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JB - je suis l'as de trèfle qui pique ton coeur

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je suis l'as de trèfle qui pique ton coeur

JB - je suis l'as de trèfle qui pique ton coeur Source

Beauté, les mecs ce sont des salauds et tu le sais. Pourquoi t'espères ? Tous les mêmes, tous à te baratiner, tous à te mener en barque. Sérieux, il t'offre une croisière, les pleurs, les désespoirs comme-ci ce n'était pas tout. Il te mène en bateau ! Et tu ris, non sérieux, alloallo, conscience à bord recherche une Helena prête à s'amuser, prête à se la jouer 'garce'. Elle rigole. Jour de pause aujourd'hui. Elle danse, elle danse comme jamais. Plus le temps d'apitoyer sur son sort. plus de temps pour penser à son ex, à ses histoires en tout genre. Seulement le temps de se dire qu'il faut un nouveau départ. Tu penses à ça chérie...tu profites. L'ambiance est bonne. Lord Hobo. Tellement de souvenirs, ce n'est plus que du passé. Elle va demander au barman dans sa petite jupe moulante...une pina colata s'il...Ses lèvres se bloquent, ô oui...Elle vient de le voir, là, son mec. Elle a le sourire qui lui monte aux lèvres, ses derniers jours, elle arrive à rire. Lena se racle la gorge, elle se prépare à l'affronter, elle sort son petit poudrier, regarde à travers le miroir...t'es belle tellement surnaturelle ça fout la haine...Elle se mord les lèvres, hop...Helena est prête, elle s'avance légèrement en bloquant son cocktail entre ses doigts, elle avale une légère gorgée. Elle s'avance vers lui, lui tapote les fesses légèrement et quand il se retourne...Il laisse place à une autre gonzesse..Lena la regarde de haut en bat, elle se cure les dents supérieures avec sa langue...Il la draguait, c'est ça ?...Il LA DRAGUAIT !!... Elle pousse la fille en question...va mordre ailleurs pétasse...Les crocs et tout. Elle se retourne vers lui et le gifle, ...t'es qu'un sale con JB...Et bah oui, c'est ça de se coltiner ce mec.
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Sortie improvisé avec quelques gars de la Winthrop. Wyatt me désigne une fille au bar d'un léger coup de tête. Je la détaille de haut en bas en grimaçant. Pas mon style. Tant pis pour moi visiblement. Je finis mon verre, fait un clin d'oeil complice à Feliks, du genre Je vais gérer, et me ramène tranquillement jusqu'à elle. Elle croise mon regard. Confiant j'affiche un sourire, et viens m'accouder au bar à côté d'elle. La demoiselle a les mains vides. Je commande deux verres. Des Sex on the Beach, parce que toutes les filles adorent ça, de toute manière. Et j'aborde mon accent français de charmeur parisien. « jules-baptiste, enchanté.. mademoiselle ? » Elle est peut être pas si mal. Grande, blonde. Avec de la conversation. Enfin, si vous voyez ce que je veux dire. Elle a l'air tellement peu sauvage que je me demande si je ne vais pas devoir payer demain matin. Je lui offre le verre, on trinque, et s'en suit une discussion absolument dépassionnante sur nos occupations respectives. Jusqu'à ce que je sentes une main sur mes fesses. Je me retourne, tombant nez à nez avec Helena. Merde. Je vais m'en prendre une. « va mordre ailleurs pétasse. » Je ri doucement. Son caractère de merde et sa gueule d'ange me plaisent. J'affiche un grand sourire et un air innocent, comme si j'étais parfaitement heureux et étonné de la voir. « hele.. » J'ai même pas le temps de finir que je me prend un revers. Je fais la gueule. Fais chier. Je sens déjà les représailles mesquines des Winthrop. Je ne jette même pas un regard au groupe. « t'es qu'un sale con JB. » J'hausse les sourcils et lève les yeux aux ciel. Enfin au plafond, techniquement. « sérieusement ? j'ai pas le droit de parler à une autre fille, c'est ça le plan ? » Ouais bon, je faisais pas que parler, mais je joue l'innocent. Dans ce cas là, c'est la meilleure des choses à faire. Je lui prend la main, et fait la moue, chose généralement efficace grâce à ma gueule d'ange naturelle. Je tire Helena vers moi. « fais pas la gueule, t'as le monopole de mon entrejambe ! » L'ange de mon épaule droit hurle au mensonge, le diable de mon épaule gauche demande des preuves, et l'ange crie au scandale. Je tente un sourire taquin et innocent.
