J'avoue que ce jour là, j'avais mérité que Papa me crie dessus. J'avais renversé du coca sur tous ses papiers de travail. Alors, j'ai essayé de réparer les dégâts en mettent des essuies-tout dessus. Alors que je n'ai fais qu'empirer les choses. J'ai tout étalé, surtout que je n'avais pas fais attention que la serviette était déjà avec une tâche de chocolat fondu. Résultat ? Une grosse tâche sur des papiers important avec du coca mélangé à du chocolat. Donc, Papa était furax. Une fois que Papa avait finit de crier, j'avais courus dans ma chambre. Je pris quelques vaisseaux star wars Lego et me mis à jouer avec en laissant quelques larmes couler. Je savais que Papa était pas méchant', loin de là. Je savais qu'il voulait pas me faire pleurer. Mais les larmes avaient envahies mes joues sans que je ne le veuille vraiment.
Il etait rare d'entendre Elios crier dans la maison. Aujourd'hui, cependant cela avait ete le cas. Tu etais entrain de jouer avec Gaia quand tu entendais le pere de tes enfants gueuler sur Hermes. Tu soupirais. Il devait etre tellement stressé et tu ne pouvais pas du tout faire grand chose. Cela venait avec son travail et meme si tu essayais parfois de rendre les choses plus simples avec lui, etre en Italie ici avec lui te donnait parfois envie de prendre tes jambes a ton cou et de partir. Quand les cris s'etaient estompés, tu laissais Gaia avec sa grand-mere et partis dans la direction de ton fils. Tu toquais a la porte doucement. "Hermes, je peux rentrer?" Lui demandais-tu avec une petite voix. Tu ne voulais pas le brusquer.
J'étais donc dans ma chambre à jouer avec mes Lego. Je cherchais à empêcher les larmes qui coulaient seules sur mes joues mais je ne pouvais pas vraiment leur faire barrage. J'avais dans mains mains Luc et Anakin Skywaker. Non, mes histoires n'étais pas réaliste par rapports aux vrais films, mais qu'est-ce qu'on en a à faire ? Quand j'entendis ma mère au seuil de la porte qui me demandait si elle pouvait entrer, le lâchais les personnages de mes mains et essyuais mes joues trempées très vite et me retournais vers elle. Mes yeux devaient encore être rouges. Bien sur maman. Ma voix était toute petite, je détestais me faire gronder.
Cela te faisait un peu chier qu'Elios venait de s'énerver de la sorte sur Hermès, il n'avait même pas 10 ans et qu'importe ce qu'il avait pu faire, il ne l'avait pas fait exprès. Parfois, tu aurais aimé pouvoir leur faire échapper cela, mais Elios les avait reconnu et maintenant Hermès héritera de son trône et Gaïa deviendra princesse d'Italie, chose que tu ne pouvais pas éviter. Tu soupirais, ouvrant alors la porte de la chambre de ton fils. Les chambres ici en Italie étaient tellement plus grandes que celles dans la demeure aux USA et tu avais peur qu'ils finissent par prendre de haut certaines personnes à cause de leur statu. Il était là assis sur le sol, les yeux rouges. Tu refermais la porte derrière toi et viens t'asseoir à côté de ton fils. "Tu veux me dire ce qui s'est passé avec papa?" Lui demandais-tu d'une petite voix douce.
À genoux sur le sol, je me sentais petit dans la grande chambre dans laquelle je me trouvais tout comme je me sentais petit devant maman ou papa mais c'était une autre histoire. Un jour, je dépasserai sûrement maman, qui sait ! En tout cas, elle était maintenant assise près de moi. Je la regardais avec les petits yeux rouges en tripotant mes figurines en plastique. Maman le demanda de lui expliquer pourquoi papa m'avait grondé, alors j'allais lui raconter ma bêtise. Bah enfaite, je goûtais dans la salle à manger quand j'ai fais tombée du coca sur les papiers de papa. C'était des papiers de son travail alors j'ai voulu réparer mon erreur sauf que je suis bête, j'ai pris un essuie tout déjà utilisé : y'avait une trace de chocolat dessus. Du coup, y'a une grosse tâche sur ses papiers. Je frottais mes yeux avec mes points. j'ai pas fais exprès, c'est promis..
