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E. KENAËL HODSON ► zayn malik

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C'est le 10 juillet 1993 à Londres , que les membres de la famille Hodson m'ont accueillidans leurs bras, ils m'ont prénommé Edward Kenaël.  Je suis célibâtard et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de la musicologie comme études majeur et sport en études mineur depuis deux ans et travaille en parallèle de mes études en tant que chanteur dans un bar . Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mather ou les Winthrop.
E. Kenaël Hodson

Looks alot like Zayn Malik

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Catoumiki, oh oui je sais, pseudo terriblement minable et j'ai seize ans. Je suis une licorne et j'ai connu le forum grâce à l’éternel et l’immortel bazzart.  Le forum est Awesome, actif, les membres ont l’air adorables et extrêmement acceuillants alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Seuksy Zayn Malik comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Sweet Disaster. Je fais environ quinze-trente mots par RP et mon personnage est un personnage inventé .

Mot de la fin ? ▲ Je vous nem déjà à la foulie des foulies de mon keur E. KENAËL HODSON ► zayn malik 3850463188 
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)
APRÈS LA BOMBE
Le jeune homme avait une faim de loup ce matin-là, il s’était réveillé assez tard, il avait mal au crâne, il avait beaucoup trop bu hier soir même qu’il ne se rappelle plus comment a-t-il fait pour rejoindre son domicile. Il cherchait une aspirine… Aucune. De la nourriture… Rien. Il soupirait de désespoir, il n’avait vraiment pas le moral de sortir faire les courses ce matin mais il en était malheureusement obligé. C’est d’un jean et un sweat, accompagné de ses lunettes de soleil fétiches qu’il s’armait pour sortir. Il rentrait dans sa divine voiture noire et bien imposante, il la démarrait et le voilà en route vers le supermarket le plus proche. Il s’arrête à un feu rouge, respectant un minimum le code la route pour éviter de perdre son permis, il avait quelque chose sur son siège qui le gênait, il se baissait pour essayer de l’attraper et voilà qu’il entend des cris, il relève soudainement la tête et vis une explosion, deux secondes plus tard, avant même qu’il n’ait le temps de réagir, l’explosion se fit plus proche de sa voiture et propulsa cette dernière. Le jeune homme avait la chance d’avoir la ceinture de sécurité mais malheureusement ceci n’empêchait pas la voiture de s’être retourné, et le jeune homme de perdre connaissance durant quelques minutes. Il ouvre les yeux et tout ce qu’il arrive à voir c’est une ville à l’envers, il tousse et grimace de douleur. Il avait encore un peu de force dans les bras et s’en sert pour se tenir avant d’enlever délicatement la ceinture, souffrant comme pas possible, un verre lui avait traversait la pomme de la main et il ne pouvait la bouger sans en souffrir. Il se mordillait la lèvre inférieure, fermant les yeux par douleur avant d’arriver à détacher cette ceinture. Il essayait de se sortir de cette foutue voiture et heureusement pour lui, la vitre était casée, il passait par cette dernière et se blessait légèrement le dos avec les verres cassés. Il restait longuement par terre avant qu’une autre explosion ne fit s’entendre, il se plaquait près de sa voiture, regardant sa main qui saignait énormément, son nez saignait également, il passait sa main saigne sous ses narines, avant de souffler. Il avait réussi à sortir son portable et se rend compte que sa tante, venant s’installer ici pour ses affaires était coincée dans un magasin de vêtement pas bien loin de l’emplacement de Kenaël. C’était sa tante, il y tenait extrêmement vu que c’était la seule personne à le soutenir durant ces moments de faiblesse et elle l’avait aidé à se relever et à revivre. Il appelait les urgences pour se rendre à l’endroit où se trouvait sa tante. Il avait de la chance de ne pas être la seule victime dans cette route et d’autres gens avaient appelé une ambulance pour se rendre dans le lieu où le beau brun était légèrement blessé. Il fut emmené à l’hôpital et se rendis compte qu’il avait le poignet cassé et quelques légères blessures.
