C'est le 6 février 1983 à Avilès, en Espagne, que les membres de la famille Stevens m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Esperanza, Angeline. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis homosexuelle et j'en suis fiere. Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Design de mode, en majeur, et de théâtre en mineur depuis un an et travaille en parallèle de mes études en tant que critique de mode pour une presse spécialisée, ainsi qu'artiste peintre. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Students.
Esperanza A. Stevens
Looks alot like Kate Beckinsale
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Starbuck et j'ai 26 ans. Je suis à la frontière française et j'ai connu le forum grâce à un top-site. Je cherchais un forum université assez sympathique et se démarquant des autres alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Kate Beckinsale comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Starbuck. Je fais environ 600, voire plus, mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Laissez venir à moi les petits enfants (a) Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?) participer à la roulette RP (?)
APRÈS LA BOMBE Esperanza était au cœur des couloirs de l’université lorsque la bombe a explosé. Il y eut un grand boum, un gros nuage de poussière. Elle leva les yeux en l’air, une paroi du plafond vint à elle. Tout devint noir. Lorsqu’elle se réveilla, elle était allongée dans un lit d’hôpital, un lourd bandage autour de la tête et diverses traces de blessures mineures sur les bras. Si, à l’origine, l’on aurait pu espérer à un simple mal de crâne, le morceau de plafond qui s’est effondré sur elle fut la source d’un solide traumatisme crânien aux différentes séquelles. Miraculée, sa personnalité enjouée, pleine d’assurance et de femme pleinement consciente a totalement changé. De par ledit traumatisme, Esperanza est devenue une femme perdant toute confiance en elle. Elle s’est renfermée, est devenue beaucoup plus timide, ne parvenant plus à percevoir le monde comme auparavant. Son inconfort dans la vie de tous les jours est semblable à celui d’un autiste se réfugiant dans son univers et ses zones de conforts, de sécurités. Elle peut désormais passer du rire aux larmes en deux secondes, de la plénitude à l’hystérie en un simple toucher de main. Son regard est beaucoup plus sensible et incisif concernant les créations artistiques dont elle peut désormais se perdre des heures entières dans la contemplation, se laissant emportée dans un autre monde plus apaisant pour elle. Elle souffre de changements d’humeur constants mais, aussi, d’une incompréhension pour toutes les consignes complexes ou, encore, les choses exprimées au second ou au troisième degré. Ses symptômes s’élèvent également à un déficit de ses acuités auditives, ne parvenant plus à réellement distinguer les murmures, excepté si c’est réalisé au creux de son oreille. Et, également, des tremblements au niveau de ses mains se manifestant de manière totalement imprévisible et aléatoire. Esperanza a été prise dans la violence de la bombe et autant avouer que cela a radicalement changé son quotidien depuis lors. Victime à sa manière, elle n’a même plus conscience des changements qui se sont opérés en elle.
STUDENTS Esperanza, du haut de ses trente ans lorsqu’elle est arrivée sur le campus, ne se sentait nullement l’envie, ni même le besoin de rentrer dans tous ces conflits de ‘gamineries’, tels qu’elle les considérait à l’époque, entre les différentes confréries. Elle préféra conserver une certaine indépendance quant à son statut d’étudiante, au même titre qu’être libre de côtoyer qui elle le voulait sans qu’une présidente de maison, ou d’autres camarades de la même sororité ou fraternité ne vienne lui faire une montagne de remarques sur la politique d’une maison ou la nature des personnes bonnes à fréquenter ou non. Elle n’est jamais réellement rentrée dans un moule de sa vie et elle ne tenait pas à ce que cela change. Ainsi donc, notre charmante trentenaire n’a jamais voulu être plus qu’une simple étudiante parmi tant d’autres, et qu’importe que cela puisse avoir des aspects négatifs. Une liberté université passe avant tout par une liberté de choix : voilà ce qu’elle fait, tout simplement !
