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Bonne action et bonne rencontre PV Azur

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Azur & Nevada

✎ Bonne action et bonne rencontre

Le soleil filtrait à travers la fenêtre de ma chambre au campus. Il était tôt mais cela ne me dérangeait guère. J'étais une personne plutôt matinale et puis après tout cela me permettait de profiter au maximum de la journée qui m'était offerte et vu que nous étions samedi je n'avais pas d'obligations concernant les cours. Une bonne journée en perspective donc où je pourrais relâcher la pression de la semaine assez surchargée. Cela avait beau faire trois ans que j'étudiais ici mais s'adapter au rythme de travail n'est pas chose facile et pourtant je suis une bonne élève alors je n'ose même pas imaginer ce que cela doit être pour les élèves ayant plus de difficultés. Vu que je m'étais levée de bonne heure et de bonne humeur, quoi de mieux que de commencer la journée avec un petit jogging matinal. Je me levai donc d'un bond de mon lit avant de m'engouffrer sous la douche. Bon je serais obliger de repasser par la case douche après avoir couru mais bon il m'était impensable de sortir dehors sans avoir pris une bonne douche revigorante. Après quelques minutes passées sous l'eau chaude, j’enfilai un jogging bleu marine et un T-shirt à manches longues en prévoyance de la petite fraicheur qui devait régner à l'extérieur. Je ramenai ma chevelure noire en une espèce de chignon sans nom ne voulant pas me batailler dès maintenant avec mes cheveux. Et enfin je sortis de ma chambre en attrapant ma montre, mon I-Pod et une bouteille d'eau au passage et vérifiant au passage que toutes les lumières de la chambre étaient bien éteintes. Oui j'étais bien élevée mais aussi consciente que cela était nécessaire pour les générations futures.

Le froid me coupa légèrement la respiration en sortant dehors mais j'étais costaud et la fraîcheur n'allait pas freiner mon enthousiasme de pouvoir enfin courir un peu. Je ne savais pas quel chemin prendre car il y a tant de possibilités de routes pouvant être emprunter aux abords de l'Université alors je partis en courant au hasard à travers l'une des rues, sur le trottoir, l'intuition ferait le reste pour la suite car je n'avais pas de préférence concernant les lieux sympathiques où l'on pouvait courir en toute tranquillité. C'est donc guider par le seul bruit mélangeant la musique dans mes oreilles, mon pouls et ma respiration saccader que je m'évadais peu à peu, oubliant tout et faisant le vide dans mon cerveau qui avait été en ébullition toute la semaine. J'appréciais le calme qui régnait encore à cette heure dans la ville qui d'habitude regorge d'individus de tout genre mais notamment d'élèves. Mes pas se faisaient de plus en plus rapides. Je ne savais pas depuis combien de temps je courais et je n'avais même pas envie de savoir car je me sentais bien et c'était le principal. J'avais traversé le parc public avant d'arriver le long de Charles River que je suivis. Le clapotis de l'eau accompagnait mon allure rapide avant que j'entende l'aboiement d'un chien qui se trouvait à quelques mètres plus long de moi qui eu pour effet de me ralentir. Cette petite bête réveilla forcément l'amoureuse des animaux que j'étais. C'était la première fois depuis que j'avais quitté le campus que je m'arrêtais. Je m’agenouillai devant la petite boule de poil de couleur beige dorée, qui n'étais pas si petite que ça en fait, pour venir le caresser et le gratter derrière les oreilles. Un grand sourire se dessina sur mon visage tandis que je passais toujours ma main dans le poil de l'animal. Je remarquai néanmoins que la petite bête sans défense et très gentille qu'elle était ne portait pas de collier sur elle. Mais je ne pouvais me résigner à la laisse la toute seule abandonné à elle-même et susceptible à tout genre d'accidents possibles et inimaginables. Le seul problème c'est que je ne pouvais pas la ramener au campus et encore moins dans ma chambre à mon plus grand regret tout de même. La compagnie d'un animal me manquait terriblement. Une seule solution s'offrait donc à moi: le refuge. Je connaissais très bien cet endroit car à plusieurs occasions, je m'y étais rendue et je savais donc exactement où il se situait. C'est donc avec le chien que je repris mon chemin mais cette fois-ci ce n'était pas mon intuition qui me guiderait mais mon cœur. Le chien pesait son poids mais qu'importe, il était tellement mignon, comment ne pas craquer pour ce petit être vivant. Après une vingtaine minutes de marche, je vis enfin les grilles du refuge s'élevait devant moi. Je les poussai difficilement vu que j'avais les mains prise mais j'y parvins quand même. De suite je me dirigeai vers l'accueil, espérant que quelqu'un s'y trouverait pour m'accueillir avec ma petite bête qui avait besoin d'aide.
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La nuit avait été longue ... trèèèèès longue. En effet, mon chien avait été malade toute la nuit. Il était à la fin de sa vie, je le savais. Je l'avais depuis mes 8 ans, autant dire que le temps avait passé depuis. A l'époque, j'avais décidé de l'appeler Pongo car j'étais une fan du Disney les 101 dalmatiens, donc même si ce n'était pas la même race, c'était comme ça un point c'est tout. D'ailleurs, malgré mes 21 ans, j'avais gardé mon âme d'enfant et il m'arrivait donc de paresser dans mon canapé avec un dvd de Disney et du pop corn, ben quoi, que serait une soirée télé sans l'une de ses petites friandises si affriolantes ? Rien n'est ce pas ? Je suis bien d'accord avec vous. Enfin bref, là n'est pas le problème, revenons en donc à nos moutons. Je disais que j'avais mal dormi car mon Pongo était en mauvais état. En me levant, j'avais donc tout pleins de cernes en dessous des yeux. Je me préparais alors rapidement mais je pris tout de même le temps de dissimuler mon manque de sommeil avec un peu de maquillage. Au final, ça ne se voyait presque pas que j'avais réellement besoin de dormir.

