Life's all about moments of impact, and how they change our lives forever. Ҩ z&j

Lun 31 Mar 2014 - 12:24

Cause I could use some friends for a change .

J'enfilais mes baskets quand je reçois un texto de James. Une promenade au parc ? Pourquoi pas ? Le printemps était là, le temps était agréable et j'allais de toute façon courir un peu pour me dégourdir les jambes. J'attachais mes cheveux en une longue queue. En réfléchissant, mes cheveux commençaient à être un peu trop longs à mon gout, il était temps pour moi d'aller chez le coiffeur pour les couper, j'appellerais pour prendre rendez-vous plus tard. Rendu à l'extérieur de l'immeuble de logement, je mis mes écouteurs et commença à courir vers le parc. Transportée par la musique, je ne pris pas de temps d'arriver. Je voyais déjà de loin James qui marchait tranquillement. Dos à lui, j'avais la possibilité de le prendre par surprise. Je pris un sprint pour arriver proche de lui. À proximité, je lui sautais sur le dos comme une gamine et lui cachait les yeux de mes mains. « Devine qui c'est ? »

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Lun 31 Mar 2014 - 17:39

Maxim, Charlie, Analind.. Trop de choses en même temps. Son fils commençait à avoir la mauvaise habitude de peter une crise de larmes le matin quand il allait le déposer chez ses parents. Charlie commençait à prendre de la place dans la vie de William et il n'était pas sûre s'il était prêt à se lier ainsi avec lui. Analind... Toute une autre histoire compliquée qui provoquait un mal de tête énorme juste à y penser. " On se promène au parc? x " Envoya-t-il à Zoélanne, avant de sortir de l'hôpital, malette à la main et son sarreau blanc de médecin. Il se dirigea vers sa porsche dans le stationnement, rangea ses affaires dans le coffre, puis démarra pour se diriger vers le Starbucks le plus près. Il n'avait pas pu déjeuner ce matin à cause de son petit Maxim, donc il commanda un café et un spécial cupcake avant de se diriger vers le parc où il allait rencontrer Zoe. Il débarqua de sa voiture et se mit à marcher avec son café et son cupcake en main, puis alors qu'il allait prendre une bouche de son cupcake, on l'aggressa par-derrière. L'impact le fit basculer par devant, donnant comme résultat un visage dans la crème du cupcake et un verre de café par-terre. « ZOE! » chiala-t-il comme un enfant en regardant son café mort. Il s'essuya le glaçage du visage avant de l'étendre sur le visage de Zoelanne qui était encore sur son dos. « Tient, ça t'apprendra. » William prit une bouchée de son cupcake, un peu de glaçage encore sur son visage. « Tu débarques petit singe? »

« ZOE! » Oups. Je regardais le désastre que j'avais créé, assez typique chez moi. Je voulais être désolée pour lui, mais je l'étais pas. En fait, je riais de lui. En plus de tirer une de ces tronches, il avait une partie du visage couvert de glaçage, hilarant. Mais je ne m'attendais pas à ce qu'il réplique. Il beurra mon visage du même glaçage qui se retrouvait sur son visage. Suprise, je poussais un cri outré devant son geste. « Maieuh ! » répliquais-je. J'attrapais de mon doigt le glaçage sur mon visage et le léchais pour gouter « Hum, délicieux » faudrait qu'il me dise où il l'a acheté, si le glaçage était délectable, je m'imagine bien le reste. « Tu débarques petit singe? » , « Hé ho, je ne suis pas un singe vieux crouton » je descendis de son dos pour me placer à ses côtés , « J'imagine que je viens de gâcher ton petit déjeuner ? » l'air semi-coupable, bah quoi ? C'était marrant tout même, je suis génialissime parfois.