Nos vies se régissent par une notion à la fois simple et élémentaire : celle de la différence ! Cette même différence qui définit chacune de nos existences, chacune de nos personnalité et chacun de nos choix. Cette notion particulière qui nous permet d’être uniques en notre genre, avec des caractéristiques propres et bien précises. Tel est ce qui enrichit notre monde et l’existence de l’être humain, dans son ensemble, au quotidien. Néanmoins, ladite différence se témoigne parfois avec plus ou moins d’importance. Des personnes se détacheront du moule commun par un simple trait de caractère. D’autres se définiront par une existence sortant totalement des sentiers battus et que l’on n’ose même pas imaginer. Et, enfin, certains jongleront avec cette limite d’être à la fois dans la norme et à la fois à côté de la vie simple et traditionnelle que tout un chacun puisse connaître. Et telle est cette dernière catégorie dans laquelle nous nous perdrons afin de mieux comprendre qui est réellement Esperanza Stevens !
Native d’Espagne, d’une mère espagnole et d’un père américain, la vie d’Esperanza commença par le charmant métissage de ces deux cultures différentes. Elevée comme une espagnole, elle n’en goutait pas moins à l’apprentissage de la langue paternelle, ainsi qu’à la découverte de la régie d’une vie sur les terres de l’oncle Sam et, ce, même si elle ne fut jamais conviée à s’y rendre durant son enfance. Enfant à la fois très éveillée et extrêmement curieuse, Esperanza aimait apprendre, découvrir et élargir son panel de connaissance. Une ouverture sur le monde et une rapidité non-négligeable d’assimilation qui ne manquèrent pas d’échapper à ses parents. Si on aurait pu estimer que cela était normal chez un enfant, il y avait l’une des différences susnommées dans le comportement et la nature des intérêts d’Esperanza. L’enfant se perdait dans son imaginaire mais tout en guettant chaque réalité et de chaque vérité propre au monde adulte, afin de mieux maîtriser de telles connaissances, de tels savoirs et de telles valeurs. Un intérêt qui la différencia et, de ce fait, l’isola d’avantage de ses autres camarades de son âge. A l’école ou à la maison, Esperanza demeurait une personne très solitaire. Elle s’ennuyait avec les autres enfants. Elle s’ennuyait lorsque son esprit et sa réflexion n’étaient pas mis en marche. Elle s’ennuyait lorsqu’elle ne pouvait rien apprendre, rien découvrir, de nouveau. Toutefois, c’est avant tout pour ces troubles de comportements ‘sociaux’ que ses parents l’emmenèrent voir un psychologue. La vérité tomba tel un couperet : Esperanza n’avait même pas dix ans qu’on lui déclara un quotient intellectuel largement supérieur à la moyenne. Esperanza était-elle différente ? Oui : elle était surdouée !
Les parents de la jeune hispanique veillèrent à ne pas cultiver cette différence, entendons par là que, certes, ils lui donnèrent les atouts pour qu’elle puisse faire travailler son esprit et sa logique, mais jamais ils ne la mirent sur un piédestal ou ne la considérèrent comme supérieure aux autres enfants, et autres personnes qu’elle pouvait rencontrer. Leur but était d’offrir, tel qu’il le pouvait, une existence normale à leur petite fille. Seulement, si cette normalité su s’épanouir durant les onze premières années de vie d’Esperanza, son douzième anniversaire ferait voler en éclat ce petit quotidien tranquille et épanouissant. Un après-midi à la maison, près de son père, pendant que la mère était partie chercher le gâteau de son petit trésor. Un gâteau qui n’arrivera jamais… Et une mère qui ne rentrerait plus à la maison. Enlevé par un tragique accident de la route, Esperanza vit une partie de son petit univers se briser à jamais, par lequel elle ne fêtera plus jamais son anniversaire. Ce qui aurait dû être un énième jour de fêtes et de joies ne demeura plus qu’un souvenir sombre, douloureux… Un jour de deuil. Terrassé par les souvenirs et la douleur, le père d’Esperanza enterra son épouse et en fit une partie de son deuil au cœur même de ces terres d’Espagne où il n’avait eu de cesse d’aimer cette femme. Mais l’homme avait besoin de changement. L’homme avait besoin de conserver l’amour de son aimée dans son cœur mais sans vivre au cœur des fantômes d’un passé révolu désormais. Ainsi emmena-t-il sa fille vers de nouvelles terres, vers de nouvelles contrées. Espagne de naissance, adieu à ton royaume et salutations à l’empire américain tout puissant du fameux oncle Sam !