Une fois prête je pris mon chien dans mes bras et je décidais donc de l'emmener chez le vétérinaire. Il y avait une clinique au refuge pour animaux de la ville. J'y étais déjà allée à plusieurs reprises donc je connaissais le chemin par cœur, un peu comme ma poche dirons nous. Je sortis alors de ma chambre qui se trouvait chez les Quincy house, la meilleure maison de Harvard il va de soit. Ensuite, je pris la direction de ma voiture qui se trouvait en dehors du campus. J'installais mon animal à l'arrière et je pris ensuite le volant. J'avais mon permis depuis quelques mois déjà et soyons honnête, ça me sauvait la vie. Je ressentais une certaine liberté, et ça me procurait un bien fou. Une fois le contact mis, c'était parti pour aller au refuge. Un petit quart d'heure plus tard, j'étais à la recherche d'une place pour me garer. D'habitude, pour circuler dans la ville de Cambridge, j'utilisais les transports en commun mais là, c'était tout simplement impossible puisque les animaux étaient interdits dans les bus, tramways et métros.
Je mis plus de temps à trouver une place que de temps que ça m'avait pris pour arriver à destination, c'était dingue quand même. Enfin, je parvenais enfin à trouver un emplacement.

Quand ma voiture fut garé à peut près correctement, j'en descendit et pris mon Pongo dans les bras. Je me dirigeais vers l'entrée de la clinique vétérinaire. A l'intérieur, il y avait un monde fou, j'allais devoir patienter un moment. Une heure plus tard ce fut enfin à mon tour. J'entrais donc dans le "cabinet". Bonjour docteur. Ce dernier leva alors les yeux et me sourit gentiment. Ohh Pongo n'a pas l'air dans son assiette. J'aquiéçais alors avec une petite mine triste. Oui, je crois que c'est la fin pour lui.. Il se mit alors à ausculter mon petit amour et moi, je me mis donc à patienter. Mais j'avais besoin de savoir ce qu'il allait advenir de mon "bébé". Il eut enfin terminé, l'attente m'avait parut interminable alors que cela n'avait duré que quelques minutes. Je suis désolé mais Pongo ne va pas bien. Il souffre énormément, donc, je peux toujours tenter de le soigner mais, ça ne sera que temporaire. Sinon, tu peux choisir de ... Je déglutis alors péniblement, j'avais tout à fait compris ou il voulait en venir. Abréger ses souffrances c'est ça ? . Il confirma d'un signe de tête, et après réflexion je lui donnais l'autorisation de faire ce qu'il avait à faire. Une demi heure plus tard, c'était finis, Pongo avait quitté la planète Terre à tout jamais. Je sortis alors de la pièce pour me retrouver à l'accueil du refuge. Je tremblais de tous mes membres, les larmes ne pouvant s’arrêter de couler. Tout en marchant, je ne faisais pas vraiment attention à l'endroit ou je me dirigeais. Je bousculais alors quelqu'un et bégayait rapidement un pardon. Je relevais alors la tête et, c'est à ce moment là que je me rendais compte que l'inconnue n'en était pas vraiment une. Elle fréquentait elle aussi Harvard et appartenait même au Quincy. D'ailleurs, elle était une personne avec qui je m'entendais relativement bien.
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✎ Bonne action et bonne rencontre

Postée à l'accueil, j'attendis que quelqu'un vienne à ma rescousse. Non pas que j'avais peur de ce chien mais bon je n'allais pas le laisser tout seul. Après quelques minutes d'attente dans cet endroit que je ne connaissais trop bien pour y avoir effectué de nombreuses actions, une personne qui travaillait ici vint à ma rencontre. Je lui souris bien évidemment tandis que je tenais toujours le chien dans mes bras. "Bonjour, alors voilà je vous amène encore un autre pensionnaire. Il sera mieux ici que dehors. Ca me brise le cœur, j'aurais bien aimé le garder mais vous comprenez je ne peux pas le ramener sur le campus de l'université et encore moins le cacher dans ma chambre." Le chien tirait sur mon T-shirt, visiblement il devait avoir faim pour vouloir ainsi manger mon vêtement. Franchement je me demandais comment on pouvait abandonner un animal si mignon. "Oui, je comprends, on va lui trouver une place, ne vous inquiétez pas. Suivez-moi." Je suivis donc cette charmante jeune femme jusque le chenil, voir tous ces animaux derrière des barreaux me faisait toujours mal mais c'était la seule solution. J'aimerais tellement tous les ramener chez moi mais c'était impossible. Après que la jeune femme eut ouvert l'une des barrières, je posai le chien au sol après une dernière caresse. "Prenais bien soin de lui." finis je par dire avec une petite moue.