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Hé ho, je ne suis pas un singe vieux crouton. William fronça des sourcils avant de rouler des yeux. Bien que le surnom était affectif et complètement innocent, il ne pouvait pas s'empêcher de se sentir un peu complexé par son âge. Il avait quand même plus d'une dizaine d'années plus qu'elle, et parfois il se demandait si elle risquerait de partir dut à cela. Dut aux gens qui jugeaient leur amitié. Avec Seeley ça passait, son meilleur ami avait l'air assez âgé, et même côté personnalité, il semblait plus mature que William. Sauf que Zoelanne, c'était une autre histoire. J'imagine que je viens de gâcher ton petit déjeuner ? William passa un bras autour des épaules de son amie. « Tu le fais par exprès toi. Aller avoue-le que t'as détruit mon cupcake parce que tu trouves que je suis gros. » Il prit une énorme bouchée de son cupcake et parla la bouche pleine pour faire par exprès, son visage près du sien. « Et bah désolé mais j'aime mangé » Il rigola avant de mâcher et avaler la bouchée. « T'en veux? » demanda-t-il innocement en lui montrant le cupcake, son bras autour des épaules à sa meilleure amie.

« Tu le fais par exprès toi. Aller avoue-le que t'as détruit mon cupcake parce que tu trouves que je suis gros. », « Mais non, tu es parfait comme tu es » j'encerclais mon bras autour de ses hanches, mais fit semblant de ne pas y arriver jusqu'au bout. « C'est vrai que ça commence à être pas commode de te donner un câlin. Je rigole, je rigole » dis-je en finissant par encercler sa taille de mon bras. J'adorais le taquiner un peu, il est la victime parfaite selon moi. « Erk ,mais t'es dégoutant » j'éloignais mon visage du sien, du tout pas charmer par cette image de lui en train de déguster sa sucrerie. « Et bah désolé mais j'aime manger » « Que t'aime manger ou pas il y a des manières de le faire et celle n'en fait pas parti » la mine toujours dégouté. « T'en veux? » Je regardais d'un oeil soupçonneux son cupcake. Et si c'était un piège ? Et s'il voulait se venger encore ? Mon ventre gargouilla à la vue du cupcake. Et puis merde ! De mes doigts j’attrapais un morceau et le mit dans ma bouche. « Délicieux » lui dis-je en souriant.

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William roula des yeux lorsqu'elle fit semblant de ne pas être capable d'encercler ses bras autour de sa taille. Il n'était pas gros. Pour un jeune médecin et professeur, William pouvait fierement affirmer être pas mal sexy. Il ne correspondait pas à l'image habituel que l'on se faisait d'un professeur universitaire ou d'un pédiatre. Il avait du muscle, beaucoup de muscles plutôt, et il était extrêmement en forme. Il se vengea en mangeant comme un porc près de son visage, et il adora la réaction qu'il reçut. William éclata de rire, et lui proposa un morceaux de son cupcake. Elle semblait hésitante mais après un bout, elle en prit rapidement. Il souria et enleva son bras d'autour d'elle pour sortir de sa poche un napkin. « Vient là, t'es toute sale et j'ai honte de toi. » dit-il en s'arrêtant face à elle. Il sépara le restant de son cupcake en deux, passant la moitié à Pippa, puis fourra le reste dans sa bouche. William prit le menton de sa meilleure amie doucement entre ses doigts et essuya le glaçage qui se trouvait encore sur son visage à l'aide du napkin. « Tadam, aussi propre que les fesses de mon fils. » Très charmant comme comparaison. William regarda sa meilleure amie un moment, puis souria. « Tu me dois un café. »

« Vient là, t'es toute sale et j'ai honte de toi. » J’avais vraiment l’impression que parfois, Will me traitait comme une gamine. Même si notre différence d’âge est grande, cela ne fait pas de moi une enfant. Il me restait encore un an avant que l’état me considère officiellement adulte et je suis dore et déjà plus mature que ceux plus vieux que moi. « C’est bon, t’es pas obliger de…» je n’ai pu terminer ma phrase qu’il avait déjà attrapé mon menton pour m’essuyer le visage. Je lui lançais un regard noir, mais le laissa faire. « Tadam, aussi propre que les fesses de mon fils. » Charmant, vraiment charmant. « T’as le don de faire des comparaisons aussi débile. » De mes doigts, je pris un autre morceau du dessert sucré et l’enfournais dans ma bouche. « Tu me dois un café. » , « Hein ? » , je regardais son contenant vide et la grosse tâche qui s’étendait sur le gravier. « Oh, c’est moi qui ai fait ça ? Désoler Will », je regardais les environs et voyais au loin un café starbuck. « Tient, il y a un autre starbuck là-bas. À toi de savoir si tu tiens toujours à avoir ta dose de caféine du jour. »

