TATE L.MURRAY||ft Chace Crawford 100%

Certains ouvrages relatant les grands hommes de l’histoire ont surement déjà dit ou devrait dire : On est toujours seul au sommet ou l’argent ne fait pas une guerre mais l’or paye quand même une armée. C’est peut-être le tournant ou la philosophie de ma vie. Avoir été d’une autre époque on m’aurait donné le titre de Prince Solitaire ou du grand incompris. Laissez-moi me présentez humblement car c’est peut-être une des seuls fois ou je m’adresserais à vous de cette manière. Je m’appelle Tate L. Murray. J’ai vu le jour dans le cœur de la Suisse dans une magnifique ville nommé Zurich. Je suis le résultat d’un grand amour qui à fait traverser le continent américain à mon père Grant Murray pour adopter la Suisse comme terre d’exile ainsi pouvoir contempler chaque jour les beaux yeux bleus de ma mère Abby Diaz dans ce qui était encore pour eux aujourd’hui le grand amour. Issus d’une mère diplomate suisse et d’un père qui siège sur une entreprise familiale qui du jour au lendemain fut élevé au statut d’empire.

Comme toute famille si prestigieuse, il fallait que mon père préside son empire et ma mère représente son pays comme il le fallait. Alors j’ai passé une enfance malheureuse? Non. Grâce à ma nourrice et gouvernante Ingrid, Ce qui se rapprochait le plus d’une mère. Dans mon enfance, mes parents m’accordaient leur amour, leur tendresse mais pas assez souvent leur attention alors lorsque j’ai eu l’âge de comprendre mes actes, j’ai tenté de capter leur attentions avec des caprices que mes parents trop occupés comblait par des cadeaux et me donnait tout ce que je voulais mais il ne fallait qu’attendre le soir pour que le regard d’azure d’Ingrid et son accent venant des îles grecques me fasse la remontrance en m’inculpant les principes de partage, d’humilité et de sagesse. Ingrid m’a quasiment élevé jusqu’à mes 18 ans, mes parents faisant office de bonne figure seulement quand les temps le voulait, pour l’école, la remise des diplômes. À mes 18 ans ce fut le temps que la débauche commençait et l’entrée dans la haute société, mon père est le propriétaire et le fondateur de Murray Communication et ma mère diplomate, alors mon compte bancaire n’a jamais été en souffrance et tout cet argent j’ai appris à le dépenser de manière assez inutile alcool, filles, voitures bien que j’en profitais aussi pour couvrir de petites attention ma petite sœur Leslie âgé de 14 ans à ce moment-là. Bon bon, vous vous dites surement, ah le petit Prince fait son rebelle ! Le petit Prince que je suis ou au moins j’aime le pensée n’a pas l’intention de devenir le pantin de son père. Monsieur Murray pensait que j’allais doucement le suivre et devenir le prochain Président de Murray Communications mais non. Voyez-vous, dans la plus grande partie de cartes que constitue ma vie, je préfère être un As, il faut bien surpassez les Rois non? J’ai tout fait pour éviter mon père ne voulant pas l’entendre me sermonner pour les responsabilités que j’aurais à prendre dans le futur alors j’ai pris son avion personnel, boire à Barcelone, Fêter toute la nuit à Ibiza, Oubliez le nom des deux filles à Rio et foutu la merde dans quelques fêtes aux États-Unis...

Plus la pression de mon père  se fait présente et la non compassion  de ma mère ce fut le temps de jouer quelques cartes. À 22 ans, je fis mes valises en plaquant tout derrière moi décidant d’aller faire des études à Harvard et également parce que j’avais été admis, Ma mère, Mon père, Leslie et la petite Ambre mais ce qui fut le plus dure fut de faire mes adieux à Ingrid. Voulant prouver à mon père que l’As était plus fort que le Roi j’ai pris un vol pour le pays des emmerdes, les États-Unis. Ayant de bons amis de la haute société dans la terre promise j’ai vécu comme un Roi, ironique non? Soirée mondaine, champagne, œuvres de bienfaisance.  J’ai appelé tous les jours pour dire que j’étais en vie ou sinon on pouvait voir mes derniers exploits dans la presse américaine. J’avais tourné le dos à la Suisse et avait embrassé une vie de fils de riche aux États-Unis sans me soucier des cœurs que je brisais, des dollars que je dépensais. La débauche avait pris par-dessus les bons conseils de ma gouvernante. Mais sachez que je ne suis pas un sans cœur, à mes 22 ans, j’étais un étudiant de Harvard sérieux en regardant  le commun des mortels de haut comme s’y il devait mériter ma présence. Un sourire en coin et un regard qui leur faisait rappeler leur place en brisant le cœur de ces pauvres filles qui croyait que c’était leur personnalité qui me plaisait. Mais on ne peut renier éternellement notre famille. Je m’en rappellerai toujours, c’était à la fin de ma deuxième année universitaire, je revenais de mes vacances d’été  à la maison quand j’ai reçu un appel de ma mère alors que cela ne faisait même pas 12h que j’étais de retour à Harvard. Elle m’appelait en panique pour m’annoncer la maladie d’Ingrid en pleurant à chaude larmes. Un cancer qui avait attaqué sournoisement ma gouvernante, je devrais cesser de l’appeler ainsi car elle était plus que ça. Une mère, une gardienne, une protectrice qui bercer par les vagues de la méditerranée avait trouvé un foyer dans notre demeure dans les confins de l’Europe. J’ai convaincu ma mère d’envoyer Ingrid dans une des plus grands hôpitaux de Boston pour ces traitements et je ne m’attendais pas à un non de sa part.