Il n’avait bizarrement pas paniqué et n’avait pas eu besoin d’aller voir un psychologue et une épaule sur qui pleurer. Il trouvait que c’était un accident comme les autres, grave certes, il y a eu une énorme quantité de blessés. Sa tante allait bien, mis à part un petit bras cassé à présent rétablit. Le jeune homme n’avait pas besoin d’une dépression pour cet événement, mais il a toujours cette horrible image du moment où la voiture s’était retournée, il n’avait jamais fait d’accident de voiture jusqu’à maintenant et heureusement, il s’en était bien sorti. Le jeune homme, pratiquant normalement de la boxe a dû arrêter pendant un bon moment, le temps que son poignet se rétablit. Une fois ce dernier revenu à sa normal, il s’était remis à une de ses activités sportives préférée.

MATHER.
Le jeune homme est souvent qualifié par le London Badboy, le mauvais garçon par excellence. Le jeune homme a commencé à boire et à fumer à l’âge de seize ans. Il s’est drogué également deux ou trois fois mais pas plus, il avait horreur d’être de dépendant de quelqu’un ou de quelque chose et encore moins à une simple plante. Le jeune homme aurait pu avoir ce caractère de fils à papa, dont l’air hautain pourrait bien dégoûter plus d’un et des manières digne d’un jeune homme issu d’un monde bourgeois, mais il a été le seul de la famille Hodson à être tout le contraire de leur attente. Ils croyaient accueillir un nouveau prince dans la famille mais c’était loin d’être le cas, dès son enfance, le beau brun était un enfant actif, dynamique et surtout loin d’être sage, ses yeux luisaient constamment montrant son envie de commettre une bêtise, il a grandi physiquement peut-être mais mentalement, il est toujours resté le même. C’est peut-être le genre de jeune homme qui s’amuse de jeter des seaux d’eau sur la tête des passants et contempler leurs têtes, c’était même devenu une de ses activités favorites lors de ses quatorze, quinze ans. Il buvait de l’alcool comme il buvait de l’eau, il fumait comme un pompier, il faisait la fête presque tous les soirs même s’il avait cours à six heures du matin le lendemain. Fêtard et monsieur je m’en foutiste, il ne prête pas une grande attention à ce que les gens peuvent et pourront penser d’un jeune homme aussi irresponsable que lui. Il a sût vivre seul pendant presque un an, il n’arrêtait de côtoyer pour autant les bars ayant travaillé comme barman, le domaine de la nuit lui était lui est toujours familier. Il se rendit compte qu’il était passionné de l’art et surtout du chant, ayant une voix très troublante et mélodieuse, il ne se privait pas d’aller chanter dans les bars respectueux, gagnant les applaudissements des gens présents qui n’arrêtaient de l’encourager de continuer voir même d’en faire sa carrière. Il avait vécu un passé légèrement douloureux et a toujours trouvé du réconfort avec sa boîte de clopes adorée et sa bouteille d’alcool. Même après son entrée à Harvard cela fait deux ans, il a continué ses bonnes vieilles manières de faire la fête, boire et manger. Il a de la chance d’être en compagnie de sa tante, étant quelqu’un qui déteste être sous le contrôle où les ordres d’un autre, sa tante lui donnait toute la liberté dont il avait besoin et il se sentait extrêmement bien avec cette femme qui prenait soin de lui tel son fils. Dehors, il aurait toujours une boîte de cigarette dans les poches, dans une soirée, toujours un verre à la main, au volant, une cigarette entre les lèvres. Le jeune homme tatoué était fait pour faire partie des Mather.

WINTHROP.
Le beau brun avait connu une période de sa vie où il était très violent, il devenait de plus en plus impulsif, bagarreur et surtout provocateur, aimant manipuler les autres et user de leurs faiblesses pour avoir ce dont il désire, il revenait toujours le nez en sang à la maison après une dispute mais le jeune homme, ayant un charme fou et un corps de rêve a toujours respecté et respecterait toujours les femmes, même si la gente féminine n’a pas été d’une grande bonté avec lui, passant par sa mère puis son ex-petite amie, un autre homme aurait bien commencé à détester les femmes mais c’était loin d’être le cas de Kenaël. Il s’était toujours promis de ne jamais ô grand jamais lever la main sur une femme ni sur un enfant, quelle que soit la situation dans laquelle il se trouve. Il est peut-être reconnu pour avoir le caractère d’un mauvais garçon mais c’est vraiment quelqu’un au grand cœur, un vrai gentleman sur pieds, il laisse la priorité aux dames même s’il est en retard, il use souvent de son charme pour faire tourner les têtes des belles demoiselles et les avoir dans son lit, un vrai dragueur et séducteur même si collectionner les femmes n’est pas la chose la plus passionnante qu’il puisse faire, il a toujours eu un faible pour les jeunes femmes difficiles qui laissent courir les hommes au lieu de les coller et essayer de les plaire. Il est souvent regardé à la rue, ses tatouages et son charme Anglo-brésilien (car oui, il a hérité des origines brésiliennes de son père) font tourner la tête de plus d’une. Son regard ne laisse pas les femmes indifférente et il est souvent amusé de voir qu’il a autant de succès auprès de la gente féminine. Il est très loin d'être un macho, même qu'il ne respecte pas les gens qui trouvent les hommes macho viril. La virilité est une chose mais le machisme n'est autre que la virilité des faibles à ses yeux.