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... sérieusement ? j'ai pas le droit de parler à une autre fille, c'est ça le plan ? ...Que quoi ? Il est sérieux ! Il lui demande quand même pas son accord ? Elle ne va pas rester là, les bras croisés, elle va pas le laisser attaquer des femelles en manque. Elle roule des yeux, parle toujours, elle te croit pas la mignonne, elle te croira jamais. De un, parce qu'elle est l'un de tes plans cul et que deux, tu l'as dragué dans les mêmes circonstances...fais pas la gueule, t'as le monopole de mon entrejambe !...Gé-ni-a-le !. Elle arrive pas à lui résister, il l'attire contre elle, elle fait la moue. Il lui fait son large sourire. Helena fond littéralement, bien sûr elle ne lui montre rien..ce salaud, qu'il assume. Elle passe une main sur son torse, elle baisse les yeux, parce qu'elle ne retient que le mot 'entrejambe'. Helena soupire, elle remonte les bretelles de son débardeur. Elle ne veut pas que le monopole de son entrejambe. C'est bizarre, mais limite qu'elle s'étouffe, elle a du mal, c'est juste un mot. Un mot qui ne l'a jamais dérangé. Alors, pourquoi maintenant ? Helena ferme les yeux. Revient à la réalité jolie, c'est pas comme s'il y avait une affaire de sentiment, non..c'est du cul, c'est tout. Jolie murmure doucement un...tu m’énerves, tu prends jamais rien au sérieux...Elle fait la moue avant de sourire, littéralement...de toute façon, des entrejambes j'en ai d'autres, si tu vois ce que je veux dire...elle jette un coup d'oeil à ses potes Winthrops, des mâles en chaleur...si la tienne ne me suffit plus...elle lui rit au nez.
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Elle est mignonne quand elle sourit comme ça. Je passe ma main derrière son dos pour la serrer un peu plus contre moi. Lui faire croire qu'elle est la seule. Leur faire comprendre qu'elle est à moi. Syndrome classique du Don Juan jaloux. Parce que oui, je suis jaloux. « tu m’énerves, tu prends jamais rien au sérieux » Je souris doucement. Tu n'a pas tord. Je lui dépose un baiser sur le front, redevenant l'espace d'un moment le petit ami modèle. Je m'écarte d'elle, et m'adosse au bar et attrape mon verre. Celui à moitié plein de la demoiselle est rester a côté du mien. « de toute façon, des entrejambes j'en ai d'autres, si tu vois ce que je veux dire » Je fais la tête du mec étonné, lui lançant un regard moitié interrogatif moitié menaçant tout en prenant une gorgée dans mon verre. « si la tienne ne me suffit plus » Je souris doucement à ce mensonge, en secouant lentement la tête de droite à gauche pour lui montrer que je ne suis pas d'accord. « je ne crois pas non ! » J'avais beau avoir la gueule d'ange, j'étais un véritable égoïste du coeur. Je ne voulais que des relations à sens unique, pour la simple et bonne raison que je n'avais pas envie de m'attacher complètement. Et elle a beau sourire de toute ses dents avec sa tête d'innocente, je n'accepterais pas de la partager. Par égoïsme, ou jalousie, ou fierté, je n'arrivais pas encore à déterminé ce qui jouait le plus. « je vais te marquer au fer rouge, et mettre un mot sur le panneau d'affichage de la maison pour signaler que Helena Béatriz P. Reilly est la propriété de Jules-Baptiste de Châtenay jusqu'à nouvel ordre. » Je finis mon verre, et lui dépose un baiser sucré au coin des lèvres avant de lui faire un sourire taquin. Les grandes démonstrations d'affections, c'était pas mon genre avant 2 grammes d'alcool dans le sang, ou un dixième de gramme de blanche dans le nez. Mais tu es à moi malgré tout. Je la regarde sans gène de haut en bas. « pétasse va :sifle: » Je vais m'en prendre une moi. Je prend les devants et lui attrape les poignets pour ne pas me prendre une seconde- et surement pas dernière- gifle dans la soirée. Je la regarde avec un grand sourire taquin et innocent. Tu fais moins la maline là. 
