Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityBip-Bip&Vil Coyote. J'adore te câliner, rhooo Ö - Avec Rarr **'
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Bip-Bip&Vil Coyote. J'adore te câliner, rhooo Ö - Avec Rarr **'

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Des envies, comme ça? Bien sur, et pourtant, je n'étais pas enceinte, loin de là à moins que le Saint Esprit existe. J'avais une envie de tendresse, mais quand j'en voulais, c'était à ma façon. J'avais envie de voir Jader! Ce n'était pas une personne comme les autres, en plus d'être professeur, c'était aussi mon nounours, bien qu'il s'évertuait à essayer de me fuir, je ne perdais jamais espoir avec lui, j'adorais lui sauter dans les bras. J'avais l'avantage de ne pas être aussi faible que les autres femmes, je pouvais répondre s'il se décidait à le faire, mais je profitais de mon pouvoir de femme. Aujourd'hui, je m'étais amusée à me glisser dans le cours de philosophie, en aillant mis une paire de lunettes et une petite perruque brune, histoire qu'il ne me reconnaisse pas sur le coup. J'attendais sagement que le cours se termine, et pendant que les autres élèves partaient, moi je me dirigeais vers lui, grand sourire aux lèvres. J'attendais encore quelques secondes pour que nous soyons seuls et faire tomber ma perruque et mes lunettes, et bien sur, je lui sautais sur son dos, le serrant fort contre moi, entourant ses hanches pour être sure qu'il ne me résiste pas. « Hmm Rarr!! J'adore avoir des câlins de toi! » Même si ce n'était pas plutôt moi qui les donnait, j'adorais ça. Je déposais des bisous sur sa nuque avant de poser ma joue dans sa nuque, je ne céderais pas, je resterais sur lui. « Je t'adoreuuuh Ö ! Avoues que tu aimes me câliner, saligaud! »
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Encore une des ses journées ennuyantes où il faut enseigner à ces pauvres élèves la philosophie, l'histoire de la philosophie, les pensées et les grands philosophes. La plus part ne s'intéresse même pas à cette matière mais sont obligées d'y assister dû à leur cursus. Ca me donne limite envie de rire tout ça. Il n'y a que ces quelques élèves rares qui s'intéressent réellement à la matière que j'enseigne, qui sont passionnés par cette chose si complexe qu'est la philosophie. Non, ce n'est pas une simple matière où on peut débattre sur différentes idées ou principes. Il faut une connaissance bien plus développée des idées, concepts, principes que l'histoire du monde a mis en place. Seulement, les élèves qui se trouvaient en face de moi, en avaient pas grand chose à faire de ses notions philosophiques. La plus part ne pensaient soit qu'à leur héritage, soit qu'aux désirs charnelles qui les emportent vers un monde ailleurs. Sur tout les élèves qu'ils y avaient en face de moi, je pouvais compter ceux qui écoutaient sur les doigts de ma main.

La sonnerie de fin de cours retentit enfin. Ce n'est pas trop tôt. Un brouhaha imminent se mit en place et les élèves se ruaient vers la sortie, voulant à tout pris quitter cet auditorium pour rejoindre les couloirs et les différents hall et maisons. Je me dirigeais vers mon bureau pour ranger mes affaires. Il n'y avait plus un bruit dans la pièce. Je me résumais à ce que dont tout le monde avait quitté la salle. J'ai du me tromper. Brusquement quelqu'un me sauta sur le dos. « Hmm Rarr!! J'adore avoir des câlins de toi! » Teodora. Je reconnue sa voix. Je ne l'avais pas vu parmi les élèves. Je regardais autour de moi et vis une perruque. Un léger sourire s'afficha au coin de mes lèvres. Cette fille ne changera donc jamais. Elle avait pour but de me câliner le plus possible. Chose que moi je détestais le plus au monde. Je l'évitais comme on évitait la peste. Je sentais qu'elle me déposait des bisous dans la nuque. Machinalement, j'écartais ma tête d'elle. Qu'est-ce qu'elle peut être collante cette fille et je parie combien, que maintenant qu'elle a réussi à m'avoir dans ses bras elle ne va pas me lâcher. Je laisse échapper un soupire.« Oui oui je t'adore, et j'aime tes câlins mais maintenant lâche-moi et descend de mon dos. dis-je froidement.»


