Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(+ Eugene) You have that kind of medicine I need.
Le Deal du moment : -67%
Carte Fnac+ à 4,99€ au lieu de 14,99€ ...
Voir le deal
4.99 €


(+ Eugene) You have that kind of medicine I need.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Tu étais assis à une table à pique-nique, près du parking d'Harvard, le regard perdu, les mains tremblantes… Une partie de toi voulait fuir, voulait partir pendant qu'il en était encore temps, tandis que dans l'autre sens, tu avais cet orgueil mal placé… Tu ne voulais pas échouer. Pas maintenant, pas si près du but. Tu n'étais plus qu'à quelques semaines de la remise de ta thèse et tu ne voulais absolument pas la remettre en retard. Seulement, le corps et l'esprit n'y étaient plus. Tu n'arrivais pas à être aussi productif que désiré, tu n'arrivais pas à être aussi assidu que tu l'aurais souhaité… C'est donc avec une pointe de regret, mais une détermination de fer que tu avais contacté Eugène, une connaissance de longue date de la Mather House. En septembre, tu l'avais rencontré puisqu'il s'était porté volontaire pour répondre à ton gros questionnaire. Depuis ce temps, vous échangiez souvent des textos… Ce n'était pas un ami proprement dit, mais tu pouvais quand même compter sur lui au moment venu. C'est donc un peu gêné que tu lui avais demandé s'il ne pouvait pas te procurer, te vendre des stimulants. Pas nécessairement la dose la plus forte ou le truc le plus nocif, mais juste de quoi te faire tenir plus longtemps… Vous vous étiez donc donné rendez-vous vers les 13h à une table plutôt à l'écart du reste des gens. Tu n'avais pas envie qu'on te voit en train de dealer ou quoi que ce soit… Des plans pour que ça ternisse ta réputation… Quoi qu'automatiquement en prenant des pilules, tu la ternies toi-même. Tu entrecroisas tes doigts, commençant à secouer nerveusement tes jambes. Tu n'étais vraiment pas dans ta zone de confort, mais tu ne voulais pas avoir la honte de recevoir ton diplôme en retard. Jamais. Tu n'accepterais pas ça… Tu essayas de te calmer en attendant l'arriver du jeune homme. Il n'était pas tout à fait treize heure, donc il avait encore le temps…
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ne pas le contrarier. Surtout ne pas le contrarier. Pourquoi les magasins de luxe de la ville ne s'étaient-ils pas passé le mot ? Ils savent bien qu'il ne faut pas contrarier Eugene lorsque ce dernier est de passage dans leurs rayons, alors tant pis pour la jeune vendeuse en herbe. « Ça ? Du coton égyptien ? Je le sens d'ici que ça été fabriqué chez les bridés, alors vous foutez pas de moi, vous les cachez où vos articles pour les vrais riches ? » aboya le garçon, en agitant dans tous les sens ce pauvre polo certifié coton égyptien, manquant à chaque geste de lui mettre dans la figure. Le magasin entier semblait contenir sa respiration, espérant échapper au courroux du bel allemand. Un sms vint replonger le magasin dans un semblant d'activité. Le garçon se saisit de son blackberry et nargua la terre entière avec un sourire dont lui seul avait le secret. Il reprit toute attention envers la vendeuse avant de lui jeter son bout de tissu au visage. « Je repasserai quand vous aurez retenu l'odeur de ce tissu de gueux, et on verra si y'en a pas du tissu égyptien ici » conclut-il en tournant les talons, sortant fièrement de l'enseigne qui venait de connaître sa troisième crise de nerf gégènesque. Tout passa très vite, entre le moment où Eugene se rendit chez son larbin, sa séance bisous avec Jack et son itinéraire vers le Yard. Là, son éternel sourire ravageur s'afficha automatiquement lorsqu'il posa les yeux sur Charlie. Il se trouva très vite à sa hauteur. « Dis moi que tu n'es pas totalement convaincu par cette idée, il est pas trop tard, et je te trouverai pas moins craquant, hein » déclara le garçon, en essayant d'exprimer à sa manière, de façon bien cachée par multiples sarcasmes et douces paroles, son inquiétude.