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I'm not really a dessert person ~ dexter

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En sortant de son cours de physique stellaire – oui ça existe – la Quincy ne rêvait que d'une chose : boire. Alors qu'elle rangeait rapidement ses feuilles et ses stylos dans son sac, la jeune femme ne songeait pas forcément à boire de l'alcool à ne plus se rappeler son second prénom. À vrai dire, n'importe quel liquide ferait l'affaire d'un verre d'eau à un verre de jus d'orange à une tasse de café. N'importe quoi, mais elle devait d'urgence se ré-hydrater sous peine de mourir momifiée. Joan passa dans sa chambre de la Quincy House et déposa ses affaires sur son lit, ne se préoccupant pas vraiment de celles-ci. Un coup de brosse dans les cheveux histoire de pas ressembler à un savant fou sortant à peine de son laboratoire. Puis Lindley se mit simplement en route vers le centre de Cambridge, quittant le campus de Harvard pour quelques heures, histoire de se détendre. Finalement, après avoir marcher longtemps – environ dix minutes en fait mais dans la tête à Joan c'est équivalent à trois jours – elle se décida pour un pub qui avait l'air sympa bien qu'elle n'y ait jamais mis les pieds. Il y a un début à tout me direz-vous. Elle poussa la porte d'entrée. Un regard à la ronde. Ah tiens place libre au bar à côté d'un jeune homme. Elle ne le connaissait pas, mais ce n'était pas Joan Lindley qui se dérangeait avec ce genre de choses, et puis elle avait soif, et puis qui lui interdisait de s'asseoir sur ce tabouret ? Joan traversa la salle et s'adressa donc au jeune homme, histoire de faire bonne figure. « Je peux m'asseoir ? » Joan sourit au blond avant de se percher sur la chaise, puis elle continua. « Je mords pas promis. »
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J’avais besoin de sortir prendre l’air, de marcher jusqu’à en perdre un orteil. Je ne me sentais plus bien sur le campus, tout me rappelait des souvenirs que je souhaitais éviter. Le monde continuait inlassablement de tourner alors que le mien avait pris fin il y a de ça quelques jours. Je ne voulais pas régler mes problèmes, je voulais les laisser me tuer petit à petit, j’étais pathétique à ce point. J’avais perdu mon courage en arrivant il fallait croire, rien ne c’était déroulé comme je l’avais prévu... rien. Je n’aurais jamais cru dire ça, mais mon Canada natale me manquait. J’avançais dans les rues de Cambridge sans avoir de destination précise, mais il me faudrait bien m’arrêter un jour. Rien ne m’inspirait très exactement, j’étais hanté par la peur de croiser une des femmes que j’avais blessées, envers qui j’avais manqué d’un grand respect. Puis, un pub à l’allure rustique m’inspira un arrêt. J’y entrai en ne craignant plus de mauvaises surprises, jamais je ne les retrouverais dans un tel endroit. Je m’assis au bar, ne commandant rien d’abord puisque l’alcool avait un drôle d’effet sur moi, me rendait presque suicidaire lorsque je mélangeais le tout avec mes narcotiques. Je m’attirai le regard réprobateur du barman, mais je le remerciai silencieusement de ne pas me jeter hors du bar. J’avais besoin de ce repos et puis il n’y avait presque personne ici, je ne volais la place de quiconque. Perdu de ma tranquillité, je n’attendis pas cette femme s’approcher, mais sa voix me réveilla à la réalité.  « Je peux m'asseoir ? » Avant même que je ne puisse répondre elle pris place. En fait je n’aurais pu avoir l’impolitesse de lui refuser, mais je n’avais pas envie d’avoir de la compagnie, pas ce soir, pas jamais. « Je mords pas promis. » Ce remarque m’arracha un bref sourire avant qu’il ne s’évanouisse dans ma morosité. Je ne devais pas être beau à voir. Avec un peu de chance la bonne humeur de la brune qui venait de me rejoindre serait contagieuse. «Je n’ai jamais eu peur d’être mordu avant, montre tes canines pour voir.» Pourquoi ne pas y mettre un peu d’humour après tout. Je trouvais son siège incroyablement prêt du mien, ça me mettait mal à mon aise. Nous jouirons rapidement du coude si elle imitait ma posture. « On est un peu à l’étroit, tu ne trouves pas?» J’avais toujours été franc et direct, c’était un des désavantages d’être hanté par le désir de devenir avocat en permanence.  