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HJ ; pardon pour le retard, je réponds plus vite maintenant ;_;
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J'étais comme une enfant qui retrouvait quelqu'un qui lui était proche, à l'exception que je ne connaissais pas vraiment Jader, je savais juste qu'il était professeur de philosophie, mais sans plus. Je m'en foutais que ça pouvait choquer des personnes de voir une fille de mon âge sauter dans le bras d'un professeur, mais ça m'amusait, surtout si c'était Jader. Je savais qu'il n'appréciait pas, il était tout le temps froid avec moi quand je faisais ça, mais je m'en amusais de ça, qu'il refuse tout contact, il fallait juste le forcer un peu. « Oui oui je t'adore, et j'aime tes câlins mais maintenant lâche-moi et descend de mon dos. » me dit-il alors. Ça se sentait qu'il n'était pas honnête, je le savais comme ci je l'avais fais! D'ailleurs, ce n'était pas pour autant que j'allais lâcher l'affaire avec lui.

TEO « Non, je te crois pas! Tu dis ça depuis toujours! Je commence à te connaître un peu tu sais! »

Je riais, et m'aidant avec une de mes jambes, j'essayais de grimper sur Jader pour me retrouver devant lui, mais manque de bol, ce que je n'étais pas vraiment doué pour faire de l'escalade sur les personnes, ce n'était pas vraiment ma tasse de thé, et je ne réussissais qu'à tomber dos au sol, emportant bien évidemment le professeur qui se retrouvait au dessus de moi. Je l'avais tenu fermement, malgré la douleur que j'avais au dos, je continuais à rire de ma bêtise.

TEO « Vous avez vu? Je ne vous lâcherais pas! J'adore vous faire des câlins, laissez moi rester comme ça! Ça va pas vous tuer! Il n'y aura pas mort d'hommes. » dis-je en riant de plus bel.

Sur mes mots, je glissais mes jambes au dessus de ses cuisses pour le maintenir contre moi. J'espérais qu'il ne soit pas trop fort pour se défaire de ça, je savais que même si je pratiquais les arts martiaux, tous les garçons me battraient question force physique, mais je tenais bon. Je calais mon visage dans le creux de son épaule, fermant les yeux.
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Mon dieu, mais qu'elle arrête. J'en pouvais plus de son rire aigu, de sa manière à s'accrocher moi comme si j'étais un objet personnel ou un quelconque doudou qui lui appartenait. Je détestai ce genre de comportement. Personne n'appartenait à quiconque et encore moins moi. Cette habitude a vouloir toujours tout avoir pour soi, c'était tellement enfantin. Comment pouvions-nous décider que quelque chose nous appartenait alors qu'en vérité, nous n'étions rien comparé à cette ou à ce quelqu'un? Ces idéaux égoïstes et imbus que je haïssais tant. Je n'ai jamais compris quel but se cachait derrière eux. Il n'y en a pas alors j'étais venu à conclusion que ce n'était qu'un simple désir passionnel. Teodora essaya de grimper par dessus mon dos. Cela commençait vraiment à me pomper l'oxygène des nerfs. Bien sure, il fallait absolument qu'elle se ramasse par terre, m'entrainant avec elle. Je me retenais de m'écraser sur elle en m'appuyant sur une main, de l'autre, faisait tout pour qu'elle me lâche. Mais elle semblait tenace, passant une jambe autour de mes cuisses pour me retenir serrer contre elle et plaçant sa tête dans le creux de mon épaule. Je me gelai. J'avais horreur de cette proximité. J'étais mal à l'aise. Ca me stressait. Il y avait en moi quelque chose qui haïssait au plus profond de mon être cette proximité avec un autre être humain. Il n'y avait rien de pire que de se sentir envouté par l'odeur de l'autre personne. Je suffoquai presque dans les bras de Teodora. Il fallait que je me défasse de son emprise le plus vite possible. D'un coup sec, je poussais sur mon bras et me relevai, entrainant malheureusement la jeune fille avec moi. OK. C'est vraiment pas ce que je voulais. Je soupirais une nouvelle fois. « Teodora, s'il te plait,, lâche moi. dis-je d'un ton ferme et sec. »