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tu joues ?

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Il l'embrasse au front, c'est doux, ses lèvres l'apaisent. Au fond, elle n'est pas en colère, maintenant, il réussi toujours à apaiser sa haine. Reilly ferme ses yeux pour savourer. Parce qu'elle le provoque un peu, il hoche de la tête. Visiblement monsieur se prend de haut, il sait pertinemment qu'elle tient à lui, même-ci parfois elle l'agresse... même-ci elle a encore du mal à montrer son appartenance...je ne crois pas non ! Elle sourit timidement. Mais pense-t-il que tout puisse rester ainsi ? Ils sont jeunes. Alors, c'est rien...ils déconnent. Helena arrive à oublier l'espace, le temps, la folie d'Harvard quand elle est avec lui. C'est une nouvelle extase, elle n'ose pas l'avouer, mais ça l'excite...c'est quelque chose dont elle a du mal à trouver les mots. Ça ne s'explique pas, les doigts qui tremblent, le bas ventre qui chatouille comme-ci une centaine de papillons prenaient leur envol, ils étendent leur ailes. C'est peut-être ça...avoir les papillons dans le ventre. Lena et JB. JB et Lena. Elle n'aime vraiment pas ses cheveux blonds, elle n'aime pas son sourire taquin, elle n'aime pas ses grandes mains qui aiment à se poser sur ses fesses. Ni même ses french kiss,...non en fait, c'est faux. Helena aime tout ça. C'est une nouvelle personne. Le monde n'existe plus, elle est aveugle...c'est comme-ci le passé de Lena n'existait plus. Mais de son passé...oserait-elle un jour lui en parler ? Elle ne lui a jamais encore rien dit...Ils vivent dans une sorte de sphère, une sphère à deux, parfois ils la brisent -souvent, en fait- pour ensuite la reconstruire... je vais te marquer au fer rouge, et mettre un mot sur le panneau d'affichage de la maison pour signaler que Helena Béatriz P. Reilly est la propriété de Jules-Baptiste de Châtenay jusqu'à nouvel ordre...Elle rigole,...t'es con...tu peux pas me marquer dit-elle en tirant la langue...j'suis solo mio, j'appartiens à personne !...ça la touche ses petites phrases. Il est mignon. Si elle l'insulte, c'est parce qu'elle l'aime de cette façon, elle n'arrive plus à dire les mots qui semblent important comme...'je t'aime'...elle dit 'j't'apprécie bien'. La brune boit une gorgée de son cocktail avant de soupirer, il finit son verre et lorsqu'elle tourne son visage en sa direction, il dépose un baiser au coin de ses lèvres. Son coeur fait un arrêt cardiaque. L'organe s’étouffe tandis que Jules-Ba' lui fait un joli sourire taquin. Elle rougit un peu. Non mais !...attends, tu crois que...genre ses baisers sont gratuits ? Attends...mais,...pétasse va...il a un sacré courage d'jà le français, d'jà qu'il s'appelle Jules-Baptiste. Reilly est cap' de le prendre par derrière, elle est cap' de lui faire une prise de kung fu....répète un peu !... Elle bouge sa main, elle veut lui tirer une oreille, mais il l'attrape par les poignets...il est fort...Il fait un sourire taquin. Elle se colle à lui et remonte sa cuisse jusqu'à son entrejambe...grrrr non, mais regarde-moi ce gros bébé, tu t'es pas dit que j'étais forte hein ? ...elle s'approche de son oreille en susurrant...avoue, tu ne peux pas te passer de moi, elle lui mords le lobe de l'oreille gauche avant de se reculer. Tu me lâches maintenant ?