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Fight Off your Demons. ► Tu courais partout, en la compagnie de ta mère qui se baladait tranquillement, respirant l’air frais de Londres. Ta mère avait le ventre extrêmement rebondit, tu n’avais que cinq ans et tu ne comprenais pas ce qui se passait dans le corps de ta chère maman adorée alors tu avais toujours cette petite remarque en regardant son ventre « Oh maman regarde, ton ventre est grand comme ça ! » Ouvrant pour la même occasion tes bras, montrant à quel point il avait l’air grand pour toi. Ta mère s’était arrêtée, s’asseyant sur un banc pour se reposer, tu étais un enfant actif et dynamique, tu n’arrivais à rester assis plus de deux minutes, elle lâchait ta main pour fouiller dans son sac et sortir une bouteille d’eau, tu profitais de cette occasion pour te lever, courant dans tous les sens, traversant la route. Une voiture noire traversait la route et allait t’écraser. « KENAËL ! ATTENTION ! » Ta mère criait de toutes ses forces et s’était levée, songeant à venir te rejoindre pour te tirer de là. Heureusement pour toi, la voiture s’était arrêtée quelques centimètres plus loin de toi. Ta mère arrivait finalement à t’atteindre et s’excusait poliment au chauffeur avant de te tirer hors de la route, soufflant un peu, ayant maintenant des joues rougis de peur, elle levait les yeux au ciel, ne te lâchant pas pour autant la main, soupirant de désespoir. « Tu vas me rendre dingue un jour… Allez viens, rentrons avant que tu ne fasses une catastrophe. » Et voilà que tu ne voulais plus avancer, t’accrochant à un arbre aussi fortement que tu pouvais. « Non non non… S’il te plait… Je ne veux pas rentrer… Je serais sage, promis juré craché ! » Elle te regardais et soupirait, elle était incapable de te gérer, surtout étant enceinte, elle n’avait pas la force de te contredire et te laisser faire à chaque fois ce que tu désirais. « Bon d’accord… Viens maintenant, on va s’asseoir quelques part. » Tu soupirais et suivais ta mère, tu préférais rester encore un peu dans les ruelles de Londres que de rentrer chez toi. Vous passiez près de nombreux magasins et le seul qui avait attiré ton attention était celui qui proposait des gâteaux en chocolat. Tu t’arrêtais net devant le magasin et voilà qu’un autre caprice de ta part surgit. « Du chocolat maman… S’il te plait ! » Tu tournais ta petite bouille en sa direction et tu lui faisais les gros yeux du célèbre dessin animé : Le chat Botté. Technique infaillible qui marchait à tous les coups, surtout après l’arrivée du petit être qui avait trouvé refuge dans le ventre de ta chère maman, faible à tes gros yeux luisants. Elle soupirait et faisait demi-tour pour rentrer dans ce fameux magasins, tes yeux brillaient de mille feux et autant dire que tu étais complètement dingue du chocolat, tu regardais tous ces gâteaux déposés soigneusement derrière des vitrines luisantes. Tu regardais ta maman commander ce que tu préférais par-dessus tout : Une mousse au chocolat noir et un fondant au chocolat. Tu te dandinais de joie et d’impatience d’avoir ces délices sous les yeux. Autant dire que c’était la seule manière pour ta mère de te calmer un peu. Une fois l’achat payé, vous ressortiez du magasin et tu n’arrêtais de sauter sur le paquet que tenais ta mère, elle essayait de te calmer mais rien à faire, tu étais bien décider de tout dévorer tout de suite. Vous vous arrêtiez dans un café calme et vous vous asseyiez confortablement dans une table vide, elle te déposait finalement le paquet sous les yeux, te donnant le feu vert d’en faire ce que tu veux. Tu l’ouvrais et ce, délicatement pour éviter de le déchirer et te mis à déguster savoureusement. Tu partageais avec ta maman, la voyant souffrir. Tu l’adorais et tu étais extrêmement fusionnel avec elle.