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William aimait bien taquiner Siloé. Il savait qu'elle s'irritait souvent quand il la traitait comme une gamine, mais il ne pouvait pas s'en empêcher. Elle avait quand même une dizaine d'années de moins que lui. Ce n'était pas un problème, au contraire, il ne faisait que le lui rappeler pour l'énerver. Et oui, parce que Siloé était complètement mignonne à craquer quand elle pensait faire sa grande dure. S'il aurait été du même âge qu'elle, peut-être qu'il se serait sentit intimidé car il fallait l'avouer, elle était une bonne actrice et une vraie garce quand elle le voulait, mais étant donné qu'il était le vrai adulte ici, il pouvait se moquer d'elle quand elle tentait de se faire plus forte que lui. William repensa un moment à son café. Il eut une idée. William passa un bras autour des épaules de sa meilleure amie, et se mit en marche vers le starbucks. « Tu sais quoi, j'ai une proposition pour toi. Tu sais bien comment je ne peux pas vivre sans mes doses de caféine mille fois par jour. Mais tu sais aussi comment je suis l'homme le plus généreux sur Terre. » blagua-t-il. Il s'arrêta et se mit devant elle. « Alors, pour laisser ton porte feuille de petite étudiante tranquille, je te propose ceci: JE te paie une boisson chez Starbucks.. SI, et seulement SI, tu acceptes de m'accompagner au Bal d'Harvard. Gagnant-gagnant, non? T'as le plus bel homme de Cambridge comme cavalier, on prendra ma Maserati pour se rendre, ou une limousine si madame aime être clichée, et j'te paie n'importe quelle robe que tu veux. Enfin, tant qu'on voit bien tes jolies fesses. » dit-il en haussant des sourcils. « Ah, et en plus, t'as un café gratuit chez Starbucks. Alors? Aurais-je l'honneur d'avoir la plus jolie Lowell comme cavalière? » rajouta-t-il en usant de sa voix charmeur sur elle.

HJ: Veux-tu un rp au Bal ? Life's all about moments of impact, and how they change our lives forever. Ҩ z&j 1153642411

« Tu sais quoi, j'ai une proposition pour toi. » Aille, je sens que ça ne va pas être bon pour moi. « Tu sais bien comment je ne peux pas vivre sans mes doses de caféine mille fois par jour. Mais tu sais aussi comment je suis l'homme le plus généreux sur Terre.» Et les chevilles mon gars ? Pas trop enflés ? Je ne sais où il voulait en venir avec tout ça. Vaut mieux rester sur mes gardes. « Alors, pour laisser ton porte feuille de petite étudiante tranquille, je te propose ceci: JE te paie une boisson chez Starbucks.. SI, et seulement SI, tu acceptes de m'accompagner au Bal d'Harvard. Gagnant-gagnant, non? » Euh pardon ? Mais c'est quoi cette proposition stupide ! D'être sa cavalière en échange de ça ? N'importe quoi. De plus, je n'ai pas trop envie de me taper une soirée en talon haut à souffrir de matir. Aussi, ce genre de soirées ne me plaît pas du tout. Faut pas me demander pourquoi, c'est simplement que je n'aime pas. « T'as le plus bel homme de Cambridge comme cavalier, on prendra ma Maserati pour se rendre, ou une limousine si madame aime être clichée, et j'te paie n'importe quelle robe que tu veux. Enfin, tant qu'on voit bien tes jolies fesses. » Et puis quoi encore. Jolies fesses, pfff... Comme si ce genre de compliment allait me convaincre de l'accompagner. « Ah, et en plus, t'as un café gratuit chez Starbucks. Alors? Aurais-je l'honneur d'avoir la plus jolie Lowell comme cavalière? » Je massais mes tempes ne savant pas quoi lui répondre. Si je disais non, il allait insister jusqu'à ce que j'accepte et si je disais oui, j'allais finir à cette foutu soirée à m'ennuyer. Dans les deux cas, je n'avais pas grand choix. « Je sais que mon refus ne sera pas accepté, donc oui j'irais avec toi. Seulement, tu n'auras aucun mot à redire sur la robe que je choisirais qu'on y voit mes fesses ou non, sale pervers » le réprimandais-je à la fin.

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