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Si, tu m'appartiens. A moi. Parce que j'adore ton sourire, tes yeux, tes cheveux bruns, ton petit corps tout frêle dans mes bras. Mais j'adore aussi les autres, leurs formes, leurs regards, leurs rires. J'adore les filles, je les aime de trop. Et tu es seulement celle que j'aime le plus en ce moment. Mais ce moment peut durer quelques secondes, des heures, des jours ou des années. « répète un peu ! » Je rigole devant sa menace en ne la détachant pas du regard. Je me mord la lèvre quand elle se colle à moi. Je dois bien avouer que j'adore ça. Je sens sa jambe monter contre mon entrejambe. Je fais de gros yeux. « .grrrr non, mais regarde-moi ce gros bébé, tu t'es pas dit que j'étais forte hein ? » « t'oserais pas ! » Tu sais ce que tu perdrais. Tu a beau faire la femme, je sais bien qu'un baiser et une caresse suffiront à te faire chavirer une nouvelle fois dans mes draps pour la nuit. Je sais que tu l'adores autant que tu m'adore. Son souffle près de mon oreille me fait frémir. « avoue, tu ne peux pas te passer de moi » J'aimerais pouvoir te l'avouer. Je ne peux pas me passer de toi en tant que femme, mais je peux me passer de toi en tant que...toi, tout simplement. Je n'ai plus envie d'être le petit ami parfait. Je n'ai pas envie de nous voler notre jeunesse, à nous deux, sous prétexte d'un amour naissant. Même si c'est beau, c'est chaud et doux à la fois avec toi. Je ferme les yeux et la serre un peu plus contre moi, dans un réflexe enfantin d'un gosse en manque d'affection. Mais un sourire mesquin reste accroché à mon visage. Parce que je sais pertinemment que tu ne pourras jamais me faire confiance. Je me recule lorsque je la sens se détacher de moi, et plonge mon regard dans le sien. « tu me lâches maintenant ? » Je souris en coin avec insolence. « jamais ! » Je n'y peut rien, j'ai toujours une réponse de loveur au bout de la langue, je n'arrive pas à me retenir. Charmer, draguer, faire craquer c'est tout ce que je sais faire. Mais je ne serais jamais capable de t'aimer correctement. Je finis par lâcher ses poignets et glisser mes mains dans mes poches. Je sens mon paquet de cigarette dans celle de gauche. « pause clope ? tu viens avec moi, j'ai peur de te laisser au milieu des loups affamés qui fréquente ce bar. » J'ai peur. C'est bizarre de dire ça. J'ai peur de quoi ? D'être cocu ? De réaliser qu'il y a des types plus charmants que moi ? De me faire remplacer ? Clairement, cette fille me perd. J'attrape sa main et l'emmène avec moi à l'extérieur.
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Jamais !...elle sait que ce ne sont que des paroles. Elle doit les vivre pourtant, il ne lui laisse pas le choix. Quand elle est avec lui, elle fait semblant d'y croire, mais c'est comme-ci elle pouvait y croire. Il lâche ses mains...pause clope ?...Reilly n'a pas trop envie de se tirer une latte, mais bon, ça la fera décompresser... tu viens avec moi, j'ai peur de te laisser au milieu des loups affamés qui fréquente ce bar. Elle se retourne pour regarder les mans en question, elle rigole un peu...ouai, des loups affamés. C'est la première fois qu'il a peur...il sait très bien que les loups affamés, elle les fréquente que ces temps-ci...elle dort dans leurs lits bien chaud qu'elle quitte avant le lever du soleil. Ils sont toujours sympa, elle les appelle les 'chaudasses'...Prêts à lui donner du fric pour qu'elle leur fasse un strip-tease, mais elle ne le fait jamais. Parce qu'elle a gardé en elle, l'âme de cette jeune fille vierge qu'elle était lorsqu'elle est arrivée à Harvard. JB attrape sa main et la fait sortir de là, il faisait chaud dans le Lord Hobo, la musique au maximum...pourquoi tu te presses comme ça ?braille-t-elle une fois dehors...tu sais très bien que les loups affamés, je les apprivoise, j'ai l'habitude maintenant...elle rigole. Il le sait qu'il n'est pas le seul, Jules le sait. Il fait frais dehors. Elle tournoi sur elle-même, laisse passer le vent dans ses cheveux bouclés avant de s'arrêter net devant blondi'...tu les as mises où ? , demande-t-elle, en passant ses mains dans les poches du garçon...passe une clope...elle tend ses lèvres pour qu'il en coince une entre ses lèvres.



