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C'est le 29 février 1991 à ville Londres, que les membres de la famille Moriarty m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Scarlett Jazzmyn. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétéro et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée . Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d’architecture (majeur) et danse (mineur) depuis cinq ans et travaille en parallèle de mes études en tant que modèle. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell ou les Cabot. | Scarlett J. Moriarty Looks alot like Cora Keegan |
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Jabberwocky/Sun et j'ai 22 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart. J’ai déjà tenté l’inscription l’an passé en jouant une blondinette du nom de Perrie, et j’avais pas pu rester à l’époque mais… difficile de ne pas envisager un comeback alors j'ai décidé de me réinscrire. J'utilise Cora Keegan comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par homewrecker. Je fais environ 700 et + mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ fin ->
Je souhaite ▲
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)
Mot de la fin ? ▲ fin ->
Je souhaite ▲
participer à la roulette RP (?)
APRÈS LA BOMBE Lorsque la première explosion a retenti, Scarlett se trouvait à l’Annenberg Hall, assourdie par la musique qui pulsait à plein volume de ses écouteurs. Ce sont le mouvement de foule et les hurlements qui l’ont alertée. Incrédulité, choc, horreur : ou comment résumer en trois mots l’imbroglio d’émotions du moment. Durant quelques secondes qui ont semblé s’étirer à l’infini, il n’y a eu que le silence, pesant et douloureux, l’inquiétude croissante à la pensée de ses amis, de ses proches. Mais si assister à un tel drame est une chose, la vivre en est une autre ; et trop vite, alors que les témoins se mettaient frénétiquement en mouvement, désireux de glaner une information concernant l’évènement ou des nouvelles des potentiels blessés, ils se sont tous retrouvés au cœur même de l’action. La suite est trouble dans la mémoire de Scar, tourbillon de sensations principalement constituées de douleur et de confusion. Elle se souvient de la sensation de brûlure, de la puissance du souffle, de l’impact à l’instant où elle s’est effondrée telle une poupée désarticulée, puis de l’air saturée de fumée et de gaz, avant le trou noir. Elle ne s’est réveillée que plusieurs jours plus tard, mais pense avoir eu de la chance. Il lui reste sur les avant-bras des cicatrices principalement causées par les éclats de verre, et elle s’est retrouvée affublée de béquilles avant de pouvoir retrouver le plein contrôle de son corps. Ses séquelles étaient toutefois principalement psychologiques – elle fait un véritable blocage à l’idée de retourner à la cafèt. Cependant le temps l’a aidée à prendre du recul ; elle arrive même à en plaisanter dans une certaine mesure… c’est d’ailleurs de cet évènement, bien que traumatisant, qu’elle tient son dernier surnom : Scratt. Oui… comme l’écureuil volant. | LOWELL. Elle a toujours eu la fibre artistique, Scratt. Sa mère l’a d’ailleurs vite remarqué, obnubilée par sa quête de la célébrité par procuration, et n’a eu de cesse d’exploiter le talent par le biais de cours de chant, de danse, de dessin… La jeune femme aurait eu bien des raisons d’en faire une overdose – au lieu de quoi elle en a fait son exutoire. Elle vit en musique, gribouille au coin des feuilles lorsqu’elle s’ennuie, se rabat sur ses bombes de peinture pour évacuer toute frustration ou colère naissante. Et les seules salles dans lesquelles elle serait capable de rester volontairement enfermées des heures, elle qui préfère largement errer à l’extérieur, ce sont les studios de danse. Alors lorsqu’elle a entendu parler des Lowell durant le Rush, elle n’a pas résisté à la tentation de tenter sa chance, certaine d’avoir la passion requise par le groupe. CABOT. Pour sa mère, anglaise d’origine ayant toujours rêvé de connaître le système des confréries tel que représenté dans les grandes universités américaines, il était évident que Scarlett devait se retrouver chez les Cabot. Et il est vrai que n’importe quelle femme normalement constituée rêverait légitimement d’être jugée à la hauteur des valeurs de cette confrérie. Cela dit, Scratt a trop longtemps été victime de l’idéal de perfection pour être tout à fait à l’aise avec l’idée de porter les couleurs de ce groupe... et c’est la raison pour laquelle elle ne s’est sentie qu’à moitié à l’aise au moment de tenter le coup. Cependant, il est certain que si elle n’avait pas sa place parmi les Lowell, elle ne se verrait nulle part ailleurs que chez les Cabot. |
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