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HJ ; mille fois pardon :TT:
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Il se défaisait de mon emprise sur lui, peut-être même plutôt violemment je dirais. J'étais restée avec lui, sur lui. Je le tenais fermement, espérant qu'il ne soit pas violent avec moi comme il l'avait été pour se relever. « Teodora, s'il te plait,, lâche moi. » me dit-il froidement. Il ne semblait vraiment pas motiver à me garder contre lui, et j'en avais une grand habitude. Mais, j'étais têtue, je n'allais pas le lâcher comme ça. T'es nul, tu as une fille superbe dans tes bras, qui n'attends simplement que tu la câlines tendrement et toi tu...la repousses, tu me repousses! T'abuses pas un peu ? Tu serais pas homosexuelle ? Sérieusement, c'est vraiment vexant. Je soupirais, et soudainement, je fus éclairée par une idée plutôt machiavélique. Je dé-serrai mon étreinte autour de ses hanches pour me retrouver debout mais toujours aussi proche de lui, je gardais mes bras autour de son cou. Bon... Je glissais mes mains le long de torse, descendant alors jusqu'au bord de son pantalon, défaisant le bouton de son pantalon. J'avais en tête de voir jusqu'où il refusait une fille, le contact d'une fille. J'avais des idées extrêmes mais je m'en foutais car je savais que je ne ferais rien de répréhensible si finalement il se laissait faire, je savais que je ne ferais rien. Te laisses-tu faire? dis-je sur le ton d'un défi. Un jour, je réussirais à le faire craquer, et si le mec était homosexuelle, c'était vraiment du gâchis, il était très beau ça serait dommage...
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Je soupirais. Teodora devenait plus que lourde. Elle me gonflait. Si seulement ce n'était pas une fille, j'aurai été beaucoup plus violent, et je lui aurai fait comprendre que ce qu'elle faisait là me pompait grave les nerfs. Heureusement que j'avais encore une certaine retenue et une certaine éducation. On m'avait toujours appris qu'une femme ça se respectait qu'on l'apprécie ou non. Une femme c'est sacrée, et la plus sacrée des femmes sur cette Terre, c'est ma soeur. Katell, la seule fille qui a jamais réussi à rester en ma présence plus de deux heures sans que je devienne exécrable ou d'une certaine méchanceté. c'est la seule. Les autres, elles n'ont jamais rien réussir. C'est surement pour cela que je n'ai jamais couché avec quelqu'un. Je n'ai jamais ressenti ce besoin de chair, ce désir. De toute façon, cela ne sert à rien. Même si l nature humaine prône cette chose, et que chaque personne finit par y céder. Il faut céder à la tentation comme on dit. Non, pas pour moi. Elle m'exaspère. Elle ne semble pas vouloir lâcher prise. Elle me parle d'homosexualité, de repousser une si jolie fille qui se trouve présentement dans mes bras. Au moins, elle n'a pas de modestie et ça c'est clair. Ca me fait rire en vérité. La modestie ne fait tellement pas de notre morale. Nous essayons tous de l'autre mais personne ne peut d'empêcher de se vanter et de se mettre en avant. La réaction de Teodora me fait presque rire en vérité. Cependant, je reste impassible, mes bras longeants mon corps svelte. « Non et non. Maintenant, tu n'as pas cours? Tu devrais y aller sinon je ferais en sorte que tu sois sanctionnée pour seche. lui jetais-je froidement. »


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J'essayais de le séduire, de voir s'il était vraiment impassible aux femmes et donc, gay ou alors était-ce une façon de résister à un étudiante qui voulait coucher avec lui? Je n'en savais rien mais j'essayais de savoir en le chauffant comme je le pouvais, même si je me sentais énervée car il ne réagissait pas de suite. « Non et non. Maintenant, tu n'as pas cours? Tu devrais y aller sinon je ferais en sorte que tu sois sanctionnée pour sèche. » me dit-il d'un ton qui ne me plaisait pas du tout. Je fis une petite moue boudeuse, mais ça ne m'impressionnait pas. Non mais sérieusement, j'avais l'appuie d'une famille qui avait de l'influence sur l'administration de l'université, et il croyait vraiment que ça allait me faire peur? Je défaisais le fermeture éclair de son pantalon, frôlant le caleçon du professeur du bout de mes doigts. Croyez vous pouvoir me faire peur? Il y a beaucoup d'élèves dans cette université qui ont plus de pouvoirs que vous... Je saisissais son « organe » entre mes doigts, pas fort quand même, je n'étais pas là pour le castrer. J'approchais mes lèvres à son oreille. Et j'en fais partie... Malheureusement pour vous, ça ne ferait que vous mettre dans une galère pas possible si vous essayez de me faire du tort. Et croyez moi que sous ce visage d'ange, je suis capable de bien des choses, Professeur... le sujet de conversation avait carrément viré de mon attitude bisounours avec lui à une attitude de femme fatale que je n'arborais seulement qu'en fasse de Matteo, de Nikolaï ou encore pour des affaires mafieuses lorsque je parlais au nom de ma famille. Pourquoi me refusez-vous, Professeur Ocotlan ? le questionnais-je alors.
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