Nouvelle étape, nouvelle école et nouvelle vie. En plus de son chagrin, Esperanza dû faire face à l’acclimatation d’un nouvel univers. Perdue, égarée dans un monde devenu soudainement trop grand pour une jeune adolescente en deuil, c’est en ces sombres instants que la jeune demoiselle trouva refuge dans ses premières formes artistiques. L’acquisition d’un instrument, l’apprentissage du violon. Outil de musique à travers lequel le cœur et l’émotion se libère. Esperanza appris, de manière autodidacte, à se servir de cet instrument complexe qui devint son meilleur et son plus fidèle ami. Témoin de ses confidences les plus profondes, musicien de ses émotions les plus enfouies, il hurlait de sa sonorité ce que la demoiselle gardait enfouie en elle. Néanmoins, à la musique se joignit un art plus visuel : la peinture ! Amatrice d’ouvrages d’art et de bons nombres de tableaux dont elle n’avait eu de cesse d’en contempler les représentations, Esperanza conserva une adolescence renfermée, à l’intérieure de chez elle, à se lancer et se perdre dans la pratique de la peinture lorsque son violon ne l’appelait pas. Deux domaines où elle faisait autant preuve d’assiduité que de talent. Elle avait une patte, un style, une originalité et une empreinte bien distincte dans sa manière d’incarner la musique ou bien de vivre une toile. Ses années collèges se développèrent donc de la sorte : un équilibre constant entre les études et les deux formes d’art qu’elle avait choisi d’elle-même. Il en aura fallu attendre le lycée pour parvenir à éveiller son esprit à la richesse et aux plaisirs des rencontres. Le lycée pour que son deuil vif, à cœur blessé et perdu, finisse par se calmer et que sa nature se voulait prête à aller à la rencontre du monde s’ouvrant à elle…
Que ce soit par nécessité, envie ou dépit, Esperanza n’avait jamais laissé sa chance aux rencontres sociales jusqu’à présent. Mais, à l’adolescence, c’est un aspect riche et tellement important qu’il en est difficile de passer à côté. Et, ce, d’autant que la belle Stevens fut surprise par ses premières démarches d’aller vers les autres. Dans un premier temps, elle fut confrontée à une richesse qu’on ne trouve dans aucun livre, dans aucune toile, ni même aucun instrument. Inconscience comportementale ou maturité d’un esprit fin prêt à aller de l’avant, elle se découvrit le plaisir de découvrir des personnes, des caractères, des différences et des unicités. Une découverte qui lui permit d’ouvrir les yeux sur la tristesse de sa solitude passée, et sur tout ce qu’elle aurait pu connaître en termes de rires, de bons moments et de beaux souvenirs. Un passé, une fois de plus, révolu. Mais dont elle se décida à ne plus commettre les mêmes erreurs. On découvre des amitiés, on découvre des moments partagés, on découvre le plaisir des sorties et des festivités… Et on découvre les plaisirs de la chair par la même occasion. L’énigmatique Esperanza était sortie de sa coquille et se fit un point d’honneur, depuis lors, à profiter de la vie et de l’instant présent sans limite, ni retenue aucune. Au lieu de n’être qu’un petit bout de femme intelligente, elle conjugua sa nature avec celle d’une jeune femme devenant pleine de vie, d’humour, d’amour et d’humeur. Elle se découvrit un nouveau bonheur !