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Tu étais toujours là, à cette table à pique-nique, commençant à trouver le temps plutôt long. Si Eugène était arrivé à la seconde où tu avais posé les pieds au lieu du rendez-vous, la « transaction » aurait sans doute été faite et tu n'aurais pas pu retourner en arrière. Comme on dit, c'est toujours le premier pas qui est difficile. Et c'est peut-être aussi parce que tu sais que dans ce que tu t'apprêtes à faire, il y a quelque chose de... mal. Tu pris une très grande inspiration et étrangement, la tension retomba lorsque tu vis ton ami arriver. Il s'installa près de toi et tout de suite, il prit la parole. Tu devais t'y en attendre, non ? « Dis moi que tu n'es pas totalement convaincu par cette idée, il est pas trop tard, et je te trouverai pas moins craquant, hein » Les mots qu'il employaient était bien choisis, mais le message était clair et facile à décrypter : « Arrête tes conneries, tu n'as pas besoin de ça. Ce n'est pas un bonne idée. » Tu pris une nouvelle inspiration avant de timidement plonger ton regard dans le sien. Tu lui offris un sourire gêné, honteux sans doute. Tu cherchas tes mots un bref instant et, après avoir humecté tes lèvres, tu pris la parole. « J'y ai bien penser et... » Pause. « Je ne sais pas comment je pourrais réussir autrement... Ça va juste me donner un coup de pouce, je pense. » Un sourire effacé se dessina sur les traits de ton visage. Tu n'avais pourtant pas besoin de te justifier auprès d'Eugene, or tu avais l'impression que tu le devais. Tu te redressas, mettant ton dos droit et regardant finalement au loin. Après quelques minutes, tu regarda à nouveau ton ami assis près de toi. « Sinon... Tu vas bien, toi ? » Bah quoi ? Il était peut-être là pour te vendre quelque chose, mais ça n'empêchait pas que tu te demandais ce qu'il devenait...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si on lui avait un jour dit que Charlie viendrait à lui pour essayer de choper quelques substances que ce soit afin de se sentir plus à l'aise dans ses pompes, gégène ne l'aurait jamais cru. C'est vrai ça, Charlie était le synonyme même du type parfait, qui ne faisait aucun écart, toujours très consciencieux. Du moins, on l'a toujours dépeint de la sorte, puis le fait même qu'il n'ait jamais tenté quoi que ce soit avec sa grande personne prouvait déjà que ce mec là était un bon. Et le voilà devant lui, demandant de l'aide. Ce serait des conseils qu'il rechercherait, Eugene aurait été encore plus enclin à l'aider, et surtout il n'aurait pu s'empêcher d'étaler sa politique de rigueur en terme de relations. Mais là, c'était une demande beaucoup moins charmante, qui venait briser l'admiration d'Eugene. « J't'en prie, t'es le seul gars qui a réussi à atteindre sa dernière année en sexologie ou sociologie, appelle ça comme tu veux, suffit que tu révises un peu et hop, c'est dans la poche nan ? » demanda-t-il en s'installant en face de lui, afin d'avoir réellement l'impression d'avoir une conversation amicale. Il est vrai qu'Eugene ne l'était que très rarement, mais il s'agissait de sauver un gentleman de la fourberie, et le jeune allemand s'était toujours fait un devoirs de protéger les gentlemen de la décadence, sauf s'il fallait les briser pour mieux régner. Mais alors qu'il réfléchissait encore quels leviers actionnés pour faire réfléchir le grand gaillard qui lui faisait face, on lui demanda s'il allait bien. Etait-ce vraiment ce genre de questions qu'il fallait poser à quelqu'un d'aussi autocentré ? Bref. « Moi je vais bien, les cours se passent, les notes suivent plus ou moins biens, et j'essaie de ne pas trouver Jack de moins en moins sexy » répondit-il en une seule phrase, sortant l'éternel baratin qu'il sortait à n'importe qui d'autre. La vérité était qu'il était inquiet pour son année, sans s'en rendre malade, et qu'il fallait absolument qu'il se bonifie en positionnant Jack comme élément perturbateur. Personne ne le croirait méchant s'il en faisait des éloges, pas vrai ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


