Invité
est en ligne
Invité
études de sciences politiques ● 1ème année célibataire enceinte de 8 mois mais loin d'avoir le coeur libre ● Cabot House • Eliot House “ Les gentils te baisent, les méchants te baisent et les autres ne savent pas comment te baiser.” - Sex and the city. | Annalisa Octave Swan-Carter |
Micah Garibladi-Holmes ft. Louis Tomlinson Micah et Annalisa se sont rencontrés par le plus grand des hasards, dans un square de New York, à dix-huit ans. C’est en discutant brièvement qu’ils ont réalisé avoir des points communs. Une chose en entraînant une autre, les deux se sont revus à plusieurs reprises et ont fini par sortir quelques temps plus tard. Au bout d’un an et demi de relation, Anna réussit enfin à faire oublier à Micah son serment de chasteté et à lui faire retirer sa bague. Leur relation commença à battre de l’aile au moment du retour de l’ex d’Anna, Scott, et ne fit que s’accentuer avec les nombreux conflits qui la séparaient de la sœur jumelle de Micah, Lila, les deux ne s’appréciant pas le moins du monde. En août 2013, Anna apprit qu’elle était enceinte et Micah, perdu, lui réclama quelques jours afin de réfléchir à la situation. Micah et sa famille s’envolèrent en Italie, et Micah, complètement dépassé, évita tous les appels d’Anna jusqu’à leur retour. Blessée, Anna décida de faire souffrir celui qu’elle aimait comme il l’avait fait souffrir pendant ces trois semaines et prétendit avoir avorté. Huit mois plus tard, Anna, enceinte jusqu’au cou, tombe nez-à-nez sur le campus avec celui qu’elle n’a jamais cessé d’aimer malgré tout. Mais Micah sera-t-il capable de dépasser tout ce qu’il s’est passé entre eux pour leur bébé ? |
- extrait de la fiche de Micah concernant Annalisa:
- 24 février 2010 — « Oh, des albums de famille ». Le cri enthousiaste d’Annalisa me fit tourner la tête. Assis dans le canapé, je zappais de chaîne en chaîne tandis que ma petite amie perdait son regard dans les bibliothèques du salon. « Vous étiez trop mignoooons », s’extasia Anna en ouvrant un album au hasard. C’était celui de nos sept ans, à moi et à Lila, et nous étions étroitement serrés l’un contre l’autre devant notre gâteau d’anniversaire. De vrais siamois. Je haussai les épaules. « C’est le côté jumeaux, c’est tout », répliquai-je avec désinvolture en reportant mon attention sur la télévision. « J’aurais adoré avoir une jumelle », soupira Anna en replaçant l’album sur l’étagère avant d’en prendre un second et de le reposer après une minute d’observation silencieuse. « C’est bien mais ça peut vite devenir un cauchemar, comme quand ta jumelle décide de faire la guerre des tranchées parce qu’elle ne voulait plus d’une chambre unique », répliquai-je en soupirant longuement. Ca avait pris Lila un jour, l’année de nos treize ans. Elle était revenue furieuse d’une sortie avec ses idiotes de copines et avait décrété qu’une chambre partagée c’était pour des gamins. S’était ensuivie une longue bataille entre elle et nos parents au terme de laquelle elle avait eu gain de cause, après l’intervention paternelle dans en sa faveur. « Mais c’est des bons moments quand même », objecta Anna en souriant et en me montrant une photo de Lila et moi, endormis l’un contre l’autre sur le canapé, quand on devait avoir environ quatorze ans. Une enveloppe s’échappa de l’album et Anna se baissa pour la ramasser. « ‘’Micah, trois ans’’ », lut-elle sur l’enveloppe. Une alerte rouge se mit à hurler dans mon esprit. « Anna, je t’en supplie ne fait pas ça », m’écriai-je en la suppliant du regard. « Pourquoi ? C’est mignon », répliqua ma petite amie avec un sourire éblouissant. « Parce que j’avais une passion pour la naturisme quand j’avais trois ans et que ces photos sont vraiment humiliantes », gémis-je misérablement. « Et si j’ouvre ? », rétorqua-t-elle, amusée. « Je te tue », menaçai-je. « Je voudrais bien voir ça », dit-elle en éclatant de rire. Elle ouvrit le repli de l’enveloppe et l’agita, triomphante. Je bondis par-dessus le dossier du canapé tandis qu’elle s’engouffrait en riant dans la cuisine. « Si tu l’ouvres, je te jure que je te le ferais payer », menaçai-je encore tandis que nous nous fixions de part et d’autre de la table. Anna se remit à rire et partit en courant vers le couloir avant de s’engouffrer dans ma chambre. Je l’attrapai par la taille et la soulevai un instant tandis qu’elle se débattait en riant. « Je me rends, je me rends », cria-t-elle avant que je ne la laisse tomber sur mon lit. Elle me tendit l’enveloppe, résignée, et je la fis disparaître dans le tiroir de la table de chevet, satisfait. « T’as quand même essayé de me trahir », bougonnai-je en faisant mine de bouder, assis sur le bord du lit. « Oh, allez mon cœur boude pas pour si peu », répliqua gentiment Anna, assise en tailleur, en me pinçant tendrement le bras. Elle s’approcha de moi et me fit face à une poignée de millimètres seulement. « C’était juste pour rire », s’excusa-t-elle avant de m’embrasser brièvement. « Je sais », lui souris-je. Je l’embrassai à mon tour et bientôt, Anna m’attira sur elle. « Anna », prévins-je en repoussant doucement ses mains qui tentaient de retirer mon tee-shirt. « Ça va, ça va », soupira-t-elle en levant les mains en signe de reddition. Je me laissai tomber à côté d’elle et nous restâmes un bref instant silencieux. Anna se redressa sur un coude et me dévisagea. « Tu sais que ce serait génial. Tu n’as qu’un mot à dire pour ça », murmura-t-elle en glissant ses doigts entre les miens. Je soupirai encore. « Je pense pas que ça soit le moment, Anna », murmurai-je en retour. Elle me caressa la main. « J’aurais jamais cru être gênée dans ma vie par une maudite bague », soupira-t-elle. Je fixai à mon tour l’anneau d’argent que je portais depuis cinq ans maintenant. Lila avait le même — en version féminine, évidemment —, et nous avions jurés de ne pas le retirer tant que l’autre ne serait pas en couple avec une personne que l’autre jugeait acceptable. Ca paraissait bancal comme accord, mais nos yeux c’était une chose réellement importante ; et même si les gens s’évertuaient à penser que peut-être que nous n’étions pas relativement honnêtes entre nous deux, je savais rien qu’en regardant ma sœur qu’elle n’avait pas trahi notre promesse. C’avait toujours été fusionnel entre nous. Et pour le plus grand malheur de mes hormones, Lila et Annalisa ne s’entendaient pas. Du tout. A se demander si elles avaient une chose en commun à part moi — et j’avais finis par comprendre qu’effectivement, elles n’avaient rien que je sache en commun. « C’est la suite logique Micah… Eh quoi, tu vas attendre toute ta vie que ta sœur accepte enfin que ta copine lui plaise ? », répliqua Anna. « Mais non, pas toute ma vie. Mais je lui fais confiance » « Et moi je te fais confiance. Je t’aime, tu m’aimes. C’est une suite logique, Mic. Une suite logique. Ta sœur voudra jamais d’une autre femme dans ta vie, et ça ne changera pas, que tu sois puceau ou pas », reprit Anna d’une voix douce même si je savais qu’intérieurement elle bouillait. Il y eut un long silence pendant lequel l’ange et le démon se battirent en duel sur chacune de mes épaules. Le cheminement de mes pensées fut si rapide, emmêlé, compliqué, que je ne me rappelais jamais vraiment ce qui m’amena à prendre la décision qui suivit. Je fixai un moment la bague de chasteté qui ornait mon doigt et finis par l’enlever et l’enfermer dans le tiroir de ma table de chevet. « T’as raison », soupirai-je en souriant finalement. « Je t’aime », murmura Anna en m’embrassant, tandis que son corps se plaquait contre le mien.
