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Olympe & Aidan ☼ Keep on Walking

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C'est de toute son indifférence habituelle, qu'il continua à peindre la façade pour laquelle on l'avait engagé. Norrington se surprenait néanmoins à entretenir un mince sourire sur ses lèvres. La Demoiselle était entrée dans le magasin, elle était de l'espèce qui n'aime pas atteindre, qui prend ce dont elle dispose et qui aime avoir le choix d'imposer le sien. Ce petit duel futile et inutile l'amusait au plus haut point. Mademoiselle Jones, en quelque sorte, obligée de l'attendre. Ce n'était pas méchant mais juste plaisant pour celui qui s'était fait largué comme une vieille chaussette. Quelques minutes passèrent ainsi avant que le Peintre ne termine sa journée. Le Lowell rangea ses affaires dans le petit local destiné à cette attention puis il se posta devant l'entrée de la boutique et eut un regard appuyé pour Olympe tandis qu'il remettait ses lunettes de soleil. La Cabot vint le rejoindre et une moue ironique s'installa sur ses traits enfantins. « Je suis tout à toi ! » dit-il en la regardant. Il plaisantait, ça va de soit.
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J'avais un peu l'impression qu'il me renvoyait la balle, aujourd'hui. Après l'avoir jeté sans trop d'explication, après avoir été un petit peu une grosse conne avec lui, il me faisait patienter : il savait que je n'aime pas ça, et que je n'aimais déjà pas lorsque l'on s'est connus. Je supporte pas que je doive attendre quelqu'un, alors que théoriquement, il devrait être heureux que je passe, déjà. Mais non, il était bien décidé à finir son travail. Du coup, légèrement frustrée, je rentrais dans la boutique, et je fis mine de m'intéresser à ce qu'il y avait dedans, mais je m'en fichais royalement : je voulais juste lui parler un peu. J'sais pas pourquoi, mais rien que l'idée qu'il ne rampe pas à mes pieds me donnait envie qu'on redevienne ami : parce que au fond, je l'appréciais bien, ce gars. Je sortis enfin lorsqu'il me jeta un long regarde insistant, me faisant comprendre qu'il avait enfin fini. Je mis en même temps que lui me lunettes de soleil, et je répliquais : " Tu es long, quand tu travaille. " Mais je ne voulais pas paraitre sèche alors que lui avait fait un sourire : " On marche deux minutes? "
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Ses paupières se ferment quelques instants derrière le rideau teinté de ses lunettes de soleil. Il aurait adoré autrefois se promener en compagnie de la vice-présidente Cabot. Cette fille incarnait dans ce qu'il adorait dans l'idéal féminin, tout ce qu'il ne pouvait pas avoir et qu'il avait eu aussi court soit l'instant néanmoins. Et une certaine paix s'empare de lui lorsqu'il constate que l'indifférence a repris le dessus de la rancœur et des regrets. « Je n'aime pas le travail bâclé, j'aime prendre mon temps et porter mon attention sur chaque détail. » Ses lèvres vinrent marteler la chair rosée de ses lèvres tandis que les deux se mettent en route pour une promenade au gré de la Demoiselle.
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Je savais qu'avec lui, je n'avais pas été honnête. Il était tombé au mauvais moment, dans une mauvaise passe de ma vie, et je lui avais fait penser certaines choses sur moi, et au final, je m'étais rendu compte que ça n'irait pas, parce que j'étais trop préoccupée pour ne serait-ce qu'avoir une relation stable avec un homme. Et aujourd'hui, je voulais voir si il m'en voulait encore beaucoup ou non, et heureusement pour mon ego il ne refusa pas de faire quelques pas avec moi. « Je n'aime pas le travail bâclé, j'aime prendre mon temps et porter mon attention sur chaque détail. » Un petit sourire étira mes lèvres, puisque c'était typique d'un artiste appliqué de dire ça. " T'es maniaque en fait. " Je me tournais vers lui : " C'est bien dans ton milieu, d'être perfectionniste, je pense. " L'art, j'y connais pas grand chose, mais en tout cas moi j'aimais ce qu'il faisait. Inspirant doucement, je fixais le sol, avant de me lancer, pour lui poser la question fatidique, qui me trottait dans la tête. " Tu m'en veux, Aidan? " C'est étrange comme question, je m'en doutais, ça sonne un peu comme " Tu m'en veux d'avoir été une pétasse? ", mais j'ai l'espoir que lui soit un plus intelligent que moi pour le coup, et qu'il puisse comprendre que je regrette un petit peu d'avoir joué avec lui.
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C'était étrange pour lui de se retrouver ici avec Olympe. Ils ne s'étaient pas parlés depuis ce semblant d'histoire au Summer Camp. Le Lowell se contentant tout simplement de ne pas avoir à la contempler, et sans doute que c'était réciproque. Mais malgré la rancœur, il y avait eu une complicité entre eux qui avait permis la naissance de cette relation et le Peintre eut un sourire quand la jeune femme évoqua son goût du perfectionnisme. « Tu as tout compris. » murmura Norrington. « Mais c'est bien la seule chose pour laquelle je suis maniaque. » Car autant le dire, Aidan était un vrai bordélique. Néanmoins lorsqu'il travaillait son art, il pouvait tout simplement oublier de manger ou bien de dormir. C'était un mode de vie assez paradoxal et finalement entier. Les deux se mirent en marche et la Vice-présidente des Roses finit par lui demander si il lui en voulait. « Un peu. » répondit-il très franchement. Répondre l'inverse serait ridicule et surtout mal le connaître. Il haussa les épaules en laissant ses yeux clairs scruter les siens. « Mais je ne peux pas vraiment t'en blâmer, d'habitude c'est moi le connard de l'histoire et je me suis fait avoir comme un bleu. » Norrington était plus un briseur de cœurs que l'inverse et Olympe pouvait se targuer d'être la seule à avoir réussit à l'atteindre. Du moins jusqu'à Jackie. « De toute manière, une fille comme toi ne sort pas avec un gars comme moi. » avoua-t-il avec un sourire. C'était vrai, les princesses choisissaient le prince et pas le rêver bohème. C'était ça, la réalité.
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