C'était insensé. Tout simplement insensé et pourtant, c'était la seule solution logique que tu voyais. Ça t'arrivait quelques fois de regarder les gens, de les analyser. Et étrangement, tu avais fini par conclure que ceux qui prennent de la drogue modérément ont un meilleur rendement que ceux qui n'en prennent pas. À condition bien certainement de ne jamais tomber dans l'excès. Sinon, c'est toute la différence qui se produit. Tu pris une grande inspiration, face à Eugène qui semblait tellement incrédule face à ta requête. Tu étais pourtant sérieux. Tu avais envie d'essayer cette option, de voir jusqu'à où les effets bénéfiques ou quoi pourraient aller. Si ce genre de drogue se vend et se consomme, c'est sûrement parce qu'elle peut avoir de bons effets si on en use à bon escient, non ? « J't'en prie, t'es le seul gars qui a réussi à atteindre sa dernière année en sexologie ou sociologie, appelle ça comme tu veux, suffit que tu révises un peu et hop, c'est dans la poche nan ? » Tu secouas la tête un peu trop énergiquement, plaquant tes deux mains sur la table en bois. « C'est pas facile comme ça. C'est pas... Aussi simple que vous pouvez le penser. On ne claque pas des doigts et pouff, on a sa thèse toute bien écrite et prête à être présentée ! » Tu avais craché ces mots comme si tu en voulais personnellement à Gégène d'avoir cru que c'était facile. Tu le mettais dans le même bateau que tout ceux qui t'avaient dit que c'était " facile "... Tu te mordis les lèvres quelques fois avant de reprendre, plus calmement cette fois. « Je n'ai même pas la moitié de ma thèse d’écrit. J'ai à peine le sujet principal. J'ai... J'ai rien, en fait. Que des ébauches. Pleins d'ébauches par-ci par-là. C'est bidon. Et j'ai besoin de temps... Ou d'un stimulant. » Voilà, tu parlais déjà comme un drogué. Bravo Charlie... Après quoi tu finis par changer complètement de sujet en demandant comme le Mather allait. Ça t'intéressait vraiment au fond et... On ne pourrait jamais te changer; tu as toujours préféré te renseigner sur les autres, les aider en cas de besoin, que de bosser sur toi-même ou sur tes études... « Moi je vais bien, les cours se passent, les notes suivent plus ou moins biens, et j'essaie de ne pas trouver Jack de moins en moins sexy » Tu souris et haussa les épaules. Jack. « Jack et toi ? Vous êtes... ensemble ou ? » Jack était un ex. Un ex de longue date qui était malgré tout resté un ami... Étrange, quand même, comment le campus peut être petit ! ~
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il était clair qu'Eugene préférait faire abstraction de toute existence de difficulté afin de booster au maximum le grand brun. Il n'était pas vraiment très amical comme garçon, il aimait limite que les autres se ramassent à leurs exams, mais pour Charlie, ça le gênait oui. Alors lorsque ce dernier adopta un discours assez défaitiste, le jeune allemand ne sut quoi répondre. Il est vrai qu'Eugene avait essayé d'arranger cette même situation en couchant avec son prof, sauf que l'histoire avait été ébruité et les deux virés. « J'vais me garder de te donner des conseils trop personnels, quand je vois comment ça a bien marché pour moi » ironisa-t-il en repensant à l'insupportable année passée en Allemagne. Charlie entra dans les détails. Sa thèse pas franchement construite, le vide d'idées, pas avec ça qu'il pouvait rédiger quoi que ce soit de potable oui. Néanmoins, y'avait une chose qu'Eugene ne comprenait pas, ce qu'il confia directement. « J'peux pas croire qu'on a pas d'idées quand il s'agit d'une thèse sur le sexe. Perso, j'en écrirai des centaines vu ce que j'ai vu et vécu, et y'a de quoi impressionner tout un jury ! T'as la chance de pouvoir parler de cul, merde je tuerai pour pouvoir placer les mots "rapport sexuel" et "orgasme" dans un examen de neurosciences ! Si jamais t'as besoin d'un cobaye, Gegen est pas très loin ! » s'esclaffa-t-il, en essayant de stimuler la bonne humeur de son camarade. Il était néanmoins venu pour lui donner ses pilules, alors il glissa sa main dans sa poche et ressortit un pochon avec un vingtaine de petites gélules. « Evidemment, abuse-en pas, ça peut être dangereux ces trucs-là ». Puis fallait causer de son couple avec Jack, que c'était passionnant ! « Ouaip, ça va faire quelques mois maintenant. Mais, pour tout te dire, ça me paraît trop sérieux, tu vois ? J'veux du sérieux certes, mais là c'est limite si je crains une demande en mariage » commenta-t-il sur sa vie privée. Il se garda de dire que niveau sexe, par contre, c'était grandiose.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)