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Je lâche sa main arrivé à l'extérieur, et sors le paquet de tueuses de ma poche. J'en glisse une entre mes lèvres, en regardant Lena. Au final, je me demande à quoi on joue. Un jeu dangereux sûrement. A essayé d'échapper à la vigilance de l'autre tout en voulant le garder pour soit. Elle glisse ses mains dans mes poches. « tu les as mises où ? passe une clope... » Je lui souris, retire la cigarette de ma bouche et ne peux m'empêcher de déposer un baiser furtif sur ses lèvres tendues. Je lui tend la cigarette. « pour te répondre je me presse parce que j'ai envie de fumer. » J'ai la fâcheuse tendance à fumer deux fois plus quand je ne prend pas de blanche. 7 jours que je n'avais pas mis le nez dedans. J'avais les nerfs un peu plus à cran que d'habitude. Mais bizarrement, Lena arrivait à me détendre. Disons que je passais mes nerfs sur elle à force de taquineries. Et pourtant, le fait de savoir qu'elle passait des nuits dans d'autres draps me ruinait. Dire que je m'en fiche serait mentir. Je suis trop possessif. Surtout pour elle. Parce que ce n'est pas qu'une histoire de baise, c'est bien plus que ça. « et moi, tu penses que tu m'as apprivoisé ? » C'est évident que tu m'as dans tes filets. Avec ton sourire de garce et ton air de jeune vierge effarouchée. Tu m'as eu, mais je ne me l'avouerais jamais. Je ne te l'avouerais jamais. Je suis bien trop fier pour ça. Cette histoire va partir en live, comme toutes les autres. Je sors un briquet de ma poche arrière et allume ma cigarette. Je me rapproche d'elle et rapproche la flamme de sa cigarette pour l'allumer. Je me recule, affichant un sourire amusé. Tiens, c'est la seule flamme que je te donnerais jamais.
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Comme le trèfle à quatre feuilles, je cherche votre bonheur

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Il dépose un baiser sur ses lèvres qui se tendent vers lui. Un gros smack avant de lui tendre une cigarette... pour te répondre je me presse parce que j'ai envie de fumer...elle place la cigarette au centre de ses lèvres et l'observe... avant d'arquer un sourcil et de marquer sur son visage sa contestation. Ne court-il pas parce qu'il ne veut réellement pas la voir se languir dans les bras d'un autre ? ...et moi, tu penses que tu m'as apprivoisé ?...Elle écarquille des yeux, quelle question ! Ellen'y avait jamais pensé. Il calme ses ardeurs en allumant un briquet sur sa cigarette, elle l'observe calmement. Il semble visiblement très  captivé par celle-ci, il la regarde quelques secondes et ensuite il s'éloigne. Comme si elle signifiait quelque chose, tu te retournes alors qu'il affiche un sourire amusé. Tu tires sur la clope et tu inhales cette fumée, tu passes une main dans tes cheveux...extase de malade, ça faisait longtemps... tu lèves tes bras au ciel avant de te rappeler la question de blondi'...toi tu l'apprivoises ? Peut-être bien que oui, peut-être bien que non. Mais, l'avouer, en soi, ce n'est pas si facile...t'es pas une joueuse, seulement une apparence, tu te gardes bien c'est tout. T'as ta part de mystère...elle se retourne tout sourire et s'approche de lui en passant un doigt dans ses cheveux blonds, qu'elle descend sur son front, puis de son front sur son nez et contre ses lèvres où se niche une clopette...vous, monsieur de Fontenay êtes-vous réellement apprivoisable ? Vous êtes arrogant, mauvais perdant, tête de mûle,...ah et...impulsif aussi...elle fit mine de réfléchir, puis tapota avec son index sur le front de monsieur,...têtu, hm...lâche aussi...ah mais rancunier, ça c'est sûr... piètre cuisinier, au fond...vous ne me rendez pas la vie facile...Elle sourit de toutes ses dents, puis l'observe avant de se reculer et de continuer à tirer sa latte.



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