse dans ton jean.


Oui j’exagérais mais j'adorais l'embêter, le remettre à sa place ou lui faire remarquer quand il allait trop loin. Je frissonnais de froid et de douleur. Je retira doucement ma main et fouilla dans mon sac que j'avais posé sur une chaise à coté de lui. Il me regardait de son petit air " Dis moi ce que tu fais je suis curieux ! " je ne le regardais pas mais sentais son regard insistant détaillé mes formes et parcourir ma peau humide avec des gouttes d'eau. Je détacha mes cheveux et passa ma main dans ma chevelure blonde. Je sortis ma petite boite en fer et lui annonça que je devais aller au toilette et je pressa le pas. Je ne fis pas attention au fait que l'enveloppe ouverte trônait sous ses yeux.
Je m'enfermai dans les toilettes et m’empressai de m'injecter une quantité suffisante de médicaments dans la cuisse. J'attendis quelques instants contre la parois glacée à fixé le plafond. Je savais que je pouvais y arriver toute seule. Personne n'avait besoin d'être au courant et je ne voulais ni voir de pitié ni subir des absences car on m'évite de peur que cela soit contagieux. Ma tête tournait un peu je sortis à l'air frais et voyait Danny assis sur sa chaise concentré sur le terrain. Même de dos ce jeune homme était parfaitement attirant. Ses cheveux blonds méché qui mettaient en valeur ses yeux, sa musculature qui se dessinait sous ses vêtements et ses bras musclés qui était mon plus beau refuge. Je m'approcha vers lui et le pris par la taille en lui faisant un énorme câlin les yeux fermés alors que les jeunes filles aux pompons mataient le beau blond. J'allais lui proposer quelque chose tandis que je relevais la tête mais vu dans ses mains mes analyses. Je lui retira d'un geste brusque et dit d'un ton inquiet et sévère.

- Je peux savoir ce que tu fous là ?!
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Jalouse, elle l'était toujours. Elle l'avait toujours plus ou moins été, sans qu'il ne comprenne trop pourquoi, d'ailleurs. Des mecs qui ne comprennent rien aux nanas, il était le champion. Il ne regardait par les bonnes petites coquines sur le terrain ; si une femme lui plaisait, là, c'était Blondie et personne d'autre. Danny laissa cependant la jeune femme à moitié paniquée s'enfuir en courant vers les toilettes et la suivit du regard. Il avait songé quelques instants à lâcher un truc du genre : "d'où tu vois une bosse ? C'est un roc ! C'est pic, c'est un cap ! Que dis-je, c'est un cap, c'est une péninsule !", mais au final le beau gosse se sentait pas spécialement chaud pour une pointe d'humour. Elle n'avait pas l'air bien et il se leva avec l'intention de la suivre, mais il se dit que, peut-être, elle avait besoin qu'il lui laisse cette intimité. Ou alors elle avait prit sa blague sur l'émétique au mot. L'un ou l'autre, de toute évidence il n'avait pas à la suivre dans les toilettes des filles, mais ce n'était pas pour autant qu'il se fichait de ce qu'elle pouvait ressentir. En apparence, du moins, il conserva sa posture "je-m'en-foutiste" et fixa le sol d'un air bête. Il vit le sac de Blondie. C'est pas bien de fouiller dans le sac d'une femme... Oh et puis fuck la conscience. Il attrapa l'objet par les lanières et commença à regarder ce qu'il pouvait y trouver. Il ne fut que partiellement surpris de voir une photo plastifiée d'eux deux, montage facilement réalisé de leur mignon petit couple à l'âge de huit ou neuf ans, se tenant la main devant une attraction de fête forraine, l'autre ayant été prise au bal de l'an dernier, alors qu'il la portait dans ses bras. En y repensant, de mémoire, elle n'avait jamais été aussi heureuse que sur ce cliché, affichant un large sourire, les yeux pétillants d'une intense sensation de bonheur. Attendrit, Dan replaça la photo là où elle était et remit le sac à sa place, préférant ne pas attiser la colère injustifiée de la jeune femme. Elle était véritablement très attachée à lui. Leur relation n'avait jamais été très évidente, très facile à vivre, pour aucun des deux.Mais il faisait ce qu'il pouvait pour voir cette joie pétiller dans ses yeux autant que faire se peut.