Toutes les prises de conscience et les découvertes ne sont pas toujours bonnes à prendre, ou à avouer. En se donnant au monde, avant de mieux découvrir et comprendre ce dernier, Esperanza apprit avant tout à mieux se connaître, à mieux cerner qui elle était, plus particulièrement sur le plan de la sphère intime. La fin de son adolescence avait mis en évidence les véritables désirs et attirances d’une demoiselle s’ignorant jusqu’alors. Ainsi, la notion même de différence refit surface. Pas de beaux blonds, pas de beaux bruns. Pas de sportifs ou d’intellectuels. Pas de charmants messieurs pouvant se succéder les uns à la suite des autres sous l’image de séduisants prétendants. Esperanza n’avait aucun intérêt, n’avait aucune attirance pour la gente masculine. Sa source de désir et d’affection fut, sans doute possible, les femmes ! Une réalité mise à jour qui, à l’instar de ce qu’aurait pu croire Esperanza, marqua le changement radical de sa routine quotidienne. On pense connaître parfaitement les gens avec qui l’on vit. On pense qu’un parent n’a pas de secrets pour nous lorsque l’on vit avec lui jour après jour sous le même toit. Et pourtant, l’hispanique ne fut jamais consciente de la nature homophobe et virulente de son père sur le sujet. Sa terminale se déroula au sein d’un grand drame familial qui bouleversa les fondations solides de l’existence d’Esperanza. Plus de père, plus de famille. Reniée pour la personne qu’elle était et les préférences étant siennes. Ce fut sans appel qu’elle fut chassée de son domicile pour une nature qu’elle ne pouvait changer. Ce fut pour sa ‘différence’ intime qu’elle fut repoussée et rejetée par ce même homme qui avait essayé de l’élever et de prendre soin d’elle comme une princesse. Une blessure, une cassure, une trahison que le tempérament au sang chaud de la belle ne pardonna pas. Si bien que, malgré la douleur, elle se positionna de manière conflictuelle face à son paternel. Dès lors, ils ne partagèrent plus le même toit et leurs contacts devinrent tout simplement inexistants.
A la fin de sa terminale, gâchée par ce conflit et cette fracture familiale, Esperanza décida de prendre ses ‘petites valises’ et de voyager. La jeune femme avait besoin de voir le monde, de partir à sa découverte. Si les choses avaient été différentes, sans nul doute aurait-elle pris le pli de continuer les études, d’entrer à l’université et de briller de par ses hautes capacités mentales. Néanmoins, ce n’est pas ce qu’elle voulait, ce qu’elle désirait ou ce dont elle avait besoin. Ce qu’il lui fallait, c’était une vive, certes de découvertes, mais d’aventures. Elle voulait un changement au travers duquel, aucune journée ne se ressemblerait. Aucune journée ne serait identique. Aucune journée ne se ferait dans le même domicile. Esperanza ‘gâcha’ ses capacités en partant vivoté à travers les Etats-Unis… Puis vers le monde ! Elle se démena pour obtenir l’argent nécessaire. Soit elle trouvait de petits boulots de serveuses, soit elle se faisait embauché pour une représentation avec son violon ou alors vendait-elle des toiles réalisées à gauche et à droite et lui permettant de continuer ses voyages. Elle alla ainsi des Etats-Unis à l’Amérique du sud. Elle vivota sur le nouveau continent avant de retourner finalement au cœur de son pays natal : l’Espagne. Une Espagne qui fit une porte ouverte pour voyager à travers les autres pays de l’Europe jusqu’à ce que la lassitude ne finisse par la gagner et que son chemin la guide jusqu’aux confins des terres asiatiques. Elle n’a eu de cesse d’apprendre, de découvrir, de parfaire sa culture générale mieux que si elle avait lue des centaines d’encyclopédie. Dix années. Dix années de voyages et de merveilles qu’elle ne pourrait jamais oublier.
