first french lesson ∆ KONRAD

Certes je regrettais un peu que le Spring Break soit terminé mais je ne me lasse pas du temps là-bas où j'ai profiter de chaque instant, c'était juste magique et ça ma fait beaucoup de bien, et ça fait une semaine que je suis rentré et je vais avoir le droit à mon premier vrai cours de français, un cours donné par Alizée cette française que j'ai croisé à la bibliothèque alors que je faisais des recherches sur de l'art contemporain français, j'ai bien galéré jusqu'à ce qu'elle arrive et qu’elle m'aide dans mes recherches, malheureusement c'est une futur bleu, autant dire qu'une relation même amicale avec elle est mal vu par le reste du campus, alors le prétexte de se voir que pour des cours de français marche plutôt bien pour le moment j'ai pas à me plaindre et là elle ne devrait d'ailleurs pas tarder à mon appartement. J'entendais toquer à la porte, c'était elle, je finissais ma clope avant d'avoir un sourire aux lèvres avant même de me diriger à la porte, et une fois celle-ci ouverte, Alizée se tenait dans le cadre de la porte, dans sa robe moulante et ses escarpins, elle était mignonne de me donner une vue aussi agréable, c'était fait exprès j'étais sur, puis je lui faisais surement plaisir à n'être vêtu que d'un boxer et d'un pantalon de jogging, je lui offrais une vue sur mon torse et mes tatouages, une vue qui était obligée de lui plaire, quelque part, moi aussi c'était fait exprès, enfin bref. Ravi de voir que tu as su trouver le chemin jusqu'ici. lui disais-je avant de me décaler pour la laisser entrer et refermer la porte derrière elle.

Alizée n'allait vraiment pas tarder, elle devait venir pour me donner un tout premier cours de français, autant dire que quelque part j'vais hâte, c'est vrai que je savais aligner au grand max, trois mots dans une phrase alors j'avais besoin d'un prof, et c'était Alizée mon prof, un prof sexy, attirante, tout à fait mon genre. Les cours ce n'était qu'un prétexte, elle venait en vrai pour passer du temps avec moi car elle était Eliot et moi Mather, notre relation serait mal vu alors le prétexte des cours de français passe très crème, ça nous arrange tous les deux. Elle arrive enfin, je vais ouvrir la porte et je peux la voir, aussi attirante que possible, j'adore ça et je lui en fais aussi profiter, juste vêtu d'un boxer et d'un jogging elle pouvait que se rincer l’œil, je la laissais entrer et j'avais le droit à un baiser en coin des lèvres, je souriais fermant la porte alors qu'elle était parti s'asseoir sur le canapé et poser son sac sur la table basse. On se met ici. lui dis-je la rejoignant, m'asseyant à côté d'elle, hâte d'entendre sa langue natale, sa langue qu'elle m'apprend.

Content de la voir enfin chez moi, loin des autres regards, c'est vrai qu'une relation entre un mather et une eliot est plus que mal vu alors ce prétexte pour des cours de français, c'est le prétexte de taille pour que tout passe crème. Elle venait juste d'arriver et elle allait se poser dans le canapé, posant ses affaires et son sac sur la table basse, je la rejoignais m'asseyant à côté d'elle et elle me précisait en rigolant que j'étais le premier à qui elle donnait des cours de français, je souriais à mon tour lui répondant Fier d'être ton premier élève alors. j'en avais absolument besoin de ce français de merde pour mon projet sur l'art contemporain français alors ce dont j'avais besoin en français ? Tout quoi. Déjà les bases je pense, après on verra si je suis doué pour du français plus abouti. je lâchais un petit rire avant de voir ce qu'elle me réservait pour son tout premier cours.

Tous les deux sur le canapé on pouvaient enfin commencer ce premier cours de français, même si ce n'était qu'un prétexte pour se voir autant qu'on le voulait, fallait vraiment que je m’améliore en français et elle était le professeur idéal pour ça. Un plaisir partagé, heureux de savoir que ça lui faisait plaisir d'enseigner à son tout premier élève, j’allais essayer de rester professionnel même si elle m'attire vraiment et que c’est dur de ne pas plonger le regard dans son décolleté. C'est toi la prof. je la laissais commencer son cours en sortant un livre de son sac, elle écrivait certains verbes et certaines règles, une fois finit elle me donnait le livre, autant dire qu'en lisant j'avais du mal à comprendre mais bon je savais qu'elle allait m'expliquer tout ça, du mieux qu'elle le pouvait. Je dois faire quoi maintenant ? lui dis-je plantant on regard dans le sien, même si je voulais le planté légèrement plus bas.