James E. Castellano ► Wouter Peelen

C'est le 22 octobre 1992 à Orlando, que les membres de la famille Castellano m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) James Eneas. Je suis célibataire par choix... enfin presque. Et si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel mais je juge plus les gens par le contenu de leur tête que celui de leur pantalon. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d'Arts plastiques(Majeur) et de sport(Mineur) depuis 3 ans et on verra si je trouve de quoi m'occuper à côté. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Winthrop ou les Lowel.

James E. Castellano

Looks alot like Wouter Peelen

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Tutur ou Mess ou plein d'autres choses et j'ai 21 ans *met un hight five a son personnage*. Je suis Français et j'ai connu le forum grâce à google, car mine de rien vous êtes sur les premières pages ! Ce n'est pas mon style habituel mais j'ai décidé de me diversifié et votre forum semble actif – presque trop même ! - joli – ça c'est jamais trop – et plein de personnes intéressantes – ça aussi c'est rare qu'il y en ai trop - alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Wouter Peelen comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par par un photographe je suppose, si je retrouve les crédit je les mettrai. Je fais environ Xpuissance mon inspiration(en général les 3/4 page word en Time New Roman 11) mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Calypso C. Thomspers.

Mot de la fin ? ▲ Je suis très heureux d'avoir trouvé un personnage qui me convient dans les Scénario. J'avais quelques idées mais j'avoue préférer commencer avec quelques « connaissances ». J'espère vous plaire et réciproquement !
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
Il a relus environs 27 fois la -heureusement- courte liste des victimes, tentant vainement de garder son calme et de ne pas déchiqueter le journal entre ses doigts. Mais elle n'y était pas. Une fois passer les sueur froides, il se recomposa un visage -inutilement, étant seul- et il a continué de peindre.

Winthrop
James est un perfectionniste dans tout ce qu'il entreprend, la peinture, le sport, la séduction.
Même si pour lui ce dernier point tient plus du jeu que de la véritable conquête. Il aime plaire et fait en sorte d'être au possible au centre de l'attention, il n'est pas prêt a toutes les extrémités pour cela, ce n'est pas un clown, mais s'il voit une occasion de se mettre en avant, il n'hésitera probablement pas. S'il n'est pas un leader né, il a une présence indéniable et il sait plaire a ces dames - et parfois même a ces messieurs - même si son but n'est pas toujours de les emmener dans son lit. Il a des manières impeccables - la plupart du temps - et colle parfaitement avec l'image gentlemen des rouges. Même s'il a la fibre artistique, cela n'en fait pas un Lowel d'office : comme beaucoup le savent, les Winthrop ne sont pas des charmeurs sans cervelle, loin s'en faut ! Il aime se donner en spectacle et l'art est une très bonne façon de se mettre en valeur, ce n'est certes pas sa raison principale de s'y adonner, mais il le prend en compte, n'en doutez pas.

Lowel
Malgré sa vitrine de play-boy sportif, James reste un artiste, peintre, dessinateur et même sculpteur à ses heures, il est rare qu'il se balade sans un carnet et un crayon pour tracer quelques lignes suite à une inspiration soudaine. L'art lui permet d'extérioriser tout ce qu'il garde enfouit en lui pour sauver les apparences et -majoritairement- par habitude. Il pratique principalement l'abstrait, mais c'est un touche à tout. James s'y adonne a fond, comme il le fait en toute chose et possède une sensibilité étonnante dans ce domaine. S'il aime montrer la plupart de ses travaux aux autres et n'hésite pas à s'en vanter, la phase créatrice reste très privé et, pour ce qui est de ses projets personnels, il préfère en général travailler seul.

(Invité)

Du bout de l'ongle il décolle distraitement l'épaisse couche de peinture qui recouvre le bout de ses doigts.
Comme un chrysalide bleutée, l'acrylique se fendille doucement puis finit par tomber sur les cartons qui recouvrent le sol, écailles par écailles. Tout cela n'est qu'un geste inconscient et James ne se préoccupe pas une seule seconde des couleurs qui maculent ses mains, ses bras et même son visage et son torse pour quelques gouttes plus courageuses que les autres.
Son regard est braqué sur sa toile enfin achevée, mais il ne la voit pas, perdu bien plus loin...

Un geste, juste un geste, et tout peut changer.