Elios était énervé, t'avais pu l'entendre gueuler sur une domestique avant d'entrer dans la chambre de ton fils. Cependant, tu avais préféré ignorer cela. Ce n'était pas rare qu'il s'énerve. Tu étais habituée à présent et ton fils t'était bien plus important. Tu entrais dans sa chambre. Il était encore tout petit et parfois t'avais du mal à l'imaginer qu'il avait déjà bien grandit. Tu te souvenais encore de la première fois où tu avais pu le prendre dans tes bras, il était si petit à cause de la naissance prématuré. Tu soupirais, venant t'asseoir alors à côté de lui. Tu ouvrais tes bras pour qu'il vienne s'y blottir. "T'as rien fais de mal. Ton père est juste stressé en ce moment. Il a beaucoup de travail avec les ministres et ça le met un peu sur les nerfs. Tu verras, dans une heure, il sera plus fâché." Le rassurais-tu.
Maman était avec moi dans la chambre. Elle était trop gentille avec moi, tout comme avec Gaïa, on était bien chouchoutés. Je savais très bien que Maman et Papa nous aimaient tous les deux autant, dans le sens autant Gaïa que moi mais aussi autant Maman que Papa. Je ne sais pas trop si tu me comprends... Enfin, si j'espère quand même. En tout cas, là Maman me consolait bien. Quand elle ouvrit ses bras, je me blottis contre elle en la serrant avec mes petites mains. Je sais. Mais j'aime pas quand Papa est en colère. J'aime que quand vous êtes tous les deux contents. Tu comprends ?
Tu te mettais près d’Hermès pour essayer de le réconforter, le tenant tendrement dans tes mains. Cela ne devait pas être facile pour lui, les mots de son père semblaient l’avoir profondément touché. Cela t’attristait et tu te demandais ce qui se serait passé si tu n’avais pas été là. Il était rare que tu viennes avec en Italie, parce que tu te sentais toujours de trop ici, ce n’était pas ta maison. Tu avais ta vie de l’autre côté de l’océan Atlantique et Elios avait la sienne ici. Tu étais juste venue parce que les enfants étaient encore jeunes et que tu ne préférais pas les laisser tous seuls trop longtemps. « Tu sais, c’était pas pour être méchant qu’il te disait cela. Il a juste beaucoup de boulot, mais tu verras dans une heure il t’aura pardonné. » Tu lui caressais la tête, le regardant avec un sourire confiant.
Maman était toujours très gentille avec moi. Quand elle voyait que j'allais pas bien, elle se mettait avec moi et puis me serrait dans ses bras. Elle avait un don pour m'aider à reprendre confiance en moi. Je ne savais pas si c'était l'instinct maternel ou quoi mais en tout cas, ça marchait toujours. Elle me disait que papa n'avait pas voulu être méchant avec moi et loin de là. Ce qui me fit sourire, même si je le savais déjà. Je me mis bien dans ses bras et je souris encore un peu plus. Je sais Manman.
Je la regardais en souriant un peu, mes joues n'étais plus humides; je ne pleurais plus. Je lui montrais mes légos. Tu veux jouer avec moi ?
Tu n'aimais qu'Elios crie sur les jumeaux, surtout à leur âge, et pourtant tu savais aussi qu'il ne le faisait pas toujours exprès. C'était juste que cela t'attristait parce qu'il ne le faisait pas exprès mais qu'il ne faisait aucun effort pour essayer de s'améliorer quand les jumeaux sont avec lui en Italie. La plus part du temps, ils étaient avec toi à Boston, et pour cela tu attendais plus de leur père. Cependant, cela ne servait pas à grand chose que tu te torture l'esprit avec. Tu irais en parler avec le concerné plus part. Tu caressais les cheveux de ton fils, alors qu'il se trouvait dans tes bras. Tu pourrais rester comme cela pendant des heures. Finalement, Hermès semblait aller bien mieux comme son visage s'illumina d'un magnifique sourire ce qui te fit sourire aussi. "bien sure." Tu l'attrapais alors pour le porter jusqu'au lego. "Qu'est-ce que tu veux construire?" Lui demandais-tu alors.
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