Don't touch me PV Enzio

Enzita

Depuis que tu savais qu'il ne te restais plus longtemps à marcher sur cette Terre que tu avais parfois tant détestée, tu ne sortais pratiquement plus. Recluse sur toi même, c'était un peu ce que tu étais devenue, au lieu de profiter de tes derniers instants tu n'avais plus envie de rien et surtout tu n'avais mis au courant qu'une seule personne qui serait le plus à même de te conseiller. Ce qui te faisait le plus mal était de savoir, que tu devrais finir ta vie mariée à un homme qui te détestait tout simplement parce qu'il ne comprenait pas la fille brisée que tu étais derrière tes airs de peste. En ce moment ton esprit était vraiment ailleurs, comment penser à autre chose alors que tes jours étaient comptés. Donc pour éviter toute question de la part des tes amies sur ton visage triste, tu te réfugiais dans ta chambre à la fin des cours. Ce soir tu avais fini tard d'ailleurs, parce que tu avais veillés à la bibliothèque pour effectuer quelques révisions. C'est sur le coup de vingt heures que tu décidais de rentrer à la résidence des cabots. Fouillant dans ton sac, tu t'apercevais très vite que tu avais oubliée tes clés. Toquant à la porte espérant que Thalia se trouverait là, ta déception fut immense alors que la porte restait fermé. Tu fulminais, bonne à dormir dehors! Il en était hors de question, un lit pour dormir c'est sacré. Débarquée chez Lily, impossible avec son copain idiot, Jezobel sûrement pas elle devait être à une soirée. Exploitant toutes les possibilités, il n'en restait finalement qu'une que tu aurais préféré éviter: Enzio. Trainant des pieds, tu sortais de la Cabot house pour filer tout droit vers la Eliot. Son regard noir quand il te verrait débarqué te venait déjà l'esprit. Devant la porte, t'étais même prête à rebrousser chemin mais ce soir il était le seul sur qui tu pouvais compter. Finalement ton poing frappait contre la porte. Horrible soirée en perspective...

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Invité)

Vendredi. La dernière journée de la semaine avant un court week-end qui s'annonçait reposant et sans soucie. A chaque fois que nous étions ce jour de la semaine, j'étais excité toute la journée, attendant patiemment que la journée se termine afin de rejoindre mon lit. D'autant plus qu'Owen se soir avait mit les voiles je ne sais où et que j'avais donc mon grand lit pour moi et une bonne grasse matinée en vue. Owen avait l'habitude de mettre son réveille sur son portable et d'oublier de l'éteindre le samedi matin, ce qui m'avait donné envie de le tuer un bon nombre de fois. J'étais donc dans ma chambre, entrain de finir mon devoir que je devais rendre dans les prochaines semaines, quand l'idée de prendre une douche me vint à l'esprit. J'avais transpirer toute la journée et l'idée de me coucher tout crasseux ne ma plaisait guère. Enlevant mon pull qui montrait mon torse fin et mes quelques abdominaux que j'avais réussis à sculpter. Oui ce fut autour de mon pantalon et enfin mon boxer. J'ouvris le robinet et laissa alors mes muscles se détendre sous l'eau chaude. Une brume épaisse et blanche s'empara alors de toute la pièce. J'étais tellement bien là, sous cette eau qui me semblait protectrice, me protégeant et me réchauffant. C'est avec amertume qu'après m'être lavé, je daignais quitter cette chaleur. Je me rhabillais de mon boxer en sentant que je n'allais pas tarder à rejoindre les bras de Morphée quand on toqua à la porte. Je passais une main dans mes cheveux mouillés en réfléchissant à qui cela pouvait bien être. Peut être étais-ce Owen ? Il avait surement oublié sa boîte de préservatif ou je ne sais quoi. Posant ma main sur la poignet de la porte, j'ouvris rapidement en pensant tomber sur un mec de taille moyenne avec de grand yeux bleu. A la place, c'est une petite femme aux grands yeux bruns que je découvris. Zita ? Mon visage ne pouvait gâcher ma surprise de la voir. Posant mes yeux sur ma tenue, je soupirais en sentant déjà ses remarques. « Je suis presque nue, ferme les yeux. J'ai pas envie d'entendre une autre de tes crises. » Dis-je. Je me demandais bien ce qu'elle voulait, mais une chose était sûr, j'avais envie qu'elle fasse vite pour que je rejoindre enfin mon lit moelleux.