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Ne vous y méprenez pas, la jeune Lindley n'était pas toujours de bonne humeur et loin de là. La brune avait souvent des périodes dépressives, voir carrément maniaco-dépressive. Dans ces moments-là, Joan devenait complètement paranoïaque, chiante, chieuse, garce, peste, éventuellement méchante. Parce qu'elle n'était jamais méchante pour faire mal. Elle était méchante parce qu'on respecte toujours plus les gens qui font peur que les gentils enfants, mais elle n'était pas une Quincy pour rien, elle avait une vraie âme de justicière qui voulait voir le bien autour d'elle, des papillons et des fleurs, peace and love et qui rêvait d'avoir sa happy end avec un Prince Charmant et une ribambelle d'adorables enfants bien élevés et tout blonds. Elle se méfiait des gens et avait la vengeance facile mais avec un peu de tact elle se rendait compte presque toujours au bon moment que ça ne servait à rien. Vu comme ça on pourrait presque croire à la pseudo perfection dont Joan aimait se vanter faussement. Ses défauts étaient humains me direz-vous, mais celui de torturer les gens pour connaître leur véritable nature, ça par contre, elle pensait sincèrement que ça relevait plus d'un trouble psychologique que de sa nature humaine. C'était déjà bien de l'admettre, un pas vers la guérison. Chance pour Dexter, il tombait en pleine période de joie et d'allégresse. Difficile à croire alors qu'elle était retombée sur deux de ses exs, que l'un avait une demi-petite-copine et que l'autre était parti au Nigeria du jour au lendemain – ils étaient déjà séparés quand il était parti mais Joan l'avait plutôt pris comme une double rupture que comme un simple nouveau départ pour le jeune homme. Mais à côté de ça il avait Joshua qui amenait un peu de couleur dans sa vie, c'est tout mignon et ça rendait Joan à peu près heureuse. La jeune femme sourit en coin en entendant que son voisin de bar avait du répondant. Pour lui répondre, Joan sourit jusqu'aux oreilles, ce qui était assez effrayant en réalité, montrant son alignement de dents blanches, droites grâce au passage d'un appareil dentaire entre ses treize et quatorze ans et demi. Puis remarquant qu'il était visiblement gêné, Joan ne se démonta pas et descendit de son tabouret pour le décaler d'un demi centimètre avant de se réinstaller. Elle posa son sac à main sur le bar avec fracas et sortit son porte-monnaie. « J'étais jamais venue ici avant, c'est sympa. Par contre je sais pas quoi choisir. Je devrais choisir quoi à ton avis ? » Frances tourna la tête vers le blond pour lui signifier qu'elle lui parlait. On sait jamais.
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On pouvait dire sans trop se méprendre par la couverture du livre que cette femme avait de je-ne-sais-quoi en plus qui captait le regard. Un coup d’oeil et j’était plongé dans un tout nouvel univers, je goûtais à la fraîcheur de ce sourire gratuitement lancé que je n’avais jamais eu l’habitude de provoquer. J’inspirai pronfondément, mélangé dans mes émotions, vascillant entre la gêne complète et handicapante et l’envie de la retenir à moi le temps de quelques instants volés. Je me contentais de l’observer, déclarant sans pouvoir le retenir que je me sentais à l’étroit tout à coup. Elle se releva d’un mouvement et entrepris de bouger son tabouret. J’allais la remercier quand je remarquai la lenteure de l’exécution et la lâcheté du résultat final, elle ne l’avait qu’à peine déplacé. Ça me fis sourire. Elle se rassis avec aise et vacarme, clamant l’espace restant sur le comptoire pour y poser son sac et y plonger sa main. Elle inspirait chez moi une étouffante fascination, je ne voulais pas être indiscret, mais c’était mieux de la regarder elle que de m’écouter réfléchir en silence. « J'étais jamais venue ici avant, c'est sympa. Par contre je sais pas quoi choisir. Je devrais choisir quoi à ton avis ? » J’ouvris la bouche pour lui répondre avant de la refermer brusquement. En fait je n’allais pas feindre mon expertise, je ne buvais littéralement jamais. «Tu crois au destin?» Soufflais-je en ancrant mes yeux bleutés dans les siens d’une immense profondeur océanique. «Si oui, tu devrais peut-être te réssoudre. Sa non-existence est prouvée comme il t’a placé ce soir à côté de l’homme qui ne boit jamais, qui j’a jamais bu et qui ne boira jamais. Désolé.» Je baissai les yeux un peu, observant la patte de son tabouret frôler la mienne, enfin presque. «Merci pour...» Je ne savais même pas comment mettre en mot ce qu’elle avait fait plus tôt. «Je me sens bien mieux, libre de bouger et de respirer.» J’humai gaiment juste avant de me rendre compte que son parfum intoxiquait dorénavant mon espace. Ça détruisait tout de suite ma théorie. «Charmant parfum, soit dis en passant.» Je lui souris brièvement en relevant les yeux sur son visage. Oui, elle était définitivement belle. 