Un peu déçue de ne pas pouvoir aider un peu mieux ce petit animal innocente je pris le chemin de la sortie du refuge pour reprendre mon footing matinal que j'avais interrompu pour la bonne cause. Je fus soudainement sorti de mes pensées quand quelqu'un me rentra dedans par derrière. Je me retournai donc pour faire face à cette inconnue, qui venait de murmurer un petit pardon presque inaudible vu que celle-ci étant en larmes. Mais cette inconnue ne s'avérait pas en être une en réalité. Je connaissais cette jeune femme depuis mon arrivée à Harvard et la considérais depuis comme une amie proche. Je m'étonnais de la voir ici à une heure si matinale. "Azur ne t'excuses pas ce n'est pas grave. Mais dis moi qu'est ce qui t'arrives pour te mettre dans cet état?" Dis donc ce n'est que des mauvaises surprises aujourd'hui, l'abandon d'un chien et mon amie en pleurs. Je n'aimais pas voir les gens comme ça et encore moins quelqu'un que je connaissais. Azur avait tant fait pour moi à mon arrivée à Harvard et chez les Quincy notamment, je ne pouvais la laisser dans cet endroit toute seule. Je voyais bien qu'elle avait besoin d'une épaule pour pleurer et je serais là pour elle, pour l'aider si elle avait envie d'en parler bien évidemment. "Viens sortons, prendre l'air, un peu." Je lui adressais un léger sourire bien que cela ne soit pas facile dans cette situation mais je ne voyais pas trop quoi faire vus qu'elle n'avait toujours pas sorti un mot, chose que je comprenais vu son état actuel qui ne me plaisait guère. Voir souffrir quelqu'un autour de soi n'est pas une chose agréable à mes yeux et puis je pense qu'Azur ne méritait pas d'être malheureuse. Je la menai donc dehors peut être que l'air frais lui ferait un peu de bien. Après tout cela ne pouvait pas être pire que de rester à l'intérieur du refuge.
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Ce matin là en me levant, j'étais loin de me douter que j'allais perdre mon chien. Ce dernier m'avait accompagné pendant ces dernières années et donc, il était vraiment difficile de lui dire adieu. Mais bon, c'est le cycle de la vie, on nait pour mourir plus tard et bien c'était aussi valable pour les animaux donc bon, il fallait que je me fasse une raison non ? Et pourtant malgré cela, je ne pouvais pas empêcher les larmes de couler le long de mes joues. Ce petit être à quatre pattes m'avait accompagné pendant ces dernières années, il était un peu comme mon meilleur ami. C'était bête à dire mais je lui avait parlé comme s'il s'était agi d'un être humain, je lui avais confié mes soucis, mes joies mais aussi mes peines, enfin tout vous voyez le genre non ? Alors le perdre à tout jamais me brisait vraiment le cœur.

Mes yeux mouillés ne m'avaient pas permis de voir ce qu'il se passait devant moi et donc, c'est ainsi que je bousculais une inconnue. Inconnue ? Non pas vraiment car en y regardant de plus près, je connaissais cette jeune fille puisqu'il s'agissait en réalité d'une camarade Quincy avec qui je m'entendais très bien. D'ailleurs dès son intégration dans ma maison, je l'avais aidé, et ça avait plutôt bien porté ses fruits puisque maintenant, elle était vice présidente à mes côtés. Nous formions vraiment une belle équipe toutes les 2. J'aurais bien aimé cacher ma peine mais bon impossible, mes yeux rouges, mes joues mouillées et les larmes ne pouvaient pas vraiment cacher que j'allais mal. Et donc, ma collègue orange l'avait bien remarqué, après il aurait fallu être aveugle pour pas le voir donc bon, je ne pouvais pas lui reprocher. Je n'aimais pas trop parler de mes soucis, j'étais plutôt celle qui voulait aider plutôt que être aidé et oui, Quincy dans l'âme, et ce à tout jamais. Je la suivis alors à l’extérieur, nous n'avions plus rien à faire dans ce refuge en même temps. D'accord, je te suis. Une fois à l’extérieur, je lui adressais alors un petit sourire de reconnaissance pour la remercier d'être là, même si je ne me confiais pas, ça faisait toujours du bien d'avoir quelqu'un qui nous soutenait.
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