Enzita

Tu savais d'avance qu'il allait mal t'accueillir c'était certain. Après tout tu le méritais vu comment tu lui en faisait voir de toutes les couleurs pour te protéger de cet homme qui deviendrait ton mari pour quelques mois si tu ne dépéris d'ici là. Peut être d'ailleurs que c'était Dieu qui te punissais après tous tes méfaits envers ce mari que tu n'acceptais et pour ne pas vouloir t'unir, il avait décidé de t'ôter la vie. Des questions qui resteraient sans réponse. La seule chose que tu voulais savoir ce soir c'est trouver un lit pour tomber dans les bras de Morphée enfin là du coup ce serait plus les bras d'Enzio mais tu ne le permettrais pas s'il acceptait de t'héberger. Il pouvait pas dire non, tu étais sa femme après tout. Enfin le jeune homme daigna ouvrir la porte, et tes yeux se posèrent un bref instant sur son corps presque mis à nu avant que tu ne baisses le regard vers le sol et non sur son appareil, autant éviter de tomber dans les pommes et de passer par la case hôpital. Il en était hors de question." Je suis presque nue, ferme les yeux. J'ai pas envie d'entendre une autre de tes crises. " Il avait deviné quelle serait ta réaction, c'est évident au vu du dernier épisode du spring break qui avait plus que refroidit votre relation quasi inexistante." Tu crois que c'est pas déjà ce que je fais. " L'annonce de ta mort imminente n'avait en rien changé ton caractère de chien au contraire, cela l'avait même accentué, une manière de te rebeller contre ta destinée, tu préférais partir de ce monde en laissant la vraie image de toi et non celle d'une fille qui va laver ses péchés avant de s'évaporer. Tu te faufilais dans sa chambre, gardant toujours ton regard pointé sur le sol et en essayant d'être le moins près possible de lui pour passer la porte. Arrivée dans la pièce, tu prenais du bout des doigts un T-shirt qui traînait sur son lit et le jeter en arrière en sa direction." Tiens habilles toi. Bon si je suis là c'est pas parce que ça me fait plaisir mais je t'empruntes ton lit ce soir. " Il ne pouvait pas te jeter dehors et prendre le risque de briser votre couverture de votre couple en pleine idylle amoureuse.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Invité)

Son regard baissa immédiatement en voyant ma tenue, à croire que mon corps était une calomnie alors que j'étais fais comme tout le monde, du moins comme tout les hommes. " Tu crois que c'est pas déjà ce que je fais. " Serrant les poings, je me retenais de ne pas pousser une gueulante face à cette attitude qui m'exaspérais plus qu'autre chose. Mais étant donné que j'allais certainement me coucher dans les minutes à venir, j'évitais tout excitant. Demain, j'avais encore du boulot, pas de place pour la fatigue. « Bon. Qu'est-ce que.. » Commençais-je à dire alors que la jolie Cabot se faufilait dans ma chambre l'air de rien. Je ne l'avais même pas invité à prendre place qu'elle s'incrustait, me donnant même l'un de mes tee-shirt pour me rhabiller. Passant l'une de mes mains au niveau de mon cou puisque les muscles de celui-ci me tiraillaient, j'écarquillais brusquement les yeux en écoutant la fin de sa phrase. Emprunter ? Mon lit ? Je fronçais les sourcils, montrant ainsi mon mécontentement. « Mon avis, il compte ou .. ? » Dis-je en reposant mon vêtement sur le lit. Je n'avais aucune envie de m'habiller, surtout que j'avais l'habitude de dormir ainsi. « Je pense que tu devrai te trouver un autre endroit pour dormir Zita. Tu sais très bien que ni l'un, ni l'autre à envie qu'on dorme ensemble. Et puis, je bouge la nuit, tu vas te retrouver au tapis. » Dis-je en tentent de la dissuader afin qu'elle mette les voiles, et me laisse seul en tête à tête avec mon lit. Oui, mon merveilleux lit, moelleux et si confortable que j'avais du mal à le quitter le matin. Et même si son parfum féminin et sa silhouette de femme était le bienvenue dans ma chambre de mec, son caractère l'étais moins. « Si tu veux vraiment dormir ici, je ne ferai pas de quartier. Je dors dans mon lit et en boxeur. Que ça te plaise ou non. » Dis-je en hochant la tête, histoire de mettre les choses au point dès le départ.

Enzita

Il faut parfois faire des sacrifices dans la vie et c'est exactement ce que tu faisais en cet instant en mettant ta fierté de côté après avoir frappé à la porte de ton fiancé, l'un des rares hommes en ce monde avec qui tu avais un peu de conversation quand bien même elles étaient pour la plupart du temps houleuses sauf en public où vous faisiez bonne figure. L'accueil avait été glacial bien évidemment, tu l'embêtais comme toujours mais il ne pouvez pas te laisser sur le palier avec nul part où dormir c'est pas comme ça qu'on traite sa future femme. Le silence régna quelques secondes après que tu lui aies dit ta bonne nouvelle comme quoi il aurait la lourde tâche de te supporter cette nuit." Mon avis, il compte ou .. ? " Te retournant, tu pensais qu'il s'était habillé mais non, il était toujours en simple boxer. Tu soupirais face à cela, il doit avoir des tendances naturistes. Il était sur le point de te foutre à la porte et tu écarquillais les yeux." J'ai nul part d'autre où dormir, tu vas pas me laisser dehors. Et on passera très bien pour un vrai couple si quelqu'un me voit passer la nuit ici. " L'excuse de votre faux couple était ta seule arme et il ne pouvait le nier, c'est bien pour ça que tu lui rappelais, il ne pouvait rien dire contre cela et tu en jouais." Si tu veux vraiment dormir ici, je ne ferai pas de quartier. Je dors dans mon lit et en boxeur. Que ça te plaise ou non. " Les bras sur la poitrine, tu te demandais bien si tu allais pourvoir affronter cela, son corps nu si proche du tien, jamais cela ne te serait venu à l'idée. Le laisser t'approcher c'est comme si tu le laissais gagner." Je te croyais plus gentleman que ça, tu pourrais m'offrir mon lit pour la nuit et dormir sur ta chaise ou un fauteuil. " Tu tentais le tout pour le tout en remettant ses valeurs en question. Peut être allait-il lâcher le morceau et t'offrir ce que tu voulais, à savoir t'étendre dans son lit et le plus loin possible de sa personne.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Invité)

