Accueil
Invité
est en ligne
Invité
Tu étais de bonne forme aujourd’hui, tu avais bu comme à ton habitude la vieille mais tu n’avais pas vraiment la gueule de bois la plus horrible, tu avais tout de même une belle mine bien fraîche. Tu regardais ton reflet sur la glace. Tu te rasais ta barbe de trois jours avant de rentrer sous la douche, tu en ressors après moins d’un quart d’heure et tu t’habillais assez vite, tu comptais descendre à la MAC pour t’entrainer un peu, tu avais la matinée libre et tu espérais ne trouver personne même tu étais d’assez bonne humeur ce matin. C’est ainsi qu’avec ta bouteille d’eau à la main et ton sac de sport dans l’autre, tu descends telle une flèche les escaliers et arrives à la MAC, tu regardais le bassin de piscine mais tu ne voulais nager aujourd’hui, tu passais juste à côté, regardant l’eau et quelques étudiants qui nageait à qui tu distribuais un chaleureux sourire, tu voulais aujourd’hui jouer du Basket et une fois prêt, tu pris un ballon et le fis rebondir deux ou trois fois et voilà que tu vois arriver ta chère petite blonde : Meryl… Tu la regarde en souriant, continuant tes rebondissements de ballon, attendant qu’elle rentre, tu te mordille la lèvre inférieure. Ça te faisait plaisir de jouer avec elle surtout que votre relation était très complexe, tu arrêtes de rebondir ta balle et la tient dès que la belle blonde est entré. « Ma Blondie vient me défier une nouvelle fois ? » Disais-tu pour rigoler, elle avait toujours cette lueur d’espoir qu’elle arriverait un jour à te battre alors que c’est peine perdue, tu étais de un plus grand qu’elle et bien plus fort, de deux tu jouais largement mieux qu’elle et ça t’amusais de la taquiner sur le fait qu’elle galère de prendre possession du ballon quand tu le tiens. Tu suis ses pas et ses gestes, te demandant bien ce qu’elle s’apprête à faire aujourd’hui. On sait jamais de quoi la petite Meryl est capable. (Invité)
Me voilà dans mon élément. Un terrain de basket c'est pratiquement toute ma vie, mon enfance, mon adolescence. J'ai grandi et forgé mon caractère dessus et même si je n'ai pas intégré une grande université dans ce domaine comme mon cher frère je ne vais pas me priver d'en faire sans lui. Je suis arrivée au complexe de basket vêtu de ma tenue. J'ai vue de loin sur la piste une silhouette familière. Kenaël.. Ca risque d'être amusant aujourd'hui ! Je me suis approchée en trottinant. Mon Con va se faire laminer une nouvelle fois ? C'est clair que dans une logique il est censée me gagner, plus grand, plus.. mec quoi. Mais ca ne fait pas tout. Je suis bien trop nerveuse, rapide et endurante pour ce gros tat. De plus je sais jouer la comédie, et même sur le terrain.. Je lui ai pris le ballon des mains puis je suis parti sur le côté en dribblant. Il me suit, me lâche plus d'une semelle. Tu veux faire un petit collé serré très cher ? Je sais aussi danser tu sais ? J'ai commencé à faire des rebonds sur les côtés en faisant mine de faire de petits pas chassés.
Tu haussais innocemment les épaules à la belle brunette qui n’arrêtait point de te faire de l’effet, cette dernière n’arrêtait de se victimiser comme quoi ce que tu étais entrain de faire n’était autre que de l’abus de pouvoir masculin, c’est pas comme ça que ça marchait avec toi, la belle ne te connaissait pas si bien alors elle ne devait pas vraiment te connaître si bien. Tu passais une main dans tes cheveux, te donnant l’air encore plus irrésistible. « Tu m’étonnes, y a des millions de filles qui rêvent de se coller à moi… Privilégiée vas ! » Disais-tu d’un magnifique sourire que tu lui offrais avant de voir la belle se rapprocher de toi voir même rapprocher son magnifique visage du sien, tu la regardais, un sourire en coin mais tu n’étais pas quand même pas si con que ça, on parle d’Alaska là, ce n’est pas en un claquement de doigt que tu auras un bisou de sa part. Tu la regardais avant qu’elle ne s’éloigne, tu haussais un sourcil, faisant la moue, t’asseyant par terre, croisant les bras tel un petit enfant et la regardais jouer avec son ballon. « Tu me déçois chérie, moi qui voulait un bisou… Je te boude jusqu’à la fin de notre existence. »