C'est là qu'il vit la lettre. Elle ne le regardait pas, avouons le, et il n'étais pas du genre curieux sur la vie d'autrui, mais dès qu'il s'agissait d'elle, eh bien... Comment dire... C'était elle, quoi. Pas moyen de lui faire oublier, la tentation de ce supplice de Tentale était bien trop forte. Surtout que l'expéditeur, tamponné sur le rabat, était un cabinet d'analyses privé. Pas question qu'il ignore ce qu'il venait de voir. Il prit la lettre et, au même moment, elle arriva et se colla dans ses bras sans remarquer ce qu'il avait en main. Il la serra contre lui de son bras valide et de l'autre porta le papier à portée de vue. Chiffres, abréviations scientifiques et autres signes cabalistiques dansaient sous ses yeux ébahis quand elle le remarqua. Il n'avait pas eu le temps de comprendre, mais à sa réaction il comprit qu'il était allé trop loin. N'ayant pourtant pas eu le temps de déchiffrer quoi que ce soit, il prit le tout sur le ton de la rigolade et s'exclama :

- Eh, surtout dis rien ! Si la rumeur se repend que je sais lire, ma réputation d'homme est totalement foutue !
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Je n'étais pas spécialement en colère jetais surtout totalement affilée du fait qu'il puisse être au courant. Je ne voulais pas perdre Danny il était trop cher a les yeux. Je fourra la lettre dans le sac. Et Dun ton sec je le remis en place.

- Je ne veux pas que tu fouilles ok ? Il y a des choses qui sont personnelles et dont je ne veux pas te parler. Alors ne t'avise jamais de recommencer d'accord ?

Jetais terriblement sérieuse. J'avais pris ce ton une seule fois avec Danny. Ce jour la j'allais mal et je devais annoncer a mon beau blond que la mère me maltraitait depuis bebe et quelle était gravement malade c'est pour cela quelle serait hospitalisée a vie en psychiatrie. Il se doutait de choses sur moi car les nuits je venais toquer a sa fenêtre. Il me l'ouvrait et en silence il me rassurait avec des câlins remplis daffections. Il m'avait déjà vu en sang, avec des bleus et cela avait sucité depuis toujours une analyse de mon corps. Il reconnaissait un bleu du a un coin de table a un bleu fait par une pression trop forte, une simple coupure dune cicatrice volontaire. Allait-il remarquer tous les bleus trônant que la jambe droite, celle dans laquelle je minjectai mes médicaments avec tout ces rond rouges dont un qui continuait de saigner ?
Je fourra l'enveloppe dans mon sac et tomba sur un montage de photo que j'avais fait. Nous étions la a 9-10ans a se faire un câlin et je lui embrassait la joue. Puis jeune ado de 15ans a chahuter sur la plage et enfin celle ci restera la préférée celle du bal de fin d'année. Je portais une robe sublime dos nus, nacrée et argenter. Une coiffure avait été faite chez un coiffeur reconnue tandis que mon maquillage noir fait par une pro aussi mettaient en avan les yeux bleus brillant de milles éclats. Danny élégant Dan un costume noir, chemise nacrée et cravate aux coutures argentée et le tissu nacré, me portait contre lui. Il avait été mon cavalier, je lavais tanner pendant des jours avant qu'il accepte que nos habits soit coordonnes. Lavis été si heureuse ce soir la. Nous étions seuls au monde plus rien ne comptait pour moi mis a part lui. Et ce fut la dernière fois que je fus aussi heureuse. Une larme perla sur la joue.
Je dopesa la photo que j'avais pris soin de plastifier et m'assis a coter de Danny en fixant l'horizon la main plaquée sur mon cœur. Je restais silencieuse soucieuse meme. Je me sentais mal de lui cacher ça, cela nous éloignait tellement mais javais peur de le voir fuir. Dun geste de la main je tentai dessuyer discrètement le sang coulant sur ma cuisse.
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Le jeune homme posa à nouveau ses fesses sur le siège près d'elle et passa son bras autour des épaules de la belle blonde, tout en l'attirant à lui, comme il l'avait toujours fait quand il y avait un monstre dehors ou qu'elle s'était cognée le genoux, ou pour un chagrin d'amour. Il était là. Elle avait parfois été un poids, quand par exemple il était entré dans l'adolescence avant elle, côtoyant des filles physiquement plus mâtures qu'elle, et donc étant attiré par ces bonus que la nature offrait aux demoiselles et dont Blondie n'avait pas encore bénéficié. Pour autant, elle lui courait toujours après, et lui l'avait rejeté. Mais sur les quelques femmes qu'il avait connu dans sa vie, la seule à ne pas avoir été une garce, à avoir toujours été là pour lui, c'était Clark. La petite poupée russe ne l'avait jamais abandonné et il s'efforçait depuis plusieurs années de réparer les dommages qu'il avait causé sur elle. Ils n'était peut-être pas tous d'une extrême importance, mais la culpabilité qu'il ressentait était sans pareil.