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Joan n'était pas vraiment du genre à être gênée. Du moins, elle n'était pas gênée pour elle-même, elle ne cessait jamais d'être elle-même. Elle se gênait plus pour les autres, mais elle savait s'adapter. Disons qu'en cours, la jeune femme montrait une toute autre facette d'elle-même pas exemple. Posée, calme, concentrée. Parce qu'elle savait qu'il fallait être comme ça. Avec les gens, c'était quand même une autre affaire. Joan était Joan, le temps d'estimer jusqu'où elle pouvait aller avec la personne. Si celle-ci était réservée, Lindley finissait par lâcher l'affaire et devenir une gentille Joan douce et affable, et si au contraire elle sentait qu'elle pouvait aller loin et bien … et alors Dexter ? Ce jeune homme éveillait la curiosité de la brune. Déjà parce que le seul mot qui lui venait à l'esprit en l'écoutant et le regardant c'était 'poétique', sérieusement, poétique. Tu parles l'adjectif. Déjà rien que pour ça, la Quincy voulait creuser plus. Elle n'avait jamais trouvé quelqu'un de poétique, tout simplement parce que ce n'est pas franchement le genre d'adjectif qu'on utilise pour se décrire une personne. En tout cas, pas elle. Et voilà qu'elle le trouvait poétique. Puis, en le regardant un peu plus, Joan abandonna son premier examen de la personne. Elle avait tout d'abord pensé qu'il était juste calme et légèrement tendu. Ce qu'elle n'arrivait pas à concevoir. Elle avait l'habitude qu'on la regarde étrangement ou qu'on se mette à rire, ou alors qu'on soit agacé par son discours incessant, elle n'était pas habituée à ce qu'on soit mal à l'aise en sa présence. Alors elle décida de creuser un peu. Quand je vous dit qu'elle était intriguée. « Ah ça tombe bien ! Rien de plus déshaltérant qu'un verre d'eau ! L'alcool c'est trop sucré, ça donne soif, l'eau c'est parfait. » Elle commanda donc le plus simplement du monde un verre d'eau dans un pub. Et maintenant un compliment. Vous voyez, Joan Lindley marchait plutôt avec des compliments inversés ou compliments insultants. Non seulement quand elle les donnait, mais aussi quand elle les recevait. Elle ne savait jamais quoi dire. Merci ? Trop banal. Et elle n'était pas spécialement douée pour complimenter. Le Winthrop venait de marquer un point, elle allait passer sa soirée au bar avec lui si c'était le temps qui lui faudrait pour mieux comprendre cet étrange personnage. « Hum, c'est la première fois qu'on me le dit. Pas parce que j'en mets pas ou que je ne sens pas particulièrement bon d'habitude hein. Mais voilà … »

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J’avais réellement l’impression d’être tenaillé, d’être étudié. Chaque mot semblant être prémédité et calculé, brouillant un peu plus les cartes du mystère à chaque relance. Elle avait ce je-ne-sais-quoi qui plaît et déplaît tout à la fois. J’étais bien, mais aussi malaisé de la savoir si prêt et si tenace. Ma gêne ne la freinait en rien dans ces ardeurs, c’était... définitivement nouveau. « Ah ça tombe bien ! Rien de plus déshaltérant qu'un verre d'eau ! L'alcool c'est trop sucré, ça donne soif, l'eau c'est parfait. » Elle ne commenta pas mon préambule inutile sur le destin, ça valait mieux ainsi d’ailleurs. C’est le plus gaiment du monde qu’elle commanda un verre... et c’est à ce moment que je su que j’avais besoin d’une femme comme elle dans ma vie. Joyeuse, franche, directe et vivante... tout ce que je n’étais pas moi-même et aspirait à devenir. Le barman ne sembla cependant pas approuver son sens des affaires réglées rapidement, comment pourrait-il lui faire payer sa commande? S’en était absurde et idéal à la fois. «Je crois que tu n’as pas bien compris le principe du capitalisme... ne veux-tu pas être un élément clé de la chaine d’alimentation de la consommation?» Soufflais-je assez bas pour que le barman qui nous dévisageait depuis tout à l’heure ne puisse m’entendre. J’aimais bien partir sur ces sujets assez plat qui ne passionnait plus grand monde de nos jours, mais qui seraient toujours d’actualité. J’étudiais la droit, mais la politique était mon plaisir coupable. Comme j’avais l’habitude de le faire assez gênant, un compliment m’échappa sans même que je ne puisse le retenir. Son parfum me l’avait inspiré et maintenant il était trop tard pour le reprendre... et pourtant vu son air, je l’aurais fort souhaité. « Hum, c'est la première fois qu'on me le dit. Pas parce que j'en mets pas ou que je ne sens pas particulièrement bon d'habitude hein. Mais voilà … » Je plissai les yeux, c’était pourtant le premier compliment qui viendrait à la tête d’un homme qui s’adressait à une femme, ça et puis la beauté du regard. «Célibataire alors?» Lâchais-je en pensant tout haut alors que j’aurais encore dû tenir ma langue! «Je veux dire... vous n’êtes pas obligé de répondre à ça.» Je baissai les yeux sur le comptoirs, fixant mes doigts qui s’entremêlaient sur la surface marbré et gelée du meuble. Arf, parfois j’aimerais ne simplement plus être aussi... moi?  
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