Une vie c'est un tas d'événement clés reliés entre eux par des un tas bien plus gros de péripéties en tout genre. On se souvient bien plus souvent des conséquences que des événements en question, mais si on creuse un peu, on finit généralement par trouver le déclencheur probable et chaque série de causes et de conséquences.
Pourquoi est-ce que James a toujours voulu être le meilleur dans tout ce qu'il entreprend ? Pourquoi est ce qu'il cherche souvent à se mettre en avant ? Si on remonte le fil, on voit que ce n'est pas une simple ambition innée et sans jouer les Freud de comptoirs : Tout ça c'est encore un problème avec la mère... bon et le père aussi. Quand on est le seul garçon au milieu d'un groupement de soeurs ce n'est jamais tout rose (enfin, si, pour le papier peint) mais quand, en plus de cela, on a l'intime conviction - et entre nous pas tout à fait infondée - qu'on est le moins aimé du groupement en question... et bien disons que dans la tête d'un enfant c'est le genre d'instant clé qui provoque de sacrées péripéties.

James n'a jamais été le préféré et personne n'a vraiment pris soin de le lui cacher, mais il n'en a jamais voulu à ses parents... lui aussi il préférerait ses soeurs. Enfin, sa soeur ; les grandes, au début, il était leur nounours, après, il était leur larbin, au final, il n'était qu'un poids mort. Alors qu'Ambre, il était son héros. Ils n'avaient que deux ans d'écart - rien du tout comparé à la plus jeune de ses grandes soeurs qui avait cinq ans de plus ! Le jeune garçon empêchait les autres enfants de l'embêter à l'école, il l'intégrait à son groupe d'amis. C'était sa confidente, sa meilleure amie, la seule qui le comprenait... bien mieux que lui-même à l'époque. Bien mieux qu'il ne se comprend aujourd'hui.

Il y a de magnifiques instants clés.
La première fois dans une galerie d'art. Il avait 12 ans, ce jour-là, il est tombé amoureux avec la peinture. C'était l'exposition un petit artiste local et sa prof d'Art Plastiques de l'époque voulait faire un cours sur l'abstrait. Devant lui, des toiles gigantesques, couvertes de formes et de couleurs que son esprit pouvait modifier de mille et une façons à travers le kaléidoscope de sa vision encore enfantine. L'artiste avait remarqué son regard, il aurait pu se dire que ce n'était qu'un gamin aux yeux ébahit, mais non, il est venu le voir, il lui a parlé, il lui a fait toucher les tableaux, les reliefs doux des strates de peintures qui dessinent autre chose encore.
Il s'était mis à peindre peu de temps après. Ce fut une des rares choses qu'approuva son père à son sujet. Lui qui se vantait sans cesse de ses origines espagnoles, de ses racines qui plongeaient dans la même terre que certains de plus grand artistes de la renaissance, avoir un fils qui « reprenait le flambeau » était une fierté.
Suivirent trois années parfaites.

Il devenait doucement populaire à mesure qu'il grandissait et révélait des compétences sportives tout à fait honorable, nageur émérite et joueur de football reconnu dans son collège à la position de Linebacker central. C'était pour lui un défouloirs bienvenue qui, avec la peinture, l'aidait à se débarrasser de ses pressions mentales et physiques. Il trouvait dans l'équipe une autre famille plus proche, dans laquelle il comptait autant que les autres.

Mais il est aussi d'horribles instants clés.
Une forme pâle sur un lit d'hôpital, des tubes, des poches, des câbles. Un sourire crispé sur une peau presque transparente. Ambre a toujours été fragile, c'était comme un petit ange qu'on devait protéger, mais toujours souriante, toujours joyeuse : elle était le rayon de soleil de toute la famille... mais le sien, surtout le sien. Des mois de souffrances, pour elle surtout, mais pour lui aussi, la voir dans cet état, chaque jour un peu plus faible, chaque jour un peu plus distante.

Il n'a pas eu besoin de l'entendre, il a vu les yeux de son père après qu'il ait pris le coup de téléphone, il a compris. Il avait 15 ans depuis deux mois et, ce jour-là, une partie de son enfance est morte avec sa petite soeur.
C'est amusant comme le cancer est dédramatisé quand son père et sa mère y ont tout deux survécus. Pour lui, c'était presque devenue une maladie « normale » ou, du mois, à laquelle on était censé survivre.

James passa les six mois les plus longs de sa vie.
Une seule chose l'empêcha de sombrer dans la détresse absolue : une lettre de sa soeur. Écrite de la main tremblante d'une malade, elle en avait rédigé une pour chaque membre de la famille, sans rien leur dire. Même si ses parents, ses trois soeurs et son frère ne pouvaient pas l'accepter, elle oui, Ambre avait senti la fin venir. C'était une lettre d'espoir, de joie, il étendait presque sa voix en la lisant. Pas celle, brisée, de cette forme pâle dans un lit d'hôpital, non, celle de sa soeur.
Ce morceau de papier est l'une des choses la plus précieuse que James possède.