I don't hate you I'm just not necessarily excited about your existence. ► Tu avais grandis, à présent tu avais sept ans, tu te sentais déjà grand, fort, souvent surnommée par ta maman ‘mon petit homme’, tu étais pourri gâté, tu ne manquais de rien, tu avais tout ce qu’il te fallait, ton père t’apprenait à faire du vélo, te laisser tenir le volant, sortait avec toi t’apprendre à faire du Roller. Mais tout ceci avait changé, tout allait du mieux avant l’arrivée de ce gosse, un gosse qui t’avait longuement agacé, et ce, pendant deux bonnes longues et interminables années. Tu te sentais tout à coup comme mis à l’écart, mal aimé, mal compris, le nouveau t’avait volé la vedette, s’asseyant confortablement sur le trône, le petit prince de la maison. Quand il pleurait et réclamait qu’on se venge pour lui, tu étais le premier à le payer, tes parents te grondaient souvent, tu en avais marre, tu n’en pouvais plus. Tu étais le seul à pouvoir faire ses caprices, le seul à réclamait de l’attention, non pas cette boule de chair qui ne fait que pleurer, manger, boire et dormir. Tu trouvais qu’il ne servait à rien, tu le détestais, il te dégoûtait, tu ne l’approchais pas, tu ne le voyais pas comme un frère mais comme un ennemi. On essayait de te résonner, mais rien à faire, quand tu n’aimes pas quelqu’un c’est que tu as bien une raison. Tu détestais partager tes parents avec d’autres bambin, celui-là, non seulement il partageait avec toi tes parents mais partageais aussi le lit de tes parents, tu avais à présent ta propre chambre, ta technique de chat botté n’avait plus aucun effet, tu finissais par entre les cris de ta mère au moindre caprice de ta part, suivis des rires moqueurs du gosse. Tu avais des envies meurtrières envers lui, tu le détestais beaucoup trop pour le regarder, tu passais ta journée à l’éviter, tu ne parlais plus à tes parents. La maison où tu dormais n’était plus ton chez toi, désormais et sous tes yeux, ce n’était qu’un bâtiment qui te protégeais du froid et de la chaleur. Triste vie. Tu songeais à quitter ce fameux bâtiment où tu avais vu naître tes plus gros fous rires et tes plus beaux événements, tout ceci, à cause d’un petit être vivant plus faible que toi, moins intelligent que toi et malheureusement… Avait le même sang que toi.

I don’t do drugs. I’m Drugs. ► Tu as seize ans, tu bois déjà, tu fumes énormément, tu es trop impulsif, trop bagarreur, trop provocateur… Tu cherches constamment la merde. Quelqu’un sur qui te défouler. Ta mère sait que quelque chose cloche mais n’ose pas te parler, tu avais fait un scandale quand elle t’avait demandé si tu te droguais. Tu ne te droguais pas. Honnêtement, tu as déjà essayé, deux ou trois fois, mais ce n’était pas trop tentant, voir même pas du tout. Tu détestais être dépendant de quelque chose et encore moins quand ce ne serait qu’une plante. Tu fumes peut-être comme tu respires, tu bois de l’alcool au lieu de l’eau, mais tu n’irais pas plus loin, c’était déjà assez ainsi. Tu t’énervais pour un rien, tu répondais souvent au tac au tac ce qui avait la fâcheuse tendance à énerver tes interlocuteurs, ton frère avait à présent onze ans, il te prend comme modèle de vie, tu le méprises, tu l’insultes de tous les noms, il t’avait gâché ton enfance ce môme. Cette merde. « Putain lâche-moi et retourne fantasmer devant ta Minnie ! » Râlais-tu, cigarette à la main, ce dernier te tenait le bras et te demandais de venir regarder avec lui son dessin animé préféré : Mickey-Mouse. Il était têtu et ça t’énervait au plus haut point vu que tu étais exactement comme ça quand tu étais enfant, et tu détestais te voir dans cette personne, il te dégoûtait et tu essayais de te persuader qu’il ne te ressemblera jamais alors qu’en vérité, c’était tout à fait toi. « Allez Kenaël ! Sois gentil ! Viens ! Tu fumeras plus tard ! » Tu soufflais nerveusement, tu n’allais pas tarder à lui mettre un bon poing en plein nez, mais il était beaucoup trop petit pour riposter, puis ça reste ton frère et ça reste par-dessus tout un enfant, tu ne lèverais jamais ô grand jamais la main sur une femme ou un enfant. Tu étais beaucoup trop respectueux pour