Oscar Dereani ► Vinnie Woolston

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle ChloP et j'ai 18 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à du bouche à oreille il y a longtemps.  J'ai envie de tenter cette grande aventure qui est ILH depuis un petit moment alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Vinnie Woolston comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par mischief insane. Je fais environ 500 à 1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲  
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

« Je sais pas trop par où commencer. J'ai l'impression d'être le pire des idiots tu sais ? Tant de choses se sont passées en si peu de temps, mais s'il y a bien une chose qui réside, c'est ton absence. Je sais que tu as envie de me frapper dans le dos en me traitant de tapette, et pourtant... Tu sais que t'étais important pour moi. Bien plus qu'on ne peut l'imaginer. T'as été là quand je suis arrivée à Harvard, et tu ne seras même pas là quand j'en sortirai. Tu manques à Typhene aussi tu sais. Non tu sais pas, bien sûr que tu ne sais pas. Tu n'es plus là pour la voir. Mais elle se perd. Autant que je me perds. T'étais notre putain de pilier, notre frère, et t'es plus là. Quatre mois sont passés et je me pose toujours la même question. Pourquoi ? Et je pense ne pas être le seul. Si j'y avais cru, j'aurai prié pour toi, pour ton retour, mais c'est comme demander à ce que l'argent tombe du ciel. Ridicule. » déclaras-tu, la voix serrée. Tu ne savais même pas ce que tu faisais ici alors que tu devais être en cours d'histoire médiévale. Pourtant, tes jambes t'avaient tiré ici, à cet endroit que tu ne pensais jamais revoir ou du moins, que tu ne voulais plus jamais revoir. Tu avais l'impression que ton coeur allait sortir de sa cage tant ton pou était rapide. Les mains tremblotantes, tu te levas par la force des bras et tenta de faire marche arrière. Mais tu restas planté là. Devant cette pierre glacée. Dans un soupire, tu retombas au sol, convaincu de passer encore du temps ici. « Bon et bien je crois bien que tu vas devoir me supporter un peu plus vieux frère. » dis-tu, sarcastique. « Tu veux que je te raconte quelque chose de bien drôle ? Un truc tellement drôle que ça te ferais te retourner dans ta tombe ? » un autre rire jaune sort de ta bouche. « J'emmène une fille au bal. Si je t'assure, au bal, tu as bien entendu... Et c'est étrange, mais maintenant que je te le dis, je réalise ce que j'ai fait. Quelle belle connerie. Bon tu me connais, j'ai plus fait ça par gentillesse qu'autre chose. La pauvre, elle est mordue. Par un Eliot. Tu sais un de ces bleus insupportables ? Je vois toujours pas ce qu'elle lui trouve mais bon. C'est une femme, c'est la seule explication que j'ai trouvé. En parlant de femme, et de bleu, j'en ai rencontré une pas mal dans son genre. Et par genre j'entends la pauvre fille bien chiante. A croire qu'elle est là que pour gueuler. Mais elle est jolie. Très jolie même. Donc, on lui pardonne. » finis-tu en rigolant de bon coeur cette fois-ci, pensant à la belle brune. « Sinon, tu sais ce que ma sortie mes parents hier encore ? Qu'ils partaient en Australie pour une période indéterminée. Tu me connais, j'les aurais bien suivi, mais je t'avais promis de finir mes études. Tu te souviens ? On devait finir nos études et partir en vacances au Mexique, ou je ne sais où. Profiter en fait. Et maintenant je me demande avec qui je vais pouvoir prévoir ce genre de plan. » puis tu t'arrêtas, la brise caressant tes joues légèrement. Ton regard s'arrêta sur son nom sans que tu ne puisses le lire. A nouveau, tes doigts se mirent à trembler et tu te retrouvais coincé entre le stresse et l'angoisse. Il était parti. Tu n'entendais plus son vieux rire à tes blagues déplacées. Il ne pouvait plus t'appuyer dans tes conneries. Et tu revoyais ces flammes l'avalaient. Tu le voyais te regarder une dernière fois, surpris, n'ayant pas eu le temps de réaliser ce qu'il se passait.

La porte claqua dans l'immense maison. Tout était propre, bien trop propre à ton goût. Ca te semblait si froid que tu en avais la chair de poule. Puis tu vis ta mère se diriger vers toi, ses talons claquant le sol lisse. Bien trop lisse. Elle te prit dans ses bras doucement avant de t'embrasser dans le cou. Toi, son grand bébé de vingt-cinq ans. Sans émettre un seul mot, tu la serras contre toi de toutes tes forces, en profitant pour t'embaumer de son parfum fruité puis tu la lâchas. « Vous partez quand ? »  « Ce soir au plus tard. Le temps d'embarquer les derniers cartons. Tu es sûre de ne pas vouloir venir avec nous ? »  « Non. Enfin j'aimerais. Mais mon année n'est pas encore terminée. Je vous rejoindrai après peut-être. » et elle t'offrit un sourire tendre. Tes parents t'avaient baladé de pays en pays toute ton enfance. Puis quand ils se sont arrêtés à New York, tu as eu le temps de te faire des amis, des vrais. Jusqu'à partir une année avant la fin du lycée. Là, ils t'avaient embarqué dans le Connecticut. Puis tu avais tenté Harvard, bien que tes parents n'y avaient pas tant cru. Tu étais bien plus intelligent que tu ne voulais le faire croire. Et c'était certainement un de tes points forts. Oui toi, tu aimes tout cacher. Que ce soit ton QI ou tes habitudes un peu old school. Personne ne te connait réellement, enfin plus personne. Pourtant tu continues ton chemin dans ces grands couloirs si célèbres dans le monde entier, attendant patiemment de voir ce que l'avenir te réserve.