Je l'a regardais avec un air ahurit plaqué sur le visage. Le pire c'est qu'elle utilisait notre mariage pour excuser son comportement et surtout sa nuit passé dans MON lit. Je n'avais vraiment pas envie de la supporter ce soir là, disons que je n'étais pas de bonne humeur, ou disons plus du tout. Je réfléchissais à un moyen de l'a faire coucher ailleurs après tout, je n'avais pas envie d'être frustré même dans mon lit, le seul lieu après les toilettes où j'étais tranquille. " J'ai nul part d'autre où dormir, tu vas pas me laisser dehors. Et on passera très bien pour un vrai couple si quelqu'un me voit passer la nuit ici. " Je soupirais en tentant de ne pas m'énerver. Chose très difficile. « T'aurais pensé à un hôtel, non ? » Demandais-je avec froideur faisant ressortir mon caractère des plus chiant. Je ne pouvais concevoir de me marier dans deux mois, de devoir partager mon lit et de devoir garder le sourire en même temps. " Je te croyais plus gentleman que ça, tu pourrais m'offrir mon lit pour la nuit et dormir sur ta chaise ou un fauteuil. " Dit-elle, visiblement frustré que je sois sous les draps en sa compagnie. Je n'allais tout de même pas rester à dormir sur un canapé ou un fauteuil le restant de mes jours. « Faudra t'habituer avec le temps. Commence dès maintenant ou sinon, tu peux mettre les voiles. Je suis fatigué et je vais certainement dormir dans mon lit, gentleman ou pas. » Dis-je sur un ton qui se voulait franc. Passant une main sur mon visage, je ne voulais pas parler une minute de plus avec une femme aussi têtue qu'elle, une des raisons pour laquelle, je ne prenais pas de gant et allait barrer ma porte de chambre pour par la suite me faufiler dans mon lit. « J'espère que tu ronfle pas la nuit. » Dis-je en me calant dans mes draps froids et en me lovant contre le matelas confortable. « Fait vite qu'on éteigne la lumière. » Dis-je en râlant une fois encore.

Enzita

" T'aurais pensé à un hôtel, non ? " Tu osais les épaules à sa remarque. En fait tu n'y avais pas pensé pour la simple et bonne raison que tu ne voulais pas te retrouver seule ces derniers temps. Il ne te restait plus que quelques mois à vivre autant ne pas les finir plongée dans la solitude. Tu étais surprise qu'Enzio ne te mette pas à la porte car il en avait tous les droits à cause de ton comportement mais visiblement il arrivait encore à te supporter plus pour très longtemps de toute manière. Tu te demandais comment il faisait pour encaisser toutes tes remarques cinglantes, c'était bien le seul qui restait encore à peu près courtois à chaque fois que tes airs de bitch faisait leur apparition, c'est à dire tout le temps. Tu tentais par tous les moyens de garder le lit pour toi toute seule mais rien qu'à son regard tu comprenais qu'il ne lâcherait pas." Faudra t'habituer avec le temps. Commence dès maintenant ou sinon, tu peux mettre les voiles. Je suis fatigué et je vais certainement dormir dans mon lit, gentleman ou pas. " Tu laissais échapper un petit grognement d'insatisfaction, tu détestais qu'on ne cède pas aux moindres de tes caprices, ce n'était pas une chose dont tu avais l'habitude." J'espère que tu ronfle pas la nuit. " Tu le fusillais du regard, perplexe." Tu me prends pour qui ? " Tu le vis s'installer sous les draps et à cet instant ton sang se glaça alors qu'il t'ordonnait de te dépêcher." Tu permets que je prenne une douche et que je me démaquille. " Tu allais donc faire tes affaires dans la salle de bain ou bien évidemment tu ne trouvais aucuns produits féminins bon au moins cela signifiait qu'il n'invitait pas de filles ici. Sous la douche, tu te demandais comment tu allais faire pour passer cette nuit qui s'annonçait infernale pour toi. Tu troquais ta tenue à 2000$ contre un de ses T-shirts que tu avais trouvé soigneusement plié dans la salle de bain et te forcer à l'enfiler alors qu'il portait son odeur, bon elle était plutôt agréable encore heureux. De retour dans la chambre tu expliquais ton geste " J'allais pas froisser ma robe. " T'approchant à pas de loups près du lit, tu pris énormément sur toi, marmonnant même une prière, avant de te glisser dedans." Ne t'avises pas d'avoir les mains baladeuses ! "

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Invité)

(Contenu sponsorisé)