oser faire ça. « Fais pas ta grosse tête mon bébé, fais lui plaisir et ne serait-ce qu’une fois dans toute ta vie. » Tu haussais les sourcils et te retournais vers ta mère qui te regardait d’un regard suppliant, tu te retournais brusquement, l’ignorant totalement avant de plonger ton regard dans celui de ton petit frère qui te faisait le regard du chat botté. Argh. Tu le détestais ce gosse. « Bordel… Va mater tes rats qui portent une salopette et fous moi la paix. » Merde quoi. Tu ne demandais pas l’impossible. Tu voulais tout simplement qu’il s’éloigne de toi et te laisse tranquille. Tu le laissais planté sur ces jambes tremblantes et continuais ta marche dans le couloir, ouvrant la porte de la maison. « Et… La tête du chien battu ne te va absolument pas, on dirait un attardé mental. » Disais-tu avant de sortir, claquant derrière toi la porte. Toi ? Jaloux ? Loin de là, tu avais tout simplement horreur qu’il t’imite dans tout tes faits et gestes, il ne lui restait plus qu’à prendre une clope et se balader auprès de toi, les mains dans ses poches. Tu aspirais la fumée de ta cigarette avant de laisser la fumée sortir délicatement de tes lèvres, tu soupirais, n’arrivant plus à supporter l’autre gosse. Ton portable vibrait et tu laissais la cigarette emprisonnée entre tes lèvres, sortant ton téléphone de ta poche, regardant ce fameux message, un sourire s’affichait sur tes lèvres. C’était ta petite amie qui disait que tu lui manquais et qu’elle voudrait te voir, ça ne pouvait que bien tomber, tu avais aussi besoin de voir une personne qui te ferait oublier l’image du bambin accroché à ton bras légèrement tatoué. Tu lui répondais et rangeais ton téléphone, finissant ta cigarette avant de la laisser tomber sur le sol encore mouillé de la pluie d’hier, l’écrasant quand même à l’aide de ton pied. Tu rentrais à la maison et prit très vite les clés de la voiture de ton père, une voiture imposante, une parfaite range rover noire qui te rendait si fier d’être à son volant. Votre famille ne manquait de rien, avec ta mère qui est issue d’une famille d’aristocrate et ton père, célèbre homme d’affaire, l’argent était loin de faire partit de vos problèmes. Tu ressortais et allait voir ta petite amie, fille que tu aimais tant et que tu n’arrêtais sans cesse de protéger.

Sorry, but I can’t do anything right. ► Tu as grandis à une vitesse incroyable, tu es grand maintenant, plus ou moins grand en tout cas. Tu as 18 ans, à vrai dire, rien ne s’est calmé. Tu fumes et bois toujours autant et tu ne supportes toujours pas ton frère qui commence à se méfier et s’éloigner petit à petit de toi, comprenant que tu ne le portais pas dans ton cœur. Tu étais toujours aussi impulsif et bagarreur et ton caractère n’avait point changé, même que ton impulsivité avait augmenté et tu te bagarrais beaucoup plus qu’autre fois, tu étais toujours avec ta petite amie et vous vous aimiez à la folie même si, il fallait l’avouer, tu commençais à t’ennuyer de la jeune femme et tu avais besoin de renouveau, mais tu étais loin d’être quelqu’un de trompeur ou infidèle, alors tu te contentais d’elle et ne tournais pas autour des autres filles même si tu as plutôt tendance à les voir te tourner autour. Tu rentrais aujourd’hui des cours, tu ouvrais délicatement la porte et entrait, tu ne savais d’où ça venait, ni pourquoi, ni comment, mais tu t’étais pris une bonne et violente gifle sur la joue dès que tu aies posé les pieds dans la maison. Tu levais ton regard sur la personne en question et ce n’était autre que ta mère, tu ne ressentais pas vraiment la douleur qu’elle a dû t’infliger mais plutôt de l’incompréhension devant la tête de ta mère et celle de ton père qui tenait ta mère qui ne tenait pas parfaitement sur pieds. Tu fronçais les sourcils et les regardais, tu venais ouvrir la bouche et tu la refermais aussi vite, apeuré par la réaction de ta mère qui se déchaînait sur toi. « Tu n’es qu’un connard ! Tu n’es pas mon fils ! Tu n’es pas Kenaël ! Dégage tout de suite de cette maison ! Dégage espèce d’enfoiré ! » Elle te frappait et tu comprenais pas vraiment, tu lui tenais les mains pour qu’elle s’arrête