28 septembre 2013 — « Micah, trésor, qu’est-ce que tu fais, on a besoin de toi pour charger les cartons », m’avertit ma mère en se tournant vers moi, une pile de livres entre les mains. Je la regardai à peine et enfilai ma veste. « Je reviens, je vais prendre un l’air », prétextai-je. Je n’attendis pas sa réponse et claquai la porte derrière moi. Je dépassai l’ascenseur, qu’il fallait toujours attendre des heures, et commençai à dévaler les marches quatre à quatre, le cœur battant. Je ne pensais à rien précisément, si ce n’était le prénom de celle que j’aimais, qui se répercutait en écho dans mon esprit à chacun des battements de mon cœur dans ma poitrine. Qu’importait que je quitte cette ville, mais la quitter elle sans avoir pu m’expliquer avec elle était inconcevable. Je sortis de l’immeuble en manquant de percuter les passants autour de moi. Je m’excusai parfois, ignorai beaucoup. Je n’avais pas le temps pour la politesse, les minutes étaient comptées. Dans moins d’une demi-heure, on levait le camp, les camions allaient partir et l’on devait partir avec eux. Encore. Je me mis à courir, courir, courir. Courir comme si ma vie en dépendait, mis toutes mes forces dans la course, le sang battant à mes tempes, mon cœur tambourinant avec une sorte de vrombissement lointain dans mon esprit. Je finis par arriver dans le parc où nous nous étions connus. C’était une triste ironie mais c’était peut-être le signe que tout n’était pas perdu définitivement. Elle était bien là ; assise sur le banc, son regard perdu vers le square des enfants, la brise automnale animant ses cheveux blonds d’un léger mouvement. « Anna », m’écriai-je en franchissant la barrière. Elle tourna vivement la tête vers moi et se leva. « Je croyais que tu viendrais pas », dit-elle simplement. Je repris mon souffle une seconde tandis qu’elle me dévisageait en silence. « Je suis venu », me défendis-je, coupable. « Ecoute Anna, je t’aime, et je veux que tu saches que je serai là pour tout. Absolument tout », repris-je avec empressement. Elle eut un sourire glacial, et je décelai une note de rage et d’amertume dans son expression. Le regard que j’aimais me renvoyait mes erreurs en plein face, comme une gifle cinglante. « Micah, arrête de te justifier. Tu ne feras rien de tout ça, et tu le sais. Dans moins d’une heure tu seras parti et moi je serais là comme une conne », répliqua-t-elle avec aigreur. « Tu ne me fais pas confiance ? Tu penses que je raconte des conneries pour te faire du mal ? », m’écriai-je, furieux. « Et tu crois que je suis tombée enceinte rien que pour te gâcher la vie ? », explosa-t-elle à son tour. Il y eut un silence bref pendant lequel nous nous regardâmes sans rien dire. « Ce bébé c’est le mien aussi… Je veux être là pour toi et pour lui », repris-je dans un murmure en effleurant son bras. Annalisa m’arracha son bras violemment. « Arrête tes conneries. Tu crois quoi ? Qu’est-ce qui te fait croire que c’est toi, le père ? T’as été barré un mois je te signale. Il s’en passe des choses, en un mois », rétorqua-t-elle, avec un sourire cruel. Elle m’aurait giflé je n’en n’aurais pas moins souffert. « Tu crois que je vais te croire ? Tu mens pour me faire du mal, je sais quand tu mens », contrai-je douloureusement, vaille que vaille. « Peu importe. Tu sais ce que j’ai été faire il y a quatre jours, quand j’attendais désespérément que tu répondes à mes appels ? J’ai avorté. AVORTE. D’accord ? Alors maintenant tu vas retourner jouer avec tes baballes et te tirer je ne sais où et on va arrêter de faire comme si on avait quelque chose en commun », lâcha-t-elle finalement. Elle croisa les bras et me dépassa en se dirigeant vers la sortie du parc. Du moins le présumai-je. Je restai un moment le regard fixe, dans le vague, la bouche entrouverte. La buée se formait à chacun de mes souffles, suspendant ma respiration dans l’air givré de l'automne. Les minutes se succédèrent et je finis par avancer d’un pas, puis d’un autre, avec une lenteur douloureuse et choquée vers la sortie du parc. Chacun des battements de mon cœur était une brûlure sur mes sentiments, sur ma vie, une marque au fer rouge sur mes pensées. C’était autant de poignards qui se plantaient dans mon être éprouvé. J’étais dans un état second. Dévasté. Tout était flou. Incompréhensible. Je ne remarquais rien autour de moi. Ni les grilles du parc se dressant dans la froideur de fin d’année, ni les passants que je percutais et qui me lançaient des regards courroucés. Je ne remarquais ni le gazon sous mes pieds, ni le bitume du trottoir, ni le macadam de la route. Je ne remarquais pas non plus le feu rouge et les dizaines de regards suspendus à mes pas de part et d’autres de la rue. Je ne remarquai même pas la berline noire et coûteuse qui s’avançait en vrombissant vers moi. Je n’entendis qu’une sorte de bruit de fin du monde, une douleur qui me submergea et déferla dans tout mon corps, perforant mes muscles et mes os dans une souffrance infinie qui n’éclipsait que de façon fugace celle de mon cœur. Il y eut des dizaines de cris, de bruits, avant que l’obscurité ne se referme sur moi, et que je sente l’espace d’une seconde la douloureuse sensation du bitume gelé contre ma joue.
