ROULETTE RP ►

En sortant de chez moi, je tombais sur un camion qui contenait des tas d’oreillers et des gens qui commençaient à se chamailler avec des plumes. Je restais un peu afin de voir ce qu’il se passait en bas de chez moi. Puis, les gens me regardaient aussi bizarrement. Moi qui voulait passer inaperçu, c’était raté….Je souriais et tout en m’en allant, je voyais un oreiller arrivait alors à mes pieds. Me retournant pour regarder ce qu’il se passait, je me disais que cela pouvait être aussi pour moi d’appeler mon manger afin de savoir si je pouvais le faire ou pas. Une réponse affirmative se fit entendre dans mes oreilles. Allant voir alors comment est-ce qu’il faire pour participer à la publicité, j’attendais aussi mon manager pour qu’il puisse être là pour moi au cas où il y avait un problème. Attendant un peu, je finissais par venir aussi pour les oreillers. Je venais alors parmi la foule, et je commençais gentiment à m’amuser avec les gens.

je traînais, encore une fois. mais je n'avais pas envie de rester à la maison après la dispute que j'avais eu avec zakhar. je soupirais et me lancer pour un petite balade revigorante quand je tombe sur ce camion orné d'un gros autocollant d'une des plus grandes marques de literie. je m'arrête devant la horde de gens qui étaient en train de se mettre des coups de polochons dans la face. on s'approche de moi. un gars plutôt mignon. tu veux tenter ? c'est pour une publicité. si tu me promets une nuit d'amour auprès de ton corps d’apollon que dessiner parfaitement ton t-shirt, je dis oui. je m’empare de l'oreiller et me jette limite dans la foule. j'avance un peu et tout à coup, je vois jaune. un énorme oreiller atterris en plein sur mon visage. je tombe à terre et une main se tend face à moi.

Voyant la jeune femme tomber pas loin de moi, je lui tendais ma main en souriant. Je ne savais pas trop si elle allait bien, alors, je lui demandais : « Pas trop mal aux fesses ? » Une simple phrase qui sans doute serait bien adéquate. Sauf que pour le moment, je ne voyais pas trop quoi lui dire. L’aidant à se lever, je me demandais bien si je devais me présenter ou pas. Je lui disais : « Siobban, je sortais de chez moi et me voilà dans cette bataille de polochon. Je ne pensais pas que cela était si dangereux. » Souriant doucement, je ne voyais pas trop quoi dire d’autre et je ne savais pas comment continuer la conversation. Je me décalais un peu et j’évitais un oreiller. Je soupirais doucement : « Et voilà, on veut nous assommer maintenant…. » Riant joyeusement, je ne savais pas si la personne était sympa ou pas, en tous les cas, elle n’allait pas rester par terre.