mais elle ne fait que te pousser, te plaquant contre la porte et continuer ses coups sur ton torse, elle était complètement effondrée en larme. Ton père était venu la tirer loin de toi et te regardais avec un profond dégoût. Ta mère s’effondrait sur ses genoux, pleurant toutes les larmes de ton cœur. « Maman ? Qu’est-ce qu’il y a ? » Avais-tu réussi à dire, sous l’effet de la surprise. Elle se remet à crier et ce, encore plus fort. « Je ne suis pas ta mère ! Ne m’appelle plus jamais maman ! Comment es-tu arrivé à le toucher ? Comment ? Tu es donc inhumain à ce point pour oser ? » Disait-elle bien fort en pleurant, tu fis les gros yeux et courais monter les escaliers, entrant dans la chambre de ton frère, puis dans la tienne, tu perdis de suite l’équilibre en voyant ton frère allongé sur ton lit, la tête dans un sac plastique, étouffé. Tu attrapais le poignet et perdis de plus en plus la force qui te permettais de te tenir debout, ta mère t’avait rejoint et t’avait pris par ton capuche, te tirant loin de la chambre et te jetant carrément dans les escaliers. Tu descendais à reculer, voyons ta mère vouloir t’en mettre une autre, te criant et t’insultant de tous les noms. Ton père ne parlait pas et attrapait ta mère pour la calmer. Cette dernière te jetait une valise en pleine gueule et tu fus surprise de l’attraper, regardant ta mère, sous le choc. Tu n’y croyais pas… Tu fus alors jeté de la maison, seul, livré à toi-même, tu avais de la chance d’avoir ta propre voiture et ton permis, sinon, tu aurais du mal à survivre seul, ainsi. Ton frère avait donc quitté la vie et ta mère avait osé croire que tu étais celui qui l’avait assassiné. Merci Maman. A présent, tu regrettais la haine que tu éprouvais pour ton frère et commençais à haïr ta mère ainsi que ton père qui n’arrêtait de te fusiller de son regard noir, doutant aussi que tu avais osé mettre fin à la vie de ton frère. Ton frère merde.

And you still Cheated. ► Ta petite amie était la pour toi, tu pleurais longuement pour ton frère, c’était ton frère tout de même, finalement, tu l’aimais sans t’en rendre compte, tu étais juste trop jaloux et tu croyais le détestais alors qu’il comptait plus que tout pour toi. Tu ne voulais pas habiter avec ta copine, tu commençais à travailler comme barman, te rapportant de l’argent pour payer tes études e ton loyer, tu finissais par acheter un loft, toujours installé à Londres. Ta petite amie était venue te rendre visite un jour, sa tête ne te disait rien qui vaille et tu sentais les problèmes venir… Tu soupirais à sa vue et essayais d’être le plus sympathique possible, ces derniers jours, tu étais incapable de supporter le moindre problème et, vu sa tête, tu t’attendais à un bon gros problème. Elle te demandait de t’asseoir, voulant te parler. Tu fronçais les sourcils et t’asseyais, tes genoux bougeaient rapidement, tu étais extrêmement nerveux. Elle regardait le sol et commençait à dire n’importe quoi, du vrai n’importe quoi avant que tu ne comprennes qu’elle t’avait remplacé, cela fait deux soirées de suite qu’elle te trompe et ce, avec ton meilleur pote. Tu avais un verre à ta main et tu le serrais tellement fort en la regardant que tu avais failli l’éclater en mille morceaux. « Dégage… Je ne veux plus te voir… Dégage ! » Elle te tenait la main et essayait de te parler que tu t’étais relevé, tournant longuement autour avant de donner un violent coups de poings au mur. Elle fermait les yeux par peur de recevoir ton coup au visage et tu étais loin de lever la main sur elle, bien loin. « Tu sais quoi ? Tu me dégoûtes ! Dégage, je supporte plus voir ta gueule… Je te promets Rose que je n’ai qu’une envie de te fracasser là, alors dégage ! Ne m’approche plus jamais. » Tu criais un nouveau « dégage » en te retournant avant d’entendre la porte se fermer, tu posais ta tête contre le mur, inspirant fort, tu étais détruit, totalement détruit. La mort de ton frère, la perte de tes parents, la tromperie de ta copine… C’en était trop pour toi, passer d’une classe aisée à une classe assez moyenne te faisait tout simplement perdre la tête et tu n’arrivais plus à gérer tous ces problèmes.