● Elle est la fille du Ministre de l’Intérieur américain et d’une styliste multimilliardaire. Elle a un petit frère et une petite sœur, le premier âgé de seize ans et la deuxième, adoptée, de douze ans. Elle est très proche d’eux surtout de sa petite sœur Shaya Zaranide.
● Elle a été engagée dès son plus jeune âge comme mannequin bébé puis enfant. Elle dit souvent en riant qu’elle a deux passions dans la vie : la politique et le mannequinat. Aussi étrange cela puisse paraître, elle se passionne véritablement pour l'univers de la politique gouvernementale et excelle dans ses études supérieures. Le mannequinat demeure un de ses passe-temps favoris, même si les gens ont du mal à croire qu'elle ne le fasse que pour le plaisir.
● La partie de son corps qu'Anna préfère sont ses yeux, qui sont d'un bleu assez exceptionnel. Les marques de cosmétiques s'arrachent son minois pour sa peau parfaite et ses beaux yeux bleus.
● Elle est enceinte de 8 mois mais déteste parler de sa grossesse, parce qu’elle se sent coupable. Elle a songé à avorter au début puis a renoncé par amour pour ce petit être qui grandissait en elle. Elle a décidé d'appeler son fils Milan, en souvenir d'une discussion avec Micah.
● Elle a été engagée dès son plus jeune âge comme mannequin bébé puis enfant. Elle dit souvent en riant qu’elle a deux passions dans la vie : la politique et le mannequinat. Aussi étrange cela puisse paraître, elle se passionne véritablement pour l'univers de la politique gouvernementale et excelle dans ses études supérieures. Le mannequinat demeure un de ses passe-temps favoris, même si les gens ont du mal à croire qu'elle ne le fasse que pour le plaisir.
● La partie de son corps qu'Anna préfère sont ses yeux, qui sont d'un bleu assez exceptionnel. Les marques de cosmétiques s'arrachent son minois pour sa peau parfaite et ses beaux yeux bleus.
● Elle est enceinte de 8 mois mais déteste parler de sa grossesse, parce qu’elle se sent coupable. Elle a songé à avorter au début puis a renoncé par amour pour ce petit être qui grandissait en elle. Elle a décidé d'appeler son fils Milan, en souvenir d'une discussion avec Micah.
Mot du créateur
❖ PSEUDO Le prénom n'est absolument pas négociable, j'y tiens beaucoup Les noms de famille sont négociables mais j'ai une passion pour les noms doubles et j'aime beaucoup ceux-ci.
❖ AVATAR Difficilement négociable, je trouve Ginny parfaite dans le rôle
❖ PRÉFÉRENCE DE GROUPE Je dirais qu'Anna a tout pour être une Cabot et tout pour être une Eliot. Je la vois très difficilement dans une autre confrérie.
❖ ACTIVITÉ DEMANDÉ Je ne demande pas forcément une connexion 24h/24, mais j'aimerai pouvoir connaître la personne qui prendra Anna, la voir se sociabiliser et passer souvent. Si c'est pour ne venir qu'une fois par semaine, c'est pas trop la peine quoi :rio:
❖ NIVEAU RP DEMANDÉ Je ne demande pas un niveau de RP formidable, mais je peux facilement aller jusqu'à 1000 mots :gloomy:Au niveau des fautes, pensez que c'est agréable pour votre partenaire quand il y en a peu
❖ AVATAR Difficilement négociable, je trouve Ginny parfaite dans le rôle
❖ PRÉFÉRENCE DE GROUPE Je dirais qu'Anna a tout pour être une Cabot et tout pour être une Eliot. Je la vois très difficilement dans une autre confrérie.
❖ ACTIVITÉ DEMANDÉ Je ne demande pas forcément une connexion 24h/24, mais j'aimerai pouvoir connaître la personne qui prendra Anna, la voir se sociabiliser et passer souvent. Si c'est pour ne venir qu'une fois par semaine, c'est pas trop la peine quoi :rio:
❖ NIVEAU RP DEMANDÉ Je ne demande pas un niveau de RP formidable, mais je peux facilement aller jusqu'à 1000 mots :gloomy:Au niveau des fautes, pensez que c'est agréable pour votre partenaire quand il y en a peu
(Invité)