Il partit a Miami, avec ses soeurs, elle pour travailler, lui pour le lycée. Pas si loin de chez lui, mais assez loin pour ne plus la revoir dans chaque rue. Là-bas, football devint un défouloir à sa colère, l'art l'exutoire de sa détresse.

Puis il y eut encore un bon moment clés, comme si après avoir manqué de se noyer il avait réussi à mettre un bon coup de pied au fond pour reprendre une goulée d'air.
Elle s'appelait Calypso.

Entre eux c'était beau, magnifique... apocalyptique.
C'était comme rencontré un autre soi-même. Mais avec des yeux où se noyer. Il l'aima, follement, elle arrivait à suivre ses pensées, il arrivait à finir ses phrases.
Pendant trois ans il respira librement... Puis vient la quatrième année.

Leur relation commençait à patiner, ils n'avaient plus rien à se dire, ou plus envie de se parler. C'était comme une bougie consumée au chalumeau, le jeune homme sentait les liens entre eux disparaître doucement. Ils étaient semblables, mais comme sont semblables deux mêmes polarités. James sentant qu'il la perdait, cela le rongeait, il devenait de plus en plus impulsif, jaloux, possessif. Les nerf a fleur de peau.
Et un jour...

Un geste, juste un geste, et tout peut changer.

Une main qui se lève. La sienne à lui. Qui retombe sur une joue. La sienne à elle.
James n'a jamais été un poids plume, il la voit tituber de deux pas en arrière sous l'impact, il sent la chaleur sur sa paume. Mais la colère est trop forte, les traits crispés comme un masque de fureur il sent ses doigts se refermer en un poing compact, il avance vers cette personne qu'il aime et qu'il déteste tellement en cet instant.

Un pinceau se brise.
James desserre difficilement le poing, il regarde le fin morceau de bois au centre de sa paume, cassé en deux net. Au moins il ne s'est pas bêtement ouvert. Il laisse tomber l'instrument inutilisable dont les morceaux tombent sur le carton avec un brus mat. Il le sait, penser à tout ça ne sert a rien, mais, dans son autre main, il y a sa lettre d'acceptation à Harvard, transfère direct en troisième année. Comment ne pas penser à elle.
Un sourire amusé se dessine sur ses lèvres.
Amusé de sa propre bêtise.

« Et voilà qu'Ulysse reprend la mer pour retrouver Calypso... c'est Pénélope qui va l'avoir mauvaise. »

The End

(Invité)

14/05/2012

Le scénario de notre Caly James E. Castellano ► Wouter Peelen 3850463188

Super choix James E. Castellano ► Wouter Peelen 3997999705

Bienvenue sur le forum !

(Jasper O. Ellington)

deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa

BIENVENUUUE ! :hanwi; amuse-toi bien parmi nous James E. Castellano ► Wouter Peelen 3997999705

James E. Castellano ► Wouter Peelen 2511619667

(Invité)

bienvenue sur ilh

(Invité)

Bienvenue sur ILH James E. Castellano ► Wouter Peelen 3850463188

Tu ne regretteras pas ton choix, ce forum est vraiment au top James E. Castellano ► Wouter Peelen 1001568715

Amuse toi bien parmi nous :happy:

(Invité)

Bienvenue sur le foruuum James E. Castellano ► Wouter Peelen 3850463188

(Invité)

Bienvenue

(Invité)

coucou toi James E. Castellano ► Wouter Peelen 152426858

j'le redis ici mais meeeerci hanwii

:love2:

James E. Castellano ► Wouter Peelen 3338944726

j'viens de lire ta fiche, je sais pas si tu as terminé ou pas, mais pour l'instant pour moi c'est super, j'aime trop comment tu écris James E. Castellano ► Wouter Peelen 3850463188

en tout cas bienvenue James E. Castellano ► Wouter Peelen 2474380249

(Invité)

Oh god

Tu écris super bien James E. Castellano ► Wouter Peelen 3850463188

J'ai même pas pu m'empêcher de lire ta fiche James E. Castellano ► Wouter Peelen 1881463262

En tout cas, très bon choix de scénario et bienvenue parmi nous, j'espère que tu te plairas sur le forum hanwii

(Invité)

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