Danny ne pigeait rien à cette feuille d'analyses qu'il venait d'avoir entre les mains, mais ressentait tout de même cette inquiétude envers elle. Sur quoi avait-elle bien pu lui mentir ? Ce n'était pas le genre de la belle de cacher es choses. Si elle venait à dissimuler un truc qui semblait important à son meilleur ami, c'était qu'elle-même pouvait être affolée par ce secret. Et si c'est mauvais pour elle, alors c'était mauvais pour lui. Il se tut, attendant un peu qu'elle se calme. Il avait déconné, il aurait pas dû fouiller, elle avait raison. Ca se fait pas, s'avouait-il. Il n'avait même pas envie de se justifier, il était de toute façon en tort. Il attendrait. Le temps qu'il faudra. Il attendrait qu'elle soit prête et qu'elle lui annonce ce qu'elle a à dire. Peu importe la douleur, peu importe les conséquences. Il se devait de rester calme, d'être son assurance vie, sa béquille, son repère. Il devait être là pour qu'elle se sente appaisée et entourée, même si ce n'est que par ses bras à lui...


[Désolé, c'est court, mais là c'est à elle d'annoncer je pense ^^]
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Le froid était tombé. Il n'y avait plus aune simple pluie mais bien une pluie torrentielle et dans ce bal du déluge l'orage vint s'inviter et ce fit une place. La lumière avait presque disparue et Danny me tira dans ses bras. Ce doux confort, la chaleur de son corps et cette odeur qui lui était propre. Un mélange de gel douche, déo et parfum. Je glissa la tête dans son cou mais sursauta au premier coup de tonnere. Monsieur saccelera et devint douloureux. Je posa alors ma chevelure blonde trônant sur la tête contre son torse plus particulièrement a l'endroit de son cœur pour pouvoir le percevoir. Il était si calme, si présent et bruyant tandis que le mien était rapide, inaudible et douloureux. J'avais a présent la gorge serrée car dans les bras de mon beau blond je me sennes a de kilomètres de lui. Cela me pesait si lourd dans la conscience que je finis par relever doucement la tête en murmurant.

- Danoï il faut que je te dise un truc. Je ne sais pas si c'est vraiment important mais..

Jetais assise et la tête était baissée. Je jouais avec la bague de Danny. Elle était. En argent avec une perle de culture. Il me lavait offerte pour le bal. Je ne voyais pas vraiment comment aborder le sujet. Allait il me laisser seule malgré l'information ? Serai il inquiet. Ou en colère ? Je pris sa main et la serra de toute la petite force.

- Danny je.. Tu te souviens quand je tai dis oui ? Oui je veux aller au bal avec toi ? Tu étais arrivé en plein hall, mavait saisit par la taille et m'avait demandé avec un sourire de dingue si je voulais bien t'accompagner au bal ? Et moi j'avais dis oui. A partir de ce jour la j'avais cru que mon cœur était sortie de la poitrine et puis j'ai entendu tes chaussures de ville piétiner le carrelage en bas de lescalier alor que je tournai en rond et me trouvais horrible. La mon cœur est revenu. Il battait si forte si vite mais c'était tellement agréable cette peur inconditionnelle de ne pas te plaire.. Et je suis descendu et de ton air impatient et anxieux tu es passer a sourire d'ange et yeux pétillants. La monsieur s'est calmée. Mais plusieurs heures après il battait encore la chamade. Il y a eu ce slow et tu mas pris par la main alors que jetais au bout de la pièce et tu pas tirée sur la piste. Nous étions les premiers ils nous ont longtemps regarder danser avant de se lancer. Mais pour moi il n'y avait plus que toi et moi et mon cœur qui voulait sortir de la cache thoracique. Et le soir nous sommes rentrés chez toi et sans prendre la peine de se changer on s'est endosse l'un contre l'autre et si tu te souviens bien tu as posé ta tête sur l'on cœur en me disant que mon cœur battait joliment bien. Je n'avais rien répondu j'avais juste souris et tu tes endormie sur moi. Je me suis rendu compte a cet instant alors que tu dormais en serrant ma main que rien entre nous ne serait simple et que mon cœur ne battrait pas qu'une fois comme ça car tu savais prendre soin de moi et me rendre heureuse, me faire avoir les yeux qui pétillent et le cœur qui change le bonheur. Jetais persuadée que ce ne serais pas la dernière fois qu'il battrait comme ça mais tu vois.. Mon cœur.. Et bien il ne battra jamais plus pareil et meme si tu t'endors dessus et il va plus battre dune manière aussi jolie qu'au paravant. Il bat plus pareil, il ne bat plus beaucoup.. Danny.. J'ai.. Je.. je posa sa main sur mon cœur. Des larmes envahirent mes yeux ce qui les rendirent Dun bleu océan qu'il n'avait jamais vu. Je suis malade. Mon cœur est gravement malade... Dans mon ventricule gauche s'est logé une tumeur.. J'ai un cancer Danoï et j'ai pas d'autres possibilités que de me laiSer mourir tu vois..
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