Comme de fait, 1 semaine plupart Ingrid était en route pour Boston. J’étais chargé de me rendre à l’aéroport et de la conduire au Centre hospitalier où elle serait traitée par les meilleurs médecins pour son cancer. Elle allait arriver dans 2 heures mais j’étais si impatient que je décidais de partir le plutôt juste au cas. Je laissais ma Masérati rouge flamboyante à l’Université et je pris mon autre voiture, une BMW plus conventionnelle où Ingrid serait confortable et que je pourrais mettre ses bagages aussi. C’était une journée radieuse à Boston, l’air était doux et le soleil était à son comble. Je décidai de faire un arrêt au Starbucks, prendre un orange valencia refresher avant de me rendre à l’aéroport. J’allais obtenir ce que je voulais, en saluant Becky la caissière que je connaissais très bien pour diverses raisons mais en voulant retourner à sa voiture, Je reçu comme un choc. Il y avait une superbe jolie brunette qui lisait un livre sur la terrasse, J’étais surpris parce que je n’avais pas juste envie d’aller avoir son numéro et de la mettre dans mon lit. Je ressentis quelque chose de différent, J’avais envie de la connaître, je trouvais quelle dégageait quelque chose de semblable alors fidèle à moi-même, j’allais vers elle et pris le siège libre en avant d’elle et laissa supposer le titre du livre. «Tu sais combien pèse un ours polaire? Assez pour briser la glace. Salut moi c’est Tate et aurais-je l’honneur de connaître la jolie demoiselle qui lit du Jane Austen?» Elle me donna son nom : Juliet. Je fus surpris par sa simplicité et on entama une conversation juste comme ça, le courant passait bien et je lui offris d’aller prendre un verre quand je dû quitter Juliet pour me rendre à l’aéroport presque en retard! J’avais oublié le temps en si bonne compagnie! On échangeait nos numéros de téléphone et 2 jours après on avait rendez-vous. Depuis le jour de l’arrivée d’Ingrid, il y avait eu un changement, le plus bénéfique dans mon comportement je le voyais bien ou je pouvais attribuer cela à ma rencontre avec Juliet? Dieu seul le sait…Moi et Juliet on se voyaient sur une base quotidienne et je sentais que Juliet était peut-être la fille de mes rêves. Je n’osa pas lui révéler cependant ma classe sociale, de peur qu’elle voit ma vraie nature et qu’elle refuse de me voir après tout, un As gardait quelques armes de côté non? Deux semaines plus tard, j’invitai Juliet à passer à la villa Murray qui était situé dans les Hamptons, j’avais décidé d’être honnête avec elle et lui révéler qui j’étais vraiment mais cette soirée-là fut assombri par une terrible nouvelle. Le cancer d’Ingrid était maintenant en stage final et son temps était compté. Un coup de poignard m’aurait fait moins mal et fidèle à mes habitudes, je noyais mon chagrin dans l’alcool et vu que j’étais dans les Hamptons, je décidais d’aller fréquenter quelques endroits branchés du coin vu que Juliet m’avait téléphoné pour m’annoncer son retard dû à la circulation. Verre après verre, j’avais hâte de voir Juliet, de lui raconter tout mais j’ai un trou noir, je me rappelle avoir pris ma BMW, retourné à la Villa et dans la voiture, j’avais goûté aux délicieuses lèvres…..de Tia et non de Juliet! Mais je me rappelle que je m’étais réveiller seul au matin…Quel connerie j’avais fait?! Depuis deux mois, je n’avais pas eu des nouvelles de Juliet mais je savais que tous les deux ont allaient à Harvard. J’allais la faire revenir, je voulais la récupérer par n’importe quel moyen.