Better Things are coming. ► Tu étais désormais seul, certes, tu avais un bon troupeau de potes, une orde de filles qui te courent après mais sans famille, tu te sentais minable, faible et surtout : Seul. Ta mère avait essayé de reprendre contact avec toi, elle t’avait laissé un mot près de la porte de ton Loft, des messages vocaux, des sms… Tu tenais trop à ta fierté et tu avais toujours cette haine qui te submergeait quand tu pensais à elle. Tu avais trouvé du réconfort auprès de ta tante qui a été d’un soutien sans fail que toi, elle a été d’accord sur plusieurs points mais a toujours essayé de te faire changer d’avis par rapport à tes parents. Têtu et borné comme tu es, il était impossible que tu changes d’avis, surtout après ce qu’ils t’ont fait subir, risquer de te laisser mourir dans la vie est la chose la plus inhumaine qu’on puisse faire à son enfant. Concernant ta vie, tu t’étais découverte une passion pour l’art, tu avais donc laissé tomber ton travail de barman pour devenir chanteur, un chanteur qui passait dans plusieurs bars laissant les autres sans voix. Tu profitais parfois des voyages que t’offrais ta tante pour t’arrêter dans les rues pour chanter ou dessiner, les gens s’arrêtaient et te contemplaient, il t’encourageait à continuer sur cette voix, tu étais pour une fois fier de ce que tu faisais et tu t’y sentais vraiment bien. Ta tante décidait de t’envoyer étudier à la prestigieuse école d’Harvard, elle t’avait accompagnée jusque là-bas, t’achetant un magnifique chez toi, tu avais replongé dans cette vie d’enfant gâté, mais ton caractère n’avait changé pour autant. Tu étais toujours aussi impulsif et légèrement méfiant, tu restais quand même quelqu’un de spontané et épanoui, très drôle et sensible, tu avais peut-être tes vingt respectives années physiquement mais tu n’étais qu’un simple petit gamin de quatre ans mentalement. C’est ainsi que tu entamais ta nouvelle vie, de l’argent, un petit travail qui ne faisait que te remonter le moral non pas pour te rapporter de l’argent, une maison de rêve. Tu étais en train de reconstruire ta vie, loin de tes parents, loin des problèmes, loin de Rose, loin de la tombe de ton petit frère.
The End
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WOOOOOOOOOOW !
On va avoir tous les 1D ici au plus grand bonheur d'nos p'tits yeux :sifle:

Bienvenuuue sur ILH hanwii
Bon courage pour ta fiche mon p'tit chat E. KENAËL HODSON ► zayn malik 2727399354
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ce zayn il est mignon quand même E. KENAËL HODSON ► zayn malik 4205929361
bienvenue parmi nous E. KENAËL HODSON ► zayn malik 2109348208
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bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche E. KENAËL HODSON ► zayn malik 2109348208 E. KENAËL HODSON ► zayn malik 3850463188
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BIENVENUE sur ILH.  E. KENAËL HODSON ► zayn malik 73120010 
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Zayn, le plus beau des 1D E. KENAËL HODSON ► zayn malik 4205929361 (le seul à mon goût aussi E. KENAËL HODSON ► zayn malik 1881463262)
Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche E. KENAËL HODSON ► zayn malik 3850463188
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Mercii les filles, vous êtes adorables  E. KENAËL HODSON ► zayn malik 3850463188 
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Bienvenue sur ILH  hanwii 
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BIENVENUUUUUE !! E. KENAËL HODSON ► zayn malik 3850463188 E. KENAËL HODSON ► zayn malik 2109348208 bon courage pour ta fiche :giggle:
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