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Désolée de te réveiller mais c'est une urgence ▬ Haytam

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Depuis le retour du Spring Break, Dayana ne se sentait pas très bien surtout au niveau de ses yeux. Plus les jours passaient plus la douleur devenait de plus en plus fort, tandis que sa vue commençait à devenir flou mais à une telle densité, cela lui donner envie de se taper contre le mur. Des cris stridents de douleur se fit entendre dans la chambre entre deux sanglots. Essayant de se lever, la blondinette qui l'était redevenue depuis son retour essayait d'attraper son téléphone en réfléchissant à deux fois avant d'appeler son meilleur ami, car elle avait honte d'avoir été complètement bourrée devant Haytam. Tant pis, mettant sa fierté de côté, à l'aide de la commande vocale elle appelle le brun en essayant de calmer les sanglots. Lorsqu'elle entendit qu'il avait décroché, elle dit. - A.. Allo Hay..tam (renifle) pardon de te réveiller et te déranger (petit-blanc), tu peux venir s'il te plait ?? C'est urgent Mer...Merci

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Quelque chose n'allait pas depuis mon retour du Spring Break, il s'était bien des choses et c'était la cohue dans ma tête, je n'arrivais pas à tout assimiler, à tout trier, bref à mettre mon esprit en ordre pour avancer. Il y avait eu toutes ces histoires de faux couples, d'amitié étranges, ces soirées où j'avais bu, où l'on m'avait fait boire, où je me souvenais de rien, pourtant, tout ceci ne me ressemblait en rien, bref j'étais bien heureux d'être rentré et d'avoir retrouvé mon petit train train quotidien. Durant le Spring Break, j'avais réussi à trouver le sommeil, sûrement grâce à l'alcool, malheureusement j'avais souvent un énorme mal de crâne le lendemain, on ne peut pas tout avoir comme on dit. J'étais tranquillement allongé dans mon lit, en train de somnoler, quand mon portable se mit à vibrer, et sur le coup, je me maudissais de ne pas l'avoir éteint. Je sentais alors les bras de Morphée disparaître alors que je décrochais. Au bout du fil, j'avais Dayana qui était totalement terrorisée, en sanglots. Ni une ni deux, je me levais du lit, enfilant un tee-shirt qui traînait et un short en piteux état, et me voilà à courir dans les dortoirs. Je traversais alors le campus en courant et une fois arrivé dans la chambre de la jeune femme, je ne prenais pas le soin de frapper avant d'entrer.

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Pendant le Spring Break Dayana a pu tester une nouvelle activité comme le surf et réaliser un rêve d'enfant. Nager avec les dauphins. Le temps semblait passer lentement ne voyant pratiquement plus rien. La vue de la jolie blondinette était floue. En attendant que Haytam vienne à son secours, la première année essaie de se déplacer en se guidant avec les mains, mais elle se prenait plus de choses dans les pieds en chutant, glissant sur des objets avant d'arriver, elle ne savait pas comment sur son lit. Pour étouffer ses cris, ou du moins les retenir mit sa tête dans son gros coussin, la femme aux yeux verts / bleus entendit la porte claquait contre l'amoire.  - Tu ... tu es où ??? Je vois tout fl...ou On pouvait voir que ses yeux étaient rouges ainsi que son visage. La demoiselle ne s'attendait pas à ce que la maladie la rattrape aussi vite. [/color]

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Je n’avais pas vraiment vu Dayana au Spring Break, à vrai dire, je l’avais seulement vue ivre, m’insultant presque sur cette maudite plage, et depuis, plus rien. Ce n’était qu’une mauvaise passade, je le savais, mais nous avions tous les deux besoin de souffler, de se vider la tête, car la pression n’était pas vraiment redescendue depuis les derniers gros événements. Courant dans sa chambre, je défonçais presque sa chambre pour entrer, j’avais du réveiller les étudiants aux alentours mais qu’importe. Je claquais alors la porte derrière moi et me précipitais sur son lit, la prenant dans mes bras un instant, soufflant longuement afin de faire ralentir mon rythme cardiaque. « Je suis là, ne t’inquiète pas. »

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Assis en taille sur sont lit, Dayana attendait son meilleur ami pour qu'il vient l'aider et surtout la rassurer.  Le temps semblait être affreusement long que le brun était qu'à quelques minutes d'ici dans une autre chambre chez la Dunster House.  Lorsque Haytam défonce presque la porte, la blondinette avait eu un sursaut, ne s'attendant pas à ce qu'il réagisse ainsi en étant stressé, paniqué et inquiet. La femme de vingt-deux ans se laisse prendre dans les bras, posant son front contre son épaule, en tentant de prendre son paquet de mouchoir. Sauf qu'au lieu d'attraper, le fameux paquet, elle attrape tout sauf ça. « Tu peux m'attraper les mouchoirs s'il te plait ??  » Dit-elle en espérant ne pas avoir mouillé le tee-shirt de son ami. Doucement, elle tente de se calmer en prenant de grandes inspirations.   « Je ne sais pas si tu étais sérieux le jour où tu me l'as dit mais tu as trouvé quelque chose comme remède ?? Car je crois que la maladie progresse, de plus en plus vite.  »

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Le temps paraissait soudainement long, c’était limite comme si celui-ci avait décidé de s’arrêter alors que je franchissais la porte de la chambre de la Éliot. J’entendais presque mon cœur battre au son du sien, bien trop rapidement évidemment. Je m’approchais alors d’elle et la prenais dans mes bras pour la rassurer, à vrai dire, je ne savais pas quoi faire d’autre, je n’arrivais pas à m’imaginer ce qu’elle était en train de vivre. À sa demande, j’attrapais alors le paquet de mouchoirs et lui tendais délicatement, puis je prenais une moue compatissante. Mon cœur s’arrêta alors un moment, touché par ces mots, j’étais trop lent, pas assez performant et je me détestais pour ça. « J’y travaille mais… j’ignorais que ta vue allait se dégénérer aussi vite… » Je n’avais pas arrêté d’étudier des cas dans son genre, des essais cliniques, des traitements nouveaux, je passais du temps en labo et à la morgue pour étudier la vue et pourtant, j’avais l’impression de ne pas avancer.

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