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« Nous sommes de ceux sur lesquels on parie jamais. » ♣ DIENCER

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Allez crie Spencer, y a personne qui t'entends. Allez époumone-toi, lutte, fait-toi sauvageonne. Tes genoux sont écorchés, perçant ton collant, l'une de tes chaussures gît quelques mètres plus loin. Les graviers abîment tes mains blanches, d'une blancheur presque aussi pure qu'est ton âme. Mais on s'en fout que tu sois une sainte, c'est peut-être même ce qui les a attiré. Eux, ces idiots qui squattaient la sortie de ce bar bondé. Elle s'est fait belle, pourquoi elle sait pas vraiment, ni pour qui, mais elle avait envie de se sentir jolie ce soir. Une robe, des talons, ses cheveux ordonnés. Ca lui apprendra à vouloir se sentir désirable. Parce qu'elle l'est pour eux. Ils la suivent sur quelques mètres, et elle le sent. Elle accélère et tourne au dernier moment dans une ruelle déserte. Erreur. Elle courre, mais ralentie par la hauteur, se fait vite rattraper. On la plaque contre un mur, lui promet un « moment merveilleux » et que forcément elle « va aimer ça ». « Allez crever.. » qu'elle menace, se débattant comme un lion et parvenant à griffer le visage d'un des trois types. Le touché la lâche, la gifle si fort qu'elle tombe au sol mais tente la fuite, rampe presque, tandis qu'on la relève. On plaque une main contre sa bouche, la tenant fermement contre le mur alors que l'un s'affaire à remonter sa robe en haut de ses cuisses. Et t'as beau essaye de crier, y aura de toute façon personne pour t'entendre.
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Le vent fouette mon visage de sa brise tiède. Roulant à toute allure, le paysage urbain se transforme en point lumineux, faisant ressortir les lumières de la ville. Les senteurs florales ont laissé place à la noirceur de la pollution nourri par le pot d’échappement des grosses berlines de la ville. Conduisant sur ma moto, je me sens comme libre, loin de l’agitation nocturne comme plongé dans une bulle de silence. Depuis mes retrouvailles avec ma cousine, je repensais à mon passé, celui que j’avais laissé derrière moi, alors que je n’étais âgé que de quinze ans. L’adolescence nous faisait faire des erreurs et bien que j’aie été envoyé dans un pensionnat de redressement en Amérique, il m’arrivait parfois, de laisser la place à mes vieux démons, agissant sous le coup de l’impulsivité. Tournant au coin d’une rue, je dois m’arrêter au stop. Le moteur vrombissait fortement et je n’aurais surement pas entendu les cris apeurés d’une jeune femme qui se trouvait sur la ruelle à droite. Seul un point lumineux attirait mon attention, brisant l’obscurité d’une ruelle. Ses longs cheveux blonds s’éparpillaient autours de son visage. Des hommes la plaquaient au mur, montrant clairement leur intention. Sans réfléchir, je déviais dans cette ruelle, fonçant presque sur ses hommes en les aveuglants avec le faisceau des lampes. La colère mêlée à l’adrénaline, envahissait mon être, tel un liquide empoissonné. Les hommes avaient lâchés la jeune femme qui s’effondrait au sol, révélant son impuissance. Cette vision cruelle ne faisait qu’accroitre ma colère. Aux nombres de trois, les hommes se postaient devant moi, mais dans la peur, un des trois, fuyait l’endroit lâchement. Les deux autres étaient vieux, sales et je pouvais sentir leur odeur de sueur mêler au whysky bon marché. Ils étaient répugnants et indigeste. Ma moto ne se trouvait pas loin de la jeune femme et les hommes c’étaient très largement écarté. J’aurais voulu m’approcher d’elle, mais si je le faisais, ils en profiteraient pour m’atteindre. Descendant de la moto, je me précipitais vers eux, laissant mes noirs démons reprendre le dessus.
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Elle lutte, tentant même de planter ses canines dans la chair de l'un deux. A force, Spencer sait quoi faire, quand se soumettre et quand se battre. Elle l'a apprit au fil des gens qui défilent dans son bureau. Et eux, elle ne va pas leur faciliter la tâche. Sauf que ça ne sert à rien, les faisant rire tout au plus. Puis ce n'est pas la plus forte. Ses paupières recouvrent ses billes océans, fuyant la vision de ces hommes. Elle essaye aussi de ne plus entendre leurs commentaires. S'enfermer dans sa bulle, comme elle le faisait petite. Ce qui est impossible quand on sent une main remonter le long de votre cuisse, et que ce simple contact vous remue le cœur. L'innocente est prête à renoncer, lorsque une forte lueur la force à rouvrir ses prunelles. N'y voyant rien, comme ses assaillants d'ailleurs, ses entraves la lâche, et elle s'effondre au sol. Peu importe Spencer désormais, ils fixent leur attention sur le Sauveur. Une larme, traîtresse, essaye de se frayer un chemin sur sa joue, mais est vite arrêtée par son index. Pas de ça. Pas pour eux. Elle respire lourdement, son cœur martèle dans sa poitrine. Les mains contre le mur, elle s'appuie contre celui-ci pour se redresser, en ne quittant pas des yeux l'homme à la moto. Il est là, pour elle sûrement. Mais la belle n'en est pas rassurée pour autant, se collant à la pierre. L'un fuit, les autres restent. Ils restent mais s'écartent de leur victime, séparé de cette dernière par l'invité et son bolide. Il s’élançait vers eux, sans laisser percevoir la moindre crainte ou appréhension. Vil défouloir, mais heureuse intervention. Elle qui détestait la violence, se délectait d'une certaine façon de voir ces rebuts goûter leur propre sang. Secouée par quelques tremblements et sanglots qui luttaient pour sortir, Spencer se raccrochait à cette paroi pour ne pas chuter à nouveau. Quand à l'homme, elle avait tout simplement peur qu'il ne gagne pas cette bataille.
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