Lors de son retour sur les terres de l’oncle Sam, Esperanza déposa ses valises à Cambridge. Elle estimait qu’après autant de temps, le moment était venu de pouvoir donner un véritable sens à sa vie. Comment ? Non plus par des voyages mais bien par la reprise des études. Pendant près de deux années, elle n’eut de cesse de consulter les cursus scolaires, d’en réfléchir sur les débouchés et ce qu’elle voulait réellement faire. Deux années de réflexion et de préparation afin de ne pas faire le mauvais choix. Mais, surtout, deux années durant lesquelles elle travailla également sur la publication d’un roman. Ce dernier, intitulé ‘Un Cœur en mouvement’, faisait référence à l’ensemble de ses voyages et sur la quête autant intellectuelle, spirituelle et sentimentale que n’importe qui peut être un jour amené à réaliser. Elle fêta d’ailleurs la publication de cet ouvrage en s’inscrivant au cœur de la prestigieuse Harvard, désormais certaine de ses choix et de ce qu’elle désirait pour son avenir. Battante, Esperanza se vit confrontée au mariage de ses études avec celui du travail, afin d’assurer son petit quotidien et de quoi vivre au jour le jour. Au moins pouvait-elle compter sur l’avantage de son expérience au cœur de ses voyages et de ses multiples débrouillardises passées. Sans doute était-ce pour cela que les premiers mois ne semblèrent nullement difficiles, ni compliqués, pour la jeune trentenaire. Pourtant, il suffit d’un jour pour que tout bascule ! Un souffle, un bruit, une simple explosion suffit pour que votre vie change, et que votre perception devienne à jamais différente de tout ce que vous aviez connu jusqu’ici !
Aujourd’hui, rien n’est plus comme avant. Le monde de découverte et sans secret que connaissait Esperanza est devenu une atmosphère aussi étouffante qu’oppressante. Impossible d’observer le monde tel qu’il est sans en ressentir des vertiges, un mal-être et une sensation de crainte totale. Tout se transforme, tout se bouscule, tout s’inverse. Le complexe devient d’une simplicité débordante alors que la simplicité nous apparait comme une richesse merveilleuse et incomprise. Une bulle imaginaire, sécurité d’un autre monde dans lequel on se renferme et qui guide chacune de nos nouvelles perceptions. Un imaginaire se développant plus fortement, jour après jour. Un nouveau confort, capable de nous pousser jusqu’à l’hystérie lorsqu’il est saccagé ou dérangé par des intrusions nullement désirées. Faire partie de la réalité mais sans en ressentir les contraintes ou les attaches qui entravent dès lors une créativité totale et plané-entière. Se refermer dans une coquille lorsque la peur d’un contact social ou physique est sur le point de se manifester pour préserver une certaine forme de pureté, d’harmonie et d’innocence, pour néanmoins s’offrir totalement lorsque le moment nous semble opportun. S’accepter et se détester en même temps pour qui l’on est, ce que l’on est. Vivre dans un désordre mental constant, permanent. Vivre dans un terrain miné et dévasté par la souvenir d’une bombe ayant traumatisé le siège de nos consciences et de nos perceptions : le cerveau ! Esperanza n’est plus la même. Esperanza n’est plus la femme, Esperanza n’est plus l’enfant. Esperanza est cette forme de silhouette devenue gracile qui navigue entre les eaux sans parvenir à trouver un port d’attache. Perdition d’une logique et d’un être qui ne sait dans quel univers sa bulle l’emmènera demain, pour continuer de se protéger et de vivre dans son harmonie nouvellement créée.
C'est bien dommage que ton personnage soit homosexuelle, sinon, j'aurais eu de belles idées de liens, haha! Bienvenue quand même et amuses toi surtout =)