A. CORDELIA JIMENEZ ❥ Danneel Harris

Cordelia Arista Jimenez

Cordélia dit "Lia"  ♡ étudiante en sixième année de design de mode et Danse ♡ Ancienne étudiante de Oxford, elle y a passé ses 4 années de Baccalauréat. ♡ née à Nerja, un magnifique petit village de la province de Malaga en Espagne. C'est une pure Espagnole. ♡  Fille unique  ♡ A vécu avec toute sa famille dans une immense demeure en Espagne dont son cousin dont elle était très proche.  ♡ A ses 10 ans, ses parents qui dirigeaient leur cabinet d'avocat sont partis en Amérique pour encore plus de réussite, laissant la demoiselle et son cousin Diego, à leur grand-mère paternel. ♡ A ses 15 ans, son cousin lui fut enlevé parce qu'il était trop turbulent et on l'envoya loin d'elle en pension. ♡ Parle le Français de par sa mère, une française et l'Anglais. Elle a prit Mandarin en option facultative et cours du soir à Oxford. ♡ Elle adore sa langue d'origine et se met parfois à parler espagnol sans s'en rendre compte. ♡ A un tatouage dans le bas du dos représentant des ailes assez déstructurées, originales. Une phrase que son cousin et elle se disait tout le temps dans les mauvais moments : "Apprende de las desgracias que surgen en tu vida". Aucun n'est coloré. ♡  Passionnée par les Arts, elle joue de la musique : Violon et Guitare, quelques bases de piano. Elle danse et c'est une grande modeuse qui adore créer le pleins de choses ainsi que dessiner.  ♡  Adore les photos, en prendre comme se faire prendre en photo dans des trucs de folie. ♡  Considérait comme grande demoiselle complexe à cause de ses sautes d'humeurs et de son coté casse-cou. En effet, c'est un personnage étrange, anti-conformiste, aux opinions bien définies, tolérante, mais surtout hyperactive et totalement gonflée  ♡ (...)


Tu n'as jamais été le genre de gamine qu'on craint parce que malgré ton caractère bien trempé, la malice de tes lèvres, de tes yeux, faisait tomber le monde. Tu n'étais pas le genre de bébé qui passe son temps à pleurer mais plutôt de ceux qui ris très rapidement. On ne comprenait pas cet éternel bouille craquante, on ne comprenait pas. Tu cherchais surement à séduire pourtant tu n'es pas séductrice aujourd'hui ou allumeuse, tu n'as pas spécialement besoin ; la nature est de ton coté surement. Une enfance simple te fut offerte non pas simple dans la mesure ou tu es issue d'une famille aisée mais plus simple dans la mesure où aucun drame ne te toucha réellement a part les drames habituelles. Non, tu ne fus pas abandonné par tes parents à la naissance ou viré chaque année de tes écoles. Seulement, tu avais une petit spécialité, tu vivais dans une famille unie malgré l'argent qui pourri les cœurs, là, l'esprit espagnol restait malgré l'argent, l'union faisait toujours la force. A tes 10 ans pourtant, il fallut vous désunir pour ne rien perdre du travail de tes parents. D'abord, ce fut les hommes qui partirent installer leur cabinet d'avocat instituait ensemble aux états-unis, précisément à New York dites la Grosse Pomme, puis les femmes ne pouvant abandonner leur maris les rejoignirent laissant ta petite personne a ta grand-mère accompagnée de ton tendre cousin. Ouais, Diego était presque plus qu'un  cousin, un frère, il était turbulent mais tu savais parfois le calmer et puis, tu t'en fichais, tu l'aimais ainsi toi. Vous étiez loin de vos parents mais tu ne t'en formalisais pas car tu savais bien que c'était pour eux, pour leur boulot et puis, tu n'étais pas seule. Artiste dans l'ame, tu ne pouvais pas voir le temps passer car tu étais bien trop occupée à perfectionner tes arts, à te battre contre le temps ; écoles et cours diverses, professeurs à domicile et compagnie. Oui, aussi, tu trouvais ton temps pour te joindre à Diego que tu essayais de retenir dans ses vagabondages mais rien n'y faisait. A 15 ans, on te retira l'une des plus grandes joies de ta vie et tu sentis que plus rien ne serait comme avant. D'ailleurs, tu bouda pour la première fois ta famille devenant plus rebelle et caractérielle qu'avant. C'est là que tout se brisa en tout parce qu'on te coupait un membre ...

Tu vivais néanmoins, ne permettant pas de risquer de ne pas le rendre fière de toi et dès que le temps fut d'aller à l'université, tu força presque tes parents à t'autoriser un départ imminent pour ailleurs, voulant un peu de couper de ton pays, de ton village tant aimé parce que ouais, tu voyais que Diego ne reviendrait pas et tu avais bien besoin d'air. Oxford fut d'un accueil chaleureux et tu pris ton indépendance directement. Tu rejoignais de nombreuses options d'art, étudiant la mode et proposant déjà tes créations dans les évènements de tes parents ou bien, dans les centres, les contact trouvés dans leur listing. Tu te battais pour vivre ta vie comme tu le sentais. Tu avais besoin de renouveau constant, tu étais une fille comme ça ... vrai, naturelle et surtout spontanée, folle d'aventure alors tu terminas ton premier niveau et t’envola pour Cambridge à Harvard pour montrer que toi aussi, tu pouvais conquérir la plus grande université d'Amérique ...